Couple magrebin à paris (Chapitre 3 et 4)

- Par l'auteur HDS Epoux de nadia -
Auteur homme.
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Récit libertin : Couple magrebin à paris (Chapitre 3 et 4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couple magrebin à paris (Chapitre 3 et 4)
Chapitre 3 et 4
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que j'étais pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre.
Pendant je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger pouvait être en train de faire en ce moment avec ma femme, Nadia.
Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son sexe énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche.
Puis je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de sa femme, qui savourait chaque minute de cette pénétration.
Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre remplie de la semence de cet homme ?
Je ne pouvais m'endormir et l'attendit ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était.
Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par le corps de Nadia. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi, et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment prit le temps de se remettre après avoir été comblée par le sexe de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance, et enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
"Qu'est-ce que tu foutais ?" lui criai-je dessus.
Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage.
Avant que je n'aie pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifla lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
"Ne me parle plus jamais sur ce ton !" prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix.
C'est à ce moment précis que changea ma vie. Même à cet instant je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui était le patron dans notre couple ? Ou alors allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitais un instant, mais au fond de moi je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorais son pardon, et pleurnichais en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi, mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillais devant elle. Comme elle ne disait rien je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant, et qu'elle était intéressée.
Après quelques minutes je pus apercevoir du coin de l'œil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné, et elle le savait. Encore quelques minutes et elle se retrouvait au lit avec moi, me fixant dans les yeux, son humeur étant devenue maintenant beaucoup plus douce.
A présent je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr je n'y verrai aucune objection.
Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, hé bien, j'étais d'accord.
Si elle voulait discuter avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux ! J'adorais cette femme qui était capable de me pardonner après que j'eusse osé lever le ton sur elle.
S'allongeant sur le dos, Nadia écarta ses jambes et attira ma tête entre ses cuisses.
Je ne résistai pas, rampant vers elle et me glissant sous les draps. Nadia prit mes cheveux dans ses mains et poussa ma tête vers son pubis garni de poils châtain clair. Puis elle poussa mon nez entre les lèvres de son sexe et me maintint ainsi. L'odeur de son intimité était très forte. J'inspirai fortement, et mon petit sexe ratatiné commença à se relaxer et à grossir à nouveau.
Nadia me maintint ainsi dans cette position pendant plusieurs minutes. Elle ne disait rien, mais elle parut satisfaite que je ne cherche pas à bouger, aussi lâcha-t-elle mes cheveux et commença à caresser doucement ma tête, tout en promenant ses exquis ongles pointus sur mon dos nu.
Comme les minutes passaient, le rythme de mon cœur s'apaisa. J'étais aux anges. Nadia m'aimait, même si c'était d'une manière étrange, et nous allions trouver une façon de vivre ensemble. J'essayais de montrer mon acceptation de cette situation en commençant à lécher les lèvres humides du sexe de Nadia, mais elle me donna un petit coup sur la tête pour me faire comprendre d'arrêter.
Encore quelques minutes passèrent, puis elle recommença à me parler, et j'appris comment les choses allaient se passer entre nous à partir de cet instant.
"Tu n'as pas à t'en faire au sujet de Frédérico," me dit-elle fermement. "Tu es mon mari, et aussi longtemps que tu m'es soumis, obéissant et dévoué, je resterai avec toi. Mais tu dois savoir également que je ne t'ai pas choisi pour ton corps ! Je t'ai choisi pour ta qualité principale : la soumission. Je me réserve le droit de baiser qui je veux. Par contre toi tu ne baiseras personne sans mon accord. Je pourrai également décider de te faire l'amour à l'occasion. Ou bien non... De n'importe quelle manière, il faudra que tu apprennes à contrôler cette sale habitude que tu as de te masturber. Et ne crois pas que je ne sois pas au courant !"
Durant tout ce temps pendant lequel elle m'édictait ces règles, Nadia tapotait ma tête et mes épaules. Elle me maintenait fermement entre ses magnifiques cuisses, et poussait régulièrement mon nez de plus en plus fort sur l'entrée douce et humide de son intimité. "Je vais te donner beaucoup de règles à suivre," continuait-elle, "et tu devras prendre du plaisir à obéir si tu veux rester avec moi."
"Maintenant cela va être ton premier test. Tu dois bien avoir deviné que Frédérico et moi nous avons couché ensemble."
Comme si je ne le savais pas déjà !
"Nous avons fait l'amour, plusieurs fois, et j'ai beaucoup apprécié. Frédérico est apparemment un amant très expérimenté, et sait vraiment comment satisfaire une femme. Il le fait mieux que tu ne sauras jamais le faire ! En plus, il est vraiment bien monté. Son magnifique sexe de mâle est tellement plus gros que le tien, chéri ; tu ne pourras jamais arriver à sa hauteur. Il a un torse superbe, large et plat, des yeux sombres, puissants et fascinants, et ses couilles ont la taille d'un œuf de poule. Sa bite doit être au moins deux fois plus longue et plus large que la tienne.
Quand il m'a pénétrée, j'ai presque failli jouir de suite, je le sentais qui m'étirait. A chaque fois qu'il faisait monter et descendre en moi son puissant engin, j'étais au paradis. Il m'a fait jouir et re jouir et re jouir. J'étais à lui. Il a attendu que je sois épuisée par mes orgasmes, et seulement alors il a envoyé la sauce.
C'était fantastique, chéri. Je pouvais sentir ses couilles énormes pendre entre mes jambes, pour se raidir au moment où il a commencé à me remplir avec sa semence. Alors qu'il éjaculait, j'étais trop épuisée pour jouir à nouveau, mais il me fixa dans les yeux au moment où son sperme me remplissait en jaillissant de son sexe énorme, en me dit que je lui appartenais, et je savais que c'était la vérité. Après qu'il eut fini de jouir, il me fit lécher son adorable tige pour la nettoyer. Pendant que j'avais la bouche remplie par sa bite, il me fit promettre de ne pas t'autoriser à utiliser ton sexe sans sa permission, mais je sais que tu m'aimes, et je sais que tu adoreras m'obéir sur ce point, chéri.
"Maintenant, prouve-moi que tu acceptes tout ça en me suçant. Bien sûr, ma chatte est remplie du sperme de Frédérico, mais je veux que tu me lèches à fond quand même, et sans te masturber !"
Disant cela, Nadia prit mon menton et glissa légèrement sur le lit. Avant que j'aie le temps de réaliser quoi que ce soit, j'avais son pubis pressé contre ma bouche. Presque malgré moi, je m'aperçus que ma langue commençait son travail, ouvrant le passage liquoreux.
Inexpérimenté, je cherchai à respirer tout en essayant de satisfaire de mon mieux ma femme dominatrice. Puis je sentis le sperme. C'était vrai, il l'avait littéralement remplie ! Elle était pleine de son jus. D'épaisses et filandreuses gouttes de semence envahirent mes lèvres, et je dus les avaler. Le goût n'était pas si désagréable, mais la pensée que c'était le jus d'un autre homme que j'étais en train de sucer dans le vagin de ma propre femme me rendait le sexe dur.
Comme j'aurais voulu me mettre sur Nadia et plonger mon propre engin dans son trou, joignant mon propre liquide à celui de son amant. Je pensais à mon pénis, apparemment trop petit et inadéquat, glissant à travers le vagin humide et rempli de sperme de Nadia, mais je devais accepter que cela ne me serait pas autorisé.
Enfin Nadia se mit à jouir, et s'estima satisfaite de la soumission que je venais de lui prouver.
"Mais ce n'est qu'un début," se dépêcha-t-elle d'expliquer. "J'ai des idées pour aider mon petit mari à rester un homme chaste, propre et respectable, et je suis sûre qu'il adorera ! Il existe un tas de trucs pour aider les femmes à garder leur mari cocu docile et heureux, ce qui me permettra de respecter la promesse que j'ai faite à Frédérico. Cela te semblera peut-être un peu étrange au début, mais je suis sûre que tu finiras par me remercier de te laisser dans un état permanent de désir sexuel. Toi et moi nous irons faire quelques courses demain, alors n'oublie pas ta carte de crédit, chéri. Je vais dépenser un peu d'argent pour te rendre heureux !"
Après avoir dit ça, Nadia m'ordonna de dormir. Mais pendant que je l'entendais respirer paisiblement sans son sommeil, et bien que je fusse complètement épuisé par la tension nerveuse de ces dernières heures et par le manque de repos, mon désir brûlant pour elle m'empêchait de dormir. Ca, plus la question qui me turlupinait de savoir ce que Nadia m'achèterait le lendemain ! Une chose était claire pour moi maintenant : je venais d'accepter que Nadia prenne le contrôle de ma vie, qu'elle m'humilie d'une manière que la plupart des hommes n'accepteraient jamais, et pourtant ce que je ressentais était un bonheur profond, presque béat, balayant tout ce qui pouvait rester de ma jalousie puérile. Nadia avait promis de me garder à son service pour toujours si je lui obéissais, et c'était tout ce qui comptait pour moi !

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