CUL QUI CHANTE
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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CUL QUI CHANTE
Après un petit tour à l'hypermarché et une longue et fructueuse station dans un magasin culturel à choisir quelques livres et à m'imprégner des dernières modes en matière de musique, me voici propulsé dans le dédale de voies et de parcs de stationnement de la zone commerciale. Le temps de contre-saison, lumineux et doux en ce milieu d'hiver, m'invite à la rêverie et au vagabondage. Comme souvent par ces températures, je suis pieds nus dans mes tennis et uniquement revêtu d'un jean moulant et d'un polo près du corps, besace en bandoulière, sans aucun sous-vêtement. Le doux frottement du tissu sur mon bas ventre et mes fesses me provoque une agréable sensation. J'imagine (et j'espère) qu'un œil exercé peut percevoir combien ma tenue est « légère ».
A l'approche d'une énorme jardinerie, qui déborde à profusion de plantes et d'arbustes, mon regard est attiré sans raison précise par une silhouette féminine, qui marche devant moi, d'apparence assez quelconque : jean, tennis, sweat-shirt, cheveux longs retenus en chignon à la dérive. Sa démarche trahit quelques relents de jeunesse. Son dos est massif, sa taille assez marquée, son port de tête altier, ses jambes bien dessinées, mais surtout ses cuisses sont larges et prolongent harmonieusement un postérieur rebondi qui frémit et chaloupe à chaque pas. Mon regard est maintenant aimanté et la chaleur me monte aux joues. « Mon dieu, quel cul ! »
Nous cheminons comme cela pendant quelques centaines de mètres, en direction de la sortie de l'espace dédié aux magasins et aux boutiques. L'harmonieux balancement de hanches continue son travail de fascination. Mon cœur bat la chamade et je me délecte du spectacle. Elle est apparemment détendue et ne semble pas consciente de l'intensité de mon regard. Il est vrai que je la suis à distance raisonnable. Au détour du dernier parking, elle bifurque brutalement dans une rue étroite qui mène à un ensemble résidentiel. Je poursuis mon chemin vers un large boulevard urbain qui constitue mon itinéraire évident puis m'arrête brutalement. Je reste figé quelques secondes le cœur battant, déjà hanté par le regret de renoncer à un si beau spectacle.
Il ne me faut pas longtemps pour faire demi-tour et m'engager, moi aussi, dans la rue qu'elle emprunte. Elle a pris de l'avance et j’accélère le pas, puis je traverse la chaussée pour rejoindre le trottoir où elle chemine. Mal m'en prend car, concentré sur le flot de voitures qui y circulent, je la quitte du regard. Lorsque j'atteins la rive, elle a disparu.. Je me précipite d'un pas rapide pour repérer la cour ou l'allée qu'elle a empruntée, mais rien n'y fait. Je ne la retrouve plus !... Penaud, je m'impose plusieurs va-et-vient attentifs mais en reviens bredouille. Pas un signe, pas une trace ! Dépité, je rejoins à mon domicile encore hanté par ce si joli spectacle.
Pendant des jours et des jours, je multiplie les occasions de me rendre dans cette petite artère si fréquentée qui débouche sur un important territoire d'activité médicale avec ses cliniques, ses laboratoires, ses maisons de repos et de retraite... Je m'installe, m'incruste, sédimente, fouille du regard. Mais point de fessier en mouvement à contempler, point d'émotion esthétique à couper le souffle, point d'espoir de rencontrer enfin la propriétaire de ce si beau cul qui chante ; seulement une rue agitée par les voitures et désespérément vide de toute piétonne séduisante. Je me fatigue de l'attente et, peu à peu, m'éloigne de la zone.
Les mois passent, puis, un beau jour, au retour d'un examen ophtalmologique dans cette rue, me voici face à une silhouette de quadra(-quinqua)génaire qui me rappelle quelque chose. Hanches larges, poitrine imposante elle est revêtue d'une combinaison de mécanicien kaki trop propre pour être honnête. Mais surtout, le chaloupé de sa démarche et ses cheveux longs châtain foncé mal attachés me renvoient à une vision antérieure de son côté pile. Ses traits sont épais sans être grossiers et son visage carré. De grands yeux noirs, étonnamment expressifs complètent le tableau. L'émotion me gagne ; je m'immobilise et, les joues rougissantes, je me dandine d'un pied sur l'autre. Elle éclate d'un rire sonore et me lance : « Remettez vous, monsieur, ce n'est que moi ! ».
La glace est rompue ! Mon rythme cardiaque se calme à peine alors qu'elle me questionne : « Pourquoi vous fais-je un tel effet ? ». J'essaie de lui expliquer comment j'ai été séduit par le dandinement de ses fesses quelques mois auparavant. Du coup l’émotion monte à nouveau et ma voix trébuche à plusieurs reprises. Je me sens ridicule et ai peur d'être vécu comme un grossier personnage. Gentiment, elle me saisit au poignet et dépose une bise légère sur la joue. Incapable du moindre mot, je fais demi tour et nous nous mettons en route vers sa destination. Elle badine, je suffoque puis me reprends peu à peu. Elle me confie qu'elle a emménagé depuis peu dans cette ville et qu'elle commence à s'y sentir bien. Je redeviens loquace, ravi que la conversation s'éloigne de mon fantasme sur sa « chute de reins ». Mais cela ne va pas durer.
La conversation prend un tour plus personnel. Il y est question d'isolement, d'envie de faire des rencontres, de besoin de plaire sans forcément s'engager... Je crois comprendre qu'elle a vécu des moment compliqués et que sa vie de famille a éclaté en lambeaux. Elle me parle d'une fille adulte qui vit loin et d'un ex mari pas très reluisant. Elle est venue dans notre ville pour prendre un poste d'employée de maintenance dans une maison de retraite après avoir passé des années dans la grande distribution. Alors que nous arrivons devant un bureau de tabac, elle y entre pour acheter des jeux de grattage et un magazine puis reprend la route en sens inverse vers ce que je suppose être son domicile. Questionné, je lui dis être un jeune retraité toujours en vie maritale. Elle n'en demande pas plus. Nous cheminons en silence et, soudain, je m'angoisse de voir notre relation à peine naissante se terminer dans quelques mètres au bord du trottoir. Je saisis sa main et la serre dans la mienne. Elle me sourit.
C'est à ce moment qu'elle m’entraîne dans une cour bordée de trois petits immeubles ; avant de me faire pénétrer dans un appartement du rez de chaussée chichement meublé et truffé de cartons non ouverts. Elle en fait claquer la porte et la verrouille d'un sonore tour de clef. Elle m'ordonne « Mets toi à l'aise ! ». Compte tenu de ma vêture minimaliste, je comprends tout de suite qu'il s'agit de me dénuder. D'ailleurs ma compagne baisse brutalement la fermeture éclair de sa salopette et je la découvre sans voile, sans sous-vêtements, admirablement nue et désirable. Tel un lépidoptère, je me tortille pour sortir de ma chrysalide et exhibe mes attributs rasés récemment, mon ventre proéminent, mon sexe aux dimensions modestes. Je suis mort de peur de lui déplaire et d'en rester là. Que nenni ! La voici qui s'amuse de mon fantasme et tournoie sur elle-même pour mettre ses fesses en valeur. Son sexe est aussi bien épilé que ses aisselles. Ses rondeurs lui donneraient une plastique enfantine si ce n'étaient ses seins lourds toujours en mouvement. Quant à son cul, il est encore plus divin sans obstacle au regard.
Mais le plus étonnant reste à venir. Lorsqu'elle s'approche de moi, elle me pousse vers une baie vitrée dépourvue de rideaux. En déséquilibre, je lève mes deux mains, les pose à plat sur la vitre et écarte mes jambes pour retrouver un peu de stabilité. Je me retrouve exhibé dans la position d'une fouille policière par palpation, insolemment nu et écartelé. Placée derrière moi, son corps dévoilé superbe se reflète dans la vitre tandis que ses mains rudes étrillent mon anatomie en insistant sur les zones érogènes. Je suffoque à demi et mon souffle s’accélère bruyamment. Mes tétons et mon sexe durcissent. Je tressaille lorsqu'un jeune homme passe dans la cour, a proximité de la fenêtre, apparemment sans nous prêter attention. Mon dos, mes cuisses, mon entre-jambe, mes seins sont caressés sans ménagement jusqu'à ce qu'elle me retourne doucement et m'attire contre elle.
Ma bouche rencontre sa bouche et mes mains libérées s'en donnent à cœur joie sur ses épaules, son dos et ses fesses avant de les écarter et de s’immiscer entre elles. Les toucher me remplît autant d'émoi que de les regarder ! Je pétris et pénètre, caresse la rosette, y engage un doigt délicat et m'agite. Son bassin se tord en de nombreux mouvements involontaires pour mon plus grand bonheur. Je sens que son corps se relâche et s'alourdit un peu. Je la serre contre moi au point de sentir son sexe s'écraser sur mon vît et ses seins excités solliciter les miens. Elle écarte mes fesses et entre, elle aussi, dans mon cul. Nous ne faisons qu'un et ondulons à peine. Nos cœurs battent et nos poumons expirent à l'unisson.
Après un nouveau baiser pénétrant et passionné, ma compagne m'attire dans une chambre en désordre et se laisse tomber à plat ventre sur le lit, bras et jambes écartés. Je me couche près d'elle et reprends ma caresse. Son corps vibre et tressaute puis son cul magnifique se soulève tout en restant écartelé. A genoux, j'entre en elle en levrette. Son con, dégoulinant de cyprine est dilaté à l'excès et coulisse mollement sur mon sexe. Après quelques temps d'un limage sans plaisir, je m'extrais et me présente à l'autre porte qui s'ouvre en douceur. Je suis maintenant bien serré dans son cul et l'excitation monte à chaque mouvement. Son sphincter se rétracte et s'élargit en rythme. Je suis au bord de l'orgasme et une brutale contraction de son cul me fait bruyamment grimper au rideau. Je hurle, immobile, et me répands en elle.
Lorsque nous nous effondrons, nous sommes tête bêche. Elle me chevauche alors pour un 69 sympathique mais sans grand effet sur elle qui n'a toujours pas joui vraiment. Ce n'est apparemment pas une clitoridienne ou l’efficacité de mon cunnilingus n'est pas top. Je n'ai pas de vrai plaisir à être sucé. Je la repousse et commence à titiller son bouton de mes doigts. Elle ne semble pas plus excitée mais, étonnamment, ses jambes s'écartent plus que de raison. Je risque deux doigts à l'entrée de sa vulve finement ourlée puis trois. Elle écarte encore ses larges cuisses et son con se dilate. Ma main entière, serrée en pointe de flèche, se présente à l'entrée et en une vingtaine de mouvements est engloutie. Les contorsions de mon poignet, bien comprimé, commencent à l'émouvoir et un râle rauque sort de sa gorge. Son corps entier est arque-bouté pour faciliter la caresse. Je m'agite ravi de sentir son plaisir monter et culminer dans un terrible hurlement de gorge. Quel bonheur !
Nous allons rester là côte à côte, maintenant revenus dans le même sens. J'embrasse ses lèvres, caresse son buste et ses seins. Elle-même pelote mon ventre, blottit sa tête sur mon épaule et ronronne à loisir comme pour me remercier de mon initiative de la fister. Serrés l'un contre l'autre, nous allons nous endormir, épuisés de nos ébats. Alors que le jour décline, je me décide à la quitter et ne peux me retenir de lui susurrer un « je t'aime » avant de m'éclipser discrètement en respectant son sommeil.
A l'approche d'une énorme jardinerie, qui déborde à profusion de plantes et d'arbustes, mon regard est attiré sans raison précise par une silhouette féminine, qui marche devant moi, d'apparence assez quelconque : jean, tennis, sweat-shirt, cheveux longs retenus en chignon à la dérive. Sa démarche trahit quelques relents de jeunesse. Son dos est massif, sa taille assez marquée, son port de tête altier, ses jambes bien dessinées, mais surtout ses cuisses sont larges et prolongent harmonieusement un postérieur rebondi qui frémit et chaloupe à chaque pas. Mon regard est maintenant aimanté et la chaleur me monte aux joues. « Mon dieu, quel cul ! »
Nous cheminons comme cela pendant quelques centaines de mètres, en direction de la sortie de l'espace dédié aux magasins et aux boutiques. L'harmonieux balancement de hanches continue son travail de fascination. Mon cœur bat la chamade et je me délecte du spectacle. Elle est apparemment détendue et ne semble pas consciente de l'intensité de mon regard. Il est vrai que je la suis à distance raisonnable. Au détour du dernier parking, elle bifurque brutalement dans une rue étroite qui mène à un ensemble résidentiel. Je poursuis mon chemin vers un large boulevard urbain qui constitue mon itinéraire évident puis m'arrête brutalement. Je reste figé quelques secondes le cœur battant, déjà hanté par le regret de renoncer à un si beau spectacle.
Il ne me faut pas longtemps pour faire demi-tour et m'engager, moi aussi, dans la rue qu'elle emprunte. Elle a pris de l'avance et j’accélère le pas, puis je traverse la chaussée pour rejoindre le trottoir où elle chemine. Mal m'en prend car, concentré sur le flot de voitures qui y circulent, je la quitte du regard. Lorsque j'atteins la rive, elle a disparu.. Je me précipite d'un pas rapide pour repérer la cour ou l'allée qu'elle a empruntée, mais rien n'y fait. Je ne la retrouve plus !... Penaud, je m'impose plusieurs va-et-vient attentifs mais en reviens bredouille. Pas un signe, pas une trace ! Dépité, je rejoins à mon domicile encore hanté par ce si joli spectacle.
Pendant des jours et des jours, je multiplie les occasions de me rendre dans cette petite artère si fréquentée qui débouche sur un important territoire d'activité médicale avec ses cliniques, ses laboratoires, ses maisons de repos et de retraite... Je m'installe, m'incruste, sédimente, fouille du regard. Mais point de fessier en mouvement à contempler, point d'émotion esthétique à couper le souffle, point d'espoir de rencontrer enfin la propriétaire de ce si beau cul qui chante ; seulement une rue agitée par les voitures et désespérément vide de toute piétonne séduisante. Je me fatigue de l'attente et, peu à peu, m'éloigne de la zone.
Les mois passent, puis, un beau jour, au retour d'un examen ophtalmologique dans cette rue, me voici face à une silhouette de quadra(-quinqua)génaire qui me rappelle quelque chose. Hanches larges, poitrine imposante elle est revêtue d'une combinaison de mécanicien kaki trop propre pour être honnête. Mais surtout, le chaloupé de sa démarche et ses cheveux longs châtain foncé mal attachés me renvoient à une vision antérieure de son côté pile. Ses traits sont épais sans être grossiers et son visage carré. De grands yeux noirs, étonnamment expressifs complètent le tableau. L'émotion me gagne ; je m'immobilise et, les joues rougissantes, je me dandine d'un pied sur l'autre. Elle éclate d'un rire sonore et me lance : « Remettez vous, monsieur, ce n'est que moi ! ».
La glace est rompue ! Mon rythme cardiaque se calme à peine alors qu'elle me questionne : « Pourquoi vous fais-je un tel effet ? ». J'essaie de lui expliquer comment j'ai été séduit par le dandinement de ses fesses quelques mois auparavant. Du coup l’émotion monte à nouveau et ma voix trébuche à plusieurs reprises. Je me sens ridicule et ai peur d'être vécu comme un grossier personnage. Gentiment, elle me saisit au poignet et dépose une bise légère sur la joue. Incapable du moindre mot, je fais demi tour et nous nous mettons en route vers sa destination. Elle badine, je suffoque puis me reprends peu à peu. Elle me confie qu'elle a emménagé depuis peu dans cette ville et qu'elle commence à s'y sentir bien. Je redeviens loquace, ravi que la conversation s'éloigne de mon fantasme sur sa « chute de reins ». Mais cela ne va pas durer.
La conversation prend un tour plus personnel. Il y est question d'isolement, d'envie de faire des rencontres, de besoin de plaire sans forcément s'engager... Je crois comprendre qu'elle a vécu des moment compliqués et que sa vie de famille a éclaté en lambeaux. Elle me parle d'une fille adulte qui vit loin et d'un ex mari pas très reluisant. Elle est venue dans notre ville pour prendre un poste d'employée de maintenance dans une maison de retraite après avoir passé des années dans la grande distribution. Alors que nous arrivons devant un bureau de tabac, elle y entre pour acheter des jeux de grattage et un magazine puis reprend la route en sens inverse vers ce que je suppose être son domicile. Questionné, je lui dis être un jeune retraité toujours en vie maritale. Elle n'en demande pas plus. Nous cheminons en silence et, soudain, je m'angoisse de voir notre relation à peine naissante se terminer dans quelques mètres au bord du trottoir. Je saisis sa main et la serre dans la mienne. Elle me sourit.
C'est à ce moment qu'elle m’entraîne dans une cour bordée de trois petits immeubles ; avant de me faire pénétrer dans un appartement du rez de chaussée chichement meublé et truffé de cartons non ouverts. Elle en fait claquer la porte et la verrouille d'un sonore tour de clef. Elle m'ordonne « Mets toi à l'aise ! ». Compte tenu de ma vêture minimaliste, je comprends tout de suite qu'il s'agit de me dénuder. D'ailleurs ma compagne baisse brutalement la fermeture éclair de sa salopette et je la découvre sans voile, sans sous-vêtements, admirablement nue et désirable. Tel un lépidoptère, je me tortille pour sortir de ma chrysalide et exhibe mes attributs rasés récemment, mon ventre proéminent, mon sexe aux dimensions modestes. Je suis mort de peur de lui déplaire et d'en rester là. Que nenni ! La voici qui s'amuse de mon fantasme et tournoie sur elle-même pour mettre ses fesses en valeur. Son sexe est aussi bien épilé que ses aisselles. Ses rondeurs lui donneraient une plastique enfantine si ce n'étaient ses seins lourds toujours en mouvement. Quant à son cul, il est encore plus divin sans obstacle au regard.
Mais le plus étonnant reste à venir. Lorsqu'elle s'approche de moi, elle me pousse vers une baie vitrée dépourvue de rideaux. En déséquilibre, je lève mes deux mains, les pose à plat sur la vitre et écarte mes jambes pour retrouver un peu de stabilité. Je me retrouve exhibé dans la position d'une fouille policière par palpation, insolemment nu et écartelé. Placée derrière moi, son corps dévoilé superbe se reflète dans la vitre tandis que ses mains rudes étrillent mon anatomie en insistant sur les zones érogènes. Je suffoque à demi et mon souffle s’accélère bruyamment. Mes tétons et mon sexe durcissent. Je tressaille lorsqu'un jeune homme passe dans la cour, a proximité de la fenêtre, apparemment sans nous prêter attention. Mon dos, mes cuisses, mon entre-jambe, mes seins sont caressés sans ménagement jusqu'à ce qu'elle me retourne doucement et m'attire contre elle.
Ma bouche rencontre sa bouche et mes mains libérées s'en donnent à cœur joie sur ses épaules, son dos et ses fesses avant de les écarter et de s’immiscer entre elles. Les toucher me remplît autant d'émoi que de les regarder ! Je pétris et pénètre, caresse la rosette, y engage un doigt délicat et m'agite. Son bassin se tord en de nombreux mouvements involontaires pour mon plus grand bonheur. Je sens que son corps se relâche et s'alourdit un peu. Je la serre contre moi au point de sentir son sexe s'écraser sur mon vît et ses seins excités solliciter les miens. Elle écarte mes fesses et entre, elle aussi, dans mon cul. Nous ne faisons qu'un et ondulons à peine. Nos cœurs battent et nos poumons expirent à l'unisson.
Après un nouveau baiser pénétrant et passionné, ma compagne m'attire dans une chambre en désordre et se laisse tomber à plat ventre sur le lit, bras et jambes écartés. Je me couche près d'elle et reprends ma caresse. Son corps vibre et tressaute puis son cul magnifique se soulève tout en restant écartelé. A genoux, j'entre en elle en levrette. Son con, dégoulinant de cyprine est dilaté à l'excès et coulisse mollement sur mon sexe. Après quelques temps d'un limage sans plaisir, je m'extrais et me présente à l'autre porte qui s'ouvre en douceur. Je suis maintenant bien serré dans son cul et l'excitation monte à chaque mouvement. Son sphincter se rétracte et s'élargit en rythme. Je suis au bord de l'orgasme et une brutale contraction de son cul me fait bruyamment grimper au rideau. Je hurle, immobile, et me répands en elle.
Lorsque nous nous effondrons, nous sommes tête bêche. Elle me chevauche alors pour un 69 sympathique mais sans grand effet sur elle qui n'a toujours pas joui vraiment. Ce n'est apparemment pas une clitoridienne ou l’efficacité de mon cunnilingus n'est pas top. Je n'ai pas de vrai plaisir à être sucé. Je la repousse et commence à titiller son bouton de mes doigts. Elle ne semble pas plus excitée mais, étonnamment, ses jambes s'écartent plus que de raison. Je risque deux doigts à l'entrée de sa vulve finement ourlée puis trois. Elle écarte encore ses larges cuisses et son con se dilate. Ma main entière, serrée en pointe de flèche, se présente à l'entrée et en une vingtaine de mouvements est engloutie. Les contorsions de mon poignet, bien comprimé, commencent à l'émouvoir et un râle rauque sort de sa gorge. Son corps entier est arque-bouté pour faciliter la caresse. Je m'agite ravi de sentir son plaisir monter et culminer dans un terrible hurlement de gorge. Quel bonheur !
Nous allons rester là côte à côte, maintenant revenus dans le même sens. J'embrasse ses lèvres, caresse son buste et ses seins. Elle-même pelote mon ventre, blottit sa tête sur mon épaule et ronronne à loisir comme pour me remercier de mon initiative de la fister. Serrés l'un contre l'autre, nous allons nous endormir, épuisés de nos ébats. Alors que le jour décline, je me décide à la quitter et ne peux me retenir de lui susurrer un « je t'aime » avant de m'éclipser discrètement en respectant son sommeil.
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