Corinne chez le vieux pervers (chap 4)
Récit érotique écrit par Loulou37 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Corinne chez le vieux pervers (chap 4)
J’ai eu enfin des nouvelles de mon amant, il y a quatre jours. Ça faisait bien longtemps
que je n’avais plus de ces nouvelles et sa voix au téléphone m’a troublée. Il est revenu
du bled jeudi dernier. Il m’a confié qu’il a une forte envie de me prendre et de me
remplir mes trous. Il est allé au sex-shop et a retrouvé son pote Christophe, le gérant. Il
a tenté d’échafauder un plan cul à trois mais Christophe a repoussé pour l’instant sa
proposition car il partait quinze jours en Vendée et çà ne sera possible avant la mi-
septembre. Ce n’est que partie (de jambes en l’air) remise…Par contre, il lui a donné
un filon en lui remettant un bristol portant un numéro de téléphone. Il avait été confié au
gérant, en juin dernier par un vieux monsieur d’environ 72 ans. Kader m’en a parlé et je
lui ai rappelé que c’était celui qui m’avait gratifié de son urine à travers le glory-hole
cette soirée-là. Il a donc aussitôt contacté le vieux pervers qui habite la ville d’Amiens.
Celui-ci a dit qu’il serait charmé de me revoir et de me faire subir les derniers
outrages. Il proposait de nous recevoir chez lui en indiquant qu’il souhaiterait me voir
vêtue en tenue d’écolière : couettes, jupes plissée, dim up, corsage blanc et
chaussures vernies. Kader a pris le rendez-vous pour le lendemain après-midi. C’est
lui qui m’a fourni l’ensemble demandé et je me trouvait très sex et désirable avec cette
jupe plissée masquant à peine mon abricot fraîchement épilé. J’étais très impatiente
et si excitée que le soir, j’ai joué une demi-heure au moins avec mon rabbit.
Le lendemain, Kader me récupère devant la station service, à côté de chez moi. En
chemin, mon maître se dit très excité par mon air d’ingénue juvénile. Il stoppe dans le
chemin menant d’un bois à proximité de Doullens, me fait mettre en missionnaire et
me baise vite fait dans la voiture. Il est comme à son habitude brutal et il jouit assez
vite au fond de mon vagin, sans s’occuper de mon plaisir. En suite nous reprenons
notre chemin pour arriver chez le vieux pervers. Le rendez-vous qu’il a fixé à Kader est
non loin du centre d’Amiens, dans un appart cossu, sur un boulevard près de la
mosquée.
L’ancien nous accueille l’œil vicieux, en peignoir de laine et nous fait pénétrer
rapidement dans un salon très style XIXème siècle. Il nous fait asseoir sur un
chouette canapé en cuir et nous propose des rafraîchissements. Je suis un peu
nerveuse et je demande l’autorisation de griller une cigarette. Il s’assoit juste à mes
côtés et m’allume ma clope. Il pose d’abord une main ferme sur mon genou. Il
apprécie ma tenue d’écolière et me fait des compliments sur mes longues couettes
brunes. Il remercie mon maître de m’avoir fait jouer le jeu. Il farfouille sous ma jupe à
carreaux, constate que suivant ses instructions je ne porte pas de culottes et glisse
deux doigts dans mon abricot.
« Huumm, tu as déjà la chatte toute graissée, tant mieux, mon gros chibre n’en
rentrera que plus facilement. Je te le montre si tu sors tes nibards de ton corsage ».
Excitée par le scénario, je me sens jeune étudiante, je sors mes seins de mon
corsage et il se met aussitôt à me pincer les tétons. Puis il écarte les pans de sont
peignoir et sort son nœud. Cette fois ci, j’ai tout le temps d’apprécier la bitte du vieux.
Très large, au moins 6 cm de diamètre, surmontée d’un beau gros gland violet qui
semble un peu négligé. Sa bitte fait bien plus de 20 cm et ses couilles bien lourdes
ont été rasées depuis notre dernière rencontre du sex-shop. Il me gobe le lobe de
l’oreille, le suce et me susurre :
« Aujourd’hui ma jolie, je vais tenir ma promesse du sex-shop. Papy va mettre sa
grosse biroute au fond de ton petit cul et tu vas jouir très fort, petite salope, tu seras ma
petite pute vicieuse ». Déjà sa queue se redresse. Constatant le signal, Kader se
déshabille. Il me fait retirer mon corsage, relever ma jupe et relever les jambes. Je
suis ainsi, les cuisses écartées, mon abricot glabre bien ouvert face à eux. Le vieux se
met à genoux et commence à me bouffer la cramouille. Il sait y faire le saligaud ! En
cinq minutes je suis au bord de la jouissance. Il le sent et interrompt ses caresses.
Kader et lui ont maintenant une belle érection. Je les fais se rapprocher. J’ai envie
d’enfourner leurs belles grosses bittes ensemble dans ma bouche. C’est difficile, ma
lèvres se distendent trop, j’ai un haut le cœur et je n’insiste pas. Comme l’autre fois,
notre ami sent la sueur et l’urine mais çà ne me gêne pas. Je suis fascinée par son
chibre. Bientôt il se rallonge sur la moquette, me fait m’accroupir au dessus de lui et
m’embroche sans ménagement. Je suis déjà bien lubrifié par son cuni et mes ébats
précédents. Je le sens taper contre mon utérus, il me remplit terriblement bien. Je le
chevauche en cadence, j’ai chaud et le rouge me monte aux joues. Il écarte mes
fesses et montre mon anus lisse à Kader en lui faisant en clin d’œil. Celui-ci s’avance
et, sans préparation entame une douloureuse sodomie sur moi. Malgré la douleur, je
ressens bientôt mes premières contractions de mon vagin et un orgasme monter. Je
hurle :
« Ouiii, c‘est bon monsieur, punissez moi, jouissez au fond de ma petite chatte ! »
Mais l’ancien ne veut pas se faire prendre dans mon four brûlant. Il cesse de me limer,
sort de ma chatte humide et échange sa place avec mon amant. Ma rondelle est assez
dilatée et il s’enfonce doucement au fond de mon cul. Il me dit alors à l’oreille :
« Alors, c’est comment petite garce ? »
Au bord du gouffre je lui réponds :
« C’est bon monsieur, comme elle est grosse, comme je vous sens bien tous les
deux, je, je vais… jouiirrr…. Je suis foudroyée par un orgasme anal et mes sphincters
compressent délicieusement sa queue. Une nouvelle fois, il sait qu’il ne pourra tenir
longtemps. Il sort alors de mon cul et passe à ma bouche. Sa queue est un peu
maculée… Aussitôt Kader, toujours aussi vif, prend sa place entre mes fesses en
levrette. Déchaîné, il me tire les cheveux et hurle :
« P’tite pute, tu me sens bien au fond de ton cul ? T’aime comme je te dilate ta
rondelle de femelle en chaleur, allez lèche bien le gros gland de ce vieux salop, t’aime
çà hein » ?
« Oui maître Kader, j’aime sentir ta queue bien au fond de mon anus, j’aime quand tu
encule à sec mon cul de pouffiasse ».
Il me prend par les cheveux et me redresse la tête puis il met sa langue sans
ménagement dans ma bouche luisante de salive. Il continue ses va et vient de plus en
plus fort, il me frappe sur les fesses tellement sèchement que j’en ai les nichons qui
ballottent. Une nouvelle fois il me demande si j’apprécie la bitte du vieux pervers.
« Elle sent fort mais elle est bonne, tu vas voir, je vais prendre tout son foutre dans ma
bouche ».
Ma langue virevolte habillement sur son gland violacé, je branle sa grosse tige,
descend jusqu’à ses couilles, je les prends dans ma bouche puis je les lèche. Sa
bitte tressaute et je sais qu’il ne va pas tarder à balancer sa purée. Il dit à Kader qu’il
va bientôt jouir dans ma bouche de salope. Mon maître se retire alors, il tient ma
mâchoire et me fait ouvrir ma bouche bien grand. Il me fait mal tellement il serre. Le
vieux n’en peu plus : le méat agacé par ma langue, il jouit très fort et s’écrie :
« Tiens soumise, tiens prends, bouffe la semence de papy, prend tout ouiii… » La
première giclée est tellement rapide que je la prend au fond de la gorge et l’avale.
Après il me nappe la langue, çà coule sur mes lèvres. Il a un goût salé, je l’avale
jusqu’à la dernière goutte en me frottant le clitos. Je suis au ange. Kader, récupère ce
qui a coulé sur mes lèvres et mon menton et me donne ses doigts à sucer. Il ne tarde
pas aussi à venir, il sort et m’arrose copieusement la raie. Il a l’air satisfait de ma
prestation et il me dit :
« Bonne petite pute, il t’a bien enculé le vieux hein, il t’a bien joui dans la gueule ? »
Je lui réponds tout en caressant la bitte mollissante du vieux :
« Oui, il m’a bien baisée, jamais je n’ai senti mon cul aussi ouvert ! C’était terrible ».
Bien fatiguée par notre séance, j’ai pris une douche rapide, puis j’ai sucé une dernière
fois le vieux. Cette fois-ci, il n’a pas voulu me jouir sur la langue. Il m’a fait le branler
très fort. Il bandait terriblement et son nœud était nervuré par de grosses veines. Il a
jouit dans mes mains au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement et m’a fait
sucer mes doigts jusqu’à ce qu’il ne reste rien de son épaisse semence. Lui aussi
semble très satisfait et en partant, je le vois glisser prestement quelques billets dans
la poche de Kader.
Nous prenons enfin congé de notre hôte. Sur le trottoir, je grille une nouvelle clope car
j’ai encore le goût du sperme dans la bouche. Nous faisons le chemin retour
ensemble, sans échanger un mot. Kader me dépose à 300m de chez moi et me dit
qu’il me téléphonera bientôt, dès qu’il aura un nouveau plan pour faire remplir son sac
à foutre. J’entre à la maison et constate que j’y suis seule. J’ai le temps de me dévêtir
et de me changer, ouf, mon mari n’est pas encore rentré…
Merci une fois encore pour vos commentaires pimentés !!
que je n’avais plus de ces nouvelles et sa voix au téléphone m’a troublée. Il est revenu
du bled jeudi dernier. Il m’a confié qu’il a une forte envie de me prendre et de me
remplir mes trous. Il est allé au sex-shop et a retrouvé son pote Christophe, le gérant. Il
a tenté d’échafauder un plan cul à trois mais Christophe a repoussé pour l’instant sa
proposition car il partait quinze jours en Vendée et çà ne sera possible avant la mi-
septembre. Ce n’est que partie (de jambes en l’air) remise…Par contre, il lui a donné
un filon en lui remettant un bristol portant un numéro de téléphone. Il avait été confié au
gérant, en juin dernier par un vieux monsieur d’environ 72 ans. Kader m’en a parlé et je
lui ai rappelé que c’était celui qui m’avait gratifié de son urine à travers le glory-hole
cette soirée-là. Il a donc aussitôt contacté le vieux pervers qui habite la ville d’Amiens.
Celui-ci a dit qu’il serait charmé de me revoir et de me faire subir les derniers
outrages. Il proposait de nous recevoir chez lui en indiquant qu’il souhaiterait me voir
vêtue en tenue d’écolière : couettes, jupes plissée, dim up, corsage blanc et
chaussures vernies. Kader a pris le rendez-vous pour le lendemain après-midi. C’est
lui qui m’a fourni l’ensemble demandé et je me trouvait très sex et désirable avec cette
jupe plissée masquant à peine mon abricot fraîchement épilé. J’étais très impatiente
et si excitée que le soir, j’ai joué une demi-heure au moins avec mon rabbit.
Le lendemain, Kader me récupère devant la station service, à côté de chez moi. En
chemin, mon maître se dit très excité par mon air d’ingénue juvénile. Il stoppe dans le
chemin menant d’un bois à proximité de Doullens, me fait mettre en missionnaire et
me baise vite fait dans la voiture. Il est comme à son habitude brutal et il jouit assez
vite au fond de mon vagin, sans s’occuper de mon plaisir. En suite nous reprenons
notre chemin pour arriver chez le vieux pervers. Le rendez-vous qu’il a fixé à Kader est
non loin du centre d’Amiens, dans un appart cossu, sur un boulevard près de la
mosquée.
L’ancien nous accueille l’œil vicieux, en peignoir de laine et nous fait pénétrer
rapidement dans un salon très style XIXème siècle. Il nous fait asseoir sur un
chouette canapé en cuir et nous propose des rafraîchissements. Je suis un peu
nerveuse et je demande l’autorisation de griller une cigarette. Il s’assoit juste à mes
côtés et m’allume ma clope. Il pose d’abord une main ferme sur mon genou. Il
apprécie ma tenue d’écolière et me fait des compliments sur mes longues couettes
brunes. Il remercie mon maître de m’avoir fait jouer le jeu. Il farfouille sous ma jupe à
carreaux, constate que suivant ses instructions je ne porte pas de culottes et glisse
deux doigts dans mon abricot.
« Huumm, tu as déjà la chatte toute graissée, tant mieux, mon gros chibre n’en
rentrera que plus facilement. Je te le montre si tu sors tes nibards de ton corsage ».
Excitée par le scénario, je me sens jeune étudiante, je sors mes seins de mon
corsage et il se met aussitôt à me pincer les tétons. Puis il écarte les pans de sont
peignoir et sort son nœud. Cette fois ci, j’ai tout le temps d’apprécier la bitte du vieux.
Très large, au moins 6 cm de diamètre, surmontée d’un beau gros gland violet qui
semble un peu négligé. Sa bitte fait bien plus de 20 cm et ses couilles bien lourdes
ont été rasées depuis notre dernière rencontre du sex-shop. Il me gobe le lobe de
l’oreille, le suce et me susurre :
« Aujourd’hui ma jolie, je vais tenir ma promesse du sex-shop. Papy va mettre sa
grosse biroute au fond de ton petit cul et tu vas jouir très fort, petite salope, tu seras ma
petite pute vicieuse ». Déjà sa queue se redresse. Constatant le signal, Kader se
déshabille. Il me fait retirer mon corsage, relever ma jupe et relever les jambes. Je
suis ainsi, les cuisses écartées, mon abricot glabre bien ouvert face à eux. Le vieux se
met à genoux et commence à me bouffer la cramouille. Il sait y faire le saligaud ! En
cinq minutes je suis au bord de la jouissance. Il le sent et interrompt ses caresses.
Kader et lui ont maintenant une belle érection. Je les fais se rapprocher. J’ai envie
d’enfourner leurs belles grosses bittes ensemble dans ma bouche. C’est difficile, ma
lèvres se distendent trop, j’ai un haut le cœur et je n’insiste pas. Comme l’autre fois,
notre ami sent la sueur et l’urine mais çà ne me gêne pas. Je suis fascinée par son
chibre. Bientôt il se rallonge sur la moquette, me fait m’accroupir au dessus de lui et
m’embroche sans ménagement. Je suis déjà bien lubrifié par son cuni et mes ébats
précédents. Je le sens taper contre mon utérus, il me remplit terriblement bien. Je le
chevauche en cadence, j’ai chaud et le rouge me monte aux joues. Il écarte mes
fesses et montre mon anus lisse à Kader en lui faisant en clin d’œil. Celui-ci s’avance
et, sans préparation entame une douloureuse sodomie sur moi. Malgré la douleur, je
ressens bientôt mes premières contractions de mon vagin et un orgasme monter. Je
hurle :
« Ouiii, c‘est bon monsieur, punissez moi, jouissez au fond de ma petite chatte ! »
Mais l’ancien ne veut pas se faire prendre dans mon four brûlant. Il cesse de me limer,
sort de ma chatte humide et échange sa place avec mon amant. Ma rondelle est assez
dilatée et il s’enfonce doucement au fond de mon cul. Il me dit alors à l’oreille :
« Alors, c’est comment petite garce ? »
Au bord du gouffre je lui réponds :
« C’est bon monsieur, comme elle est grosse, comme je vous sens bien tous les
deux, je, je vais… jouiirrr…. Je suis foudroyée par un orgasme anal et mes sphincters
compressent délicieusement sa queue. Une nouvelle fois, il sait qu’il ne pourra tenir
longtemps. Il sort alors de mon cul et passe à ma bouche. Sa queue est un peu
maculée… Aussitôt Kader, toujours aussi vif, prend sa place entre mes fesses en
levrette. Déchaîné, il me tire les cheveux et hurle :
« P’tite pute, tu me sens bien au fond de ton cul ? T’aime comme je te dilate ta
rondelle de femelle en chaleur, allez lèche bien le gros gland de ce vieux salop, t’aime
çà hein » ?
« Oui maître Kader, j’aime sentir ta queue bien au fond de mon anus, j’aime quand tu
encule à sec mon cul de pouffiasse ».
Il me prend par les cheveux et me redresse la tête puis il met sa langue sans
ménagement dans ma bouche luisante de salive. Il continue ses va et vient de plus en
plus fort, il me frappe sur les fesses tellement sèchement que j’en ai les nichons qui
ballottent. Une nouvelle fois il me demande si j’apprécie la bitte du vieux pervers.
« Elle sent fort mais elle est bonne, tu vas voir, je vais prendre tout son foutre dans ma
bouche ».
Ma langue virevolte habillement sur son gland violacé, je branle sa grosse tige,
descend jusqu’à ses couilles, je les prends dans ma bouche puis je les lèche. Sa
bitte tressaute et je sais qu’il ne va pas tarder à balancer sa purée. Il dit à Kader qu’il
va bientôt jouir dans ma bouche de salope. Mon maître se retire alors, il tient ma
mâchoire et me fait ouvrir ma bouche bien grand. Il me fait mal tellement il serre. Le
vieux n’en peu plus : le méat agacé par ma langue, il jouit très fort et s’écrie :
« Tiens soumise, tiens prends, bouffe la semence de papy, prend tout ouiii… » La
première giclée est tellement rapide que je la prend au fond de la gorge et l’avale.
Après il me nappe la langue, çà coule sur mes lèvres. Il a un goût salé, je l’avale
jusqu’à la dernière goutte en me frottant le clitos. Je suis au ange. Kader, récupère ce
qui a coulé sur mes lèvres et mon menton et me donne ses doigts à sucer. Il ne tarde
pas aussi à venir, il sort et m’arrose copieusement la raie. Il a l’air satisfait de ma
prestation et il me dit :
« Bonne petite pute, il t’a bien enculé le vieux hein, il t’a bien joui dans la gueule ? »
Je lui réponds tout en caressant la bitte mollissante du vieux :
« Oui, il m’a bien baisée, jamais je n’ai senti mon cul aussi ouvert ! C’était terrible ».
Bien fatiguée par notre séance, j’ai pris une douche rapide, puis j’ai sucé une dernière
fois le vieux. Cette fois-ci, il n’a pas voulu me jouir sur la langue. Il m’a fait le branler
très fort. Il bandait terriblement et son nœud était nervuré par de grosses veines. Il a
jouit dans mes mains au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement et m’a fait
sucer mes doigts jusqu’à ce qu’il ne reste rien de son épaisse semence. Lui aussi
semble très satisfait et en partant, je le vois glisser prestement quelques billets dans
la poche de Kader.
Nous prenons enfin congé de notre hôte. Sur le trottoir, je grille une nouvelle clope car
j’ai encore le goût du sperme dans la bouche. Nous faisons le chemin retour
ensemble, sans échanger un mot. Kader me dépose à 300m de chez moi et me dit
qu’il me téléphonera bientôt, dès qu’il aura un nouveau plan pour faire remplir son sac
à foutre. J’entre à la maison et constate que j’y suis seule. J’ai le temps de me dévêtir
et de me changer, ouf, mon mari n’est pas encore rentré…
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