Couple, la quarantaine, humilié à la sécurité

- Par l'auteur HDS Alexlucie -
Récit érotique écrit par Alexlucie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Couple, la quarantaine, humilié à la sécurité Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couple, la quarantaine, humilié à la sécurité
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Alex, j'ai 39 ans. Je suis marié depuis 14 ans avec Lucie. Je mesure 1,85m pour 90kg, bien bâti mais l'arrêt du sport ces dernières années à fait naître un léger embonpoint. Lucie, ma femme, est institutrice et vient de passer ses 40 printemps. Nos 3 enfants ont formé son corps. Elle mesure 1,65m pour environ 70kg: des hanches larges, des fesses un peu rondes, de belles cuisses généreuses, un ventre un peu assoupli et un bonnet B bien gonflé. Blonde avec quelques mèches blanches naissantes, elle a de beaux yeux gris bleus. Ce n'est pas exactement le genre de femmes sur laquelle on se retourne dans la rue, mais j'adore son physique, ses fesses, son ventre, ses seins, la courbure de ses hanches... Notre sexualité n'est pas exceptionnelle, Lucie étant assez prude et peu à l'aise avec son corps, mais je m'en suis contenté et on s'aime tous les deux tendrement.

J'avais décidé de nous offrir quelques jours de repit. Nos billets d'avion pour Miami en main, nous étions à l'aéroport CDG pour embarquer. C'était les vacances de Pâques, et l'aéroport était bondé. Lucie était confortablement vêtu d'un jean qui moulait ses formes, d'un tee-shirt un peu informe et d'un pull par dessus. J'ignorais ce qu'elle avait en dessous... Pour ma part, je comptais sur ce voyage pour réveiller un peu sa libido et j'avais prévu dans mes bagages quelques jouets dont Lucie était friande... J'étais vêtu d'un classique jean-teeshirt-pull capuche...

Nous étions un peu en retard et arrivâmes en courant au contrôle de sécurité. Il faisait chaud dans cet aéroport et nos vêtements n'étaient pas adaptés à cet exercice de derniere minute. Alors que nous vidions nos valises pour mette nos affaires sur les tapis roulants de contrôle, nous eûmes la surprise de retrouver Stephane, qui etait le stagiaire de Lucie. Les relations étaient un peu tendues entre eux, et Lucie n'avait pas l'air ravi de le revoir. Il était accompagné de sa femme Aurelie, une femme fort belle, 1m75 et sans doute 65 kg, brune et bien habillée. Le contraste avec ma femme, un peu transpirante après notre course était assez flagrant... J'eus franchement l'impression qu'elle se moquait un peu de l'allure de ma femme... Après un bref échange courtois, Lucie n'était pas mécontente de s'échapper lorsque l'officier de sécurité lui indiqua de passer sous le portique.

- "Avancez vous madame, mains relevés s'il vous plaît" Lucie s'avança dans la machine, qui bippa presque aussitôt.
- "Madame, votre pull gêne la machine, veuillez l'enlever et recommencer s'il vous plaît" Ma femme s'exécuta immédiatement. De ses mouvements un peu gauches, elle commença à passer son pull au dessus de sa tête. Son tee-shirt, trop petit, se prit dans le pull et devoila son bidon un peu gras jusqu'au nombril. On voyait clairement un bourrelet dépasser par dessus le jean, et Lucie remis nerveusement son tee shirt en place. Stepane n'en avait pas perdu une miette et se tourna vers sa femme en pouffant de rire... "Connard" me disais-je, c'est peut être pas un top modèle mais je l'aime...
Lucie se représenta dans la machine. En levant les bras, son tee-shirt se releva à nouveau, dévoilant son nombril. Les manches étaient également relevées, et on devinait une petite auréole de sueur. Ses aisselles n'étaient pas parfaitement entretenues et quelques poils naissant étaient clairement visibles. Elle me faisait presque bander dans cette position, mais je savais qu'elle se sentait déjà mal à l'aise. Et j'entendais Aurelie, qui ne se gênait plus, commenter la négligence de ma femme.
- "T'as vu ça Stéphane, elle a même du poil sous les bras... J'ose pas imaginer sa touffe !" j'étais abasourdi par ces paroles mais je n'allais pas faire une esclandre ici... Stéphane reprit de plus belle:- "Ahaha arrête j'ose pas imaginer non ! Et regarde l'agent de sécurité, il a remarqué aussi, il se marre comme un bossu" Effectivement, l'agent de sécurité montrait Lucie du doigt et se moquait ouvertement d'elle.
Au bout de quelques secondes, la machine reprit son "bip" strident... Ma femme me regarda interloqué alors que j'avais passé le portique sans encombre...
- "Madame, il va falloir nous suivre pour un contrôle plus approndi."- "Mais c'est ridicule", dit Lucie, "je n'ai rien sur moi" - "Nous verrons ça au contrôle. Suivez nous avec votre mari s'il vous plaît" - "Lucie, dis-je à ma femme, suivons ce monsieur, ça ira sans doute vite..." À ce moment, je vis Stéphane en grande discussion avec l'agent de contrôle qui etait resté en retrait... Ils avaient l'air de franchement se marrer en nous regardant et je n'étais pas mécontent de m'éloigner d'eux...
Nous n'avions même pas pris soin de remette nos chaussures enlevées lors du contrôle, et c'est en chaussettes que nous rentrames dans un bureau avec une petite fenêtre donnant sur l'intérieur de l'aéroport, une table posée au milieu et quelques chaises. Cette fenêtre me rassura : on allait échapper à la fouille au corps.
L'agent de sécurité se prenomait Alain (c'était marqué sur son badge). Environ 55 ans, barbu, les mains un peu sales et franchement bedonnant... Il appela assez vite une collegue à lui:- "Nadia, vient t'occuper de madame pendant que je m'occupe de monsieur !" Nadia avait un physique lourd, sans doute une bonne cinquantaine d'années, le corps recouvert d'une blouse informe. De type maghrébin, elle était fort maquillée et avait le visage dur des femmes ayant connu les métiers réservés aux immigrés dans notre pays : ménage, etc.
La porte du bureau était resté ouverte, ce qui acheva de me rassurer sur la suite.
Ma femme était toujours en tee-shirt, et Nadia lui fit:"Madame, nous allons procéder a la fouille de vos bagages. Faites votre possible pour nous faciliter la tâche" "Pas de problème, fit ma femme.""Bien. Remettez vos mains au dessus de votre tête s'il vous plaît""Toi aussi" me fit Alain sur un ton agressif. Le tutoiement me surprit. "Pourquoi donc"? Demandai-je ? "Mesures de précaution au cas où vous tenteriez de prendre quelque chose dans votre sac pendant qu'on le fouille". Je ne voulais pas faire d'histoire, mais en repensant au sac de jouets que j'avais dans ma valise, je me mis à paniquer un peu en imaginant la tête des contrôleurs... En tout cas, Alain avait l'air d'apprécier le spectacle de ma femme dans cette position. Il ne parvenait pas à détacher ses yeux de son ventre rebondi et de ses aisselles.
"En tout cas tu ne risques pas de trouver de rasoir apparemment" rigola-t-il a destination de Nadia, qui avait commencé à ouvrir la valise de ma femme.
En tournant la tête, je vis Stéphane et Aurelie qui s'était installés sur des sièges e face de la porte du bureau : ils ne perdaient pas une miette de ce qui se passait à l'intérieur ! Et ils semblaient ravis de la situation...
Nadia commença par regarder dans le sac à linge salle de ma femme (nous avions fait une nuit à Cdg avant le vol). En tombant sur la culotte portée par ma femme hier, elle l'etira devant ses yeux et personne ne put rater la traînée sombre au fond de celle-ci.
"Decidement on se néglige"! Rigola-t-elle en exhibant la culotte à son collègue. Ma femme était cramoisie de honte, je sentais sa respiration augmenter et elle exhalait une délicieuse odeur de légère transpiration ainsi, les bras ouverts... Sa gêne ne fit qu'empirer lorsque Alain passa la culotte usagée sous son nez et rigola "ahhh cette odeur de petite mouille... Tu me laisse pas indifférent cochonne". J'étais abasourdi du ton employé et dit à l'agent "hé ho, pour qui on se prend la ! Je vais appeler vos supérieurs!" et je fis mine de m'en aller. Immédiatement, Alain me prit le bras et me dit "on finit vite et on vous laise partir, ou je peux te garantir que vous ratez votre vol". Je regardais Lucie, un peu tremblante, mais qui me fit un signe de la tête pour me dire que c'était OK. Jallais reprendre la position quand Nadia lâcha ": toi, retire le pull et le tee-shirt. Toi, retire ton tee shirt trop petit" Sans trop comprendre, j'allais mexecuter quand japercus le regard goguenard de Stéphane et Aurelie à travers la porte ouverte.
"Monsieur l'agent, fermons la porte s'il vous plaît" -, Vous avez raison" me dit il. Soulagé, je fus extrêmement surpris lorsqu'il fit un signe à Stéphane et Aurelie pour qu'ils nous rejoignent dans le bureau !
"Que faites vous"?!? Demandais je ?
"Ces deux personnes vont également être contrôles, je les fais donc passer dans ce bureau pour accélérer les choses... Vous ne voulez pas rater votre avion, n'est ce pas ?
Stéphane et Aurelie rentrèrent dans le bureau d'un air conquérant et l'œil assez mauvais... Ils prirent deux chaises et s'assirent dans un coin d'où ils avaient une vue parfaite sur nous deux. Face à nous, ils commentaient le physique de Lucie "Je suis pressé de voir la suite, sacré morceau de bidoche" lâchait Stéphane. "Thon au naturel" lâcha Aurelie dans un gloussement"Allez, on se desappe" lâcha Alain.
Je retirait mon pull et mon tee-shirt en même temps, dévoilant mon torse poilu, un peu gras mais vaillant. J'étais passablement excité et j'avoue que je commençais à bander sévèrement. Lucie retira son tee-shirt et laissa apparaître un soutien gorge simple, en coton. Elle repris sa position bras levée et j'étais ému de voir son corps se dévoiler... Peu à l'aise, je goutais aussi de la voir ainsi exposée... Ses seins n'étaient pas énormes mais on les devinait à travers ce soutien gorge, et plus rien ne cachait son ventre rebondi qui me plaisait mais ne répondait pas aux criteres de beauté actuelle. Aurelie continuait ses remarques peu avenantes sur les bourrelets de ma femme au niveau du soutien gorge. Nadia continuait de vider la valise et jetait toutes les culottes de ma femme par terre, au pied de Stéphane qui les commentait au passage. Lucie avait pris quelques vêtements un peu plus hots, dont certains strings transparents sur le devant... "Avec la touffe qu'elle doit avoir, ça doit déborder de partout" lâcha t il. Je ne cherchais même plus à répondre, et Lucie avait cessé de résister, exposée ainsi devant son stagiaire et sa femme. "Je savais pas que tu portais des vêtements de salope ! Dit il. Tu sais que ce que ça me fait de voir ma supérieur en sous tifs !?". Lucie était humiliée de savoir son stagiaire la mater comme ça. Elle se rassura en se disant que ce serait bientôt fini, et à vrai dire elle ne montrait pas plus que ce qu'elle avait pu lui montrer lors des cours de piscine avec les élèves. Elle stressait de savoir comment la suite allait se passer mais en même temps, se savoir ainsi exposée l'excitait et elle sentait une chaleur envahir son bas ventre...

"Allez, on continue la fouille. Changement de positions, Penchez vous en avant"! Lâcha Alain "Tous les deux !" Sans comprendre, ma femme et moi nous penchames. Les seins de ma femme pendaient, juste retenus par le soutien gorge qui ne cachait plus grand chose. Alain passa derrière elle et mis se mains sur ses hanches, sur la peau douce de ses belles hanches de femme. Il remonta doucement en palpant son ventre, effleura la couture du soutien gorge et remonta jusqu'aux aisselles mal entretenues. Il joua quelques instants avec le fin duvet des aisselles, puis entreprit de s'attaquer au devant. Ma femme, toujours penchee en avant à 90 degrés, pouvait voir la tête hilare de Stéphane, son assistant, qui ne perdait pas une miette du spectacle. "Hé mais regarde ça, elle a le bide qui pend ! Ouahhh ça doit remuer sévère quand on la tringle !" lâcha Aurelie. La belle brune prenait un plaisir évident à humilier ma femme... Toujours placé derrière elle, Alain touchait maintenant son ventre en petrissant doucement les bourrelets, puis remonta vers les seins.
"Hé ho m'écriais je, d'abord ce devrait être une femme qui fait la fouille, ensuite ça devient indécent ! Laissez nous partir !" mais ma voix était rauque et pleine de désirs. Nadia me dit "Ta gueule, je vois que tu bandes. Ça t'excite de voir ta grosse tripotee par Alain et exposé comme une vache, dis le bordel" Abasourdi, je ne répondis rien. Lucie transpirait de honte et vit la bosse déformer mon pantalon... Oui je bandai, voir ma femme dans cette position était terriblement excitantAlain petrissant maintenant à pleine mains les seins de ma femme, quand tout à coup Nadia dit "allez la vache, on sort les mamelles, faut qu'alain puisse voir la dedans". Ma femme se releva pour protester mais Alain lui fit une clé de bras immédiatement "C'est la procédure alors tu fermes ta gueule ! Remet toi en avant et dégage moi ce sois-tif". Résigné et tremblante, ma femme repris sa position. "Putain on va voir les pis de cette truie, qu'est ce que je vais me marrer en montrant les photos de toi aux collègues, hein Lucie !". "Je t'en supplie Stephane, range ce téléphone, par pitié !", supplia ma femme mais ce fut sans effet. "Dégage ce sous tif la truie" beugla alain, et regarde Stéphane dans les yeux en le faisant". Ma petite femme, penchée en avant, regarda alors Stéphane dans les yeux. Elle passa ses mains dans son dos et degrafa la soutien gorge qui tomba immédiatement par terre. Les mamelles furent libérés et les tetons de ma femme qui pendaient était un spectacle formidable.
"on sent la femme qui a vecu" dit alors Stéphane, mais ça reste des seins qu'on a envie de peloter bordel""Vous voulez ?" dit Alain ? Je n'en revenais pas, lagent de sécurité bedonnant offrait ma femme en pâture à son stagiaire !!! Stéphane se leva d'un bond mais Aurelie l'arrêta. "Attends un peu elle est toute transpirante"! "Effectivement" fit Nadia. "on va arranger ça !" "relève toi la truie, et les mains derrière la tête !" Mécaniquement, Lucie se releva, exposée torse nue, les bras derrière la tête. "Connard, va me nettoyer tout ça avec ta langue, et que ça saute ! Et enleve ton jean ça va te gêner !" avec beaucoup de honte, je comprenais: Nadia voulait que je vienne lecher les aisselles ma femme pour la rendre présentable à Stéphane. Je retirais mon pantalon et me retrouvait en chaussettes et boxer, dont l'élastique était nettement tendu. Je ne l'ai pas précisé, mais je metais soigbeusenment rase le sexe avant de partir pour surprendre Lucie et on voyait poils rases au dessus de mon boxer, en dessous de mon nombril. J'étais honteux et je me présentais en face de ma femme, je me baissais pour la lecher, rendant la position incomfortable et mal pratique. Au moment de sortir ma langue dans la chaleur de ses bras, Aurelie dit "Alain, Alex n'est pas à l'aise là... Amenez donc la table au milieu". Alain s'exécuta et la table fut positionne. "Monte dessus et a 4 pattes, connard" lança t-il. Je montais sur la table et me retrouva à 4 pattes, la tête relevée pour atteindre les dessous de bras, montrant mon boxer à Stéphane et Aurelie, et bien positionné pour lecher les aisselles de Lucie. Pendant que je donnais des longs coup de langue, j'entendais Stephane glousser sur ma position et mon asservissement "Il aime bien nettoyer sa truie apparemment, regarde sa bite"! "effectivement le tissu était déformé et je prenais effectivement du plaisir à nettoyer ma petite femme de sa transpiration...
Tout à coup, on entendit Nadia s'écrire" oh ! Mais regardez moi ca !! Le connard voulait profiter de sa truie pendant ce petit voyage !!! Ils sont mignons !!! " elle exhibant fièrement le sac contenant le rosebud et le god rose que j'avais emporté... Aurelie était morte de rire et Alain commençait a baver legerement. Pendant que je mappliquais avec ma langue, ce gros porc malaxait ses seins sans ménagement et remuait vulgairement son ventre et ses hanches...
Nadia se rapprocha de moi avec les jouets en main... Elle tenait le rosebud dans la main droite. Elle s'approcha alors, et en un geste, defit l'ouverture de sa blouse. Elle ne portait aps de soutien gorge et sa grosse poitrine flasque pendait quasiment jusqu'au milieu de son ventre. Elle releva alors les bras et me dit "puisque tu aimes ça, nettoie moi aussi bordel". Je mappliquais alors à mettre la langue dans les replis de ses aisselles. L'odeur était forte mais supportable, et à ma grande surprise elle était parfaitement epilee. Elle se releva alors et baissa mon boxer... À la grande joie de Stepane et Aurelie qui virent ma raie apparaître devant eux. Elle baissa mon boxer jusqu'au genoux "Ecarte tes jambes connard". Jecartais au maxium de ce que permettait l'élastique, dévoilait mes couilles pendantes au couple. "Ohhh mais il s'est rase la bite cette lopette, regarde comme c'est mignon...", "Ecarte tes fesses connard, je vais te mettre un bijou dans le cul !" Jecartais mes fesses avec mes mains en regardant ma femme torse nue devant moi, ses yeux étaient pleins de larme et de degout, mais ils brillaient aussi d'une excitation lubrique... J'étais extrezment surpris quand Alain delaissa les mamelles de ma femme pour venir derrière moi et commeca à me titiller la raie... Il massa doucement mon trou puis enfonça le rosebud progressivement, sous les encouragements de Stéphane et Aurelie. "Quand je vais raconter ça à l'école, quel pied on va prendre avec les collègues... Lucie, on va te prendre tous les jours, tu le sais ça ?" Lucie regardait son assistant avec haine pendant qu'alain en finissait avec moi. Un petit "glops" indiqua que le bijou était en place. C'était un modele rose avec un faux diamant sur la face visible , je devais être passablement ridicule avec ça...
"Bon le toutou, descend de la table et fous toi debout, les mains derrière la tête" "on av s'occuper de ta petite truie maintenant !" et fais pas tomber ton bijou sinon... ". Je descendais maladroitement de la table en serrant les fesses pour ne pas perdre le bijou, et vint me positionner à côté de la table, face à steohae et Aurelie, toujours assis. Ma bite etait dure comme du bois et mousait d'excitation." La lopette en peut plus" lança Nadia en passant sa min sur ma bite...
"La truie, la truie, la truie" criait Aurelie. Ma femme dit alors "ça suffit, je vous en prie... Mon mari est humilié comme jamais, restons en la, je vous en supplie"... ALAIN explosa alors d'un rire gras et se positionna devant ma femme. Il s'approcha d'elle et fourra sa langue dans sa bouche sans ménagement. J'étais à 50xm de cette scène et ça me dégoûtait... Il léchait maintenant qusimene son visage... Au bout dz 30s, il dit "il vous reste 1h avant le vol. Toute la scène a été filmée. Si vous voulez que j'envoie ça à votre directeur, allez y. Sinon, tu fermes ta gueule et tu montes sur la table" Résignée, ma femme ne put se résoudre à perdre son poste. Elle monta donc sur la table. "debout la truie" HURLA Nadia. Ma. Femme. Se releva et je mapercus alors que tout le hall pouvait ainsi voir ma. Femme exposée, via la petite fenêtre... Personne ne regardait dans cette direction pour le moment, mais merde !
Lucie se retrouva debout. "Allez, à poil" trepignait Aurelie... "Tu as entendu" fit Nadia, enleve donc ce jean qu'on voit ce que tu caches bordel.
Ma femme defit gauchzmzent les boutons et enleva sa ceinture. Pendant ce temps, le garde avait fait tombé son pantalon et se touchait la bite qui tendait son slip ... J'avais tellement peur de la suite... Nadia avait également enlevé sa veste et se retrouvait torse nue, vêtue d'un simple slip.
Lucie se tortillait pour descendre son jean. Elle regarda par la fenêtre et, dans un soupir, fit glisser son jean, révélant une culotte de coton bien sage. Comme prévu, la toison était un peu négligée et des poils s'échappaient de la culotte. Lucie mit les mains devant son sexe, mais Alain hurla "la position bordel" et ma femme remit les mains derrière la tête. Aurelie ne put s'empêcher de commenter "oh lala le morceau de viande mal dégraissé, ça sent la chatte mal entretenue tout ça ! Mate ses poils !" Elle n'avait pas encore enjambe le pantalon qui gisait à ses pieds. Stéphane se leva et se dirigea vers la table pour la première fois... "Lucie, dit il, levez donc la jambe droite". Il avait repris le vouvoiement et ma femme leva la jambe pour qu'il prenne le pantalon. Ce faisant, debout sur la table, elle devoila encore un peu plus ses poils. Sa culotte moulait ses formes généreuses et ses belles cuisses puissantes, blanches. L'élastique de coton blanc était clairement limite pour contenir le ventre, et Syepahbie dit "putain y'a à bouffer la dessus". "Tourne toi la truie, je veux voir ton gros Cul". Toujours en position, ma femme se tourna sur elle même et présenta sa culotte de coton. Les Fesses tombaient un peu mais c'était quand même très excitant. Le garde bavait en se troturanr la bite, il n'en pouvait plus de regarder le cul de Lucie. "Oh oh fit Aurelie, mais ma parole tu as souillé ta culotte ?!" effectivement, personne ne pouvait rater une tâche jaunâtre en formation sur la culotte blanche de ma petite femme. "Tu aimes ça te desapper devant nous la truie, tu mouilles comme une grosse salope ! Allez dis le !" j'entendis alors ma femme dire timidement "j'aime ça être à poil devant vous et devant mon stagiaire". "Plus fort et mieux que ça connasse, sinon je te jette dans l'aéroport dans cette tenue" cria Nadia. "Jaime ça, je suis une truie, une vache bien grasse et jai souillé ma culotte en mouillant comme une pute" hurla t elle alors. J'étais horrifié de ses paroles mais cela me faisait bander de plus belle et ma bite était maintenant decalottee". "ahahahaah fit Aurelie, c'est bien la truie, et ta lopette apprécie. Allez, montre nous ta chatte bordel" "Alain, dit Stéphane, tu m'autorises à lui baisser sa culotte"? Et joignant le geste à la parole, il baissa doucement le tissu. Ma femme était de dos par rapport à l'assistance, debout sur cette table, les mains toujours derrière la tête. La raie de ma femme apparut doucement, puis entièrement... Arrivé juste sous les fesses, Stéphane s'arrêta et demanda à Lucie de se retourner pour dévoiler sa chatte. Effectivement, les poils de Lucie étaient nombreux et brousailleux, de toutes évidences ça faisait longtemps que le rasoir n'était pas passé par la.. "ouahou quelle touffe de truie !!!" fit Aurelie... Maintenant que tout le monde voyait sa toison, Stéphane continua de faire glisser la culotte et s'arrêta au niveau des chevilles. Lucie était en chaussette, culotte baissée, mains derrière la tête, et elle exposait sa chatte touffue à toute l'assemblée qui avait pris place en face d'elle. J'étais à côté, la bite tendue et le rosebud dans le cul"Écartes tes pattes la truie !" lâcha Aurelie. Ma femme ecartait doucement ses jambes, dévoilant l'intérieur de ses cuisses blafarde, puis l'intimité de sa chatte. Ses lèvres pendaient un tout petit peu, et on pouvait malgré les poils deviner sa fente, puisque Lucie était debout sur la table. Je réalisais alors avec horreur que 2 badauds étaient à la fenêtre en train de regarder frénétiquement la scène. Quand la culotte fut tendue au maximum, Lucie était totalement exposée, les grandes lèvres étaient ouvertes sur sa chatte baveuse, on voyait des filets de mouille pendre ça et la de ses poils... "Ahaha on a la truie qui mouille d'être humiliée et le petit mari qui bande de la voir comme ça... Ils sont mignons" fit Aurelie. Lucie était quasiment cramoisie, ses grosses jambes tremblantes, la chatte degoulinante et poilue, de la sueur coulait entre ses seins... Drôle de tableau qui mexcitait au plus haut point. Stéphane avait entrepris de tout filmer et aucun cm du corps de Lucie ne lui échappait. Il alternait les plans larges et les plans rapprochés par en dessous sur sa grosse chatte baveuse.
"penche toi en avant ! Très bien ! Les seins de Lucie pendaient à nouveau. Elle avait à présent les mains sur la table, et les jambes toujours écartées au maximum, la culotte autour des chevilles". "Bien la truie ! Maintenant tu vas te tourner doucement pour nous montrer ton cul, en gardant les mains à plat"! La position était très inconfortable et Lucie se déplaçait maladroitement pour se retourner. Son ventre et ses seins tremblaient à chaque mouvement. À mi position, elle exposa son cul aux badauds qui étaient à la fenêtre... Elle continua sa rotation et se retrouva donc penchee en avant, le cul tendu vers l'assistance. Dans cette position, sa fente luisante apparaissait et son trou du cul bien rose netait cachée que par les plis de ses fesses charnues. "Connard ! Lacha Nadia, viens écarter ses grosses fesse ! Je veux voir le trou du cul de ta vache". "Ouaiiiis" fit Stéphane, "ça va valoir cher le cul de Lucie pour notre directeur" Je me dirigeais donc vers ma femme, toujours le rosebud dans le cul, et commençait à écarter ses fesses, laissant apparaître son petit trou bien lisse, la nature ayant décidée de ne pas la doter de poils à cet endroit là.
"J'ai envie de lui prendre le cul" grogna Alain"Certainement", fit Nadia, mais même d'ici il me semble que ce cul soit négligé lui aussi... Je me trompe, la truie ? " Alain, fous le nez dans le cul de la truie et dis nous tout !" Trop content, Alain se rapprochait du cul écartelé. Je fis se rapprocher Lucie du bord de la table pour faciliter la manœuvre, et le garde engouffra sa tête dans le cul de ma femme en agitant frénétiquement son nez. Ma femme tremblait d'aise. Effectivement, il arrivait parfois que l'odeur de son cul soit un poil excessive. Rien de gênant mais c'était indéniable.
"La truie sent du cul, alain ?" "Tres légèrement", dit il en se retirant.
L'air était saturé d'odeurs corporelles. Le garde avait sorti sa bite... Nadia s'écria alors "bien ! On va encore appeler la lopette pour nettoyer tout ça alors." Lucie, va aux toilettes la bas, mais attention à garder ta culotte sale attachée à tes chevilles ! Tu laisses la porte ouverte évidemment pour qu'on puisse tous te voir te soulager. Pendant ce temps là lopette, monte sur la table et mets toi sur le dos" Résignée, Lucie se dirigera maladroitement vers les petites toilettes attenantes au bureau, en Alexhant par petit pas pour garder la culotte en place sur les chevilles. La vue depuis le bureau était imprenable. Lucie s'assit sur la cuvette. "Ecarte les cuisses la truie"! Cria Aurelie. Ma femme était assise sur ces chiottes, ses grosses cuisses écartées au maximum, les chaussettes encore présentes et la culotte aux chevilles lui donnaient un air ridicule. Sa fente était clairement visible et on vit soudainement le petit jet sortir de sa chatte. "Soulage toi bien sale truie, allez pousse" lança Nadia. Alain s'était avancé et se tenait au sol, à 15 cm de la chatte de Lucie qui se vidait. N'y tenant plus, il se leva et dechargea sur la tête et les seins de ma femme. "La lopette nettoiera" rigolait Aurelie. Ma femme était couverte de sperme, les cuisses écartées, la chatte gluante et elle poussait. Elle avait perdu toute dignité. La position assise, les jambes écartées, un peu penchée en avant, renforçait les bourelelts de son bide et les quolibets fusaient "quelle truie ! Mais quelle truie !" Stéphane continuait son reportage et son mobile filmait la tête de Lucie, les cheveux plein de sperme. Il secouait ses seins et son bide avec ses mains et la pelottait allègrement, tout en filmant les détails de sa chatte et de ses lèvres écartées sur cette cuvette de chiotte. Stéphane fit un gros plan sur son clitoris qui était bien visible, gonflé. "Allez pousse bordel hurla Aurelie, tu mérites qu'on te lâche comme ça dans le terminal !!!". Morte de trouille, Lucie, dans un dernier effort, parvint à se soulager les intestins. Elle fit alors le geste de s'essuyer mais restait interloquée lorsque Nadia dit "ah ma belle, les réductions de budget ici... On n'a pas de papier, mais ton leche cul de Mari est la pour ca ! Viens sur la table ! Et garde bien ta culotte dégueulasse autour des chevilles ! Lucie avait compris... Alex allait lui servir de PQ et la nettoyer, comme il a nettoye sous ses bras auparavant. "Voilà, très bien, tu te mets deboit sur la table... Mains sur la tête... Lopette, glisse toi entre ses pattes, la tête sur la culotte... Bien... La truie, tu descends lentement ta croupe...,Voilà et tu descends lentement... Lopette, sort la langue !" Lucie descendait lentement, sa chatte gluante s'écartant au fur et à mesure de sa descente. Elle degoulinait littéralement de mouille et de pisse mêlée, et je fourrais avec avidité ma langue dans la chatte de ma femme. Elle commençait à haleter quand Nadia dit "Bien ! Maintenant, tu te retournes ! Lopette, Ecarte son gros cul et fous ta langue là dedans ! Je ne veux plus rien voir !" par chance, le cul n'était pas si sale et lechais son trou avec avidité. Il y avait quelques odeurs mais globalement je macquittais de ma tâche avec plaisir, et ma bite commençait franchement à me faire mal." Tu aimes ça lecher ta truie sale hein lopette" "Oui" mecriai-je ! "Bien ! Descend de cette table tu as bien nettoye la truie, on va pouvoir en profiter ! Dégage de cette table ! La truie, fous toi sur le dos, et laisse dépasser tes jambons du bord de la table ! Lopette, relève toi et viens lecher la semence demain sur ta truie ! Je me relevais rapidemznr et donnait des grands coups de langue pour recueillir le sperme d'Alain. Lucie avait les cuisses écartées au maximum et offrait sa chatte béante et son cul en spectacle à Nadia, Aurelie et Stéphane qui continuait à tout filmer. Une fois le sperme nettoyé, Nadia dit "Bien lopette... Assis toi en écartant les jambes entre les jambons de ta truie !" je me retrouvais par terre, la tête tour près de la chatte de ma femme, entre ses cuisses. Le rosebud était toujours dans mon cul. C'est alors que le garde arriva, et mis sa bite à l'entrée du con de ma femme. Il rentra sans difficulté, Lucie poussant un soupir d'aise. J'étais à 5 cm de sa bite et et je le voyais pistonner la moule de Lucie. Parfois il ressortait, des fils de mouille plein la bite, et re rentrait. Au bout de 3 mn, Nadia lui dit "La truie à le cul propre, profite en Alain". Le garde sortit alors son sexe, me le donna à lecher et le positionna sur le petit trou de Madeibne. Je lui avais bien assoupli avec la langue et il rentra doucement... Centimètre par centimètre, il rentrait sa bite dans le cul de ma femme... Celle ci était occupée à lecher la chatte de Nadia, qui a son tour s'était accroupi au dessus de la bouche de Lucie après s'être mise à poil. Stéphane ne ratait rien du spectacle avec son téléphone... "C'est le directeur qui va être content, lui qui me parle du cul de cette truie tous les jours".
Au bout d'un moment, Alain se figea. Il venait de lâcher sa semence dans le cul de Lucie. "Ogghh la truie est pleine !" dit Aurelie ! Lopette, leche moi ça ! Alain pris les jambes de ma femme pour lui relever. Je me mis alors en position devant son cul et me mis à lecher avec avidité le sperme qui en degoulinait. Nadia hurlait sous les coups de langue de Lucie. Son cul peinait à se refermer après les coups de boutoir d'Alain, et Stéphane en profita pour lui planter le god dans le fondement. L'engin rose dépassait de 5 cm du cul de Lucie...
"Allez lopette ! Tu l'as mérité ! Branle toi sur ta femme ! Je ne me faisais pas prier et mastiqauit le manche sur Lucie." "Jute sur son gros bide et ses seins !" jexplosais en effet sur son ventre et la naissance de ses seins, dans un râle de jouissance totale. Lucie était la tête sur le côté, les joues pleine de la mouille luisante de Nadia et pleine de mon sperme.

"Allez allez, votre avion va partir !" Alain nous lança une nuisette pour ma femme qu'il avait trouvé dans ma valise. "Mais !?" dit Lucie... Et le reste ? "ahahahha on le garde en souvenir ! Vous allez voyager plein de foutre sur vous ! Et sans culotte ni soutien gorge évidemment !" Lucie enfila sa nuisette qui ne cachait rien de son intimité... "Et t'as intérêt à garder le god en place !" À chaque pas, le morceau de tissu dévoilait son gros cul et sa toison. Le god était visible sous quasiment tous les angles. Quant à moi, le rosebud dans le cul, j'eus le droit d'enfiler une chemise de service qui manquait de se relever à chaque pas... Nous repartimes ainsi, humiliés comme jamais, quasiment à poils, la face pleine de sperme au milieu de cet aéroport pour prendre notre vol... Stéphanie et Aurelie nous suivaient de près, veillant à rire pour ameuter les personnes que l'on croisait, et qui ne se priaient pas de détailler ma truie ainsi souillée et exposée aux yeux de tous... J'étais terrifiée quand je compris l'impensable : ils étaient sur le même vol que nous...

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Texte coquin : Couple, la quarantaine, humilié à la sécurité
Histoire sexe : Une rose rouge
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