LANDAISE
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LANDAISE
<p>Je suis de la somme et plusieurs fois par an je vais chez des cousins germains dans les landes. Ils ont une ferme, ils élèvent des bovins et des canards, leur fille qui a cinquante six ans fait partis des employés, elle est divorcée depuis six ans et revenue à la ferme, elle s’occupe surtout des canards. Maryse m’a appris les agis de la ferme, c’est une femme toujours en robe ou en jupe. J’ai 36 ans et nous restons souvent ensemble dans les taches de tous les jours.
Un samedi, nous avons commencé à six heures du matin, nous avons plumé vingt canards dans la grange. Maryse portait une robe bleue et des nus pieds, elle mettait ses genoux en chien de fusil pour cacher ses cuisses, elle avait mis un tablier sur ses genoux pour éviter de se salir, elle plumait avec rapidité.
Elle me dit ce soir mes parents ne sont pas là, veux tu venir manger un plateau de fruit de mer chez moi ? J’acceptais, en contrepartie je voulais payer le champagne. Elle râla et finit par céder, nous terminions vers onze heures. Comme le samedi les employés ne travaillent pas je ne mangeais pas et alla chercher trois bouteilles de champagne à la grande surface. Je pris ma douche et me reposais sur mon lit. En ouvrant la fenêtre de ma chambre je vis Maryse en peignoir et avec une serviette dans ses cheveux, elle accrochait du linge dans sa cour car elle occupait la maison de l’ancien régisseur qui a été rénovée. Maryse chantait, une demi heure après j’entendis une voiture c’était le boulanger, il venait chercher des œufs de cannes pour la pâtisserie comme tous les samedis. Il est marié et a trois enfants, je descendais quelques temps après et allais mettre mes bouteilles de champagne dans la chambre froide. En ouvrant la porte de l’appentis j’entendis du bruit, je fis attention de ne pas me faire voir et découvrais que ma cousine se faisait prendre sur le congélateur par le boulanger. Elle portait des bas et des talons, Maryse tenait ses jambes bien ouvertes et lui il lui bouffait les seins en la pénétrant de toute ses forces. Il se retira et Maryse descendit du congélo et lui enleva le préservatif qu’ils ont utilisé pour leur rapport. Il lui éjacula en pleine figure, Maryse avalait tout son sperme en lui disant des mots d’amour, plus elle le suçait, plus il rebandait. Je restais à mon poste d’observation, il lui dit : tais toi grosse truie, ferme la. Maryse ressortit un préservatif et dit : je mérite une leçon, elle lui mit la capote et se pencha sur le congélateur, ses mains écartais ses cuisses, ce qui dilata son œillet bien poilu. Le boulanger l’explora avec sa langue et ses doigts, il grognait, Maryse se massait les seins et lui supplia : encule moi. Il s’exécuta et ne mis pas dix minutes pour éjaculer dans ma cousine. Je me souviens qu’il l insultait de trainée, de pute, de vicieuse. Il la tenait par les cheveux. Quand il se vida, Maryse criait de plaisir, le boulanger s’affala sur son dos en se lâchant. Maryse se releva et dit en remettant sa culotte et en enlevant la capote : à samedi ! Lui, se rinçait le gland avec le seau d’eau que Maryse lui avait préparé. Il s’essuya avec une serviette éponge et dit en se tenant la verge : encore s’il te plait… Maryse ne bougea pas, elle lui roula une pelle et lui laissa enlever sa culotte : elle dit c’est tout, va t’en, on baise bien mais retourne dans ton foyer, garde ma culotte pour tes branlettes de la semaine.
Le boulanger repartit sans insister et Maryse alla ramasser les œufs.
Vers 19 h je frappais à la porte fenêtre de la salle à manger, ma cousine était au téléphone, elle portait une jupe à rayures et un débardeur rouge avec des bas noirs et des talons. J’allais chercher le champagne au frais. En revenant le poissonnier repartait, il venait de livrer le plateau de fruits de mer. On commença à boire une coupe de champagne, on passa plus d’une heure à table, je me remémorais Maryse les fesses écartées… Vers vingt trois heures on débarrassa la table et dans la cuisine je remplis le lave vaisselle. Maryse avait allumé une clope, elle me dit : veux tu faire l’amour ? je restais sans réponses, elle me plaqua sa main à la braguette et me dit : je suis ta cousine et je voudrais voir le matos, tu es mon cadet, je te laisse décider, ou tu fais voir que tu es un bon male ou tu vas te taper marie cinq doigts… Elle avait le coup pour brancher les mecs ! Elle s’appuya sur la table de la cuisine et souleva sa jupe pour me montrer sa culotte en nylon rouge. Ses poils débordaient des rebords, sa culotte était trempée de cyprine sans même l’avoir encore touchée. Je m’assis et écartais ses lèvres et lui introduis ma langue dans sa vulve. Mon index jouait avec son clitoris, ma langue ne lâchait pas son bouton pendant que mon index et mon majeur vadrouillaient dans sa chatte bien coulante. Je bouffais des poils, Maryse y prenait du plaisir, elle leva sa jambe droite et posa son talon sur mon genou, elle me fit tomber en arrière et se sauva dans le séjour. Je la rejoignis et lui releva sa jupe, elle riait et me laissa explorer ses fesses. Maryse ouvrit mon pantalon et me suça, je soulevais ses jambes dans le fauteuil et lui dit : on ne se protège pas. Elle prit mes joues dans ses mains et me dit : c’est la famille ! Je me suis introduis sans efforts, Maryse mouillait abondamment plus je limais, plus je glissais en elle. Elle commençait à jouir, elle me poussa en soupirant : retire toi. Une fois ma verge sortie elle lâcha deux jets de cyprine sur la serviette du divan. Elle se mit en levrette, son odeur me faisait bander, je l’ai baisée par devant et par derrière, j’ai passé ma nuit à ses coté. Je lui avouais l’avoir vue avec le boulanger et elle me dit après m’avoir vidé les couilles qu’elle s’en doutait et que samedi prochain on pourrait la prendre tous les deux… je rougis !
Toute la semaine j’ai sodomisé Maryse dans toutes les étables. Je la rejoignais tous les soirs dans sa chambre en passant par le jardin. Elle m’attendait le peignoir ouvert, je passais par la fenêtre, nos nuits furent courtes,..
Désormais, elle me téléphone souvent et laisse son portable ouvert quand elle va à des rendez vous amoureux à la campagne…
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Un samedi, nous avons commencé à six heures du matin, nous avons plumé vingt canards dans la grange. Maryse portait une robe bleue et des nus pieds, elle mettait ses genoux en chien de fusil pour cacher ses cuisses, elle avait mis un tablier sur ses genoux pour éviter de se salir, elle plumait avec rapidité.
Elle me dit ce soir mes parents ne sont pas là, veux tu venir manger un plateau de fruit de mer chez moi ? J’acceptais, en contrepartie je voulais payer le champagne. Elle râla et finit par céder, nous terminions vers onze heures. Comme le samedi les employés ne travaillent pas je ne mangeais pas et alla chercher trois bouteilles de champagne à la grande surface. Je pris ma douche et me reposais sur mon lit. En ouvrant la fenêtre de ma chambre je vis Maryse en peignoir et avec une serviette dans ses cheveux, elle accrochait du linge dans sa cour car elle occupait la maison de l’ancien régisseur qui a été rénovée. Maryse chantait, une demi heure après j’entendis une voiture c’était le boulanger, il venait chercher des œufs de cannes pour la pâtisserie comme tous les samedis. Il est marié et a trois enfants, je descendais quelques temps après et allais mettre mes bouteilles de champagne dans la chambre froide. En ouvrant la porte de l’appentis j’entendis du bruit, je fis attention de ne pas me faire voir et découvrais que ma cousine se faisait prendre sur le congélateur par le boulanger. Elle portait des bas et des talons, Maryse tenait ses jambes bien ouvertes et lui il lui bouffait les seins en la pénétrant de toute ses forces. Il se retira et Maryse descendit du congélo et lui enleva le préservatif qu’ils ont utilisé pour leur rapport. Il lui éjacula en pleine figure, Maryse avalait tout son sperme en lui disant des mots d’amour, plus elle le suçait, plus il rebandait. Je restais à mon poste d’observation, il lui dit : tais toi grosse truie, ferme la. Maryse ressortit un préservatif et dit : je mérite une leçon, elle lui mit la capote et se pencha sur le congélateur, ses mains écartais ses cuisses, ce qui dilata son œillet bien poilu. Le boulanger l’explora avec sa langue et ses doigts, il grognait, Maryse se massait les seins et lui supplia : encule moi. Il s’exécuta et ne mis pas dix minutes pour éjaculer dans ma cousine. Je me souviens qu’il l insultait de trainée, de pute, de vicieuse. Il la tenait par les cheveux. Quand il se vida, Maryse criait de plaisir, le boulanger s’affala sur son dos en se lâchant. Maryse se releva et dit en remettant sa culotte et en enlevant la capote : à samedi ! Lui, se rinçait le gland avec le seau d’eau que Maryse lui avait préparé. Il s’essuya avec une serviette éponge et dit en se tenant la verge : encore s’il te plait… Maryse ne bougea pas, elle lui roula une pelle et lui laissa enlever sa culotte : elle dit c’est tout, va t’en, on baise bien mais retourne dans ton foyer, garde ma culotte pour tes branlettes de la semaine.
Le boulanger repartit sans insister et Maryse alla ramasser les œufs.
Vers 19 h je frappais à la porte fenêtre de la salle à manger, ma cousine était au téléphone, elle portait une jupe à rayures et un débardeur rouge avec des bas noirs et des talons. J’allais chercher le champagne au frais. En revenant le poissonnier repartait, il venait de livrer le plateau de fruits de mer. On commença à boire une coupe de champagne, on passa plus d’une heure à table, je me remémorais Maryse les fesses écartées… Vers vingt trois heures on débarrassa la table et dans la cuisine je remplis le lave vaisselle. Maryse avait allumé une clope, elle me dit : veux tu faire l’amour ? je restais sans réponses, elle me plaqua sa main à la braguette et me dit : je suis ta cousine et je voudrais voir le matos, tu es mon cadet, je te laisse décider, ou tu fais voir que tu es un bon male ou tu vas te taper marie cinq doigts… Elle avait le coup pour brancher les mecs ! Elle s’appuya sur la table de la cuisine et souleva sa jupe pour me montrer sa culotte en nylon rouge. Ses poils débordaient des rebords, sa culotte était trempée de cyprine sans même l’avoir encore touchée. Je m’assis et écartais ses lèvres et lui introduis ma langue dans sa vulve. Mon index jouait avec son clitoris, ma langue ne lâchait pas son bouton pendant que mon index et mon majeur vadrouillaient dans sa chatte bien coulante. Je bouffais des poils, Maryse y prenait du plaisir, elle leva sa jambe droite et posa son talon sur mon genou, elle me fit tomber en arrière et se sauva dans le séjour. Je la rejoignis et lui releva sa jupe, elle riait et me laissa explorer ses fesses. Maryse ouvrit mon pantalon et me suça, je soulevais ses jambes dans le fauteuil et lui dit : on ne se protège pas. Elle prit mes joues dans ses mains et me dit : c’est la famille ! Je me suis introduis sans efforts, Maryse mouillait abondamment plus je limais, plus je glissais en elle. Elle commençait à jouir, elle me poussa en soupirant : retire toi. Une fois ma verge sortie elle lâcha deux jets de cyprine sur la serviette du divan. Elle se mit en levrette, son odeur me faisait bander, je l’ai baisée par devant et par derrière, j’ai passé ma nuit à ses coté. Je lui avouais l’avoir vue avec le boulanger et elle me dit après m’avoir vidé les couilles qu’elle s’en doutait et que samedi prochain on pourrait la prendre tous les deux… je rougis !
Toute la semaine j’ai sodomisé Maryse dans toutes les étables. Je la rejoignais tous les soirs dans sa chambre en passant par le jardin. Elle m’attendait le peignoir ouvert, je passais par la fenêtre, nos nuits furent courtes,..
Désormais, elle me téléphone souvent et laisse son portable ouvert quand elle va à des rendez vous amoureux à la campagne…
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