Couple domine un jeune audacieux
Récit érotique écrit par Jioha [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couple domine un jeune audacieux
C'est l'été.
Il fait chaud en ce mois d'août.
Avec ma femme, nous sommes en vacances chez des amis dans le sud sud-ouest de la France.
Chez son amie d'enfance, exactement.
Et même s'ils ne sont pas en congés, nous avons la chance qu'ils habitent à une cinquantaine de mètres à peine de la plage.
C'est plus facile pour passer le temps et aller se rafraîchir lorsque que la chaleur se fait vraiment trop pesante.
Cela fait maintenant une semaine que nous sommes ici et, comme tous les ans, je m'extasie visuellement sur les plaisirs que nous offre cette période estivale.
Tout ces corps huilés, bronzés et dénudés ne font qu'augmenter l'électricité qui règne en maître dans ma tête.
Fou de désir habituellement pour mon épouse, je le suis bien davantage en été et c'est avec les plus grandes difficultés du monde que je me freine pour ne pas lui faire l'amour 24h sur 24.
Déjà qu'elle me supplie tous les soirs pour que nous soyons le plus discret possible, étant donné que dans la maisonnette de nos amis, la chambre se trouve en mezzanine et que ces derniers dorment juste en dessous.
Mais je ne me fait guère d'illusions quand à notre relative discrétion, tant nos étreintes, tant bien que mal contenues, demeurent très "bestiales".
Rajoutons-y les rictus matinaux qui accompagnent les "bonjours" de nos amis et le tour est joué.
Mais comme dit ma femme, avec toute sa sagesse : "c'est naturel."
Un matin, accompagné de notre amie, je rejoignais ma femme à la plage.
Elle apprécie profiter de cet endroit lorsqu'il est encore calme et que la cohue de l'après-midi n'est pas encore sur place.
Elle n'était pas seule.
En effet, un jeune homme était assit à ses côtés.
Aimant plaisanter et habituée à ce qu'elle attire les hommes, j'ai dit à celle qui m'accompagne, de nous faire passer pour un couple afin ne pas briser l'élan de l'audacieux.
C'était bien vu car il ne s'est pas démonté en nous voyant débarquer et nous installer à côté d'eux.
Ma femme, me connaissant bien, a tout de suite pigé mon petit jeu et a continué à recevoir les flatteries de l'assaillant.
Celui-ci était beau, avouons-le.
La vingtaine, look de surfeur, comme beaucoup dans le coin et un corps pas mal taillé du tout.
Il est resté avec nous et comme il était gentil, nous avons sympathisés avec lui.
Une fois rentrés pour manger, nous avons bien rigolé de cette situation qui avait animée notre matinée.
Trois heures après, nous l'avions quasiment oublié, lorsque nous sommes retournés sur la plage.
Pas lui.
Il nous avait rejoint au même emplacement que le matin même.
Je dirais même plus, il semblait nous attendre.
Et c'est à partir de là, que l'histoire est devenue vraiment marrante...
Ne sachant toujours pas que j'étais le mari, il continuait ses flatteries auprès de ma femme, qui ne se faisait pas prier pour se faire encenser.
Il s'est rapproché doucement de ma femme durant tout l'après-midi, l'accompagnant dans l'eau ou à la douche, lui proposant de lui passer de la crème toutes les 5 minutes.
Sans être lourd, il savait imposer sa présence et lui montrer qu'elle lui plaisait.
Car il n'y avait pas de doutes, elle lui plaisait vraiment.
Du coup, notre amie, qui avait tout suivit depuis le matin, s'étonnait, un peu tout de même, de mon absence totale de jalousie et du rôle un peu ambiguë auquel jouait ma femme.
C'est donc sur la plage, pendant que ma femme se faisait dangereusement draguer, que j'ai expliqué à notre hôte que sa meilleure amie, son amie d'enfance, avait épousé un homme qui aimait la liberté et qui lui avait permit de désinhiber un caractère qui ne demandait qu'à l'être.
Bien entendu, j'avais mit les petites phrases dans les grandes pour lui annoncer cela, afin de susciter de l'étonnement et voir qu'elle serait sa réaction.
Et bien à ma grande stupéfaction, elle n'a été que très peu surprise, m'avouant qu'elle s'en doutait un peu depuis pas mal de temps.
De part les discussions toutes les deux, son tempérament, etc...
Mon effet d'annonce tombait à l'eau.
Nous avons passé l'après-midi tous les deux sur la plage, à discuter des raisons qui nous avaient amenés à faire çà, des expériences que nous avions eu, bonnes ou mauvaises, des endroits que nous fréquentions et ainsi de suite.
Cette discussion a accaparé toute notre attention.
Nous avions oubliés la mer, les gens qui nous entouraient et qui nous écoutaient et surtout ma femme qui s'amusait de plus en plus dans l'eau avec son jeune surfeur.
Puis l'heure de rentrer avait sonné.
Le soir venu, j'ai expliqué à ma femme mon après-midi avec sa meilleure amie et elle, le sien avec son prétendant.
Tous les deux très excités, notre discrétion n'a pas été exemplaire.
Et je pense que nous n'avons pas été les seuls, à l'écoute de nos amis qui semblaient avoir appréciés nos aventures.
Le lendemain matin, seul, nos hôtes, fatigués de leur courte nuit, dormaient encore avant d'aller travailler, je rejoignais ma femme, encore à la plage.
Elle était dans l'eau avec Lui.
Elle est sortit à ma rencontre en m'apercevant.
L'eau devait être fraîche car le bout de ses seins pointaient joliment au travers de son petit maillot de bain.
Lui était resté dans l'eau, ce qui m'a fait comprendre qu'il ne pouvait pas sortir de suite décemment.
Le grand sourire de ma femme me le confirmait.
Un seul regard entre nous suffisait pour nous comprendre.
Elle avait envie de Lui.
Il était jeune, il était beau, j'étais d'accord.
MAIS, je voulais m'amuser un peu également.
Je lui ai expliqué rapidement ce que je voulais faire.
Nous nous sommes tapés dans la main et nous sommes allés tous les deux dans l'eau, à sa rencontre.
Après les bonjours d'usages, nous avons commencés par discuter.
De tout et de rien.
Puis, toujours dans l'eau, la discussion a vite tourné vers un ton plus intime, pour dériver complètement vers le sexe.
Je lui ai avoué notre filiation et lui ai expliqué que toute cette situation nous avait tous fortement échauffés.
Il était estomaqué et avait l'air un peu perdu, ne sachant plus quoi faire.
Pour le remettre sur les bons rails, je me suis positionné derrière ma femme afin de lui oter très délicatement et sensuellement son haut de maillot.
Il a écarquillé des yeux comme jamais il n'avait du le faire, tellement il avait vraisemblablement fantasmer sur cette poitrine la nuit dernière.
J'ai prit les deux seins à pleine main et les ai pelotés tendrement.
Ma femme ne disait rien, c'était le jeu, mais se faisait un plaisir de lui lancer des regards incendiaires.
Je lui ai dit de s'approcher de nous.
Il tremblait comme une feuille.
D'une, parce qu'il était dans l'eau depuis un petit moment et de deux, parce qu'il semblait apeuré de ne plus maîtriser la situation et de ne plus être dans la position du meneur.
Une fois tout près de nous, j'ai fait un pas en avant pour coller la poitrine de ma femme contre son torse.
Il était en transe.
Je lui ai demandé s'il bandait.
Et surtout, s'il bandait sur ma femme.
Un tout petit "Oui" tremblotant est venu me répondre.
Je voulais en avoir le coeur net alors j'ai tendu le bras et ai posé ma main sur son sexe.
Il a eu un réflexe de recul.
Cela devait être la première fois qu'un homme le touchait, même au travers d'un maillot de bain.
Le sentant réticent, je lui ai mit une sorte d'ultimatum.
Très simple.
S'il voulait espérer quoique ce soit avec ma femme, il fallait qu'il soit plus docile à l'avenir et qu'il ne se pose pas de questions.
Il a eu quelques secondes d'hésitation, puis est revenu se coller à elle.
C'était joué, il était à nous.
J’ai fait signe à ma femme de lui baisser son short de bain.
Alors j'ai retendu le bras et cette fois j'ai prit son sexe dans ma main.
Il n'a pas bronché.
Il ne regardait que ma femme, mais il n'a pas bronché.
Sa queue avait l'air épaisse. Pas trop long, mais bien épais.
Comme les aime ma femme.
Pendant qu'elle me caressait plus que sensuellement, je l'ai masturbé un peu.
Il semblait complètement dépassé.
Au bout de quelques minutes, pour le récompenser de sa docilité, je l'ai prévenu que nous allions lui accorder une faveur.
En contrepartie, il ne devait en aucun cas, poser la main sur ma femme.
Aucun contact ne lui était autorisé.
Il a acquiescé.
Alors pour continuer dans le jeu du dominant/dominé et afin de marquer définitivement les esprits et définir clairement qui était le meneur, j'ai posé ma main sur la tête de ma femme et je l'ai poussé vers le bas pour lui ordonner de lui faire une fellation.
Ce qu'elle a fait sans se faire prier, à nouveau.
Elle est descendu et remontée 3 fois avant qu'il ne jouisse dans la mer.
Il avait l'air apaisé.
Elle lui a donné un baisé sur la joue et nous l'avons quitté ainsi, le short de bain sur les chevilles, tremblant dans l'eau avec un sourire béat, en lui donnant rendez-vous le soir même chez nos amis.
En rentrant, nous n'avions plus qu'à mettre les pieds sous la table car nos amis étaient rentrés du boulot et tout était prêt.
Royal.
Ils nous ont demandé comment s'était passé notre matinée.
Ma femme, sans se démonter, leur a tout expliqué, en détail.
Maintenant que tout le monde était au courant, elle n'était pas du genre à se cacher.
Eux, écoutaient et n'en loupaient rien.
Et c'est donc tout naturellement, qu'ils nous ont demandé s'ils pouvaient être présent le soir, afin de nous observer et en échange d'avoir accepté que le prétendant de ma femme vienne chez eux pour s'amuser.
Nous avons accepté, bien évidemment et le repas s'est déroulé dans la bonne humeur.
Nos amis repartis travailler, notre sieste s'est transformée en "siexte" et ressemblait plus à un marathon du sexe qu'à un temps de repos.
Nous avons tout de même dormit un peu et fait l'impasse sur la plage cet après-midi là.
Le soir est arrivé.
L'heure du rendez-vous aussi.
Je suis allé chercher notre jeune audacieux.
Serait-il là ou allait-il abandonner, dépassé par les évènements ?!
Cela ne m'aurait pas vraiment étonné.
Mais il était là.
Impatient.
Nous avons un peu discuté sur le chemin.
Arrivés à la maison, il a été surpris de voir nos hôtes sur place.
Mais je ne voulais pas qu'il pense être tombé dans un piège ou le prendre par surprise en les faisant arriver plus tard, quand tout serait lancé.
Cela aurait pu tout gâcher.
Alors j'ai tout de suite mit les points sur les "i" en lui expliquant qu'ils ne seraient que spectateurs.
J'ai également réitéré mon ultimatum du matin en lui rappelant que ma femme lui serait offerte s'il était doux.
C'était sa corde sensible, car il semblait tellement avoir envie d'elle et prêt à tout pour la posséder qu'il accepterait beaucoup de chose, c'était sur.
Il s'est détendu.
Notre couple d'amis s'est installé dans un coin du salon, pour être les plus discrets possibles.
Ma femme, elle, n'était pas encore là.
Elle se trouvait à l'étage afin de faire monter un peu plus encore la pression.
Notre jeune homme n'en pouvait plus.
Je le sentais bouillir de l'intérieur.
Je lui ai dit de se placer au milieu de la pièce.
Je me suis positionné derrière lui, les mains sur les épaules.
La pression que j'exerçais sur ces dernières, suffirait à asseoir mon autorité.
Puis je l'ai appelé.
Elle, si belle et si désirable.
Elle descendait les marches de l'escalier une à une telle une déesse.
La décrire aurait été inutile tant elle était belle, envoûtante et excitante à la fois.
Elle avait réussi son entrée, car je sentais les jambes de notre étalon fléchir sensiblement.
Je ne voulais pas que cela traîne.
J'ai donc ordonné à ma femme de venir devant nous et de nous aguicher comme elle savait très bien le faire.
Mes mains toujours en pression sur ses épaules, je lui susurrais dans l'oreille des mots pour le mettre dans l'ambiance.
Je lui disais d'admirer cette splendide créature qu'il allait pouvoir posséder s'il était docile, tel un agneau, comme le matin même dans l'eau.
Je lui expliquais qu'il ne pouvait même pas imaginer à quel point cette femme devant lui, pouvait se transformer en terrible salope lorsqu'elle était surexcitée.
Elle ne parlait toujours pas, les règles du jeu n'ayant pas changées.
Cela donnait un côté plus mystérieux, à la situation.
Lui, par contre, ne cessait de répéter qu'il la voulait.
Je lui demandais alors s'il voulait la baiser.
Et surtout, s'il était prêt pour bien la baiser.
Je lui mettais la pression en lui répétant que cette femme qui se déhanche langoureusement devant nous, comme une chienne, faisait partie d’une catégorie de très haut niveau en matière de sexe.
Je lui mettais la pression en lui demandant s'il était prêt à aller au-delà de ses limites pour arriver à ses fins.
Mais plus je lui mettais la pression, moins il tenait en place.
Il répondait positivement à tout ce que je lui demandais.
Il était mûr.
Alors d'un regard, j'ai lancé ma femme à l'attaque.
Elle s'est approchée tout contre lui afin de se frotter et de vérifier si les machines étaient en marche.
Pas de problèmes de se côté.
Je lui tenais les bras pour qu'il ne la touche pas.
Je bandais, moi-même, tant elle m’excitait.
Sans un mot, elle me demandait de le déshabiller.
Et pendant qu'elle s'effeuillait, j'ôtais une à une, les frusques de notre jeune homme.
Le strip-tease a duré quelques minutes, sous les regards attentifs de nos amis.
Une fois nos deux protagonistes nus, elle s'amusa à tourner autour de nous en nous caressant.
Trois fois.
Puis elle s'est positionnée derrière moi.
Elle nous a étreint quelques instants ainsi puis s'est emparée de ma main et l'a dirigé vers le sexe en érection de l'audacieux, qui cette fois, n'avait pas eu de moment d'étonnement.
Il était vraiment prêt à tout.
C'était très bon signe.
Elle voulait donc que je le branle un peu.
Tout en caressant son torse, à mon tour, je le masturbais de mon autre main, pendant que ma femme continuait son show d'allumeuse et sous les yeux médusés de nos amis, qui ne s'attendaient sûrement pas à cela.
La connaissant parfaitement, je voyais ma femme rentrer totalement dans le jeu, excitée par ce jeune mâle qui lui avait fait du rentre dedans toute une journée et par la présence d'un auditoire improvisé.
Elle s'est accroupit devant lui et lui a infligé une terrifiante fellation.
J'espérais pour lui qu'il avait eu la présence d'esprit de vider son chargeur avant de venir ici, car cela serait très dur pour lui dans le cas contraire.
Pour corser le tout, je lui demandais de me déshabiller en même temps.
Il l'a fait, avec beaucoup de difficultés.
Nous étions donc tous les trois nus.
Toujours debout et derrière, je me suis collé à lui, ma queue en effervescence dans la raie de ses fesses.
J'ai approché ma bouche de son oreille et lui explicitement dit que s'il voulait baiser ma salope de femme, il fallait que lui même devienne ma salope.
En lui disant çà, je lui ai caressé l'anus avec ma queue.
Son absence totale de réaction signifiait qu'il était d'accord et que mon travail de sape avait fonctionné.
J'ai donc reprit ma pression sur ses épaules pour le mettre à genou.
Ma femme lui a indiqué le chemin à prendre en avalant d'un trait mon sexe.
Il a ouvert le bec machinalement et je lui ai fourré ma queue dans la bouche.
Il était complètement passif.
Il ne me suçait pas, c'est moi qui lui baisait sa petite gueule.
Cela a duré quelques minutes et le temps de retirer le préservatif, je lui ai éjaculé sur le visage.
Aussitôt, ma femme s'est précipitée pour lécher ma semence qui coulait le long de la joue de mon soumis.
Nos amis, dans leur coin, ne disaient pas un mot mais semblaient complètement abasourdis.
Lui avait l'air un peu réticent mais elle, elle paraissait totalement subjuguée.
Elle ne perdait aucune image du spectacle qui leur était offert.
Ne perdant aucune seconde, ma femme s'était allongée sur le lit, attrapant la tête de son amant pour qu'il la lèche.
Il ne se faisait pas attendre et était plus actif, car c'était un domaine qu'il connaissait mieux.
Mais son répit était de courte durée car je n'en avais pas terminé avec lui
Son petit cul m'attendait.
Ma femme lui maintenait la tête dans son sexe pendant que le lubrifiais de mon pouce.
Son petit trou dilaté, j'ai présenté mon gland et l'ai pénétré sans trop de difficultés.
Mes va-et-vient lui ont arrachés des cris mélangés de douleurs et de plaisir.
Ma femme observait la scène avec beaucoup d'attention et je sentais son excitation dans son regard.
Elle adorait me voir jouer les dominateurs avec d'autres hommes.
Cela l'excitait.
Alors plus elle me regardait, plus je baisais ce petit puceau comme un fou.
Pour le terminer, je l'ai mit sur le dos, les quatre fers en l'air et je l'ai ramoné violemment pendant que ma femme le suçait.
Il criait qu'il n'en pouvait plus, que c'était trop bon.
Je le traitais de salope, de petite pute, de pédé et il aimait çà.
A nouveau, juste le temps d'enlever la capote, je lui ai craché sur la bite pour que ma femme puisse encore se délecter de mon sperme.
Il était complètement épuisé.
Il lui a fallu de longues minutes pour se remettre.
Nos amis avaient passés le stade de l'étonnement et sans surprises, ils se caressaient discrètement.
Ma femme, elle, se trémoussait sur le lit.
Elle n'avait pas eu sa dose.
Je me suis donc tourné vers notre nouvel ami pour lui dire que j'en avais fini avec lui et qu'il pouvait faire ce qu'il voulait de ma femme.
Il ne lui en a pas fallu plus pour se requinquer en quelques secondes.
De nouveau au garde-à-vous il l'a attrapé et lui a aussitôt fourré sa queue dans le gosier pour terminer de le remettre d'aplomb.
Je voyais qu'il avait l'air remonté et décidé à faire payer à ma femme ce qu'il venait de subir.
J'avais raison.
Aussitôt prêt, il l'a mise à quatre pattes et l'a attaqué directement dans l'anus.
Il voulait retrouver sa position de meneur qu'il avait l'habitude d'avoir.
Il l'a traitait de tous les noms.
Elle adorait çà.
Plus il l'insultait, plus elle en redemandait.
Alors je suis intervenu et nous avons baisés cette putain à deux.
Ce petit salaud était bien endurant et cette épaisse queue mettait ma femme dans tous ses états.
Il l'a baisé par tous les orifices pendant longtemps, jouissant de nombreuses fois sur son corps et se vengeant de l'humiliation qu'il avait endurée.
Mais il avait l'air d'avoir apprécié tout de même puisque tard dans la nuit, il m'a demandé de l'enculer à nouveau pendant que ma femme le sucerait.
Et tout cela, sous les yeux de nos amis qui, s'ils n'ont pas participés, ont appréciés jusqu'au bout de la nuit.
Il fait chaud en ce mois d'août.
Avec ma femme, nous sommes en vacances chez des amis dans le sud sud-ouest de la France.
Chez son amie d'enfance, exactement.
Et même s'ils ne sont pas en congés, nous avons la chance qu'ils habitent à une cinquantaine de mètres à peine de la plage.
C'est plus facile pour passer le temps et aller se rafraîchir lorsque que la chaleur se fait vraiment trop pesante.
Cela fait maintenant une semaine que nous sommes ici et, comme tous les ans, je m'extasie visuellement sur les plaisirs que nous offre cette période estivale.
Tout ces corps huilés, bronzés et dénudés ne font qu'augmenter l'électricité qui règne en maître dans ma tête.
Fou de désir habituellement pour mon épouse, je le suis bien davantage en été et c'est avec les plus grandes difficultés du monde que je me freine pour ne pas lui faire l'amour 24h sur 24.
Déjà qu'elle me supplie tous les soirs pour que nous soyons le plus discret possible, étant donné que dans la maisonnette de nos amis, la chambre se trouve en mezzanine et que ces derniers dorment juste en dessous.
Mais je ne me fait guère d'illusions quand à notre relative discrétion, tant nos étreintes, tant bien que mal contenues, demeurent très "bestiales".
Rajoutons-y les rictus matinaux qui accompagnent les "bonjours" de nos amis et le tour est joué.
Mais comme dit ma femme, avec toute sa sagesse : "c'est naturel."
Un matin, accompagné de notre amie, je rejoignais ma femme à la plage.
Elle apprécie profiter de cet endroit lorsqu'il est encore calme et que la cohue de l'après-midi n'est pas encore sur place.
Elle n'était pas seule.
En effet, un jeune homme était assit à ses côtés.
Aimant plaisanter et habituée à ce qu'elle attire les hommes, j'ai dit à celle qui m'accompagne, de nous faire passer pour un couple afin ne pas briser l'élan de l'audacieux.
C'était bien vu car il ne s'est pas démonté en nous voyant débarquer et nous installer à côté d'eux.
Ma femme, me connaissant bien, a tout de suite pigé mon petit jeu et a continué à recevoir les flatteries de l'assaillant.
Celui-ci était beau, avouons-le.
La vingtaine, look de surfeur, comme beaucoup dans le coin et un corps pas mal taillé du tout.
Il est resté avec nous et comme il était gentil, nous avons sympathisés avec lui.
Une fois rentrés pour manger, nous avons bien rigolé de cette situation qui avait animée notre matinée.
Trois heures après, nous l'avions quasiment oublié, lorsque nous sommes retournés sur la plage.
Pas lui.
Il nous avait rejoint au même emplacement que le matin même.
Je dirais même plus, il semblait nous attendre.
Et c'est à partir de là, que l'histoire est devenue vraiment marrante...
Ne sachant toujours pas que j'étais le mari, il continuait ses flatteries auprès de ma femme, qui ne se faisait pas prier pour se faire encenser.
Il s'est rapproché doucement de ma femme durant tout l'après-midi, l'accompagnant dans l'eau ou à la douche, lui proposant de lui passer de la crème toutes les 5 minutes.
Sans être lourd, il savait imposer sa présence et lui montrer qu'elle lui plaisait.
Car il n'y avait pas de doutes, elle lui plaisait vraiment.
Du coup, notre amie, qui avait tout suivit depuis le matin, s'étonnait, un peu tout de même, de mon absence totale de jalousie et du rôle un peu ambiguë auquel jouait ma femme.
C'est donc sur la plage, pendant que ma femme se faisait dangereusement draguer, que j'ai expliqué à notre hôte que sa meilleure amie, son amie d'enfance, avait épousé un homme qui aimait la liberté et qui lui avait permit de désinhiber un caractère qui ne demandait qu'à l'être.
Bien entendu, j'avais mit les petites phrases dans les grandes pour lui annoncer cela, afin de susciter de l'étonnement et voir qu'elle serait sa réaction.
Et bien à ma grande stupéfaction, elle n'a été que très peu surprise, m'avouant qu'elle s'en doutait un peu depuis pas mal de temps.
De part les discussions toutes les deux, son tempérament, etc...
Mon effet d'annonce tombait à l'eau.
Nous avons passé l'après-midi tous les deux sur la plage, à discuter des raisons qui nous avaient amenés à faire çà, des expériences que nous avions eu, bonnes ou mauvaises, des endroits que nous fréquentions et ainsi de suite.
Cette discussion a accaparé toute notre attention.
Nous avions oubliés la mer, les gens qui nous entouraient et qui nous écoutaient et surtout ma femme qui s'amusait de plus en plus dans l'eau avec son jeune surfeur.
Puis l'heure de rentrer avait sonné.
Le soir venu, j'ai expliqué à ma femme mon après-midi avec sa meilleure amie et elle, le sien avec son prétendant.
Tous les deux très excités, notre discrétion n'a pas été exemplaire.
Et je pense que nous n'avons pas été les seuls, à l'écoute de nos amis qui semblaient avoir appréciés nos aventures.
Le lendemain matin, seul, nos hôtes, fatigués de leur courte nuit, dormaient encore avant d'aller travailler, je rejoignais ma femme, encore à la plage.
Elle était dans l'eau avec Lui.
Elle est sortit à ma rencontre en m'apercevant.
L'eau devait être fraîche car le bout de ses seins pointaient joliment au travers de son petit maillot de bain.
Lui était resté dans l'eau, ce qui m'a fait comprendre qu'il ne pouvait pas sortir de suite décemment.
Le grand sourire de ma femme me le confirmait.
Un seul regard entre nous suffisait pour nous comprendre.
Elle avait envie de Lui.
Il était jeune, il était beau, j'étais d'accord.
MAIS, je voulais m'amuser un peu également.
Je lui ai expliqué rapidement ce que je voulais faire.
Nous nous sommes tapés dans la main et nous sommes allés tous les deux dans l'eau, à sa rencontre.
Après les bonjours d'usages, nous avons commencés par discuter.
De tout et de rien.
Puis, toujours dans l'eau, la discussion a vite tourné vers un ton plus intime, pour dériver complètement vers le sexe.
Je lui ai avoué notre filiation et lui ai expliqué que toute cette situation nous avait tous fortement échauffés.
Il était estomaqué et avait l'air un peu perdu, ne sachant plus quoi faire.
Pour le remettre sur les bons rails, je me suis positionné derrière ma femme afin de lui oter très délicatement et sensuellement son haut de maillot.
Il a écarquillé des yeux comme jamais il n'avait du le faire, tellement il avait vraisemblablement fantasmer sur cette poitrine la nuit dernière.
J'ai prit les deux seins à pleine main et les ai pelotés tendrement.
Ma femme ne disait rien, c'était le jeu, mais se faisait un plaisir de lui lancer des regards incendiaires.
Je lui ai dit de s'approcher de nous.
Il tremblait comme une feuille.
D'une, parce qu'il était dans l'eau depuis un petit moment et de deux, parce qu'il semblait apeuré de ne plus maîtriser la situation et de ne plus être dans la position du meneur.
Une fois tout près de nous, j'ai fait un pas en avant pour coller la poitrine de ma femme contre son torse.
Il était en transe.
Je lui ai demandé s'il bandait.
Et surtout, s'il bandait sur ma femme.
Un tout petit "Oui" tremblotant est venu me répondre.
Je voulais en avoir le coeur net alors j'ai tendu le bras et ai posé ma main sur son sexe.
Il a eu un réflexe de recul.
Cela devait être la première fois qu'un homme le touchait, même au travers d'un maillot de bain.
Le sentant réticent, je lui ai mit une sorte d'ultimatum.
Très simple.
S'il voulait espérer quoique ce soit avec ma femme, il fallait qu'il soit plus docile à l'avenir et qu'il ne se pose pas de questions.
Il a eu quelques secondes d'hésitation, puis est revenu se coller à elle.
C'était joué, il était à nous.
J’ai fait signe à ma femme de lui baisser son short de bain.
Alors j'ai retendu le bras et cette fois j'ai prit son sexe dans ma main.
Il n'a pas bronché.
Il ne regardait que ma femme, mais il n'a pas bronché.
Sa queue avait l'air épaisse. Pas trop long, mais bien épais.
Comme les aime ma femme.
Pendant qu'elle me caressait plus que sensuellement, je l'ai masturbé un peu.
Il semblait complètement dépassé.
Au bout de quelques minutes, pour le récompenser de sa docilité, je l'ai prévenu que nous allions lui accorder une faveur.
En contrepartie, il ne devait en aucun cas, poser la main sur ma femme.
Aucun contact ne lui était autorisé.
Il a acquiescé.
Alors pour continuer dans le jeu du dominant/dominé et afin de marquer définitivement les esprits et définir clairement qui était le meneur, j'ai posé ma main sur la tête de ma femme et je l'ai poussé vers le bas pour lui ordonner de lui faire une fellation.
Ce qu'elle a fait sans se faire prier, à nouveau.
Elle est descendu et remontée 3 fois avant qu'il ne jouisse dans la mer.
Il avait l'air apaisé.
Elle lui a donné un baisé sur la joue et nous l'avons quitté ainsi, le short de bain sur les chevilles, tremblant dans l'eau avec un sourire béat, en lui donnant rendez-vous le soir même chez nos amis.
En rentrant, nous n'avions plus qu'à mettre les pieds sous la table car nos amis étaient rentrés du boulot et tout était prêt.
Royal.
Ils nous ont demandé comment s'était passé notre matinée.
Ma femme, sans se démonter, leur a tout expliqué, en détail.
Maintenant que tout le monde était au courant, elle n'était pas du genre à se cacher.
Eux, écoutaient et n'en loupaient rien.
Et c'est donc tout naturellement, qu'ils nous ont demandé s'ils pouvaient être présent le soir, afin de nous observer et en échange d'avoir accepté que le prétendant de ma femme vienne chez eux pour s'amuser.
Nous avons accepté, bien évidemment et le repas s'est déroulé dans la bonne humeur.
Nos amis repartis travailler, notre sieste s'est transformée en "siexte" et ressemblait plus à un marathon du sexe qu'à un temps de repos.
Nous avons tout de même dormit un peu et fait l'impasse sur la plage cet après-midi là.
Le soir est arrivé.
L'heure du rendez-vous aussi.
Je suis allé chercher notre jeune audacieux.
Serait-il là ou allait-il abandonner, dépassé par les évènements ?!
Cela ne m'aurait pas vraiment étonné.
Mais il était là.
Impatient.
Nous avons un peu discuté sur le chemin.
Arrivés à la maison, il a été surpris de voir nos hôtes sur place.
Mais je ne voulais pas qu'il pense être tombé dans un piège ou le prendre par surprise en les faisant arriver plus tard, quand tout serait lancé.
Cela aurait pu tout gâcher.
Alors j'ai tout de suite mit les points sur les "i" en lui expliquant qu'ils ne seraient que spectateurs.
J'ai également réitéré mon ultimatum du matin en lui rappelant que ma femme lui serait offerte s'il était doux.
C'était sa corde sensible, car il semblait tellement avoir envie d'elle et prêt à tout pour la posséder qu'il accepterait beaucoup de chose, c'était sur.
Il s'est détendu.
Notre couple d'amis s'est installé dans un coin du salon, pour être les plus discrets possibles.
Ma femme, elle, n'était pas encore là.
Elle se trouvait à l'étage afin de faire monter un peu plus encore la pression.
Notre jeune homme n'en pouvait plus.
Je le sentais bouillir de l'intérieur.
Je lui ai dit de se placer au milieu de la pièce.
Je me suis positionné derrière lui, les mains sur les épaules.
La pression que j'exerçais sur ces dernières, suffirait à asseoir mon autorité.
Puis je l'ai appelé.
Elle, si belle et si désirable.
Elle descendait les marches de l'escalier une à une telle une déesse.
La décrire aurait été inutile tant elle était belle, envoûtante et excitante à la fois.
Elle avait réussi son entrée, car je sentais les jambes de notre étalon fléchir sensiblement.
Je ne voulais pas que cela traîne.
J'ai donc ordonné à ma femme de venir devant nous et de nous aguicher comme elle savait très bien le faire.
Mes mains toujours en pression sur ses épaules, je lui susurrais dans l'oreille des mots pour le mettre dans l'ambiance.
Je lui disais d'admirer cette splendide créature qu'il allait pouvoir posséder s'il était docile, tel un agneau, comme le matin même dans l'eau.
Je lui expliquais qu'il ne pouvait même pas imaginer à quel point cette femme devant lui, pouvait se transformer en terrible salope lorsqu'elle était surexcitée.
Elle ne parlait toujours pas, les règles du jeu n'ayant pas changées.
Cela donnait un côté plus mystérieux, à la situation.
Lui, par contre, ne cessait de répéter qu'il la voulait.
Je lui demandais alors s'il voulait la baiser.
Et surtout, s'il était prêt pour bien la baiser.
Je lui mettais la pression en lui répétant que cette femme qui se déhanche langoureusement devant nous, comme une chienne, faisait partie d’une catégorie de très haut niveau en matière de sexe.
Je lui mettais la pression en lui demandant s'il était prêt à aller au-delà de ses limites pour arriver à ses fins.
Mais plus je lui mettais la pression, moins il tenait en place.
Il répondait positivement à tout ce que je lui demandais.
Il était mûr.
Alors d'un regard, j'ai lancé ma femme à l'attaque.
Elle s'est approchée tout contre lui afin de se frotter et de vérifier si les machines étaient en marche.
Pas de problèmes de se côté.
Je lui tenais les bras pour qu'il ne la touche pas.
Je bandais, moi-même, tant elle m’excitait.
Sans un mot, elle me demandait de le déshabiller.
Et pendant qu'elle s'effeuillait, j'ôtais une à une, les frusques de notre jeune homme.
Le strip-tease a duré quelques minutes, sous les regards attentifs de nos amis.
Une fois nos deux protagonistes nus, elle s'amusa à tourner autour de nous en nous caressant.
Trois fois.
Puis elle s'est positionnée derrière moi.
Elle nous a étreint quelques instants ainsi puis s'est emparée de ma main et l'a dirigé vers le sexe en érection de l'audacieux, qui cette fois, n'avait pas eu de moment d'étonnement.
Il était vraiment prêt à tout.
C'était très bon signe.
Elle voulait donc que je le branle un peu.
Tout en caressant son torse, à mon tour, je le masturbais de mon autre main, pendant que ma femme continuait son show d'allumeuse et sous les yeux médusés de nos amis, qui ne s'attendaient sûrement pas à cela.
La connaissant parfaitement, je voyais ma femme rentrer totalement dans le jeu, excitée par ce jeune mâle qui lui avait fait du rentre dedans toute une journée et par la présence d'un auditoire improvisé.
Elle s'est accroupit devant lui et lui a infligé une terrifiante fellation.
J'espérais pour lui qu'il avait eu la présence d'esprit de vider son chargeur avant de venir ici, car cela serait très dur pour lui dans le cas contraire.
Pour corser le tout, je lui demandais de me déshabiller en même temps.
Il l'a fait, avec beaucoup de difficultés.
Nous étions donc tous les trois nus.
Toujours debout et derrière, je me suis collé à lui, ma queue en effervescence dans la raie de ses fesses.
J'ai approché ma bouche de son oreille et lui explicitement dit que s'il voulait baiser ma salope de femme, il fallait que lui même devienne ma salope.
En lui disant çà, je lui ai caressé l'anus avec ma queue.
Son absence totale de réaction signifiait qu'il était d'accord et que mon travail de sape avait fonctionné.
J'ai donc reprit ma pression sur ses épaules pour le mettre à genou.
Ma femme lui a indiqué le chemin à prendre en avalant d'un trait mon sexe.
Il a ouvert le bec machinalement et je lui ai fourré ma queue dans la bouche.
Il était complètement passif.
Il ne me suçait pas, c'est moi qui lui baisait sa petite gueule.
Cela a duré quelques minutes et le temps de retirer le préservatif, je lui ai éjaculé sur le visage.
Aussitôt, ma femme s'est précipitée pour lécher ma semence qui coulait le long de la joue de mon soumis.
Nos amis, dans leur coin, ne disaient pas un mot mais semblaient complètement abasourdis.
Lui avait l'air un peu réticent mais elle, elle paraissait totalement subjuguée.
Elle ne perdait aucune image du spectacle qui leur était offert.
Ne perdant aucune seconde, ma femme s'était allongée sur le lit, attrapant la tête de son amant pour qu'il la lèche.
Il ne se faisait pas attendre et était plus actif, car c'était un domaine qu'il connaissait mieux.
Mais son répit était de courte durée car je n'en avais pas terminé avec lui
Son petit cul m'attendait.
Ma femme lui maintenait la tête dans son sexe pendant que le lubrifiais de mon pouce.
Son petit trou dilaté, j'ai présenté mon gland et l'ai pénétré sans trop de difficultés.
Mes va-et-vient lui ont arrachés des cris mélangés de douleurs et de plaisir.
Ma femme observait la scène avec beaucoup d'attention et je sentais son excitation dans son regard.
Elle adorait me voir jouer les dominateurs avec d'autres hommes.
Cela l'excitait.
Alors plus elle me regardait, plus je baisais ce petit puceau comme un fou.
Pour le terminer, je l'ai mit sur le dos, les quatre fers en l'air et je l'ai ramoné violemment pendant que ma femme le suçait.
Il criait qu'il n'en pouvait plus, que c'était trop bon.
Je le traitais de salope, de petite pute, de pédé et il aimait çà.
A nouveau, juste le temps d'enlever la capote, je lui ai craché sur la bite pour que ma femme puisse encore se délecter de mon sperme.
Il était complètement épuisé.
Il lui a fallu de longues minutes pour se remettre.
Nos amis avaient passés le stade de l'étonnement et sans surprises, ils se caressaient discrètement.
Ma femme, elle, se trémoussait sur le lit.
Elle n'avait pas eu sa dose.
Je me suis donc tourné vers notre nouvel ami pour lui dire que j'en avais fini avec lui et qu'il pouvait faire ce qu'il voulait de ma femme.
Il ne lui en a pas fallu plus pour se requinquer en quelques secondes.
De nouveau au garde-à-vous il l'a attrapé et lui a aussitôt fourré sa queue dans le gosier pour terminer de le remettre d'aplomb.
Je voyais qu'il avait l'air remonté et décidé à faire payer à ma femme ce qu'il venait de subir.
J'avais raison.
Aussitôt prêt, il l'a mise à quatre pattes et l'a attaqué directement dans l'anus.
Il voulait retrouver sa position de meneur qu'il avait l'habitude d'avoir.
Il l'a traitait de tous les noms.
Elle adorait çà.
Plus il l'insultait, plus elle en redemandait.
Alors je suis intervenu et nous avons baisés cette putain à deux.
Ce petit salaud était bien endurant et cette épaisse queue mettait ma femme dans tous ses états.
Il l'a baisé par tous les orifices pendant longtemps, jouissant de nombreuses fois sur son corps et se vengeant de l'humiliation qu'il avait endurée.
Mais il avait l'air d'avoir apprécié tout de même puisque tard dans la nuit, il m'a demandé de l'enculer à nouveau pendant que ma femme le sucerait.
Et tout cela, sous les yeux de nos amis qui, s'ils n'ont pas participés, ont appréciés jusqu'au bout de la nuit.
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