D'épouse Prude à Femme Délurée 2/7

- Par l'auteur HDS coquinette18 -
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Récit libertin : D'épouse Prude à Femme Délurée 2/7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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D'épouse Prude à Femme Délurée 2/7
2] La punition

Suite de l'histoire : Les étages du plaisir

Depuis cette soirée mémorable je suis troublée.

Moi si fermée, si réservée, si prude, je suis étonnée du plaisir que j'ai éprouvé à faire l'amour nue, dans l'escalier de ma propre résidence, pouvant être surprise à tout moment par mes voisins.

Le plus incroyable, est que je fantasme presque, pour que cela se soit passé, et je ressent à cette pensée une montée d'excitation.

Depuis cette nuit inoubliable, je me suis excusée auprès de mon mari, pour ma réponse qui l'a vexé et je lui ai même dit que j'étais partante pour une seconde expérience et que j'étais prête à prendre plus de risques.

Sa réponse a toujours été la même : tu sera punie.

Bizarrement j'ai presque hâte d'être à ce moment, et je mouille énormément à cette idée. Je dois devenir folle.

Nous sommes un samedi après-midi, je suis occupée à étendre le linge, quand mon mari m'appelle pour que je l'aide à descendre des cartons de livres à la cave.

Nous les déposons et remontons au rez-de-chaussée.

Là il me pousse contre le mur et me demande de retirer mes bras des manches de mon sweat shirt et également de mon t shirt.

Je suis surprise et lui signale qu'étant dans l'appartement je n'ai pas mis de soutien-gorge.

Il ne répond rien, et une fois mes bras à l'air libre, me retourne et m'attache rapidement les mains dans le dos, à l'aide d'une ceinture de peignoir.

Je commence à m'inquiéter, car je suis à sa merci et il lui suffit de m'ôter mes vêtements par la tête pour que je sois torse nu.

Cela n'a pas l'air d'être son intention ce qui me rassure un peu.

Il me dit alors bonne après-midi et appelle l'ascenseur pour remonter à l'appartement.

Je lui demande ce qu'il 'attend de moi et il me répond que c'est ma punition et qu'il ne m'ouvrira pas la porte avant 17h00.

Je lui demande de ne pas me laisser là comme ça.

Il me regarde de haut en bas et me répond que ce n'est pas son intention.

Je le remercie.

D'un geste brusque il me descend le bas de mon survêtement et me dit que là c'est mieux.

Je pousse un cri en me retrouvant en petite culotte de coton blanche, le jogging au chevilles et donc ne pouvant pas faire de grand pas, les mains attachées dans le dos, les seins nus sous des hauts qu'ils suffit de me soulever pour admirer le spectacle.

Je suis d'autant plus terrifiée que nous somme un samedi et que de nombreuses allées et venues s'opèrent ce jour là.

En faisant de petits pas je me rend le plus vite possible à l'escalier, afin de ne pas rester à la vue de tous dans le hall de l'immeuble.

Mon jogging m'entrave les mouvements et je monte les premières marches.

j'arrive péniblement entre le premier et le second étage quand j'entends une porte s'ouvrir, à priori du troisième étage.

Et là horreur, une cavalcade retentit dans l'escalier et je me retrouve trente secondes plus tard face à trois adolescents, qui stoppent net leur course, à la vue du spectacle.

Ce sont les deux fils d'un beauf du troisième et un copain à eux.

Spécialistes des conneries, je les engueule régulièrement depuis dix ans.

Ils me regardent tous avec des yeux énormes et se demandent si le tableau est bien réel.

L'ainé me demande ce que je fais dans cet accoutrement.

Je ne sais pas quoi répondre et lui dit que c'est un pari.

Il passe derrière moi, soulève légèrement mon t-shirt et découvre mes mains attachée.

Je lui demande de me détacher immédiatement.

Il me répond que le ton employé ne lui plait pas et que si je suis dans cette situation cela ressemble plus à une punition qu'à un pari.

Il soulève un peu plus mes vêtements et entrevoit mes seins.

La stupéfaction se lit sur leurs visages et un rictus de vengeance commence à apparaître.

Le cadet lance d'ailleurs l'idée que je serai peut-être plus à l'aise sans.

Il me soulève un pied puis l'autre en tirant mon jogging. Mes chaussons viennent en même temps, puis mes hauts me sont retirés par la tête.

Me voilà juste en culotte devant 3 ados hilares et excités pas la situation.

Leurs mains commencent à me malaxer les seins.

J'essaie de me dégager tout en leur intimant l'ordre d'arrêter.

La honte et l'excitation des caresses se mélangent en moi, et je m'aperçois que je commence à mouiller.

Ils me prennent par le bras et m'entraîne vers le troisième.

Je leur demande de prendre mes affaires, mais ils me répondent que je suis mieux comme cela, et sans que je puisse m'y opposer les jette dans le vide ordures.

Ils ouvrent leur porte et appellent leur père.

Ce dernier arrive et n'en croit pas ses yeux, de voir sa pire voisine, juste en culotte sur son palier.

Il appelle tout de suite au téléphone son meilleur copain, un frimeur du bâtiment d'à côté.

Je tente de partir, mais je suis solidement tenue.

Ce dernier arrive, trois minutes plus tard, accompagnée comble de malchance par la mère des ados, avec qui j'ai eu plusieurs fois des mots.

Elle me demande ce que je fais dans cette tenue, devant ses enfants et son mari.

je me dis qu'il vaut mieux dire la vérité et qu'en tant que femme elle comprendra dans quelle position embarrassante je me trouve.

J'avoue donc qu'une punition est en cours pour moi, infligée par mon mari.

Elle revient avec une chaise sur le palier, s'assoit et me dit qu'avec ma petite culotte blanche en coton, je ressemble à une petite fille et que pour les petites filles pas sages, une vraie punition est une bonne fessée.

Elle me tire sur ses genoux et je me retrouve à plat ventre sur elle. quelle honte!!

Les claques commencent à tomber, et à 50 ans je me prend une fessée.

Enfin au bout d'un certain temps, les claques s'arrêtent.

Ouf ma punition prend fin.

Elle s'adresse alors aux ados et j'entends horrifiée qu'elle leur demande d'apporter une règle.

Puis elle s'adresse à moi, en me précisant que les petites filles pas sages du tout, subissait une fessée plus forte et surtout cul nu.

Je n'ose croire à ce que j'entends, mon cœur palpite,.... elle ne va pas oser quand même.

je sent sa main agripper ma culotte et la tirer vers le bas.

Elle me l'enlève complètement.

Mes fesses volumineuses apparaissent à la vue de tous.

Les trois ados, le mari et le frimeur de voisin ont les yeux écarquillés.

Ils sortent leurs téléphones et commencent à filmer.

Je suis complètement nue, exposée à leurs regards et totalement humiliée.

La fessée reprend, plus forte, plus bruyante.

Les mains rebondissent sur mes globes fessiers, et mes seins qui pendent, vibrent à l'unisson.

Puis vient la règle, j'ai l'impression de recevoir des coups de fouet, tant la douleur est intense.

je gesticule et du coup sans le vouloir écarte mes jambes, dévoilant mon intimité et mes trésors cachés, aux cinq paires d'yeux, des mâles excités.

Enfin les coups se stoppent.

Mon postérieur doit être cramoisi tellement il est douloureux.

La mère demande à l'un de ses fils d'aller chercher une carotte dans le frigo pour faire les dernières photos.

A quoi pense t'elle? Ne suis-je pas suffisamment rabaissée?

Ce mélange de douleur et d'humiliation fait qu'à mon grand étonnement je suis trempée.

La carotte est amenée comme un trophée.

la mère me la montre. Elle est doit faire une quinzaine de centimètres pour trois ou quatre de circonférence.

Elle la frotte contre mes cuisses trempée par le jus de mon intimité, provoqué par mon excitation.

Elle écarte mes globes fessiers.

Un nooonnn sort de ma bouche comme une cri de désespoir.

je supplie et tente de me relever. Mais comment faire avec les mains attachées dans le dos.

Elle prend ma culotte par terre et après en avoir fait une boule me la met dans la bouche.

Je suis totalement à sa merci et elle le sait.

Mes fesses sont à nouveau écartées et la carotte positionnée sur mon œillet vierge car je n'ai jamais accepté la moindre sodomie de la part de mon mari.

Le légume est poussé inexorablement dans le trou défendu.

la douleur est intense.

Dans mon malheur, ma mouille abondante, aide ce douloureux passage.

la carotte disparait enfin entièrement dans mon fondement et seules les fanes d'une vingtaine de centimètres sortent de mon trou du cul.

Je dois être ridicule

La mère demande maintenant aux ados, s'ils souhaitent observer de près ma chatte.

Ces derniers acquiescent en même temps.

On me retourne comme une crêpe.

La position est très inconfortable car je suis maintenant sur mes bras attachés dans le dos.

Ma tête pend dans le vide, mes seins pointent vers le haut, les mamelons gonflés par l'excitation.

Le beauf et le frimeur m'écarte les cuisses et la mère écarte mes grosses lèvres et tire sur mes petites lèvres dévoilant mon clitoris et mon vagin.

Elle commente mon excitation et ma liqueur intime d'une manière crue, dégradante et avilissante et demande aux cinq mâles de vérifier par eux mêmes.

Des doigts envahissent alors ma grotte inondée, pincent mes durs tétons et un foudroyant orgasme convulse mon corps.

Je suis anéantie, humiliée, terrassée par la honte et malgré tout un immense fantasme vient de se réaliser, me rendant presque heureuse.

Toutes mes parties intimes ont été explorées et pris en photos et je ne sais pas quelle sera ma réaction, et la leur, lorsque je croiserais à nouveau ces voisins.

On me remet debout.

La mère me donne rendez-vous la semaine prochaine pour venir admirer les tirages photos, même heure, même lieu, même tenue.

Elle me donne une grande claque sur les fesses en me montant l'escalier.

je me précipite vers le sixième, nue, avec toujours les mains attachées dans le dos, la culotte dans la bouche et la carotte dans le cul.

Je frappe contre la porte avec ma tête, mon mari m'ouvre surpris de ce spectacle, et je me précipite à l'intérieur.

Mon dieu que vais je faire la semaine prochaine?

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Trop bien on attend la suite avec impatience

Histoire Erotique
excitant à souhait
parfait

Histoire Erotique
Félicitations chère Madame!!! Je viens de tomber sur vos histoires. Vous êtes très douée et très excitante!! Je vous encourage à continuer d'écrire! Vous avez beaucoup de talent! Vivement la suite de vos aventures débridées et j'espère que Vous prenez beaucoup de plaisir?!!!

Histoire Erotique
Dans le genre punition et humiliation, on est déjà pas mal... Vivement la prochaine étape avec impatience ! Bravo !

bravo ! j'espère que l'on va arriver à une relation de Dominant(e) à Soumise humiliée sans pitié !!!!

Oh Coquinette 18 !!!! Votre récit m’a fait bander à outrance instantanément….. comme j’espérais que les ados ce soient régalé de Madame dans cette situation, comme des jeunes mâles en rut 😅, mais non, l’excitation des hommes a du être intense….

Vivement la suite 😊

très bon récit de soumission et de sadisme ! J'adore !Vivement les chapitres suivants, pourvu qu'ils soient encore plus sadiques et sans pitié...



Texte coquin : D'épouse Prude à Femme Délurée 2/7
Histoire sexe : Une rose rouge
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