Contacts internet n°2
Récit érotique écrit par Cocu heureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Contacts internet n°2
- A quelle heure dois-tu rentrer mon chéri ?
- Pas après 19h00 sinon j’aurai droit à l’interrogatoire.
- Quel dommage ! Je veux continuer à te voir Charlie.
Il l’embrasse amoureusement sur la bouche.
- Je voudrais ne plus te quitter Sylvie.
- Je sais mon amour mais il le faut.
A regret, ma femme se rhabille.
- Tu vois mon chéri, je ne me lave pas. Je vais garder ton odeur et ton sperme pour me souvenir de cet après-midi.
Charlie la serre dans ses bras et l’embrasse longuement sur la bouche.
- Comment es-tu venu mon amour ?
- Par le car.
- Viens, je te reconduis.
Le trajet se fait en silence. Sylvie regarde son jeune amant.
- Caresse-moi Charlie ! Oui, entre les cuisses !
La forêt de chantilly leur offre son abri. Pourquoi ne pas en profiter ?
- Mon amour on a encore le temps puisque je te reconduis.
Le regard de Charlie s’illumine. Il a comprit. Sylvie engage la voiture dans le premier chemin forestier et coupe le contact.
Charlie se penche vers elle et l’embrasse amoureusement sur la bouche.
- Je t’aime Sylvie !
- Oui mon amour, moi aussi ! hummm, passons à l’arrière !
Sylvie ouvre sa robe. Allongée, offerte elle attire Charlie sur elle.
- Prends-moi tout de suite mon chéri ! Prends-moi ! Vite !... oui, comme ça !... embrasse-moi ! Caresse-moi les seins !... je t’aime Charlie…
- Sylvie !...
Elle lui saisit les fesses pour l’appuyer fort contre sa chatte. Elle remue et se frotte sur ses couilles. Excitée, elle lui enfonce un doigt dans le cul. Charlie est surpris mais ce n’est pas désagréable. Il la pilonne longuement.
- Charlie ne décharge pas tout de suite ! Je veux que tu me fasses jouir. Lèche moi la chatte… oui comme ça… le clito… ahhh, ouiii ! Oui, enfonce moi un doigt dans le cul… oui vas-y mon salop ! Lèche ! Bouffe-moi la chatte !
Charlie est sidéré par la vulgarité de Sylvie mais cela l’excite davantage.
- Tu es une vraie salope Sylvie !
- Tu en doutais ?
- Je te croyais plus réservée.
- J’accepte un rendez-vous avec toi à notre première conversation sur internet et tu me croyais réservée ?
- Oui. Dit-il un peu déçu.
- Ce n’est pas parce que j’aime la bite que je ne sais pas être tendre. Tu as bien vu à l’hôtel !
- C’est vrai !
- Viens mon poussin. Viens sur moi. Tu es un amant extraordinaire. Embrasse-moi tendrement… laaa… vas-y lime doucement, tu m’as tellement bien préparée que je suis prête à jouir !
- Je t’aime Sylvie !...
- Oui mon amour, oui, continue !...
- Je ne veux plus que tu baises avec ton mari !
- Tu le fais cocu et en plus tu veux le priver de baise ?!...
- Je t’aime !...
- Et moi ? Pendant une semaine je devrais serrer les cuisses ?! Tu en demandes de trop mon chéri ! Je pensais que tu avais compris. Tu sais ce n’est que du sexe… très agréable mais ce n’est que du sexe et j’ai presque 40 ans de plus que toi ! Réserve-toi pour une fille de ton âge…
Charlie est bouleversé. Sylvie l’enlace, le cajole, l’embrasse sur la bouche.
- Vas-y baise-moi ! Oui, comme ça ! Oui fort, comme ça ! Oui punis-moi ! ouiiiiiiiiiii !!!! ahhhhh, que c’est bon.
- Salope. Je ne veux plus te voir !
- Ne dis pas de bêtises ! Tu sais bien que tu meurs d’envie de recommencer. Regarde derrière toi !
Charlie se retourne. Un homme est en train de se branler derrière la vitre de la voiture.
- Laisse-lui la place ! Il faut qu’il se soulage ce pauvre homme !... venez !...
L’homme se glisse entre les cuisses encore chaudes de ma femme. Tandis qu’il la ramone, Sylvie affronte le regard accusateur de Charlie. A l’oreille de l’homme elle lui susurre :
- J’aimerais que vous me preniez à deux ! D’accord ?
- Avec plaisir !...
- Charlie ! Viens ! Allez, cesse de bouder ! Viens profiter de l’occasion.
Charlie finit par céder. Sylvie lui fait face et le chevauche. L’homme lui écarte les fesses. Il l’encule sans effort.
- Oh oui ! À deux sur une faible femme ! hummm, vous devriez avoir honte d’abuser de moi ainsi !
Elle prend le visage de Charlie et l’embrasse tendrement sur la bouche. Elle tourne la tête et offre ses lèvres au voyeur. Il lui pétrit les seins, la sodomise, l’embrasse. Ma femme est aux anges. Elle ondule pour se frotter sur Charlie tout en recevant les coups de boutoir de l’homme dans son cul.
Il est le premier à décharger. Son sperme coule entre les fesses de Sylvie. Malgré sa jeunesse, après un après-midi à baiser ma femme, Charlie ne peut conclure. Qu’à cela ne tienne. Sylvie est satisfaite. Elle se rhabille, donne un long baiser à l’inconnu et remonte en voiture.
- Dépêche-toi Charlie ! On va être à la bourre !...
- Pas après 19h00 sinon j’aurai droit à l’interrogatoire.
- Quel dommage ! Je veux continuer à te voir Charlie.
Il l’embrasse amoureusement sur la bouche.
- Je voudrais ne plus te quitter Sylvie.
- Je sais mon amour mais il le faut.
A regret, ma femme se rhabille.
- Tu vois mon chéri, je ne me lave pas. Je vais garder ton odeur et ton sperme pour me souvenir de cet après-midi.
Charlie la serre dans ses bras et l’embrasse longuement sur la bouche.
- Comment es-tu venu mon amour ?
- Par le car.
- Viens, je te reconduis.
Le trajet se fait en silence. Sylvie regarde son jeune amant.
- Caresse-moi Charlie ! Oui, entre les cuisses !
La forêt de chantilly leur offre son abri. Pourquoi ne pas en profiter ?
- Mon amour on a encore le temps puisque je te reconduis.
Le regard de Charlie s’illumine. Il a comprit. Sylvie engage la voiture dans le premier chemin forestier et coupe le contact.
Charlie se penche vers elle et l’embrasse amoureusement sur la bouche.
- Je t’aime Sylvie !
- Oui mon amour, moi aussi ! hummm, passons à l’arrière !
Sylvie ouvre sa robe. Allongée, offerte elle attire Charlie sur elle.
- Prends-moi tout de suite mon chéri ! Prends-moi ! Vite !... oui, comme ça !... embrasse-moi ! Caresse-moi les seins !... je t’aime Charlie…
- Sylvie !...
Elle lui saisit les fesses pour l’appuyer fort contre sa chatte. Elle remue et se frotte sur ses couilles. Excitée, elle lui enfonce un doigt dans le cul. Charlie est surpris mais ce n’est pas désagréable. Il la pilonne longuement.
- Charlie ne décharge pas tout de suite ! Je veux que tu me fasses jouir. Lèche moi la chatte… oui comme ça… le clito… ahhh, ouiii ! Oui, enfonce moi un doigt dans le cul… oui vas-y mon salop ! Lèche ! Bouffe-moi la chatte !
Charlie est sidéré par la vulgarité de Sylvie mais cela l’excite davantage.
- Tu es une vraie salope Sylvie !
- Tu en doutais ?
- Je te croyais plus réservée.
- J’accepte un rendez-vous avec toi à notre première conversation sur internet et tu me croyais réservée ?
- Oui. Dit-il un peu déçu.
- Ce n’est pas parce que j’aime la bite que je ne sais pas être tendre. Tu as bien vu à l’hôtel !
- C’est vrai !
- Viens mon poussin. Viens sur moi. Tu es un amant extraordinaire. Embrasse-moi tendrement… laaa… vas-y lime doucement, tu m’as tellement bien préparée que je suis prête à jouir !
- Je t’aime Sylvie !...
- Oui mon amour, oui, continue !...
- Je ne veux plus que tu baises avec ton mari !
- Tu le fais cocu et en plus tu veux le priver de baise ?!...
- Je t’aime !...
- Et moi ? Pendant une semaine je devrais serrer les cuisses ?! Tu en demandes de trop mon chéri ! Je pensais que tu avais compris. Tu sais ce n’est que du sexe… très agréable mais ce n’est que du sexe et j’ai presque 40 ans de plus que toi ! Réserve-toi pour une fille de ton âge…
Charlie est bouleversé. Sylvie l’enlace, le cajole, l’embrasse sur la bouche.
- Vas-y baise-moi ! Oui, comme ça ! Oui fort, comme ça ! Oui punis-moi ! ouiiiiiiiiiii !!!! ahhhhh, que c’est bon.
- Salope. Je ne veux plus te voir !
- Ne dis pas de bêtises ! Tu sais bien que tu meurs d’envie de recommencer. Regarde derrière toi !
Charlie se retourne. Un homme est en train de se branler derrière la vitre de la voiture.
- Laisse-lui la place ! Il faut qu’il se soulage ce pauvre homme !... venez !...
L’homme se glisse entre les cuisses encore chaudes de ma femme. Tandis qu’il la ramone, Sylvie affronte le regard accusateur de Charlie. A l’oreille de l’homme elle lui susurre :
- J’aimerais que vous me preniez à deux ! D’accord ?
- Avec plaisir !...
- Charlie ! Viens ! Allez, cesse de bouder ! Viens profiter de l’occasion.
Charlie finit par céder. Sylvie lui fait face et le chevauche. L’homme lui écarte les fesses. Il l’encule sans effort.
- Oh oui ! À deux sur une faible femme ! hummm, vous devriez avoir honte d’abuser de moi ainsi !
Elle prend le visage de Charlie et l’embrasse tendrement sur la bouche. Elle tourne la tête et offre ses lèvres au voyeur. Il lui pétrit les seins, la sodomise, l’embrasse. Ma femme est aux anges. Elle ondule pour se frotter sur Charlie tout en recevant les coups de boutoir de l’homme dans son cul.
Il est le premier à décharger. Son sperme coule entre les fesses de Sylvie. Malgré sa jeunesse, après un après-midi à baiser ma femme, Charlie ne peut conclure. Qu’à cela ne tienne. Sylvie est satisfaite. Elle se rhabille, donne un long baiser à l’inconnu et remonte en voiture.
- Dépêche-toi Charlie ! On va être à la bourre !...
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Frnchement, ça, ça m'as carrément exitée... Hum... Han... C'était génial !!!!! Il faut
avouer que je m'exite rien qu'en lisant...
avouer que je m'exite rien qu'en lisant...
Je bandais !!! Si ma petite copine était là, je l'aurais surement léché et baisé... Si
je devais le noter, pour moi, ce serait 1 000 000 0000/1 000 000 000 (un milliards sur
un milliards) !!!!!!!!!!!!!!!
je devais le noter, pour moi, ce serait 1 000 000 0000/1 000 000 000 (un milliards sur
un milliards) !!!!!!!!!!!!!!!
J'ai adoré !!!! Je mouillais trop dans mon jean ! Continue comme ça Cocu heureux ! Tu
m'as presque exité...
m'as presque exité...
bravo , SYLVIE EST BONNE ET DISTRIBUE DU PLAISIR J'aimerai l'imiter. Je crois etre
aussi belle qu'elle
aussi belle qu'elle
Rien d'extraordinaire,et je suis agréable ...
l'imagination n'est plus présente
l'imagination n'est plus présente