HARD SEX ASSISTANCE
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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HARD SEX ASSISTANCE
Le droit à la sexualité de tous est ce qui me fait militer depuis quelque temps. J’en parle habituellement avec une ancienne collègue éducatrice qui me fait l’amitié de partager quelques-unes de mes randonnées devenues habituelles depuis ma retraite. Son mari, victime d’une malformation de naissance, ne peut à aucun moment l’accompagner. Nous avons souvent évoqué les handicapés et surtout de leur misère sexuelle et sensuelle. Je lui ai longuement raconté que ce qui m’avait amené à militer ainsi c’était d’être « passé de l’autre côté du miroir ». Quand mon épouse est tombée malade et a subi ces nombreuses hospitalisations, j’ai connu moi aussi cette difficulté. La maladie l’a rendue « asexuelle ». Ma prostate a commencé à me jouer des tours. Et il ne m’est bientôt plus resté d’autre plaisir charnel que l’écriture et la publication de nouvelles érotiques de plus en plus hard ou de m’exhiber nu sur un site spécialisé. Un beau jour, un jeune lecteur handicapé en fauteuil (JB) m’a contacté pour me demander d’écrire des scènes d’amour ou des gens comme lui participeraient. J’ai cherché à me documenter et découvert, à cette occasion, « l’accompagnement sexuel » sous forme de « prostitution » de professionnels formés pour cela. Nous en avons longuement parlé ensemble avec JB. Lorsque, incidemment, je me suis rendu compte que, avec un peu d’intelligence, je pouvais encore faire l’amour et satisfaire un ou une partenaire, j’ai rêvé d’exercer ce métier. J’ai d’ailleurs failli m’inscrire pour cela à une formation aux aspects psychologiques et juridiques de cette tâche. J’ai avoué à mon amie éducatrice que j’avais terriblement fantasmé sur ce sujet et que je n’avais été dissuadé que par la monétarisation de l’acte et le risque pénal que je ferais courir à mes « clients ». Et puis, nous avons débattu de bien d’autres choses pendant nos promenades et un peu oublié ce sujet.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’entendis dire un beau jour: « J’ai un énorme service à te demander. Comme tu le sais, mon mari est lourdement handicapé mais a gardé toute sa verdeur et passe son temps à me défoncer par tous les trous. Je ne lui suffis plus et il rêve d’avoir un objet sexuel qui saura le câliner, le sucer et surtout lui ouvrir son cul pour qu’il le sodomise trois ou quatre fois par semaine. Il a de très gros besoins sexuels auxquels je ne peux répondre et surtout il rêve d’un mec gay ou bi qui soit une bonne salope. Il veut quelqu’un qui passe chez nous des demi-journées entières, qui le serve nu, toujours prêt à lui donner accès à son intimité et à faire la pute. Il veut pouvoir le tripoter, lui pincer les seins et les bourses, l’enfiler non seulement avec sa bite, mais avec des jouets ou des objets du quotidien. Il le veut lascif et très expressif, capable de hurler de bonheur quand il le baise. Il veut qu’il abandonne tout respect de lui-même. Il compte éduquer ses sphincters en les dilatant jusqu’à ce que le fisting soit possible. Il lui demandera aussi de le sucer en gorge profonde tout en étant capable d’avaler le foutre jusqu’à la dernière goutte. Je t’ai proposé à lui car tu es, si je ne me suis pas trompé, la bonne grosse salope dont il rêve. Il a flashé sur toi d’après mes descriptions et les quelques photos suggestives que j’ai pu récupérer sur Internet. »
J’en suis resté sans voix, mi choqué de cette vision peu reluisante de moi, mi excité par l’idée d’être ainsi traité. Mes nombreuses expériences homo sur les sites de drague m’ont laissé frustré tant mes partenaires se sont révélés timorés. Voici une belle occasion d’en vivre pleinement une, dans la durée, sans tabou. Cette évocation m’a amené à produire des images mentales ou le plaisir physique était très présent. Le rouge m’est monté aux joues. Le relief soudain de mon entrejambes m’a d’autant plus laissé sans possibilité de bluffer que mon amie s’en était rendu compte et venait d’y porter la main. Sa caresse d’encouragement m’a occasionné une transe assez violente. J’étais déjà prêt au pire. Je lui ai proposé de faire un bout d’essai et le soir même j’étais rendu à pied d’œuvre complétement empli d’une tension intérieure jusqu’ici inconnue.
L’accueil du mari, petite chose au regard vif tordue dans un fauteuil électrique, a été plus que chaud. D’entrée il m’a exigé totalement nu. Lorsque, au cours de mon striptease chaotique, il a découvert l’absence de sous-vêtements par temps frais, il a commencé à s’exciter et à me témoigner d’un mépris teinté de désir. Il a exigé de moi moult contorsions pour pouvoir visiter mes trous, tripoter ma bite et mes couilles, vérifier l’excitabilité de mes tétons et de mon cul. Puis il m’a demandé de lui sortir son vit et de le sucer. Conscient que cela faisait partie de ma période d’essai, je me suis appliqué jusqu’à ce qu’il crache son foutre que je n’ai pas réussi à avaler. Je l’ai entendu dire à son épouse : « Il va falloir éduquer cette grosse pute… Heureusement, il est de bonne volonté et sans aucune pudeur. Nous devrions arriver à en faire une bonne salope lubrique. » Et je n’ai pas relevé l’insulte. Pire, je me suis senti stimulé, valorisé par son projet de gouverner ma déchéance et me réduire à l’état d’objet sexuel. Mon cerveau, sans doute déconnecté de son lobe temporal, n’est plus en état de réfléchir et se limite aux fonctions primaires (sexe et survie).
La semaine suivante, dans le respect du calendrier fixé, me voici à pied d’œuvre. Je rentre dans la maison après m’être annoncé à l’interphone comme « la pute », me dénude et range mes affaires dans la penderie de l’entrée. Ensuite, je salue le maitre (de maison) en lui présentant mon cul qu’il caresse et embroche de ses doigts jusqu’à ce que ma queue soit dure et dressée. Ensuite, je le suis dans la chambre où il sort tout seul de son fauteuil et s’installe sur le lit. Je le déshabille entièrement en le caressant tendrement. Si ses jambes sont mortes, par contre ses bras et sa queue sont vigoureux. Je sens bien qu’il m’a amené là pour me consommer tout cru. Je ne résiste pas et me positionne sur le ventre en écartant le plus possible mes cuisses et mes fesses et il m’encule ainsi à sec, en position de l’éléphant. Douleur au passage laborieux du sphincter puis sensation sublime d’être complétement envahi. Il me démonte le cul si vigoureusement que mon corps glisse peu à peu vers la tête du lit. Mon crane frappe bruyamment le mur et j’en suis à demi groggy tandis que mes fesses et mon bas ventre deviennent douloureux. Lorsque sa bite tressaute, son foutre chaud envahit rapidement mes viscères. Je serais malhonnête si je disais que mon plaisir n’était pas au rendez-vous.
Mais le meilleur restait à venir, voilà qu’il me caresse le dos, les jambes, les épaules et les bras, me pelote les fesses, puis me demande de me retourner. Il se déplace en rampant sur le lit, attrape des cordelettes dans la table de nuit et me ligote écartelé. Sa liqueur coule doucement de mon cul encore dilaté. Commence alors un jeu de pincements suivis de caresses. Tout y passe : mes tétons, mes bourses, mais aussi plein d’endroits que je ne soupçonnais pas aussi sensibles somme l’intérieur de mes cuisses, le scrotum, des points de mon visage, de mes bras, pieds et mollets, comme dans l’œuvre d’un acuponcteur. Je suis à nouveau si visiblement excité qu’il n’a d’autre solution que de me soulager de sa bouche. Mon dieu qu’il suce bien le bougre ! Lorsque je décolle, je découvre que tout mon corps est en feu. Je m’écartèle plus encore et les sensations aux aisselles, aux tétons, au pubis, entre mes fesses puis à l’intérieur de mes organes est violent. Mon corps entier est secoué de spasmes profonds et mes liens se resserrent, mélange de jouissance sublime et de douleurs irradiantes. Je sombre dans une étonnante léthargie…
La séance suivante a commencé dans la douceur. Lorsque je me suis présenté à lui en tenue de travail (plus nu que nu), ma copine était présente et j’ai eu le droit à des bises et un cadeau. J’ai fébrilement ouvert le paquet et suis devenu pivoine. Il s’agit d’un plug gonflable dont les performances sont vantées sur la boite. Ils se disputent pour savoir qui me l’introduira et c’est finalement madame qui gagne cet honneur. Monsieur se réserve la manipulation de la poire. Me voici bientôt équipé et le plug consciencieusement gonflé. Prié de rester ainsi, Je papote avec eux en dégustant un café. Je suis régulièrement un peu plus dilaté. J’ai l’impression qu’il va me déchirer, mais non, je suis formidablement élastique de ce côté. Et l’exercice dure, dure… Mon sexe est en permanence à demi tendu et je ne peux rien faire pour me calmer. Chaque gonflage rajoute de l’excitation. Lorsque l’objet est retiré de son réceptacle, ils vérifient tous deux le résultat de l’opération. Il entre trois doigts et elle quatre. Ils me promettent de continuer la prochaine fois, puis nous nous livrons à un exercice en trio. Je baise madame en missionnaire tandis que son mari, qui m’encule, donne le rythme. Curieuse sensation que cette position de la tranche de jambon passive dans le sandwich conjugal. Comme chacun se préoccupe du plaisir de l’autre, l’expérience est très agréable mais aussi très fatigante.
Les séances suivantes seront vouées à finir de me dilater et à m’habituer à des lavements à forte pression destinés à rendre fréquentable mon orifice. Dans le même temps, il viole sans cesse ma bouche en gorge profonde pour m’habituer à pouvoir déglutir ainsi envahi. Au bout d’une semaine mon cul est considérablement assoupli, ma gorge exempte de spasmes, et monsieur va pouvoir réaliser ses fantasmes. Je suis tout d’abord perplexe, jusqu’à ce que sa main glisse en mon cul sans encombre et commence à tournoyer dans mes viscères avec une agilité peu commune. Je ne peux me retenir de psalmodier mon bonheur puis de le hurler comme une chienne que je suis. Plus je me manifeste, plus il s’agite et me défonce. Mon corps se tord de plaisir, n’est qu’un embrasement et mon esprit divague jusqu’à la syncope. Lorsqu’il m’oblige à sucer son vit, ma gorge s’enflamme et se dilate prête à l’engloutir tout cru. Au gré des expériences, j’avale de mieux en mieux.
Très vite, il n’est plus besoin de la chambre… Au moindre signe, je me penche vers son bas ventre et lui prête ma bouche servile dans tous les endroits de la maison. Parfois, lorsque j’ai très bien sucé, il me laisse peloter et lécher sa femme. Il n’a qu’à claquer des doigts pour que je me plie en deux, dos à lui, jambes écartées, et il m’enfourne fermement de plus en plus profond son avant-bras fin et charnu. Son épouse le relaie parfois avec douceur. Lorsqu’il (ou elle) a fini de jouer, je reste dilaté un long moment et ils aiment me contempler ainsi. Je me sens à la fois humilié et terriblement excité. Pour leur plaisir, mais aussi pour le mien, je multiplie les lavements préparatoires.
Après quelques semaines de ce traitement, pour combattre la lassitude, ils me font cadeaux de deux « jouets vibrants », un plug de belle dimension et un triple anneau pénien. Je suis sommé de m’équiper dès mon entrée dans la maison. C’est donc une version de moi frémissante et obscène, secouée de spasmes, qui se présente à eux jambes et fesses écartées et bite gonflée et soutenue droite vers le plafond. Ils ne cessent de me faire bouger ainsi, me courber, m’étirer, écarter mes membres en sollicitant des aides à leur vie quotidienne. Je suppose que le service nu et embroché des boissons sur la table basse (très basse) doit valoir le coup d’œil, tout autant que la recherche d’objets ou de livres en haut des étagères… J’avoue que ce nouveau jeu s’avère particulièrement épuisant et me fait définitivement perdre toute dignité. Je crois que le vocabulaire le plus vulgaire s’avère trop doux pour me décrire. Je suis devenu une immonde salope domestique lascive ; en un mot, le plus odieux et trivial des gadgets sexuels animés. Mon problème est que j’aime follement ça au point d’envisager sérieusement de m’installer chez eux à demeure et de leur proposer d’inviter des amis avec handicap pour devenir leur jouet collectif. Mais ceci est une autre histoire…
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’entendis dire un beau jour: « J’ai un énorme service à te demander. Comme tu le sais, mon mari est lourdement handicapé mais a gardé toute sa verdeur et passe son temps à me défoncer par tous les trous. Je ne lui suffis plus et il rêve d’avoir un objet sexuel qui saura le câliner, le sucer et surtout lui ouvrir son cul pour qu’il le sodomise trois ou quatre fois par semaine. Il a de très gros besoins sexuels auxquels je ne peux répondre et surtout il rêve d’un mec gay ou bi qui soit une bonne salope. Il veut quelqu’un qui passe chez nous des demi-journées entières, qui le serve nu, toujours prêt à lui donner accès à son intimité et à faire la pute. Il veut pouvoir le tripoter, lui pincer les seins et les bourses, l’enfiler non seulement avec sa bite, mais avec des jouets ou des objets du quotidien. Il le veut lascif et très expressif, capable de hurler de bonheur quand il le baise. Il veut qu’il abandonne tout respect de lui-même. Il compte éduquer ses sphincters en les dilatant jusqu’à ce que le fisting soit possible. Il lui demandera aussi de le sucer en gorge profonde tout en étant capable d’avaler le foutre jusqu’à la dernière goutte. Je t’ai proposé à lui car tu es, si je ne me suis pas trompé, la bonne grosse salope dont il rêve. Il a flashé sur toi d’après mes descriptions et les quelques photos suggestives que j’ai pu récupérer sur Internet. »
J’en suis resté sans voix, mi choqué de cette vision peu reluisante de moi, mi excité par l’idée d’être ainsi traité. Mes nombreuses expériences homo sur les sites de drague m’ont laissé frustré tant mes partenaires se sont révélés timorés. Voici une belle occasion d’en vivre pleinement une, dans la durée, sans tabou. Cette évocation m’a amené à produire des images mentales ou le plaisir physique était très présent. Le rouge m’est monté aux joues. Le relief soudain de mon entrejambes m’a d’autant plus laissé sans possibilité de bluffer que mon amie s’en était rendu compte et venait d’y porter la main. Sa caresse d’encouragement m’a occasionné une transe assez violente. J’étais déjà prêt au pire. Je lui ai proposé de faire un bout d’essai et le soir même j’étais rendu à pied d’œuvre complétement empli d’une tension intérieure jusqu’ici inconnue.
L’accueil du mari, petite chose au regard vif tordue dans un fauteuil électrique, a été plus que chaud. D’entrée il m’a exigé totalement nu. Lorsque, au cours de mon striptease chaotique, il a découvert l’absence de sous-vêtements par temps frais, il a commencé à s’exciter et à me témoigner d’un mépris teinté de désir. Il a exigé de moi moult contorsions pour pouvoir visiter mes trous, tripoter ma bite et mes couilles, vérifier l’excitabilité de mes tétons et de mon cul. Puis il m’a demandé de lui sortir son vit et de le sucer. Conscient que cela faisait partie de ma période d’essai, je me suis appliqué jusqu’à ce qu’il crache son foutre que je n’ai pas réussi à avaler. Je l’ai entendu dire à son épouse : « Il va falloir éduquer cette grosse pute… Heureusement, il est de bonne volonté et sans aucune pudeur. Nous devrions arriver à en faire une bonne salope lubrique. » Et je n’ai pas relevé l’insulte. Pire, je me suis senti stimulé, valorisé par son projet de gouverner ma déchéance et me réduire à l’état d’objet sexuel. Mon cerveau, sans doute déconnecté de son lobe temporal, n’est plus en état de réfléchir et se limite aux fonctions primaires (sexe et survie).
La semaine suivante, dans le respect du calendrier fixé, me voici à pied d’œuvre. Je rentre dans la maison après m’être annoncé à l’interphone comme « la pute », me dénude et range mes affaires dans la penderie de l’entrée. Ensuite, je salue le maitre (de maison) en lui présentant mon cul qu’il caresse et embroche de ses doigts jusqu’à ce que ma queue soit dure et dressée. Ensuite, je le suis dans la chambre où il sort tout seul de son fauteuil et s’installe sur le lit. Je le déshabille entièrement en le caressant tendrement. Si ses jambes sont mortes, par contre ses bras et sa queue sont vigoureux. Je sens bien qu’il m’a amené là pour me consommer tout cru. Je ne résiste pas et me positionne sur le ventre en écartant le plus possible mes cuisses et mes fesses et il m’encule ainsi à sec, en position de l’éléphant. Douleur au passage laborieux du sphincter puis sensation sublime d’être complétement envahi. Il me démonte le cul si vigoureusement que mon corps glisse peu à peu vers la tête du lit. Mon crane frappe bruyamment le mur et j’en suis à demi groggy tandis que mes fesses et mon bas ventre deviennent douloureux. Lorsque sa bite tressaute, son foutre chaud envahit rapidement mes viscères. Je serais malhonnête si je disais que mon plaisir n’était pas au rendez-vous.
Mais le meilleur restait à venir, voilà qu’il me caresse le dos, les jambes, les épaules et les bras, me pelote les fesses, puis me demande de me retourner. Il se déplace en rampant sur le lit, attrape des cordelettes dans la table de nuit et me ligote écartelé. Sa liqueur coule doucement de mon cul encore dilaté. Commence alors un jeu de pincements suivis de caresses. Tout y passe : mes tétons, mes bourses, mais aussi plein d’endroits que je ne soupçonnais pas aussi sensibles somme l’intérieur de mes cuisses, le scrotum, des points de mon visage, de mes bras, pieds et mollets, comme dans l’œuvre d’un acuponcteur. Je suis à nouveau si visiblement excité qu’il n’a d’autre solution que de me soulager de sa bouche. Mon dieu qu’il suce bien le bougre ! Lorsque je décolle, je découvre que tout mon corps est en feu. Je m’écartèle plus encore et les sensations aux aisselles, aux tétons, au pubis, entre mes fesses puis à l’intérieur de mes organes est violent. Mon corps entier est secoué de spasmes profonds et mes liens se resserrent, mélange de jouissance sublime et de douleurs irradiantes. Je sombre dans une étonnante léthargie…
La séance suivante a commencé dans la douceur. Lorsque je me suis présenté à lui en tenue de travail (plus nu que nu), ma copine était présente et j’ai eu le droit à des bises et un cadeau. J’ai fébrilement ouvert le paquet et suis devenu pivoine. Il s’agit d’un plug gonflable dont les performances sont vantées sur la boite. Ils se disputent pour savoir qui me l’introduira et c’est finalement madame qui gagne cet honneur. Monsieur se réserve la manipulation de la poire. Me voici bientôt équipé et le plug consciencieusement gonflé. Prié de rester ainsi, Je papote avec eux en dégustant un café. Je suis régulièrement un peu plus dilaté. J’ai l’impression qu’il va me déchirer, mais non, je suis formidablement élastique de ce côté. Et l’exercice dure, dure… Mon sexe est en permanence à demi tendu et je ne peux rien faire pour me calmer. Chaque gonflage rajoute de l’excitation. Lorsque l’objet est retiré de son réceptacle, ils vérifient tous deux le résultat de l’opération. Il entre trois doigts et elle quatre. Ils me promettent de continuer la prochaine fois, puis nous nous livrons à un exercice en trio. Je baise madame en missionnaire tandis que son mari, qui m’encule, donne le rythme. Curieuse sensation que cette position de la tranche de jambon passive dans le sandwich conjugal. Comme chacun se préoccupe du plaisir de l’autre, l’expérience est très agréable mais aussi très fatigante.
Les séances suivantes seront vouées à finir de me dilater et à m’habituer à des lavements à forte pression destinés à rendre fréquentable mon orifice. Dans le même temps, il viole sans cesse ma bouche en gorge profonde pour m’habituer à pouvoir déglutir ainsi envahi. Au bout d’une semaine mon cul est considérablement assoupli, ma gorge exempte de spasmes, et monsieur va pouvoir réaliser ses fantasmes. Je suis tout d’abord perplexe, jusqu’à ce que sa main glisse en mon cul sans encombre et commence à tournoyer dans mes viscères avec une agilité peu commune. Je ne peux me retenir de psalmodier mon bonheur puis de le hurler comme une chienne que je suis. Plus je me manifeste, plus il s’agite et me défonce. Mon corps se tord de plaisir, n’est qu’un embrasement et mon esprit divague jusqu’à la syncope. Lorsqu’il m’oblige à sucer son vit, ma gorge s’enflamme et se dilate prête à l’engloutir tout cru. Au gré des expériences, j’avale de mieux en mieux.
Très vite, il n’est plus besoin de la chambre… Au moindre signe, je me penche vers son bas ventre et lui prête ma bouche servile dans tous les endroits de la maison. Parfois, lorsque j’ai très bien sucé, il me laisse peloter et lécher sa femme. Il n’a qu’à claquer des doigts pour que je me plie en deux, dos à lui, jambes écartées, et il m’enfourne fermement de plus en plus profond son avant-bras fin et charnu. Son épouse le relaie parfois avec douceur. Lorsqu’il (ou elle) a fini de jouer, je reste dilaté un long moment et ils aiment me contempler ainsi. Je me sens à la fois humilié et terriblement excité. Pour leur plaisir, mais aussi pour le mien, je multiplie les lavements préparatoires.
Après quelques semaines de ce traitement, pour combattre la lassitude, ils me font cadeaux de deux « jouets vibrants », un plug de belle dimension et un triple anneau pénien. Je suis sommé de m’équiper dès mon entrée dans la maison. C’est donc une version de moi frémissante et obscène, secouée de spasmes, qui se présente à eux jambes et fesses écartées et bite gonflée et soutenue droite vers le plafond. Ils ne cessent de me faire bouger ainsi, me courber, m’étirer, écarter mes membres en sollicitant des aides à leur vie quotidienne. Je suppose que le service nu et embroché des boissons sur la table basse (très basse) doit valoir le coup d’œil, tout autant que la recherche d’objets ou de livres en haut des étagères… J’avoue que ce nouveau jeu s’avère particulièrement épuisant et me fait définitivement perdre toute dignité. Je crois que le vocabulaire le plus vulgaire s’avère trop doux pour me décrire. Je suis devenu une immonde salope domestique lascive ; en un mot, le plus odieux et trivial des gadgets sexuels animés. Mon problème est que j’aime follement ça au point d’envisager sérieusement de m’installer chez eux à demeure et de leur proposer d’inviter des amis avec handicap pour devenir leur jouet collectif. Mais ceci est une autre histoire…
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