Coup de foudre dans le TGV
Récit érotique écrit par Karen1964 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Coup de foudre dans le TGV
Voici la merveilleuse histoire que j'ai vécue l'été dernier.
Je devais me rendre à Paris pour une congrès professionnel lors du mois de juin. L'événement débutant un lundi, j'ai opté pour le train dès dimanche après-midi, afin de ne pas me sentir stressée, et de pouvoir tout préparer tranquillement à l'avance. Je me suis donc rendue à la gare, et me suis rendue à mon siège dans un wagon de première classe.
Arrivant vers ma place, je remarquai que la personne qui allait être mon voisin, ou plutôt ma voisine, ne m'était pas inconnue. Il s'agissait de Sophie, une belle femme d'origine asiatique de 48 ans, qui travaille pour une société concurrente de la mienne, et qui se rendait également au même congrès. Nous nous connaissons dans un cadre strictement professionnel, et avons échangé quelque banalités sur la météo, ainsi que sur nos collègues, avant de nous mettre au travail sur nos ordinateurs portables respectifs.
J'ai terminé relativement rapidement, et j'ai décidé d'essayer de m'assoupir un petit moment. J'ai rangé mon ordinateur et j'ai incliné mon siège, puis j'ai mis mes lunettes de soleil pour avoir un peu d'obscurité. Sophie, de son côté, continuait de travailler à ma droite. J'ai du m'endormir plus longtemps que je ne le pensais. J'avais la tête légèrement penchée du côté de la fenêtre, en en ouvrant les yeux je remarquai que Sophie ne travaillait plus sur ses dossiers, mais consultait des sites sur internet. Son ordi était légèrement tourné de façon à cacher l'écran de la vue de tous, mais je vis néanmoins une page qui m'était familière : il s'agissait du site où vous êtes en ce moment même !
Je fis semblant de continuer à dormir, de façon à pouvoir épier discrètement quel genre d'histoires elle lisait. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la rubrique "Entre nous, les femmes" ouverte. Je n'arrivais malheureusement à pouvoir deviner quelles histoires spécifiques retenaient son attention. Après un moment, je décidai de prendre le taureau par les cornes, si je puis m'exprimer ainsi. Je fis un mouvement de la tête, puis j'émis un petit gémissement comme lors du réveil. Sophie changea immédiatement defenêtre sur l'écran. Je lui dis d'une voix basse :
- J'aime bien ce site également.
Je la vis se figer, ne sachant plus quel comportement adopter. Sur la lancée, je lui dis :
- J'aime lire les histoires, et il m'arrive aussi d'en écrire à mes heures perdues.
Je la vis tourner sa tête dans ma direction, perdue dans ses pensées. Puis ses yeux se sont écarquillés, et sans émettre un son elle forma avec sa bouche un silencieux :
- Karen ?
Je hochai simplement de la tête en souriant, alors qu'elle me regardait toujours les yeux grands ouverts. Puis elle ouvrit le bloc-notes sur son ordi, et m'écrivit :
- "c'est plus discret ainsi. alors karen sur le site c'est vous ??? j'ai lu beaucoup d'histoires mais les votres sont vraiment excitantes..."- "oui c'est bien moi", écrivis-je en rougissant.
Puis nous avons conversé par le biais du bloc-notes, préférant la discrétion de l'écriture à la parole pouvant être écoutée et peut-être mal comprise par d'autres passagers.
Elle m'écrivit n'avoir plus eu de relations avec un homme depuis des années, par déceptions multiples, se consacrant désormais exclusivement aux femmes. Elle avait vécu une histoire stable, mais était désormais libre de tout engagement. Je lui racontai également mon histoire de vie, et ma bisexualité. Mais nous allions bientôt arriver à Paris, et avons décidé de prendre un taxi ensemble, puisque le hasard faisant bien les choses, nous avions sans le savoir réservé une chambre dans le même hôtel. Juste avant d'arriver en gare, elle se pencha de mon côté, mit sa main sur ma cuisse, et me chuchota à l'oreille :
- Ce soir, je te baise.
Et m'introduisit furtivement le bout de sa langue dans mon oreille.
Je fus électrisée par ses paroles et par son geste, et je perdis toute notion du temps pendant quelques secondes. Elle me ramena à la réalité, en me secouant légèrement par l'épaule :
- Et bien Karen, tout va bien ? Nous allons arriver.
Nous avons pris le taxi pour nous rendre à notre hôtel, et après avoir reçu les cartes de nos chambres respectives, avant de prendre l'ascenseur, elle me dit :
- J'ai une course à faire, mais je serai de retour dans une heure. Échangeons nos numéros de mobile, et je t'envoie un texto dès que je suis de retour.
Je me suis retrouvée dans ma chambre, ne sachant pas quoi faire. Attendre une heure me semblait excessivement long, mais je n'y pouvais pas grand chose non plus. Je décidai de prendre une douche fraîche pour me remettre les idées en place. Puis au moment de m'habiller, je ne sus que choisir. Nous n'avions rien prévu de particulier, je ne savais pas si elle voudrait sortir, boire un verre, manger... donc je décidai de m'habiller neutre, avec un chemisier, un pantalon, et un veston. Après une attente quime semblai interminable, mon téléphone vibra enfin. Je regardai le message qui disait :
- Je suis de retour, je t'attends dans ma chambre.
Je me rendis sur place, le cœur battant. La porte était entrouverte, et en passant le pas de la porte je fais gratifiée de la plus merveilleuse des vues. Elle se tenait en face de moi, dans le peignoir de l'hôtel, la tête légèrement de côté. Sa bouche formait le plus coquin des sourires, et je m'empressai de refermer la porte derrière moi.
Puis je restai plantée là, face à elle, ne sachant quel comportement adopter. Elle me fit simplement un signe de la main, et me chuchota :
- Viens, approche-toi...
Je m'avançai, et j'étais partie pour l'enlacer, quand elle tendit ses bras en disant :
- Schhh, patience...
Elle recula de quelques pas, puis d'une main défit le nœud autour de la taille. Le peignoir s'ouvrit tout seul, et d'un petit mouvement d'épaules elle fit coulisser le haut afin qu'il lui glisse sur le corps, pour lentement se retrouver à ses pieds. J'en fus hypnotisée, la vision que son corps m'offrait me faisant chavirer. Mes yeux, qui au début fixaient ses yeux, progressèrent doucement vers le bas. Ils se retrouvèrent sur ses magnifiques seins rebondis, ou des auréoles foncées projetaient des tétons, que je devinai excités, en avant.
Son ventre plat, la courbure de ses hanches, son petit minou épilé surmonté d'une petite toison noire, ses cuisses, tout de son corps me subjugua. Elle s'avança vers moi et,me prenant les mains, nos regards ont pénétré nos yeux respectifs pendant un moment qui m'a semblé éternel. J'ai vécu 1000 et une sensations pendant ce moment, passant par tous les états d'âme. Et dire que pour le moment, nous n'avions fait que nous regarder !
Puis une de ses mains est remontée pour ouvrir mon chemisier, bouton après bouton, avant de le faire glisser. Elle fit de même avec mon pantalon, qui se retrouva également au sol. Mon soutien gorge ne tarda pas à tomber lui aussi, avant ma petite culotte. Nos mains se sont retrouvées, et après nous être perdues dans nos yeux respectifs encore pendant un long moment, elle remonta une main vers mon cou afin de m'attirer à elle. Mon téton gauche, tendu comme jamais, a effleuré son téton droit, et je fus à nouveauprise d'une décharge électrique comme je n'en avais rarement vécue. Nos bouches se sont trouvées, et nous avons échangé un baiser mêlé de tendresse, de désir, d'affection, de fougue, et bien d'autres qualificatifs encore.
Tout en me tenant par les mains elle m'attira vers le lit. Nous avons continué le baiser, alors que nos doigts et nos mains parcouraient nos corps. Couchées sur le côté, son visage s'est arraché du mien, et est parti explorer mon corps. Sa langue filait droit vers mon entrejambe, tout en prenant le temps de s'attarder sur les endroits intéressants du voyage. Lorsqu'elle arriva sur mon ventre, je me tournai sur le dos et écartai mes jambes, lui permettant d'accéder sans restriction aucune à ma chatte brûlante de désir. Mes lèvres n'eurent bientôt aucun secret pour sa langue agile, et il ne me fallut pas longtemps avant d'accéder à une merveilleuse jouissance.
Après avoir récupéré, je lui rendis la pareille. Son corps offert, je parcourus sa peau du bout de ma langue, m'attardant par ici sur ses seins, par là sur son ventre, ses cuisses, puis j'atteignis enfin mon Graal. Sa chatte étant ouverte comme une fleur, je ne me privai pas de la butiner de tout mon soûl. Sa respiration se faisait de plus en plus rapide, et elle gémissait également de plus en plus fort, avant l'explosion finale. Lâchant un long râle aigu, elle me gratifia de magnifiques giclées de cyprine sur tout mon visage, que je m'empressai de boire avec délectation.
Nous avons récupéré quelque peu en discutant, allongées dans son lit, avant de recommencer avec d'abord un 69 langoureux, puis en nous frottant nos chattes respectives l'une contre l'autre, les jambes en ciseau. La sensation de sa mouille, lorsqu'elle jouit, giclant sur mes cuisses et ma chatte me fit chavirer, et je crois qu'en ce moment précis je suis tombée amoureuse de Sophie.
Une fois le congrès terminé nous sommes rentrées, hélas par des trains différents, mais nous nous sommes très rapidement revues. Cela fait maintenant quelque mois que nous formons un couple, certes très libre et libertin, mais un couple au féminin quand même. Je n'ai plus eu de relations avec un homme depuis cette rencontre, sauf avec Pierre. C'est le seul homme qui m'attire en ce moment de ma vie, et bien qu'ayant pu nous défaire de nos sentiments amoureux l'un pour l'autre, nous gardons cette affection mutuelle, et nous attendons avec plaisir la prochaine rencontre.
J'ai écrit cette histoire avec le consentement de Sophie, qui m'a d'ailleurs corrigée en remontant quelques souvenirs en mémoire. Je raconterai prochainement comment Sophie m'a fait vivre une séance de domination, ainsi que mes retrouvailles avec Pierre plus tard pendant l'été passé.
Bises, Karen
Je devais me rendre à Paris pour une congrès professionnel lors du mois de juin. L'événement débutant un lundi, j'ai opté pour le train dès dimanche après-midi, afin de ne pas me sentir stressée, et de pouvoir tout préparer tranquillement à l'avance. Je me suis donc rendue à la gare, et me suis rendue à mon siège dans un wagon de première classe.
Arrivant vers ma place, je remarquai que la personne qui allait être mon voisin, ou plutôt ma voisine, ne m'était pas inconnue. Il s'agissait de Sophie, une belle femme d'origine asiatique de 48 ans, qui travaille pour une société concurrente de la mienne, et qui se rendait également au même congrès. Nous nous connaissons dans un cadre strictement professionnel, et avons échangé quelque banalités sur la météo, ainsi que sur nos collègues, avant de nous mettre au travail sur nos ordinateurs portables respectifs.
J'ai terminé relativement rapidement, et j'ai décidé d'essayer de m'assoupir un petit moment. J'ai rangé mon ordinateur et j'ai incliné mon siège, puis j'ai mis mes lunettes de soleil pour avoir un peu d'obscurité. Sophie, de son côté, continuait de travailler à ma droite. J'ai du m'endormir plus longtemps que je ne le pensais. J'avais la tête légèrement penchée du côté de la fenêtre, en en ouvrant les yeux je remarquai que Sophie ne travaillait plus sur ses dossiers, mais consultait des sites sur internet. Son ordi était légèrement tourné de façon à cacher l'écran de la vue de tous, mais je vis néanmoins une page qui m'était familière : il s'agissait du site où vous êtes en ce moment même !
Je fis semblant de continuer à dormir, de façon à pouvoir épier discrètement quel genre d'histoires elle lisait. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la rubrique "Entre nous, les femmes" ouverte. Je n'arrivais malheureusement à pouvoir deviner quelles histoires spécifiques retenaient son attention. Après un moment, je décidai de prendre le taureau par les cornes, si je puis m'exprimer ainsi. Je fis un mouvement de la tête, puis j'émis un petit gémissement comme lors du réveil. Sophie changea immédiatement defenêtre sur l'écran. Je lui dis d'une voix basse :
- J'aime bien ce site également.
Je la vis se figer, ne sachant plus quel comportement adopter. Sur la lancée, je lui dis :
- J'aime lire les histoires, et il m'arrive aussi d'en écrire à mes heures perdues.
Je la vis tourner sa tête dans ma direction, perdue dans ses pensées. Puis ses yeux se sont écarquillés, et sans émettre un son elle forma avec sa bouche un silencieux :
- Karen ?
Je hochai simplement de la tête en souriant, alors qu'elle me regardait toujours les yeux grands ouverts. Puis elle ouvrit le bloc-notes sur son ordi, et m'écrivit :
- "c'est plus discret ainsi. alors karen sur le site c'est vous ??? j'ai lu beaucoup d'histoires mais les votres sont vraiment excitantes..."- "oui c'est bien moi", écrivis-je en rougissant.
Puis nous avons conversé par le biais du bloc-notes, préférant la discrétion de l'écriture à la parole pouvant être écoutée et peut-être mal comprise par d'autres passagers.
Elle m'écrivit n'avoir plus eu de relations avec un homme depuis des années, par déceptions multiples, se consacrant désormais exclusivement aux femmes. Elle avait vécu une histoire stable, mais était désormais libre de tout engagement. Je lui racontai également mon histoire de vie, et ma bisexualité. Mais nous allions bientôt arriver à Paris, et avons décidé de prendre un taxi ensemble, puisque le hasard faisant bien les choses, nous avions sans le savoir réservé une chambre dans le même hôtel. Juste avant d'arriver en gare, elle se pencha de mon côté, mit sa main sur ma cuisse, et me chuchota à l'oreille :
- Ce soir, je te baise.
Et m'introduisit furtivement le bout de sa langue dans mon oreille.
Je fus électrisée par ses paroles et par son geste, et je perdis toute notion du temps pendant quelques secondes. Elle me ramena à la réalité, en me secouant légèrement par l'épaule :
- Et bien Karen, tout va bien ? Nous allons arriver.
Nous avons pris le taxi pour nous rendre à notre hôtel, et après avoir reçu les cartes de nos chambres respectives, avant de prendre l'ascenseur, elle me dit :
- J'ai une course à faire, mais je serai de retour dans une heure. Échangeons nos numéros de mobile, et je t'envoie un texto dès que je suis de retour.
Je me suis retrouvée dans ma chambre, ne sachant pas quoi faire. Attendre une heure me semblait excessivement long, mais je n'y pouvais pas grand chose non plus. Je décidai de prendre une douche fraîche pour me remettre les idées en place. Puis au moment de m'habiller, je ne sus que choisir. Nous n'avions rien prévu de particulier, je ne savais pas si elle voudrait sortir, boire un verre, manger... donc je décidai de m'habiller neutre, avec un chemisier, un pantalon, et un veston. Après une attente quime semblai interminable, mon téléphone vibra enfin. Je regardai le message qui disait :
- Je suis de retour, je t'attends dans ma chambre.
Je me rendis sur place, le cœur battant. La porte était entrouverte, et en passant le pas de la porte je fais gratifiée de la plus merveilleuse des vues. Elle se tenait en face de moi, dans le peignoir de l'hôtel, la tête légèrement de côté. Sa bouche formait le plus coquin des sourires, et je m'empressai de refermer la porte derrière moi.
Puis je restai plantée là, face à elle, ne sachant quel comportement adopter. Elle me fit simplement un signe de la main, et me chuchota :
- Viens, approche-toi...
Je m'avançai, et j'étais partie pour l'enlacer, quand elle tendit ses bras en disant :
- Schhh, patience...
Elle recula de quelques pas, puis d'une main défit le nœud autour de la taille. Le peignoir s'ouvrit tout seul, et d'un petit mouvement d'épaules elle fit coulisser le haut afin qu'il lui glisse sur le corps, pour lentement se retrouver à ses pieds. J'en fus hypnotisée, la vision que son corps m'offrait me faisant chavirer. Mes yeux, qui au début fixaient ses yeux, progressèrent doucement vers le bas. Ils se retrouvèrent sur ses magnifiques seins rebondis, ou des auréoles foncées projetaient des tétons, que je devinai excités, en avant.
Son ventre plat, la courbure de ses hanches, son petit minou épilé surmonté d'une petite toison noire, ses cuisses, tout de son corps me subjugua. Elle s'avança vers moi et,me prenant les mains, nos regards ont pénétré nos yeux respectifs pendant un moment qui m'a semblé éternel. J'ai vécu 1000 et une sensations pendant ce moment, passant par tous les états d'âme. Et dire que pour le moment, nous n'avions fait que nous regarder !
Puis une de ses mains est remontée pour ouvrir mon chemisier, bouton après bouton, avant de le faire glisser. Elle fit de même avec mon pantalon, qui se retrouva également au sol. Mon soutien gorge ne tarda pas à tomber lui aussi, avant ma petite culotte. Nos mains se sont retrouvées, et après nous être perdues dans nos yeux respectifs encore pendant un long moment, elle remonta une main vers mon cou afin de m'attirer à elle. Mon téton gauche, tendu comme jamais, a effleuré son téton droit, et je fus à nouveauprise d'une décharge électrique comme je n'en avais rarement vécue. Nos bouches se sont trouvées, et nous avons échangé un baiser mêlé de tendresse, de désir, d'affection, de fougue, et bien d'autres qualificatifs encore.
Tout en me tenant par les mains elle m'attira vers le lit. Nous avons continué le baiser, alors que nos doigts et nos mains parcouraient nos corps. Couchées sur le côté, son visage s'est arraché du mien, et est parti explorer mon corps. Sa langue filait droit vers mon entrejambe, tout en prenant le temps de s'attarder sur les endroits intéressants du voyage. Lorsqu'elle arriva sur mon ventre, je me tournai sur le dos et écartai mes jambes, lui permettant d'accéder sans restriction aucune à ma chatte brûlante de désir. Mes lèvres n'eurent bientôt aucun secret pour sa langue agile, et il ne me fallut pas longtemps avant d'accéder à une merveilleuse jouissance.
Après avoir récupéré, je lui rendis la pareille. Son corps offert, je parcourus sa peau du bout de ma langue, m'attardant par ici sur ses seins, par là sur son ventre, ses cuisses, puis j'atteignis enfin mon Graal. Sa chatte étant ouverte comme une fleur, je ne me privai pas de la butiner de tout mon soûl. Sa respiration se faisait de plus en plus rapide, et elle gémissait également de plus en plus fort, avant l'explosion finale. Lâchant un long râle aigu, elle me gratifia de magnifiques giclées de cyprine sur tout mon visage, que je m'empressai de boire avec délectation.
Nous avons récupéré quelque peu en discutant, allongées dans son lit, avant de recommencer avec d'abord un 69 langoureux, puis en nous frottant nos chattes respectives l'une contre l'autre, les jambes en ciseau. La sensation de sa mouille, lorsqu'elle jouit, giclant sur mes cuisses et ma chatte me fit chavirer, et je crois qu'en ce moment précis je suis tombée amoureuse de Sophie.
Une fois le congrès terminé nous sommes rentrées, hélas par des trains différents, mais nous nous sommes très rapidement revues. Cela fait maintenant quelque mois que nous formons un couple, certes très libre et libertin, mais un couple au féminin quand même. Je n'ai plus eu de relations avec un homme depuis cette rencontre, sauf avec Pierre. C'est le seul homme qui m'attire en ce moment de ma vie, et bien qu'ayant pu nous défaire de nos sentiments amoureux l'un pour l'autre, nous gardons cette affection mutuelle, et nous attendons avec plaisir la prochaine rencontre.
J'ai écrit cette histoire avec le consentement de Sophie, qui m'a d'ailleurs corrigée en remontant quelques souvenirs en mémoire. Je raconterai prochainement comment Sophie m'a fait vivre une séance de domination, ainsi que mes retrouvailles avec Pierre plus tard pendant l'été passé.
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