Copine et cousine

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Copine et cousine Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Copine et cousine
Copine et cousine

Je devais passer une journée avec Gisèle ma cousine. Je lui avais dit que j’avais une nouvelle copine et elle m’a demandé de lui présenter.
Florence ma copine était impatiente de rencontrer ma cousine car je lui en avais beaucoup parlé. Il faut dire que j’ai vécu plus d’un an chez elle aussi nous étions très proches.

Ma cousine était une grande brune aux cheveux longs, son corps était superbe, une belle poitrine rebondie, avec juste un petit ventre et des hanches comme je les aime. Ma cousine était vraiment très belle et je craquais sur elle. Ma copine connaissait bien mes sentiments pour elle.

Avec ma cousine, cela nous nous avait permis quelques jeux coquins, sans aller vraiment plus loin que quelques caresses. Ma copine était donc très contente de découvrir cette cousine si appréciée.

On avait prévu faire une balade dans la journée, puis de revenir chez ma cousine ensuite pour manger. Florence, c’était une belle blonde, une peau laiteuse parsemée de petites taches de rousseur, de beaux yeux verts, un visage plutôt infantile. Sa poitrine, n’était pas imposante, mais était tout de même très belle, avec un beau galbe et de très jolis tétons avec lesquels j’adorais jouer.

Pendant notre promenade, on parla de beaucoup de sujets différents : les études, la famille, je sentais de plus en plus les filles s’entendre, malgré la petite tension du début car ma copine est très jalouse, et ma cousine si proche de moi ne la rassurait pas. Je sentais parfois un pied me frôlant la cheville ou un coup de coude et je l’attribuais à Florence, pour me rappeler à l’ordre pour que ma cousine ne marche pas trop sur son territoire.

La décision fut prise de rentrer chez ma cousine pour finir l’après-midi, au chaud et pourquoi pas, en regardant un film si on voulait. Pas de problème. Et puis, on pourra manger un petit repas rapidement. Une fois arrivés chez Gisèle, celle-ci prépara un truc rapide à manger, et pendant ce temps là, elles n’arrêtèrent pas de discuter. Quelle bavarde ! Je ne pouvais plus en placer une.

Abdiquant, je mis la table et servis un petit apéro à ces demoiselles. Même chose pendant le repas où j’avais l’impression de faire de la figuration. La table débarrassée, ma cousine ferma les volets et alluma la télé. On choisit un film à regarder et hop, c’était parti. Je me retrouvais sur le canapé entouré de part et d’autre des deux filles. Florence à ma gauche et Gisèle à ma droite. Je savourais cet instant de calme et passa mes bras autour de leurs épaules. Je perçus un petit gémissement provenant de Gisèle quand je posai ma main sur son épaule.

Le film commença alors. J’étais assez fatigué de ma semaine et somnolait un petit peu. Je reçus quelques petits coups de coude de ma chère cousine qui rigolait en me voyant si actif. Mais cela ne me rendit pas plus énergique pour autant. Je sentis bientôt des doigts s’amusant dans mes cheveux, me les caressant. Hum… C’était bon et agréable… Je me laissais faire, avec un petit gémissement de satisfaction. Je ne savais plus trop où j’étais ni avec qui.

Des mains passèrent sur mon visage, dévalant mon cou et commençant à m’ouvrir la chemise. C’était vrai qu’il commençait à faire un peu chaud. Mon torse était caressé par ces mains et je me laissais aller totalement. C’était si bon… Je sentais me parcourir lentement, mais aussi par moment me chatouiller, j’étais vraiment bien.

Je m’enfonçais encore davantage dans une somnolence des plus agréables quand je sentis des mains sur le haut de mes cuisses… nues ! Là j’avais zappé un truc ! Et ce sont des chatouilles qui m’ont refait émerger peu à peu… Revenant à moi progressivement, je devinai deux mains s’affairant sur la ceinture de mon pantalon. Ne sachant plus trop où j’étais exactement, je pensais à cette coquine de Florence qui s’amusait un peu à mes dépends. Et là, je me rappelais d’un coup avec qui j’étais ! Mince ! Je me tournais doucement vers ma copine pour l’empêcher de faire n’importe quoi. On était dans le noir, mais quand même ! Une main continuait tout de même à s’amuser avec moi. Là, je comprenais plus. Florence me remis à ma place et continua ses jeux tout en me susurrant à l’oreille :

- Laisse toi faire s’il te plaît. On joue juste un peu !

Tout en me disant cela, elle baissa mon pantalon et mon caleçon et pris mon sexe, devenu rigide, en main tout en me léchant le lobe de l’oreille gauche en me disant qu’elles s’amusaient beaucoup.

Mes esprits revenaient très vite et je puis apercevoir la scène en entier, une petite veilleuse était allumée et je voyais la pièce avec une faible lueur. Les filles étaient à leur place, Florence son chemisier blanc ouvert et Gisèle en soutifs. Leurs mains s’égayaient sur ton mon corps. Moi, mon jean sur mes chevilles est rejoint par mon caleçon.

Ma copine me branlait tout en me regardant avec un sourire coquin et une petite lueur au fond des yeux. Ma cousine ne restait pas inactive, sa main droite me caressait l’intérieur de la cuisse et la gauche descendant le long de mon torse.

Florence se pencha doucement afin de prendre mon sexe en bouche, mais avant cela elle passa sa langue un peu partout en regardant ma cousine dans les yeux, avec un petit air de défi. Puis elle m’engloutit d’un coup, et commença à œuvrer. Moi de mon côté, je caressais leurs poitrines, et comme leurs sous-vêtements me gênant, je les retirais sans autre forme de procès.

Leurs superbes poitrines m’apparurent nues. Je les avais déjà vu, mais pas ensemble. Celle de Florence n’était pas trop accessible, et je m’occupa donc de Gisèle que je caressais, puis suçait avec gourmandise. Ses tétons s’érigèrent vite et elle se mit à soupirer. Ma copine me jeta alors un coup d’œil réprobateur, s’arrêta et me lança :


- Ce n’est pas fini tout ça oui !

Je lui pris alors le visage et l’embrassa tout en laissant mes mains vagabonder sur son corps. Elle frissonna et je compris pourquoi : d’autres mains parcouraient également son corps. Elle m’avait fait par de sa révulsion pour le contact féminin. Je pensais donc que tout allait s’arrêter là. Mais non ! Ma cousine ressentit la gêne de Florence et la laissa tranquille, sans avoir auparavant caressé sa jolie poitrine.

Je continuais d’embrasser ma douce quand ma cousine, profitant de l’occupation de ma copine, me branla et me pris en bouche, ce qui me fit émettre un gémissement de surprise, mais aussi de bonheur. Florence s’arrêta et regarda faire ma cousine. Celle-ci me suçait goulûment et avec une technique des plus agréables, alternant les coups de langue assortis d’une bonne branlette et les prises en bouche. Elle semblait vraiment affamée !

Ma copine posa sa main sur mon membre et entrepris d’aider ma cousine à me branler. Puis, elle descendit pour me sucer aussi. Et là, j’avais mes deux chéries qui s’occupaient de moi. Mais, à chacune de mes tentatives vers elles pour les caresser, elles remettaient mes mains ou mon visage à sa place en me disant que leur tour viendrait après. Que je devais profiter de l’instant. Ce que je fis car je suis d’ordinaire très endurant pendant l’amour.

Elles se regardèrent, prirent chacune ma bite à une main en la dressant bien et s’embrassèrent, avec mon sexe entre leur bouche, tout en continuant leur masturbation. Là, s’en fut trop, et je jouis comme jamais, éjaculant largement. Leurs visages et leurs poitrines furent maculées de mon sperme tout chaud et crémeux. Je ne pus réprimer un soupir d’intense satisfaction.

A mon grand étonnement, Florence se pencha sur ma cousine pour reprendre son bien avec sa langue, parcourant tout son visage et son cou en prenant son temps. Ma cousine se redressa et mis les mains derrière sa nuque, bombant sa généreuse poitrine qui luisait de mon sperme à la lueur de la lampe. Ma copine se leva et se mis à la droite de ma cousine et commença à laper sa poitrine tout en me regardant. Je ne pus alors m’empêcher de sucer également le superbe sein ainsi offert. Gisèle gémissait et j’en profitais pour ouvrir son jean et glisser ma main dans sa culotte.

La coquine de cousine, elle s’était épilée le minou d’après ce que je sentais. Je dégageais son clitoris tout dur et tout mouillé par nos petits jeux. Je pris son jean à deux mains et le baissais, ainsi que sa petite culotte pour me laisser libre de ce que je voulais.
Ma cousine adorait, je le savais et avait voulu déjà lui faire. Je me levai, laissant Florence s’activer seule et m'agenouilla entre les jolies et douces cuisses de ma cousine.

Mes doigts parcouraient et dansaient sur les grosses lèvres toutes humides, et les mouvements de bassin que je percevais m’indiquaient que j’étais sur la bonne voie. Mon index commença à agacer son clito tout gonflé, puis s’enfonça doucement en elle, en prenant soin de faire bien durer le plaisir. Vu son état, elle ne tardera pas à jouir. Je plongea alors mon regard dans le sien et m’approcha doucement de son minou, en soufflant tout doucement dessus et en sortant un peu ma langue. Je l’embrassai, et ma langue commença son baller, fouillant son intimité, jouant avec ses petites et grosses lèvres, goûtant son jus intime. Mon doigt fiché en elle continuait sa douce masturbation. Puis j’agaçai son clito si bien qu’elle jouit alors d’un long cri, interrompu par Florence qui l’embrassait à pleine bouche

Je regardais alors ma copine, tout en continuant à lécher très ostensiblement et bruyamment ma jolie cousine. Celle-ci, affalée me fit signe d’arrêter et se retourna vers Florence et commença à lécher ce qui restait de mon sperme sur le corps de ma copine. Même traitement que Gisèle, je lui retirai son pantalon et sa petite culotte. La place nous manquait sur le canapé et nous nous levâmes pour nous réinstaller confortablement.

Florence était nue, entre moi et Gisèle. Cette dernière continuait ses jeux de langue et moi, je commençais à caresser ma copine, chose qu’elle adore par-dessus tout quand c’est moi qui le fait. Son minou était lui aussi tout trempé et elle ne tarda pas à rougir et à s’agiter, signes avant-coureurs de sa jouissance. Ma cousine regarda ma copine, mais elle n’était plus là. Elle m’interrogea alors du regard, puis descendit sa main doucement vers l’entrejambe de ma douce, l’effleurant doucement et se joignant à moi pour la caresser.

Florence ouvrit alors les yeux et regarda le spectacle de nos deux mains s’affairant ensemble sur et dans son minou tout doux. Et elle jouit alors en grognant et en criant comme jamais je ne l’avais entendu, puis en refermant d’un coup ses cuisses. Nous retirâmes nos mains pour la laisser reprendre ses esprits. Ma cousine porta ses doigts à sa bouche et goûta alors le nectar de ma belle avec un petit sourire.

- Hum, c’est pas mauvais du tout !

Elle me prit alors la main pour la porter à sa bouche et me suça les doigts en mimant une fellation. La garce ! Elle savait que j’adorais ça et le vit d’ailleurs à l’état de mon sexe qui se redressait.

Gisèle mit sa main sur son sexe et se masturba un peu, puis présenta ses doigts tout humides à la bouche de Florence qui les avala avec faim.

- C’est vrai que c’est bon même ! J’en reprendrai bien un peu.

Et joignant le geste à la parole, elle fit passer sa main sur le minou de ma cousine et la lécha avidement.

Enfin nous nous embrassâmes tous les trois pour conclure notre si belle expérience. L’heure avançant, nous devions partir car les parents de ma copine nous attendaient pour aller ensuite au restaurant…

Notre première, expérience ensemble était véritablement une réussite

Les avis des lecteurs

tu rigole faire ça avec sa cousine. C'est une nana et lui un mec si ils voulaient pas
faire cela. Ils ne l'auraient jamais fait.
Ta raison continue a te les faire toutes les deux et racconte nous

Histoire Libertine
Je trouve que ça craint de faire ça avec sa cousine..



Texte coquin : Copine et cousine
Histoire sexe : Une rose rouge
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