Confessions du curé 3/3
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Confessions du curé 3/3
Le tenir dans mes bras, le voir me sourire, me faire de petits bisous sur les lèvres, ses mains caressaient mon corps.
Il ne disait plus rien, me regardait et j'aimais ses yeux. Alors je me suis jeté sur lui pour l'embrasser avec le plus de passion que je pouvais avoir. Il s'est laissé faire, me serrant contre lui.
-qu'est ce qui t'arrive ? demande t-il doucement en souriant.
-t'es beau! t'es doux! t'es gentil!
Il rigole doucement.
-et je veux savoir la suite de l'histoire.
-je crois que t'es le mec le plus coquin et vicieux que j'ai pu connaître.
-si c'est un compliment, je le prends avec plaisir, allez raconte la suite je suis sûr qu'elle est mieux que le début, je le vois dans tes yeux ils brillent maintenant.
-c'est parce que je suis heureux de l'avoir dit et à toi, c'est encore mieux alors je vais te raconter la suite de ma vie.
Il me fait un bisou comme pour se lancer.
-durant dix soirs il est venu me sodomiser toujours avec la même ferveur, la même brutalité, ne s'intéressant jamais à mon plaisir car tu sais que j'en ai maintenant lorsque tu me le fais mais c'est pas lui qui m'en a donné avec lui tout était avilissement, il fallait qu'on soit son inférieur. Je crois que c'est ça qui le faisait bander, mais bon! dix jours après ce fût terminé il n'est jamais revenu dans ma chambre.
-si je peux te demander il y avait des nouveaux qui arrivaient souvent ?
-non pas souvent mais y'en avait quand même.
-il le faisait aux autres ?
-t'as fini de poser des questions monsieur l'Inspecteur ? dit-il en riant.
-t'as raison je t'écoute Jérôme.
-j'ai été surpris au départ qu'il ne vienne plus et j'ai recommencé à me branler et je devenais plus vicieux qu'avant car il fallait que je me doigte pour jouir encore plus. Alors mes soirées se passaient comme ça jusqu'au soir… car tu vois dans la chambre on avait qu'un lavabo dans un coin et des toilettes pour prendre la douche il fallait aller au bout du couloir. On avait des douches particulières qui fermaient et ce soir là, après ma séance habituelle de branle et de doigts j'avais tellement sué que j'ai eu envie d'une douche.
Lorsque je suis arrivé dans le local, j'ai entendu l'eau couler et la porte d'une douche était entrebâillée, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un œil et là, je suis resté statufié sur place. C'était Marc, tu sais celui avec qui je parlais souvent, il était face à la porte, l'eau coulait sur sa tête, il avait les yeux fermés et se lavait les cheveux. La mousse coulait sur son corps, un corps qui n'avait rien à voir avec celui de l'abbé recteur! c'est la première fois que j'ai trouvé beau un corps d'homme et quand mes yeux sont tombés sur son sexe mou qui reposait sur une belle paire de couilles je me suis mis à bander alors que je venais de me branler avec force. Je n'ai pas fait de bruit et j'ai regardé le beau mec. Je ne l'avais jamais considéré comme tel, comme une convoitise mais là, de voir son gros sexe mou et long, légèrement décalotté, l'eau coulait dessus et cela faisait comme si il était en train d'uriner. Ca m'a excité tu peux pas savoir et il s'est tourné sous la douche et j'ai admiré son dos, ses fesses, des fesses musclées, qui semblaient fermes. J'avais envie d'aller les embrasser et surtout toucher sa queue.
-mais dis donc coquin, ça te fait bander de repenser à de bons souvenirs dis je en lui caressant son sexe bien raide.
Il rigole.
Voyant qu'il allait cesser de se doucher, je suis vite entré dans la douche juste à côté. Je me suis mis nu et j'ai fait couler l'eau sur mon corps pour me calmer mais avec ce que je venais de voir ma queue ne débandait pas.
J'avais laissé la porte entrebâillée moi aussi, mais un peu plus et j'ai commencé à me laver. L'eau fraîche me faisait du bien, j'ai fait mon voyou, fermant à moitié les yeux pour voir si Marc me regardait et je l'ai aperçu qu'il me matait.
-j'ai honte à te dire ça mais j'ai fait ma salope pour la première fois Fabrice.
-y'a toujours une première fois dis je en riant.
-quand j'ai vu qu'il me regardait, je me suis mis à me laver le cul en me penchant en avant, écartant bien mes belles fesses que tu aimes tant et je me suis doigté, caressé, pour me retourner et montrer ma queue raide en le fixant. Il était rouge écarlate, avec sa grande serviette autour de la taille. Ses yeux n'arrêtaient pas de parcourir mon corps et moi je regardais le sien car la serviette semblait bouger à l'entre jambe.
On s'est regardé, j'ai osé lui faire signe de venir en ouvrant un peu plus la porte. Il a hésité. Je voyais qu'il avait envie de venir mais il n'arrêtait pas de regarder autour de lui. Il avait peur que quelqu'un arrive. J'ai arrêté l'eau me laissant admirer. J'avais envie de sentir un corps contre le mien, j'avais envie de voir sa queue raide, de la goûter et de me faire baiser. J'avais envie de ça Fabrice.
J'ai mis ma serviette autour de ma taille et je me suis approché de lui. Une vraie statue, j'ai avancé ma main et je lui ai touché la joue.
-on va dans ma chambre ? j'ai demandé en parlant tout bas.
Il n'a pas répondu, mais m'a fait un battement de cil.
On a récupéré nos affaires et il m'a suivi sans un mot dans ma chambre. La porte fermée on s'est regardé. Il transpirait et moi je tremblais car je venais de comprendre que d'habitude je n'avais qu'à me mettre à quatre pattes sur le lit mais là il avait l'air de ne pas vouloir prendre d'initiatives.
J'ai pris sa main dans la mienne, la tenant, on se regardait. J'ai laissé tombé ma serviette il en fait autant et j'ai vu son sexe en érection. Ah il bandait bien Marc et il avait une très belle queue.
Nos queues devaient être aimantées car on s'est rapproché jusqu'à ce qu'elles se touchent, nous faisant sursauter, sourire, on déglutissait tous les deux en se regardant. Sa main est venue me toucher le torse, caresser des doigts ma poitrine, toucher mes tétons qui se sont mis à raidir sous cette douce caresse.
j'avais envie de ce mec, j'avais envie qu'il me serre dans ses bras, qu'il me retourne et me baise rapidement.
Mais tout a été fait différemment, tout c'est fait dans la douceur, la tendresse, les soupirs.
C'est lui qui m'a pris par le cou pour que ma tête soit dans son cou. Il m'a fait des bisous sur les cheveux, j'ai relevé la tête et j'ai vu ses belles lèvres près des miennes. Je lui ai fait un rapide bisou tu sais Fabrice, comme tu aimes enfin il a souri et m'a serré contre lui, m'embrassant à perdre haleine et je lui ai offert ma langue pour la première fois.
-Tu vois Fabrice, j'ai trouvé une différence dès le début, tout était doux avec Marc comme avec un mec qui te plait.
On a fait connaissance de nos corps, on les exploré de caresses, sans trop se toucher le sexe et les fesses. J'avais l'impression qu'il n'osait pas mais quand on s'est retrouvé sur mon lit, nus tous les deux, les jambes emmêlées si tu savais comme j'étais heureux d'avoir ce mec dans mes bras et de sentir qu'il bandait pour moi.
Il bougeait son corps contre le mien, nos queues roulaient l'une sur l'autre.
On s'est pris les queues ensemble, on se branlait mutuellement, nez contre nez, lèvres contre lèvres. Son souffle entrait en moi et il recevait le mien et on a joui tous les deux ensemble en poussant des petits cris et des gémissements.
Je me souviens qu'il y en avait partout, cela nous a fait rire. Il m'a caressé en écartant nos spermes sur mon torse et il n'arrêtait pas de me faire des bisous, que j'aimais lui rendre.
-tu vois on est resté un long moment à se regarder, sans rien dire puis c'est lui qui a pris la parole.
-tu aimais les garçons avant de venir ici ? m'a t-il demandé.
-non j'ai répondu.
-alors c'est l'abbé recteur qui te faisait crier le soir ?
Je suis devenu rouge de honte.
-t'en fais pas, j'y suis passé avant toi, je le hais ce mec! il prend son plaisir et ne s'occupe pas du nôtre.
-mais tu aimais les garçons toi avant de venir ?
-oui et non j'avais eu quelques aventures de branles et de suces mais jamais on m'avait baisé.
On a pris le temps de se raconter nos courtes vies et nous sommes devenus de vrais amis, de vrais amants.
C'est lui qui m'a fait l'amour pour la première fois et, depuis Marc c'est ce que je préfère. Lui n'aimait pas trop qu'on touche à son cul bien qu'il me laissait le lécher et le doigter. On a passé des nuits formidables. J'ai toujours aimé son coup de reins, sa queue qui venait se vider au fond de mon cul et il déchargeait comme un chef! le sucer, avaler tout son jus, lui adorait me sucer, me boire comme il disait en rigolant. J'ai passé deux ans avec lui on était devenu un vrai petit couple comme il y en avait d'autres d'ailleurs.
On a jamais cherché ailleurs, on se suffisait tous les deux. Lorsqu'on avait le droit de sortir à l'extérieur on partait dans un hôtel pour baiser tout le week-end.
-tu l'aimais alors ? j'ai demandé.
-on ne le disait pas vraiment, on n'osait pas, je dirais, mais nos gestes, nos yeux le disaient bien pour nous tu sais.
-mais alors pourquoi tu n'as pas quitté ce lieu, comme ton Marc d'ailleurs ?
-je n'en sais rien c'est quand on a été séparé que j'ai eu envie de partir mais cela faisait plus de deux ans que j'étais arrivé.
-pourquoi vous avez été séparé ?
-il venait de l'autre bout de la France et un grand séminaire venait d'ouvrir dans sa région et le bon Abbé Recteur lui a demandé d'aller là-bas que c'était sa région.
-ouais il se vengeait ton abbé machin.
-je ne l'ai vraiment jamais su.
-mais il est revenu dans ta chambre ?
-dans ma chambre non mais dans la sienne! pour me consoler a t-il dit.
-mais c'est vraiment un salaud ce mec! j'irais bien y casser la gueule moi!
-t'énerve pas Fabrice! dit Jérôme en me souriant, tu sais, j'ai renâclé la première fois où j'y suis retourné mais en fait j'aime ça. J'aimais ça tout ce qu'il me faisait, m'avilir, me prendre pour une salope, une pute qui s'offre en fait!
Le silence s'était à nouveau installé. Il s'était blotti dans mes bras, je sentais son souffle dans mon cou, je le caressais tendrement.
-t'es resté encore combien de temps ?
-encore presque deux ans j'ai jamais retrouvé de "Marc". J'ai pas cherché d'ailleurs lorsque je sortais le week-end j'allais en boite et je draguais des hommes, je faisais la salope pour prendre leurs bites et j'en ai pris, j'étais pas farouche.
-arrête de te rabaisser comme ça Jérôme, moi je t'apprécie comme tu es.
-je sais Fabrice, je sais et c'est pour ça que j'ai accepté de renouer avec toi, je suis bien avec toi.
-donc après t'es allé où ?
-dans une paroisse où il y avait déjà un curé pour apprendre sur le tas tout ce qu'il y avait à faire. Là je suis tombé sur un vieux curé, vraiment sympa, cultivé. J'ai eu des discussions avec lui magnifiques. J'en ai appris encore plus sur les hommes. J'ai appris le "métier" en fait et j'ai essayé de faire comme j'avais vu le premier curé le faire celui qui avait fait l'homélie d'Isabelle.
-et tu ne cherchais plus à rencontrer des mecs ?
-non, tu sais c'était vraiment à la campagne et je me voyais mal draguer les paysans pourtant y'en avait des pas mal, mais le curé à la campagne, c'est quelque chose! on lui parle avec déférence.
-et t'es resté combien de temps ?
-deux ans encore jusqu'à ce que le curé de la paroisse d'ici parte et on m'a proposé sa place que j'ai accepté et tu connais la suite.
-mais dis donc, tu as oublié le principal, dis-je en lui tenant le menton.
Il me regarde étonné..
-t'oublies ma queue qui visite ton petit cul pour la première fois.
Il rigole.
-mais tu connais l'histoire, c'est pas la peine que que je te la raconte.
-ouais mais tu pourrais me dire pourquoi tu m'as cédé ce soir là.
Il sourit en me prenant lui aussi le menton.
-parce que t'étais le plus beau de la soirée.
-ben tiens!
-et aussi parce que tu m'as dragué gentiment, j'avais vu dans tes yeux que tu me désirais et j'ai dû faire ma salope encore ce soir là.
-en tout cas j'avais aimé dis je en lui faisant un bisou.
-pourquoi ? tu aimes moins maintenant ?
-il faudrait peut être que l'on révise alors pour que je me rendre bien compte.
Il rigole encore.
-j'aime les voyous dans ton genre et je peux te le dire je ne l'ai jamais vraiment dit à un garçon… je t'aime Fabrice!
Pour ne pas que je dise quelque chose il a mis sa langue dans ma bouche pour me la donner à sucer. Je l'ai fait rouler sur le lit, on grognait tous les deux, j'étais sur lui, ses jambes sont venues me serrer le corps. Il a arrêté de m'embrasser.
-positionne bien le sous-marin pour qu'il trouve le chemin espèce de voyou! et baise moi comme j'aime!
C'est à dire à grands coups de reins, bien secs, bien profonds.
Mais j'ai pris mon temps et j'ai visité son cul comme si c'était la première fois, faisant coulisser ma queue dans son conduit pour bien sentir le boyau l'enserrer, sentir mon gland racler la paroi et l'entendre gémir en m'embrassant, accélérer brusquement avant de reprendre la vitesse de croisière. Croire à plusieurs reprises que j'allais jouir, sentir ma queue palpiter dans son conduit, bien au chaud, sentir ses mains me caresser le dos, la nuque, ses lèvres m'embrasser, sa queue raide se frotter contre mon ventre.
Et, quand j'ai rempli son conduit en gueulant comme jamais j'avais gueulé avec lui, il serrait ma queue avec son cul tout le temps qu'elle se vide et j'ai bien failli étouffer dans ses bras et jambes tellement il me serrait et il a joui nous collant l'un à l'autre.
-moi aussi je t'aime Jérôme, je sais très bien que tu ne viendras jamais vivre avec moi mais franchement tu pourrais venir plus souvent.
-je te le promets mais tu sais que je ne peux venir les samedis et dimanches.
-ah j'aurais dû faire curé moi! travailler deux jours par semaine!
Il rigole en me serrant contre lui.
-j'ai envie de rester dormir avec toi et de ne partir que demain quand tu iras au travail, ça te va voyou ?
-mais et si les gens vont raconter à ton chef l'évêque que tu viens passer des nuits avec le pédé de la ville.
-eh bien je dirais à l'évêque ce qui s'est passé au grand séminaire.
J'en suis resté figé.
-mais c'est la révolution complète monsieur le curé!
-oui, si on me cherche on va me trouver maintenant.
Je remonte le drap sur nos corps, il m'enveloppe de ses bras, me fait un bisou sur le nez.
-merci Fabrice dit il.
-merci ? mais de quoi ?
-de m'avoir écouté ce soir.
-j'adore les histoires de cul et j'espère bien que tu m'as pas tout raconté encore.
Il rigole en m'embrassant.
-on dort ? demain y'a boulot pour certains.
On allait avoir encore de belles soirées et nuits ensemble…!
Il ne disait plus rien, me regardait et j'aimais ses yeux. Alors je me suis jeté sur lui pour l'embrasser avec le plus de passion que je pouvais avoir. Il s'est laissé faire, me serrant contre lui.
-qu'est ce qui t'arrive ? demande t-il doucement en souriant.
-t'es beau! t'es doux! t'es gentil!
Il rigole doucement.
-et je veux savoir la suite de l'histoire.
-je crois que t'es le mec le plus coquin et vicieux que j'ai pu connaître.
-si c'est un compliment, je le prends avec plaisir, allez raconte la suite je suis sûr qu'elle est mieux que le début, je le vois dans tes yeux ils brillent maintenant.
-c'est parce que je suis heureux de l'avoir dit et à toi, c'est encore mieux alors je vais te raconter la suite de ma vie.
Il me fait un bisou comme pour se lancer.
-durant dix soirs il est venu me sodomiser toujours avec la même ferveur, la même brutalité, ne s'intéressant jamais à mon plaisir car tu sais que j'en ai maintenant lorsque tu me le fais mais c'est pas lui qui m'en a donné avec lui tout était avilissement, il fallait qu'on soit son inférieur. Je crois que c'est ça qui le faisait bander, mais bon! dix jours après ce fût terminé il n'est jamais revenu dans ma chambre.
-si je peux te demander il y avait des nouveaux qui arrivaient souvent ?
-non pas souvent mais y'en avait quand même.
-il le faisait aux autres ?
-t'as fini de poser des questions monsieur l'Inspecteur ? dit-il en riant.
-t'as raison je t'écoute Jérôme.
-j'ai été surpris au départ qu'il ne vienne plus et j'ai recommencé à me branler et je devenais plus vicieux qu'avant car il fallait que je me doigte pour jouir encore plus. Alors mes soirées se passaient comme ça jusqu'au soir… car tu vois dans la chambre on avait qu'un lavabo dans un coin et des toilettes pour prendre la douche il fallait aller au bout du couloir. On avait des douches particulières qui fermaient et ce soir là, après ma séance habituelle de branle et de doigts j'avais tellement sué que j'ai eu envie d'une douche.
Lorsque je suis arrivé dans le local, j'ai entendu l'eau couler et la porte d'une douche était entrebâillée, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un œil et là, je suis resté statufié sur place. C'était Marc, tu sais celui avec qui je parlais souvent, il était face à la porte, l'eau coulait sur sa tête, il avait les yeux fermés et se lavait les cheveux. La mousse coulait sur son corps, un corps qui n'avait rien à voir avec celui de l'abbé recteur! c'est la première fois que j'ai trouvé beau un corps d'homme et quand mes yeux sont tombés sur son sexe mou qui reposait sur une belle paire de couilles je me suis mis à bander alors que je venais de me branler avec force. Je n'ai pas fait de bruit et j'ai regardé le beau mec. Je ne l'avais jamais considéré comme tel, comme une convoitise mais là, de voir son gros sexe mou et long, légèrement décalotté, l'eau coulait dessus et cela faisait comme si il était en train d'uriner. Ca m'a excité tu peux pas savoir et il s'est tourné sous la douche et j'ai admiré son dos, ses fesses, des fesses musclées, qui semblaient fermes. J'avais envie d'aller les embrasser et surtout toucher sa queue.
-mais dis donc coquin, ça te fait bander de repenser à de bons souvenirs dis je en lui caressant son sexe bien raide.
Il rigole.
Voyant qu'il allait cesser de se doucher, je suis vite entré dans la douche juste à côté. Je me suis mis nu et j'ai fait couler l'eau sur mon corps pour me calmer mais avec ce que je venais de voir ma queue ne débandait pas.
J'avais laissé la porte entrebâillée moi aussi, mais un peu plus et j'ai commencé à me laver. L'eau fraîche me faisait du bien, j'ai fait mon voyou, fermant à moitié les yeux pour voir si Marc me regardait et je l'ai aperçu qu'il me matait.
-j'ai honte à te dire ça mais j'ai fait ma salope pour la première fois Fabrice.
-y'a toujours une première fois dis je en riant.
-quand j'ai vu qu'il me regardait, je me suis mis à me laver le cul en me penchant en avant, écartant bien mes belles fesses que tu aimes tant et je me suis doigté, caressé, pour me retourner et montrer ma queue raide en le fixant. Il était rouge écarlate, avec sa grande serviette autour de la taille. Ses yeux n'arrêtaient pas de parcourir mon corps et moi je regardais le sien car la serviette semblait bouger à l'entre jambe.
On s'est regardé, j'ai osé lui faire signe de venir en ouvrant un peu plus la porte. Il a hésité. Je voyais qu'il avait envie de venir mais il n'arrêtait pas de regarder autour de lui. Il avait peur que quelqu'un arrive. J'ai arrêté l'eau me laissant admirer. J'avais envie de sentir un corps contre le mien, j'avais envie de voir sa queue raide, de la goûter et de me faire baiser. J'avais envie de ça Fabrice.
J'ai mis ma serviette autour de ma taille et je me suis approché de lui. Une vraie statue, j'ai avancé ma main et je lui ai touché la joue.
-on va dans ma chambre ? j'ai demandé en parlant tout bas.
Il n'a pas répondu, mais m'a fait un battement de cil.
On a récupéré nos affaires et il m'a suivi sans un mot dans ma chambre. La porte fermée on s'est regardé. Il transpirait et moi je tremblais car je venais de comprendre que d'habitude je n'avais qu'à me mettre à quatre pattes sur le lit mais là il avait l'air de ne pas vouloir prendre d'initiatives.
J'ai pris sa main dans la mienne, la tenant, on se regardait. J'ai laissé tombé ma serviette il en fait autant et j'ai vu son sexe en érection. Ah il bandait bien Marc et il avait une très belle queue.
Nos queues devaient être aimantées car on s'est rapproché jusqu'à ce qu'elles se touchent, nous faisant sursauter, sourire, on déglutissait tous les deux en se regardant. Sa main est venue me toucher le torse, caresser des doigts ma poitrine, toucher mes tétons qui se sont mis à raidir sous cette douce caresse.
j'avais envie de ce mec, j'avais envie qu'il me serre dans ses bras, qu'il me retourne et me baise rapidement.
Mais tout a été fait différemment, tout c'est fait dans la douceur, la tendresse, les soupirs.
C'est lui qui m'a pris par le cou pour que ma tête soit dans son cou. Il m'a fait des bisous sur les cheveux, j'ai relevé la tête et j'ai vu ses belles lèvres près des miennes. Je lui ai fait un rapide bisou tu sais Fabrice, comme tu aimes enfin il a souri et m'a serré contre lui, m'embrassant à perdre haleine et je lui ai offert ma langue pour la première fois.
-Tu vois Fabrice, j'ai trouvé une différence dès le début, tout était doux avec Marc comme avec un mec qui te plait.
On a fait connaissance de nos corps, on les exploré de caresses, sans trop se toucher le sexe et les fesses. J'avais l'impression qu'il n'osait pas mais quand on s'est retrouvé sur mon lit, nus tous les deux, les jambes emmêlées si tu savais comme j'étais heureux d'avoir ce mec dans mes bras et de sentir qu'il bandait pour moi.
Il bougeait son corps contre le mien, nos queues roulaient l'une sur l'autre.
On s'est pris les queues ensemble, on se branlait mutuellement, nez contre nez, lèvres contre lèvres. Son souffle entrait en moi et il recevait le mien et on a joui tous les deux ensemble en poussant des petits cris et des gémissements.
Je me souviens qu'il y en avait partout, cela nous a fait rire. Il m'a caressé en écartant nos spermes sur mon torse et il n'arrêtait pas de me faire des bisous, que j'aimais lui rendre.
-tu vois on est resté un long moment à se regarder, sans rien dire puis c'est lui qui a pris la parole.
-tu aimais les garçons avant de venir ici ? m'a t-il demandé.
-non j'ai répondu.
-alors c'est l'abbé recteur qui te faisait crier le soir ?
Je suis devenu rouge de honte.
-t'en fais pas, j'y suis passé avant toi, je le hais ce mec! il prend son plaisir et ne s'occupe pas du nôtre.
-mais tu aimais les garçons toi avant de venir ?
-oui et non j'avais eu quelques aventures de branles et de suces mais jamais on m'avait baisé.
On a pris le temps de se raconter nos courtes vies et nous sommes devenus de vrais amis, de vrais amants.
C'est lui qui m'a fait l'amour pour la première fois et, depuis Marc c'est ce que je préfère. Lui n'aimait pas trop qu'on touche à son cul bien qu'il me laissait le lécher et le doigter. On a passé des nuits formidables. J'ai toujours aimé son coup de reins, sa queue qui venait se vider au fond de mon cul et il déchargeait comme un chef! le sucer, avaler tout son jus, lui adorait me sucer, me boire comme il disait en rigolant. J'ai passé deux ans avec lui on était devenu un vrai petit couple comme il y en avait d'autres d'ailleurs.
On a jamais cherché ailleurs, on se suffisait tous les deux. Lorsqu'on avait le droit de sortir à l'extérieur on partait dans un hôtel pour baiser tout le week-end.
-tu l'aimais alors ? j'ai demandé.
-on ne le disait pas vraiment, on n'osait pas, je dirais, mais nos gestes, nos yeux le disaient bien pour nous tu sais.
-mais alors pourquoi tu n'as pas quitté ce lieu, comme ton Marc d'ailleurs ?
-je n'en sais rien c'est quand on a été séparé que j'ai eu envie de partir mais cela faisait plus de deux ans que j'étais arrivé.
-pourquoi vous avez été séparé ?
-il venait de l'autre bout de la France et un grand séminaire venait d'ouvrir dans sa région et le bon Abbé Recteur lui a demandé d'aller là-bas que c'était sa région.
-ouais il se vengeait ton abbé machin.
-je ne l'ai vraiment jamais su.
-mais il est revenu dans ta chambre ?
-dans ma chambre non mais dans la sienne! pour me consoler a t-il dit.
-mais c'est vraiment un salaud ce mec! j'irais bien y casser la gueule moi!
-t'énerve pas Fabrice! dit Jérôme en me souriant, tu sais, j'ai renâclé la première fois où j'y suis retourné mais en fait j'aime ça. J'aimais ça tout ce qu'il me faisait, m'avilir, me prendre pour une salope, une pute qui s'offre en fait!
Le silence s'était à nouveau installé. Il s'était blotti dans mes bras, je sentais son souffle dans mon cou, je le caressais tendrement.
-t'es resté encore combien de temps ?
-encore presque deux ans j'ai jamais retrouvé de "Marc". J'ai pas cherché d'ailleurs lorsque je sortais le week-end j'allais en boite et je draguais des hommes, je faisais la salope pour prendre leurs bites et j'en ai pris, j'étais pas farouche.
-arrête de te rabaisser comme ça Jérôme, moi je t'apprécie comme tu es.
-je sais Fabrice, je sais et c'est pour ça que j'ai accepté de renouer avec toi, je suis bien avec toi.
-donc après t'es allé où ?
-dans une paroisse où il y avait déjà un curé pour apprendre sur le tas tout ce qu'il y avait à faire. Là je suis tombé sur un vieux curé, vraiment sympa, cultivé. J'ai eu des discussions avec lui magnifiques. J'en ai appris encore plus sur les hommes. J'ai appris le "métier" en fait et j'ai essayé de faire comme j'avais vu le premier curé le faire celui qui avait fait l'homélie d'Isabelle.
-et tu ne cherchais plus à rencontrer des mecs ?
-non, tu sais c'était vraiment à la campagne et je me voyais mal draguer les paysans pourtant y'en avait des pas mal, mais le curé à la campagne, c'est quelque chose! on lui parle avec déférence.
-et t'es resté combien de temps ?
-deux ans encore jusqu'à ce que le curé de la paroisse d'ici parte et on m'a proposé sa place que j'ai accepté et tu connais la suite.
-mais dis donc, tu as oublié le principal, dis-je en lui tenant le menton.
Il me regarde étonné..
-t'oublies ma queue qui visite ton petit cul pour la première fois.
Il rigole.
-mais tu connais l'histoire, c'est pas la peine que que je te la raconte.
-ouais mais tu pourrais me dire pourquoi tu m'as cédé ce soir là.
Il sourit en me prenant lui aussi le menton.
-parce que t'étais le plus beau de la soirée.
-ben tiens!
-et aussi parce que tu m'as dragué gentiment, j'avais vu dans tes yeux que tu me désirais et j'ai dû faire ma salope encore ce soir là.
-en tout cas j'avais aimé dis je en lui faisant un bisou.
-pourquoi ? tu aimes moins maintenant ?
-il faudrait peut être que l'on révise alors pour que je me rendre bien compte.
Il rigole encore.
-j'aime les voyous dans ton genre et je peux te le dire je ne l'ai jamais vraiment dit à un garçon… je t'aime Fabrice!
Pour ne pas que je dise quelque chose il a mis sa langue dans ma bouche pour me la donner à sucer. Je l'ai fait rouler sur le lit, on grognait tous les deux, j'étais sur lui, ses jambes sont venues me serrer le corps. Il a arrêté de m'embrasser.
-positionne bien le sous-marin pour qu'il trouve le chemin espèce de voyou! et baise moi comme j'aime!
C'est à dire à grands coups de reins, bien secs, bien profonds.
Mais j'ai pris mon temps et j'ai visité son cul comme si c'était la première fois, faisant coulisser ma queue dans son conduit pour bien sentir le boyau l'enserrer, sentir mon gland racler la paroi et l'entendre gémir en m'embrassant, accélérer brusquement avant de reprendre la vitesse de croisière. Croire à plusieurs reprises que j'allais jouir, sentir ma queue palpiter dans son conduit, bien au chaud, sentir ses mains me caresser le dos, la nuque, ses lèvres m'embrasser, sa queue raide se frotter contre mon ventre.
Et, quand j'ai rempli son conduit en gueulant comme jamais j'avais gueulé avec lui, il serrait ma queue avec son cul tout le temps qu'elle se vide et j'ai bien failli étouffer dans ses bras et jambes tellement il me serrait et il a joui nous collant l'un à l'autre.
-moi aussi je t'aime Jérôme, je sais très bien que tu ne viendras jamais vivre avec moi mais franchement tu pourrais venir plus souvent.
-je te le promets mais tu sais que je ne peux venir les samedis et dimanches.
-ah j'aurais dû faire curé moi! travailler deux jours par semaine!
Il rigole en me serrant contre lui.
-j'ai envie de rester dormir avec toi et de ne partir que demain quand tu iras au travail, ça te va voyou ?
-mais et si les gens vont raconter à ton chef l'évêque que tu viens passer des nuits avec le pédé de la ville.
-eh bien je dirais à l'évêque ce qui s'est passé au grand séminaire.
J'en suis resté figé.
-mais c'est la révolution complète monsieur le curé!
-oui, si on me cherche on va me trouver maintenant.
Je remonte le drap sur nos corps, il m'enveloppe de ses bras, me fait un bisou sur le nez.
-merci Fabrice dit il.
-merci ? mais de quoi ?
-de m'avoir écouté ce soir.
-j'adore les histoires de cul et j'espère bien que tu m'as pas tout raconté encore.
Il rigole en m'embrassant.
-on dort ? demain y'a boulot pour certains.
On allait avoir encore de belles soirées et nuits ensemble…!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci monsieur le lecteur!
Très bien écrit et pas dans le vulgaire
Bravo
Bravo