CONSULTATION A DOMICILE Episode 5 : Godotherapie
Récit érotique écrit par Carole [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2006 dans la catégorie A dormir debout
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CONSULTATION A DOMICILE Episode 5 : Godotherapie
Martine regarde l'indication du thermogode et dit: "docteur! Je confirme que vous êtes une chaude lapine!"
puis elle range l'engin dans ma sacoche et commence à la fouiller à la recherche d'autres trésors. Finalement elle en extrait un gode ceinture.
"qu'est ce que c'est? " demande t-elle.
" cela me permet de jouer le rôle du mec, répondis-je, je me le passe autour de la taille, avec la grosse bite extérieure je peux baiser la fille ou le mec (s'il aime) et ses mouvements sont transmis au petit gode interne qui me rentre dans la chatte et me titille le clito."
"s'il vous plait docteur, montrez moi, baisez moi avec!" demanda Martine.
Bien que fatiguée, j'accepte et commence à enfiler l'engin.
Notre patient proteste une fois de plus qu'avec nos jeux saphiques nous l'abandonnons à son triste sort, ce à quoi Martine lui répond: "dites donc, j'ai trois trous, et le docteur aussi, il faut bien qu'ils servent!"
A ce moment elle le pousse sur le canapé. Il se retrouve sur le dos avec la bite en l'air. Martine se place à califourchon sur lui et s'empale d'un coup sur son dard. Sa chatte est tellement trempée qu'il y rentre comme dans du beurre. A mon tour je me place derrière elle avec mon engin, préalablement enduit de lubrifiant, bien qu'à voir l'aspect ouvert accueillant de son petit trou après la première exploration de notre ami, cela ne semble pas nécessaire. En effet, je ne lui arrache qu'un petit cri lorsque je l'encule à fond. La voilà prise en sandwich entre nous deux : « oh docteur Carole ! Oh Monsieur ! C'est si bon deux bites à la fois ! Baisez moi ! Défoncez moi ! Enculez moi ! ». Encouragés par ces paroles obscènes toujours prononcées avec sa voix naïve de petite fille, nous nous mettons ensemble à l'ouvrage, coordonnant nos coups de butoir. Ce gode est vraiment très bien conçu, les ondes des coups de bites du mec se transmettent à travers la fine paroi de Martine à mon membre de plastique qui les transmets à son tour jusqu'au fond de ma chatte. J'ai vraiment la sensation de lui pénétrer le cul. Au mouvement d'avant en arrière de notre double pénétration j'ajoute un mouvement de basculement latéral, à la fois pour donner plus de sensation à ma stagiaire mais aussi pour permettre à notre patient d'accéder à mes seins. Ce sont, en effet, deux paires de seins qui s'agitent devant lui et réclament ses caresses,
ce sont aussi trois bouches et trois langues qui se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, se perde puis se retrouvent. Nos trois corps n'en font plus qu'un, entièrement consacré au plaisir. Martine hurle : « oui !! plus fort !! Défoncez moi ! écartelez moi la chatte et le cul ! » Encore deux ou trois coups de hanche de notre part et c'est par un cri aigu et obscène que notre petite chienne exprime sa jouissance. J'espère que les voisins compréhensifs, en tout cas nous lui faisons de la pub auprès de ses voisines ! Nous nous retirons tous les deux, mais Martine ne souhaite pas en rester là :
« A mon tour de vous baiser docteur ! donnez moi votre bite ». Je suis si fière de mon élève et de ses performances que je ne relève même pas le ton autoritaire avec lequel elle s'est adressée à moi, peu compatible avec nos relations hiérarchiques, et j'enlève mon accessoire pour lui donner. Sitôt équipée avec notre aide, qu'elle me dis toujours sur le même ton : « allongez vous sur le dos, sur le canapé ». Je m'exécute, écartant les jambes près à accueillir sa bite factice. Martine se tourne alors vers le patient : « mets toi derrière moi, nous allons la baiser ensemble cette salope ! ». A ce moment là, elle se glisse entre mes cuisses et fourre le gode dans ma chatte d'un coup brutal qui m'arrache un cri. Déchaînée elle me dit : « tu aimes ça, chienne ! Mais tu vas voir ! à deux on va te bourrer encore plus fort. » Derrière elle, le mec examine son petit trou, plus dilaté que jamais qu'elle lui présente en offrande comme une invitation. Il comprend alors ce qu'elle veut dire et il s'enfonce en elle, l'enculant à fond d'un coup sec. « oui c'est bon dit elle, encule moi bien ! Et maintenant défonçons cette petite pute ! » .
« Petite pute toi même » me mets je à penser toute en me disant que, pour moi, il s'agit d'un compliment. Maintenant ils se mettent à deux pour me défoncer, unissant leurs forces et leurs coups de reins. J'ai l'impression d'être prise par un taureau. Par moment j'ai aussi le sentiment que la bite du mec traverse Martine pour venir me baiser. Martine elle aussi est hystérique, elle nous abreuve de paroles obscènes entre deux halètements et est couverte de sueur.
Notre patient redouble ses coups de butoir également au comble de l'excitation. Cette fois ci la jouissance est simultanée pour nous trois, un concert de râles sonores marque la fin de la chevauchée fantastique. Nous restons un moment hébétés dans cette position, puis Martine se retire de moi et il se retire d'elle. Elle tourne son dos vers moi et me présente son cul. Les bords de son anus sont rouges et, du trou, béant, extraordinairement dilaté, coule la manne blanche du sperme. Je me précipite pour lui lécher le cul et déguster cette liqueur. De son coté, Martine nettoie de sa langue se qui est resté sur la bite. Elle le fais avec ardeur, le goût musqué de son cul se mêlant à celui du sperme du mec semble l'exciter. Au point que la bite est bientôt parfaitement nettoyée, mais toujours raide !
A suivre
puis elle range l'engin dans ma sacoche et commence à la fouiller à la recherche d'autres trésors. Finalement elle en extrait un gode ceinture.
"qu'est ce que c'est? " demande t-elle.
" cela me permet de jouer le rôle du mec, répondis-je, je me le passe autour de la taille, avec la grosse bite extérieure je peux baiser la fille ou le mec (s'il aime) et ses mouvements sont transmis au petit gode interne qui me rentre dans la chatte et me titille le clito."
"s'il vous plait docteur, montrez moi, baisez moi avec!" demanda Martine.
Bien que fatiguée, j'accepte et commence à enfiler l'engin.
Notre patient proteste une fois de plus qu'avec nos jeux saphiques nous l'abandonnons à son triste sort, ce à quoi Martine lui répond: "dites donc, j'ai trois trous, et le docteur aussi, il faut bien qu'ils servent!"
A ce moment elle le pousse sur le canapé. Il se retrouve sur le dos avec la bite en l'air. Martine se place à califourchon sur lui et s'empale d'un coup sur son dard. Sa chatte est tellement trempée qu'il y rentre comme dans du beurre. A mon tour je me place derrière elle avec mon engin, préalablement enduit de lubrifiant, bien qu'à voir l'aspect ouvert accueillant de son petit trou après la première exploration de notre ami, cela ne semble pas nécessaire. En effet, je ne lui arrache qu'un petit cri lorsque je l'encule à fond. La voilà prise en sandwich entre nous deux : « oh docteur Carole ! Oh Monsieur ! C'est si bon deux bites à la fois ! Baisez moi ! Défoncez moi ! Enculez moi ! ». Encouragés par ces paroles obscènes toujours prononcées avec sa voix naïve de petite fille, nous nous mettons ensemble à l'ouvrage, coordonnant nos coups de butoir. Ce gode est vraiment très bien conçu, les ondes des coups de bites du mec se transmettent à travers la fine paroi de Martine à mon membre de plastique qui les transmets à son tour jusqu'au fond de ma chatte. J'ai vraiment la sensation de lui pénétrer le cul. Au mouvement d'avant en arrière de notre double pénétration j'ajoute un mouvement de basculement latéral, à la fois pour donner plus de sensation à ma stagiaire mais aussi pour permettre à notre patient d'accéder à mes seins. Ce sont, en effet, deux paires de seins qui s'agitent devant lui et réclament ses caresses,
ce sont aussi trois bouches et trois langues qui se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, se perde puis se retrouvent. Nos trois corps n'en font plus qu'un, entièrement consacré au plaisir. Martine hurle : « oui !! plus fort !! Défoncez moi ! écartelez moi la chatte et le cul ! » Encore deux ou trois coups de hanche de notre part et c'est par un cri aigu et obscène que notre petite chienne exprime sa jouissance. J'espère que les voisins compréhensifs, en tout cas nous lui faisons de la pub auprès de ses voisines ! Nous nous retirons tous les deux, mais Martine ne souhaite pas en rester là :
« A mon tour de vous baiser docteur ! donnez moi votre bite ». Je suis si fière de mon élève et de ses performances que je ne relève même pas le ton autoritaire avec lequel elle s'est adressée à moi, peu compatible avec nos relations hiérarchiques, et j'enlève mon accessoire pour lui donner. Sitôt équipée avec notre aide, qu'elle me dis toujours sur le même ton : « allongez vous sur le dos, sur le canapé ». Je m'exécute, écartant les jambes près à accueillir sa bite factice. Martine se tourne alors vers le patient : « mets toi derrière moi, nous allons la baiser ensemble cette salope ! ». A ce moment là, elle se glisse entre mes cuisses et fourre le gode dans ma chatte d'un coup brutal qui m'arrache un cri. Déchaînée elle me dit : « tu aimes ça, chienne ! Mais tu vas voir ! à deux on va te bourrer encore plus fort. » Derrière elle, le mec examine son petit trou, plus dilaté que jamais qu'elle lui présente en offrande comme une invitation. Il comprend alors ce qu'elle veut dire et il s'enfonce en elle, l'enculant à fond d'un coup sec. « oui c'est bon dit elle, encule moi bien ! Et maintenant défonçons cette petite pute ! » .
« Petite pute toi même » me mets je à penser toute en me disant que, pour moi, il s'agit d'un compliment. Maintenant ils se mettent à deux pour me défoncer, unissant leurs forces et leurs coups de reins. J'ai l'impression d'être prise par un taureau. Par moment j'ai aussi le sentiment que la bite du mec traverse Martine pour venir me baiser. Martine elle aussi est hystérique, elle nous abreuve de paroles obscènes entre deux halètements et est couverte de sueur.
Notre patient redouble ses coups de butoir également au comble de l'excitation. Cette fois ci la jouissance est simultanée pour nous trois, un concert de râles sonores marque la fin de la chevauchée fantastique. Nous restons un moment hébétés dans cette position, puis Martine se retire de moi et il se retire d'elle. Elle tourne son dos vers moi et me présente son cul. Les bords de son anus sont rouges et, du trou, béant, extraordinairement dilaté, coule la manne blanche du sperme. Je me précipite pour lui lécher le cul et déguster cette liqueur. De son coté, Martine nettoie de sa langue se qui est resté sur la bite. Elle le fais avec ardeur, le goût musqué de son cul se mêlant à celui du sperme du mec semble l'exciter. Au point que la bite est bientôt parfaitement nettoyée, mais toujours raide !
A suivre
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