COUSINE
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COUSINE
Avec ma cousine nous allons au même collège. Elle est très jolie ; menue, des seins bien formés, des fesses rebondies et bien faites. Des lèvres fines et sensuelles qui quand elle sourit, laissent entrevoir des petites dents bien blanches bien alignées. Ses cheveux blonds et longs bouclés tombent sur ses épaules. Par contre son caractère n'est pas facile et toujours sur la réserve. On a toujours peur de la vexer et qu'elle vous envoie paître.
Moi, je me contentais de la regarder avec envie, même si c'est ma cousine.
Nous nous retouvâmes un été chez nos grands parents à la campagne. Il faisait très chaud, je portais short et t.shirt, elle, un chemiser noué sur le ventre et une jupe très courte qui à chaque pas laissait voir sa petite culotte blanche immaculée. A chaque fois qu'elle se baissait, j'en voyais un peu plus et je la soupçonnais de faire exprès de m'exciter... Par moment mon sexe rapidement se redressais et je faisais tous les efforts pour penser à autre chose pour calmer mes appétits bestiaux et éviter qu'elle s'en aperçoive.
Mais, c'est mal connaître les filles de penser qu'elles sont totalement innocentes et candides.
Un jour nous nous promenions au bord d'un étang et elle suggéra que nous nous asseyions dans l'herbe afin de surveiller quelques sauts de carpes nombreuses dans cette retenue d'eau. Nous étions près l'un de l'autre et nos mains se touchèrent, j'étais bien... Chaque fois que je la regardais je pouvais voir une bonne partie de ses seins qui débordaient de son chemisier. Je commençais à m'exciter lentement quand je sentis sa main venir se poser sur la mienne pour la caresser... Surpris, je plongeais mon regard dans le sien et m'approchais centimètre par centimètre de son visage pour l'embrasser... De son côté, elle fit de même et nos lèvres se rejoignirent. Des petits baisers succédèrent à un vrai baiser. Ma langue s'empara de sa bouche chaude et délicieuse alors que notre souffle fut de plus en plus rapide. Délicatement et très lentement je caressais son corps et ses seins tendus à travers le tissu de ses vêtements. Son corps se mit à onduler, les yeux fermés elle s'abandonnait... je libérais sa poitrine en dégrafant son corsage et luis caressais les seins. Je sentais qu'elle voulait que j'aille plus vite mais je m'évertuais à l'impatienter, au contraire, et prenais tout mon temps. Avec deux doigts je déboutonnais sa petite jupe qui ne tenait d'ailleurs qu'à un bouton, Je passais sur son ventre, puis sur son slip pour atteindre ses cuisses fermes et lisses. Ses cuisses qu'elle écarta progressivement sous ma caresse... ma main remonta vers son entrejambe pour toucher le fond de sa culotte trempé. J'introduisis deux doigts derrière l'élastique et atteignis les lèvres inondées de sa vulve. Mes doigts caressèrent sa chatte de haut en bas. Chaque fois que je touchais son petit clitoris, son bassin s’avançait par saccades. J'insistais donc sur son petit bouton ce qui provoqua des cris de plaisirs étouffés. Avec dextérité, je continuais ma caresse d'une main et de l'autre je tentais de lui enlever cette culotte. Elle souleva son bassin pour me faciliter la tâche et je réussis à la lui enlever complètement. Elle remonta ensuite légèrement ses genoux me laissant le spectacle de son sexe entrouvert aux lèvres reluisantes de cyprine... Lèvres que j'aspirais l'une après l'autre en me délectant de son nectar, puis ma langue fouilla son vagin en feu et enfin alla tourner sur son bouton tendu. Ses cuisses se refermèrent sur ma tête et son bassin tendu vers moi elle redoubla de jouissance et atteignit l'orgasme. Je continuais lentement à la lécher avalant le plus possible de cette mouille divine. Ses mains s'appuyèrent sur ma tête pour que je ne bouge plus et qu'elle puisse reprendre ses sens. Nous restèrent comme ça un bon moment, j'étais heureux...
Elle se mit ensuite sur le flanc et me regarda en souriant. "Il y a tellement longtemps que j'attendais ce moment là" me dit-elle. Je lui avouais que moi aussi...
Tout en me regardant, elle tendit sa main sur mon ventre, puis descendit pour passer rapidement sur mon sexe toujours tendu et remonter sous mon T;shirt. Sa caresse se fit plus précise quand elle repassa sous mon short et enfila sa main par l'échancrure. Elle caressa mes bourses puis du bout des doigts remonta le long le ma tige pour caresser le bout de mon gland avant de le décalotter. Elle finit par baisser mon short et slip à la fois me mettant à sa merci, puis elle s'empara de mon gland humide et chaud et se mit à le sucer comme un chocolat glacé. Sa main faisait des va et vient, elle s'arrêtait puis de la pointe de sa langue tournait autour de la base de mon gland et insistait sur le frein avant de regober. Je sentais son souffle chaud et mon plaisir montait au max. Elle prit un rythme régulier et doux et malgré les ondulations de mon bassin qui annonçaient le coït elle continuait jusqu'à ce que plusieurs jets de sperme arrivent dans sa bouche. Elle s'empressa de tout avaler et ne lâcha ma verge que quand elle reprit une dimension normale.
C'était le début de l'été, le début des vacances et nous avons refait l'amour plusieurs fois par jour jusqu'à la fin. Depuis, nous nous revoyons, lors de fêtes de famille mais nous n'avons jamais remis ça.
Moi, je me contentais de la regarder avec envie, même si c'est ma cousine.
Nous nous retouvâmes un été chez nos grands parents à la campagne. Il faisait très chaud, je portais short et t.shirt, elle, un chemiser noué sur le ventre et une jupe très courte qui à chaque pas laissait voir sa petite culotte blanche immaculée. A chaque fois qu'elle se baissait, j'en voyais un peu plus et je la soupçonnais de faire exprès de m'exciter... Par moment mon sexe rapidement se redressais et je faisais tous les efforts pour penser à autre chose pour calmer mes appétits bestiaux et éviter qu'elle s'en aperçoive.
Mais, c'est mal connaître les filles de penser qu'elles sont totalement innocentes et candides.
Un jour nous nous promenions au bord d'un étang et elle suggéra que nous nous asseyions dans l'herbe afin de surveiller quelques sauts de carpes nombreuses dans cette retenue d'eau. Nous étions près l'un de l'autre et nos mains se touchèrent, j'étais bien... Chaque fois que je la regardais je pouvais voir une bonne partie de ses seins qui débordaient de son chemisier. Je commençais à m'exciter lentement quand je sentis sa main venir se poser sur la mienne pour la caresser... Surpris, je plongeais mon regard dans le sien et m'approchais centimètre par centimètre de son visage pour l'embrasser... De son côté, elle fit de même et nos lèvres se rejoignirent. Des petits baisers succédèrent à un vrai baiser. Ma langue s'empara de sa bouche chaude et délicieuse alors que notre souffle fut de plus en plus rapide. Délicatement et très lentement je caressais son corps et ses seins tendus à travers le tissu de ses vêtements. Son corps se mit à onduler, les yeux fermés elle s'abandonnait... je libérais sa poitrine en dégrafant son corsage et luis caressais les seins. Je sentais qu'elle voulait que j'aille plus vite mais je m'évertuais à l'impatienter, au contraire, et prenais tout mon temps. Avec deux doigts je déboutonnais sa petite jupe qui ne tenait d'ailleurs qu'à un bouton, Je passais sur son ventre, puis sur son slip pour atteindre ses cuisses fermes et lisses. Ses cuisses qu'elle écarta progressivement sous ma caresse... ma main remonta vers son entrejambe pour toucher le fond de sa culotte trempé. J'introduisis deux doigts derrière l'élastique et atteignis les lèvres inondées de sa vulve. Mes doigts caressèrent sa chatte de haut en bas. Chaque fois que je touchais son petit clitoris, son bassin s’avançait par saccades. J'insistais donc sur son petit bouton ce qui provoqua des cris de plaisirs étouffés. Avec dextérité, je continuais ma caresse d'une main et de l'autre je tentais de lui enlever cette culotte. Elle souleva son bassin pour me faciliter la tâche et je réussis à la lui enlever complètement. Elle remonta ensuite légèrement ses genoux me laissant le spectacle de son sexe entrouvert aux lèvres reluisantes de cyprine... Lèvres que j'aspirais l'une après l'autre en me délectant de son nectar, puis ma langue fouilla son vagin en feu et enfin alla tourner sur son bouton tendu. Ses cuisses se refermèrent sur ma tête et son bassin tendu vers moi elle redoubla de jouissance et atteignit l'orgasme. Je continuais lentement à la lécher avalant le plus possible de cette mouille divine. Ses mains s'appuyèrent sur ma tête pour que je ne bouge plus et qu'elle puisse reprendre ses sens. Nous restèrent comme ça un bon moment, j'étais heureux...
Elle se mit ensuite sur le flanc et me regarda en souriant. "Il y a tellement longtemps que j'attendais ce moment là" me dit-elle. Je lui avouais que moi aussi...
Tout en me regardant, elle tendit sa main sur mon ventre, puis descendit pour passer rapidement sur mon sexe toujours tendu et remonter sous mon T;shirt. Sa caresse se fit plus précise quand elle repassa sous mon short et enfila sa main par l'échancrure. Elle caressa mes bourses puis du bout des doigts remonta le long le ma tige pour caresser le bout de mon gland avant de le décalotter. Elle finit par baisser mon short et slip à la fois me mettant à sa merci, puis elle s'empara de mon gland humide et chaud et se mit à le sucer comme un chocolat glacé. Sa main faisait des va et vient, elle s'arrêtait puis de la pointe de sa langue tournait autour de la base de mon gland et insistait sur le frein avant de regober. Je sentais son souffle chaud et mon plaisir montait au max. Elle prit un rythme régulier et doux et malgré les ondulations de mon bassin qui annonçaient le coït elle continuait jusqu'à ce que plusieurs jets de sperme arrivent dans sa bouche. Elle s'empressa de tout avaler et ne lâcha ma verge que quand elle reprit une dimension normale.
C'était le début de l'été, le début des vacances et nous avons refait l'amour plusieurs fois par jour jusqu'à la fin. Depuis, nous nous revoyons, lors de fêtes de famille mais nous n'avons jamais remis ça.
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