Coréenne 1 - histoire érotique

Après cette journée délicieuse avec ma colombienne le train train quotidien reprit. Maintenance de site ou travaux sur des programmes m'occupaient la journée et le soir je retrouvais mon amie pour passer des nuits agitées. Tout comme je l'avais fait avec me kenyanne nous discutions souvent tout les trois par ordinateur et elle se faisait un malin plaisir de lancer des défis en tout genre que la scientifique n'hésitait pas à relever. Avec les pieds, juste en léchant la hampe sans enfourner, me refaire exploser en moins de 5 minutes. Mais elle était aussi concernée et je dus la faire jouir juste avec la langue ou avec un anulingus. Tout ceci se conclut par une magnifique sodomie que ma colombienne reçut avec beaucoup d’appréhensions, moins quand je me retirai après lui avoir repeint les entrailles.

Donc cette journée la je devais me rendre dans un labo indépendant qui envisageait de commercialiser un drone toute nouvelle génération qui devait servir pour les chaines d'informations.
Ce labo était bien loin des bureaux ou des ateliers que j'avais croisé dans ce genre de domaine. Tout était immaculé, en grands écrans tactiles sur les murs et des carcasses que des machines assemblait et démontait au gré des concepteurs. Le rêve en fait.

Une femme vint me chercher, la cheffe des lieux a priori, avec des vêtements tout aussi blancs que le reste. Elle avait la vingtaine, petite, frêle, avec des baskets usées par le sport en salle visiblement, les cheveux courts et de beaux yeux bleus qui indiquaient nettement son origine asiatique.

-Ah c'est vous notre sauveur ? On peut dire qu'on est servis.
-J'ai cru comprendre que ce problème de drone était délicat au point que je sais toujours pas ce que je dois faire ?
-Eh oui, on est l'avant garde du futur. C'est par ici.

Elle m'emmena dans une salle à part, isolé de tout et avec un sas, parano va. Du moins c'est ce que je croyais avant de voir la bête. Racé, aux lignes épurées, des moteurs puissants capables d'accomplir toutes sortes de manœuvre. J'aurais renoncé à un mois de baise avec ma kenyanne pour avoir un tel engin entre les doigts et je l'avais.

Je jetais ensuite un coup d’œil vers les écrans et comprit le problème. Disons que cet engin n'avait pas du tout les bons programmes pour ce qu'il allait faire et que au contraire c'était une horreur. Heureusement que j'étais ingénieur et pas juste programmeur mais le boulot était monstrueux.

Je me mit au travail et me plongeai dans un monde abscons fais de lignes de données et de calcul. Les papiers s’accumulaient ainsi que les tasses de cafés que la maîtresse des lieux me donnait. Je ne me levai que pour aller prendre une douche et dormir un peu avant de reprendre le travail. Quand enfin je terminai j'étais complètement grillé. La salle était un bordel sans nom de schémas en tout genre et à coté de moi trônait fièrement une pile de cd qui me hurlait de retourner dans leur boite.

-Merci ! Sans votre aide nous aurions du repousser nos sorties.
-Hghmm, pas de quoi. J'ai pas eu de travail aussi difficile depuis l'école.
-Vous avez reçu des appels, je me suis permise de prévenir votre copine que vous étiez indisponible.
-Oh ce n'est pas copine.
-Ah bon ? Je voulais dire vos....

Elle me regarda avec un sourire en coin qui en disait long sur la manière dont elle me voyait. A vrai dire je ne pensais pas la séduire, elle habillé de blanc épuré et moi en noir recouverts fractales argentées.

-C'est vrai que vous êtes charmant avec votre petit look steampunk..mais à mon avis ça ne suffit pas pour avoir autant de succès...Je suis sure qu'il y a autre chose, en plus de ce charme non ?
Je ne répondis rien, mais la température de la pièce, fraîche, venait de monter d'un coup. Ce n'est que la que je remarquais que la scientifique avait fermée sa blouse. Je rentrais dans le jeu dont j'imaginais déjà la fin.

-Oh oui il y a autre chose, mais je ne le montre pas à tout le monde-Oh dommage, que faudrait il faire ? Elle minauda et se pencha vers moi.
-Je me demandais...vous avez froid ?
-Hmm peut être...ou alors c'est parce qu'ici comme en Corée c'est le meilleur moyen d'attirer un certain regard.

La jeune femme s'assit sur moi et enserra mes jambes dans les siennes. Son pantalon était très fin, je sentais la douceur de sa peau. Elle passa une main dans mes cheveux, attira ma tête en arrière et m'embrassa avec délice. En l'enlaçant je me rendais compte que son tee-shirt aussi était très fin, je sentais son soutient gorge sous mes doigts et résistait à l'envie de le défaire en jouant avec.

Elle glissa ses deux mains sous ma chemise et lentement, bouton par bouton, commença à la défaire. Quand elle fut ouverte elle se recula et m'invita d'un regard coquin à défaire sa blouse. Je jouait un moment avec, frôlant sa poitrine ferme avant de défaire ses boutons. Et je m'étais trompé, elle ne portait pas de tee-shirt dessous, juste un soutient gorge blanc fin que j'arrachai d'un mouvement.

Pendant de longue minutes nous avons profité de la poitrine de l'autre, léchant avec avidité cette peau qui nous faisait envie. Je glissais souvent ses tétons dans mes dents ce qui lui arrachait des gémissements on ne peut plus excitants. La coréenne n'était pas non plus en reste et je frémissais tant le contact de sa bouche était exquis.

-J'ai toujours eu un faible pour les garçons fins...mais en asie il y a une chose qui ne me convient jamais.

Je savais naturellement ce que c'était, le classement de la taille des sexes moyenne par pays était facile à trouver et les pays asiatique était souvent bon derniers.

-La par contre, je sais que je vais trouver ce que je veux...Ta copine kenyanne est très bavardes...Et je la sens bien qui demande à sortir.
-Si seulement une belle coréenne juché sur moi pouvait le faire, je suis trop occupé a caresser son dos..

Ses mains allèrent vers ma braguette qu'elle ouvrit. Seul mon caleçon retenait encore ma bite de se déployer. Elle se pourlécha les lèvres et entreprit de me masser le paquet, suivant le contour de la hampe et malaxant mes bourses avec application. Elle retint son souffle et sourit de toutes ses dents quand elle me le baissa et fit jaillir mon sexe. Elle me la caressa du doigt et me décalotta comme pour prendre la mesure de ce qu'elle allait avoir entre les cuisses.

J'avais réussi à baisser son pantalon et comme je commençais à le penser elle ne portait pas de petite culotte. On se démena pour enlever nos vêtements et elle n'avait gardé que sa blouse quand elle s'empala sur moi avec un gémissement.

-Oh oui je la sens bien !

Ses pieds ne touchaient presque pas le sol, aussi me mis je en devoir de donner des coups de bassin qui eurent un effet immédiat sur elle, en même temps je devais entièrement la remplir si l'on considère la manière dont j'étais serré en elle. En la saisissant par les hanches je donnais encore plus d'ampleur et la jeune coréenne fut soumise à un véritable rodéo dont elle ne pouvait tomber. Pas un seul endroit de son vagin n'était épargné par ma bite qui la frottait à la perfection. Nous faissions ainsi depuis un long moment et je commençais à fatiguer.

Mais elle était pleine de ressource et d'une vitalité non entamée. Elle prit appui sur mes épaules, serra les cuisses pour prendre le contrôle, posa ses pieds au sol comme elle put et répondit à mes coups de reins en me chevauchant littéralement avec force. Punaise c'était tellement bon de lui cogner l'intimité et de voir ses petits seins rebondir. Je voulus lui oter sa blouse mais elle me plaqua contre le dossier et repris ses déhanchés de plus belle. Après de longs moments de ce traitement elle ahanait comme si elle faisait une course et sa peau commençait à se perler de sueur.

Nous jouîmes en même temps dans un cri commun, elle s’affala sur moi et mon pieu dressé qui déversait sa semence à puissants jets. Épuisé par ce coït nous nous sommes allongés par terrre pour une petite sieste revigorante.

Sieste qui fut relativement courte et ce n'était pas plus mal. Une sensation étrange au niveau de l'entre jambe me réveilla et en jetant un regard mon sexe déjà dur prit encore de l'ampleur, elle était tout simplement en train de me prodiguer une délicieuse fellation qui l'était d'autant plus qu'elle avait du mal à me prendre complètement en bouche (Une situation qui fait toujours plaisir). Je la laissait faire un moment mais elle était tellement excitante que je voulus plus, bien plus.

Je lui avais jusque la caressé la tête en lui murmurant des « oui continue » ou des « tu suces très bien ». Je la lui empoignai fortement (mais pas trop) et prit le contrôle de cette fellation. Elle n'émit pas de gémissement de protestation alors que je lui baisais littéralement la bouche et moi tapait la gorge avec mon sexe dur comme du bois. La pauvre tentait de faire de son mieux mais ses expériences passées ne suffisaient pas du tout, héhéhé.

Je la lâchais un moment pour la laisser souffler.

-J'en avais pas eu une si bonne dans la bouche en Corée !
-Et tu n'en as pas finis avec tes surprises.

Avant qu'elle ne puisse réagir je la forçais (gentiment) à me reprendre en bouche. Ah le bonheur de dominer une nana à ce point et de faire ce qu'on veut...en attendant le retour de bâton. Heureusement pour sa bouche j'atteignais les limites de mon endurance, faut dire avec cette bouche....bref je fis encore quelques vas et vient avec sa tête puis ma bite se contracta avant de jouir dans un grand frisson. La scientifique écarquilla les yeux et eut le réflexe malheureux de reculer pour avaler, ce qui eut pour magnifique conséquence de lui recouvrir le visage de ma semence.

Après un grand bruit de déglutition et un grand rire la coréenne se releva et se dirigea vers une petite salle de bain. Elle pouvait croire que c'était finit mais depuis le temps que je me tapais mes deux amies j'avais gagné en résilience, aussi la suivis avec le pieux qui se remettait lentement au garde à vous. Je l'enlaçais et lui saisit la poitrine à travers le tissu pendant qu'elle se débarbouillait.

-Alors contente de ton ingénieur ?
-Je ne pensais pas que les choses dégénéreraient de cette façon. Par contre la prochaine fois tu ne me domineras pas comme ça.
-Je pense plutôt que tu vas crier et me demander de ne pas m'arrêter.

Je la retournais et la juchait sur le lavabo. Elle était surprise mais avait visiblement acceptée de me laisser les commandes et de subir avec délice mes coups de reins. Cette fois pas d'attente et je l'enfilais d'un coup sec. Elle gémit immédiatement en sentant ma verge la remplir et dut s'agripper de toutes ses forces au lavabo.

Ses seins rebondissaient avec entêtement et je ne me privais pas de les dévorer à loisir sous ses approbations puis je me plaquais contre elle comme pour m’enfoncer encore plus. La belle ravie en profita pour me serrer avec ses bras et me mordre l'épaule...ce à quoi je répondis en faisant de même en lui baissant sa blouse. Les choses devenaient très chaudes.

Nous avons baisé pendant au moins une bonne demi heure. On a pas trop changé de position mais ce n 'était pas la peine tellement c'était bon d'être aussi serré et remplie en plus de ces baisers langoureux. Elle jouit au moins deux fois assez bruyamment, orgasmes à chaque fois rallongés par mes soins.

Après tout ce temps nous étions carrément en sueur et criions. J'avais le sexe en feu et prêt à évacuer toute la sève de mon corps. Elle me hurlait des choses en coréen et ce n'est qu'après que je compris qu'elle me disait de me lâcher et de la remplir. Deux minutes plus tard je m'enfonçais à fond en elle et eu un incroyable orgasme. J'avais l'impression d'avoir un tuyau d'arrosage qui propulsait mon sperme comme un canon à eau.

Après ce mémorable dernier acte de cette partie quelque peu improvisée de jambes en l'air nous avons pris une douche rapide avant de nous promettre de nous revoir le plus tôt possible. Ce fut donc avec un grand sourire que je rentrais chez moi retrouver ma colombienne et son sourire pincé, pressé de tout lui raconter.