Croisière 8

- Par l'auteur HDS Jmcnice -
Récit érotique écrit par Jmcnice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Croisière 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Croisière 8
Le lendemain…Entrée dans la Port de Naples… Dans cette baie magnifique avec le Castel Nuovo qui le dominait au loin.

Epuisé avec si peu de sommeil, corps endolori de toute part, chatte encore douloureuse par tous ces membres qui l’avaient trouée, perforée, défoncée, je ne voulais, pour rien au monde manquer cette journée, dédiée à la visite de La Solfatare, de Pompéi et d’Herculanum.

Même si ma sexualité s’était débridée pendant ce voyage, même si j’avais apprécié plus que jamais ces hommes qui avaient usé, et abusé de moi tout au long de ce séjour, je voulais aussi profiter de sa culture, voir de mes yeux, les paysages que je contemplais, rêveur, dans mes livres d’Italien. Féru d’histoire, j’avais l’impression que des siècles se déroulaient devant moi.

Patrick, bien que mâle hyper dominant, avait compris ma fascination, moments où la culture avait pris le pas sur la sexe, et il restait souvent à mes côtés, sagement, et souriant de voir le plaisir que je prenais à m’imprégner de ces sites si exceptionnels, si chargés de Passé.

A l’inévitable boutique de souvenirs, j’ai voulu acheter un magnifique Camée, sculpté en pierre de Lave et monté sur Or pour l’offrir à ma mère… Il était magnifique, pièce quasi unique, avec ses reflets noirs, bleus et rose, mais, même si je n’avais que peu dépensé pendant le voyage, cet achat dépassait mes moyens dont je disposais…

Patrick s’est approché de moi et a regardé ce Camée en même temps que moi…

« Il est superbe… Pourquoi tu le regardes autant ? »
« Il est vraiment magnifique… regarde ces couleurs irisées quand je le bouge…. Je voudrais tant l’offrir à ma mère… »
« Prends-le alors… »
« Je ne peux pas, j’ai pas assez pour ça… »
« Il te manque combien ? »
« Je ne sais pas trop, mais au moins 30.000 Lires »

30.000 Lires, c’était pas mal à l’époque… Environ 100 Francs, je pense…

Patrick s’est approché du vendeur, a discuté pas mal de temps avec lui, dans le mauvais français que parlait cet italien, et il a dardé ses yeux noirs sur lui… Le vendeur a cédé et j’ai vu un échange billets en Patrick et lui…

« E un regalo »

Patrick m’a regardé sans comprendre, « regalo » c’est cadeau en Italien, et là, j’ai eu droit à un paquet magnifique, que je serai fier d’offrir à ma mère…

Nous sommes sortis de la boutique, mon paquet à la main… En regardant Patrick avec stupéfaction…

« Tu es content ? »

Nous étions en pleine rue, avec tout le monde autour de nous… Mes yeux ont parlé…

« Tu sais, Mario m’a donné les clefs de la cabine qui ne sert à personne… Je veux passer la nuit avec toi…. Rien que toi et moi… Tu es d’accord ? »

« Tu en doutes ? »

Cette superbe visite a duré toute la journée, de la Solfatare avec ses cavernes dans la roche qui puaient le souffre, ses mares d’eau grises bouillonnantes, puis Pompéi et Herculanum avec ces maisons et ces corps figés dans la lave.

Nous avions mangé notre piquenique entre les deux sites… Avec... Oh… Surprise… Du poulet… Patrick à mes côtés, et pour une fois, très sage, mais avec son regard noir et profond qui me suivait fréquemment.

Nous sommes rentrés assez tard sur le bateau, et je suis allé de suite à ma cabine, prendre une bonne douche pour enlever toute cette poussière incrustée dans moi, et aussi, pour bien préparer mon puits d’amour aux assauts de mon mâle….

Repas rapidement ingurgité, je vous fais grâce du menu… Je suis monté sur le Pont Supérieur, la Passerelle, normalement interdite, à contempler cette Baie de Naples, avec le Castel Nuovo que nous devions visiter le lendemain, avant de prendre le train pour le retour vers Nice.

Il arrivait derrière moi, j’ai senti son odeur de mâle, si particulière qui agissait sur moi comme le plus puissant des aphrodisiaques… Il s’est lové contre mon dos, m’enserrant de ses bras puissants et velus, m’embrassant dans le cou, sa barbe drue d’un jour, piquant ma peau tendre, et son bas ventre s’est collé entre mes fesses, pour me montrer toute l’ampleur de son désir… Et quelle ampleur… !!! Cette barre si grosse, si dure, si épaisse se frottait contre moi et il m’a retourné d’un coup, m’embrassant à pleine bouche en prenant mes mains pour les mettre sur la toison de son torse, qu’il avait laissé libre avec sa chemisette ouverte et son bermuda bien moulant…

Putain que c’est beau un homme… Un mâle si viril, bourré de testostérone… !!!!

« On y va ? Tu as vu, je me suis contenu toute la journée pour que tu puisses profiter de la visite, mais là… je peux plus… »
« Oui…j’ai vu ça… mais tu sais, moi aussi j’ai trop envie de toi »

Nous sommes descendus dans cette cabine, dont Mario avait donné les clefs à Patrick, parce qu’il avait envie d’une nuit juste à nous…

A peine arrivés, il a fermé à clef et il s’est jeté sur moi comme un fou… Il a très vite enlevé le peu de vêtements que j’avais, un simple Tee-shirt et un bermuda sans rien dessous et à poil lui aussi en quelques secondes, sa bite a forcé ma bouche… Elle sentait fort le sexe de l’homme qui a mariné dans son slip toute une journée… Il s’enfonçait au plus profond de moi, jusqu’au fond de ma gorge, mes mains courraient sur son corps velu, sur les poils de son torse, de son dos, de ses fesses, appuyant dessus pour qu’il enfonce son membre viril le plus possible dans moi.

Il s’est reculé un peu, puis il a éjaculé des longs jaillissements de sa liqueur de mâle, sur ma langue, pour que je la savoure, que je me délecte de chaque jet si savoureux. Il n’avait rien perdu sa raideur, et en un tourne main, il m’a mis sur le dos, enfonçant son pieu d’un coup dans ma chatte, brûlante de désir de lui…. Il m’a défoncée comme un malade, je sentais son énormité me forer, cherchant à aller toujours plus loin et plus fort… Il dégageait une odeur de mâle en rut, testostérone et phéromones puissance 10… Je me sentais vraiment femelle avec lui, prise en mains par le vrai « Homme », dans toute sa puissance et je savais maintenant que j’allais me plier à toutes ses volontés… Il m’avait complètement soumise à lui…
Après cet accouplement quasi bestial, il s’est quand même un peu calmé, s’est mis sur le dos, et je me suis régalé à contempler ce corps de vrai mec, bien fait, hyper poilu comme j’aimais tant, passant mes mains partout sur cette forêt….

« Tu sais, Michel, je ne suis pas homo… Tu es le premier garçon avec lequel je couche… Mais tu as quelque chose… de spécial… mi-fille, mi-garçon, que je n’ai jamais connu auparavant. Jamais, jamais je n’ai autant pris de plaisir à faire l’amour… Les rares filles que j’ai connues ont trop souvent eu peur de moi, de mon aspect un peu « singe » et surtout de la grosseur de mon sexe… Pas toi »
« Tant mieux pour moi Patrick, elles ne savent pas ce qu’elles perdent… !!! Alors, on fait quoi une fois rentrés à Nice ? »
« Tu connais le deal… Tu restes ma femelle, dont je dispose à tout moment, mais aussi, je t’offre à tous les mâles en manque dans notre quartier, OK ? Et ce n’est pas négociable… !!! »
« Je suis OK, Patrick… je veux être à toi et je pense que tu as pu constater, pendant cette croisière, combien j’aimais le sexe avec les hommes. »
« On arrive dimanche matin à Nice, tu passes la journée avec tes parents et lundi, tu viens me rejoindre au café du Rouret, j’aurais tout organisé d’ici là »

Le retour a été un peu tumultueux, tous ces jeunes dans le train, et bien sur, Patrick m’a prise trois fois pendant la nuit.

Le matin, nous sommes arrivés à Nice vers 11 heures, mes parents m’attendaient à la gare et nous sommes rentrés à la maison…
Après un petit apéro sympa, pendant lequel j’ai offert à ma mère ce somptueux camée qu’elle a adoré et mis sur elle de suite, nous sommes passés à table…

Elle avait préparé un magnifique… Poulet Rôti… !!!

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Je suis Léa, la femme de Robert, le mâle qui a envoyé le premier commentaire, et c’est vrai que je suis sa salope.
C’est aussi vrai que j’adore qu’il me prenne par le cul,
je ne dis jamais non à une bonne sodomie, même à plusieurs, quand il me fait le plaisir d’inviter des copains.
Je n’ai pas des fesses énormes, mais elles plaisent, et j’en profite le plus possible.
À 42 ans, je me dis toujours qu’une occasion perdue ne se représente jamais et j’ai plutôt tendance à les provoquer qu’à les éviter.

Très agréable de s’imaginer ce jeune garçon se sentir bien dans la peau d’une femelle soumise à son mâle … une femelle heureuse de sucer et d’avaler le foutre et de se faire enculer.
Tout ça me fait bander et comme mon petit minet n’est pas là, c’est dans le cul de ma salope de femme que je vais me soulager, et rassurez-vous, elle adore ça.



Texte coquin : Croisière 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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