D'ouvrier agricole a Chef du paysan ; Chapitre 1 - histoire érotique

Je rentre juste de la chasse avec les copains. Un bon groupe de potes de tout âge que je me suis fait peu de temps après avoir débarqué dans ce petit village en espérant pouvoir reprendre une ferme ou me mettre en GAEC.
J'enlève en vitesse mes bottes pour éviter que Stéphane gueule trop. Stéphane, c'est mon patron. Je n'ai pas pu trouver d'exploitation à reprendre, alors en attendant, cela fait deux ans que je suis ici, dans un appartement qu'il a aménagé dans sa grande maison. Avant, il avait toute sa famille, mais depuis que sa femme l'a quitté, il était seul autant dans la maison que pour bosser à la ferme. C'est pour ça que je suis là. On partage le même vestiaire et la même entrée. Moi, j'ai un appart pas bien grand au rez-de-chaussée et lui vit en haut.


Je ne vois pas les bottes de Stéphane. J'imagine qu'il doit être en vadrouille. Il y a un grand paquet devant la porte, aucun nom, mais ça doit sûrement être la nouvelle cotte que j'ai commandée.
Je rentre chez moi et j'ouvre tout ça. Il y a comme une forte odeur de pneu qui en sort. Sur le dessus du paquet, je vois une petite carte de visite. "M - À mettre demain dès 10h" - ainsi qu'un numéro de téléphone. Je suis super curieux, je regarde vite fait dans le colis et je vois une espèce de bâillon, un collier et d'autres trucs que je ne suis pas sûr de bien comprendre ?

Maintenant, je suis vraiment curieux. Je ne prends même pas le temps d'enlever mon treillis que j'utilise pour aller à la chasse, je sors mon téléphone et j'envoie un message au numéro de la carte.
"- J'ai trouvé cette carte dans un colis pour mon patron... T'es qui et c'est quoi tout ce bordel?"
Rapidement, je reçois une réponse :
"- Salut. C'est toi l'ouvrier de mon Porc ? Intéressant. Tiens, ça devrait expliquer pas mal de choses."
Avec ça, un fichier contenant une cinquantaine d'images. Je les ouvre sans trop attendre.

Et là, je suis sur le cul. Toutes des photos de Stéphane, certaines où il est empalé sur des godes énormes, d'autres de lui montrant son cul avec comme titre "Merci Maître", ou encore plus surprenant, plusieurs où il porte ma cotte, mes bottes, ou alors les lèche.

Il se trouve que Stéphane est un gros Porc, soumis à ce Monsieur M, et qui adore les tenues de travail et en latex. Je n'aurais jamais pensé cela, lui qui est toujours plutôt froid et directif. Sans répondre à Monsieur M, je reçois un texto de sa part :
"- Je comprends ta surprise. Si tu es intéressé, récupère juste l'enveloppe du paquet et referme-le. Sinon, passe ton chemin."

Bien sûr que je suis intéressé, je ne sais pas encore trop pourquoi. À ce moment-là, j'entends le pickup de Stéphane qui arrive. Je choppe vite l'enveloppe et je referme le colis comme je peux. Je fais comme si je venais d'arriver. Je le rejoins au vestiaire et je lui tends son colis.
-Tiens ! J'ai trouvé ça devant l'entrée. Je me suis dis que c'était à moi, mais j'ai rien commandé récemment.
Stéphane le récupère en vitesse et monte chez lui en me disant à peine salut. C'est quand même un sacré bonhomme ce type. Il est un peu rond, mais il reste très fort et imposant avec tout le travail à la ferme.

Je discute longuement avec ce Monsieur M. Il m'apprend tout sur les secrets de Stéphane. Ses rêves de soumission, de devenir un larbin, un Porc, sous contrôle total, et plein d'autres choses. J'apprends aussi que l'enveloppe que j'ai contient l'ensemble des clés de ce que contenait ce colis. Il ne me donne pas plus de détails, mais m'explique quand même que dans le lot se trouve une cage de chasteté.

"- Demain, il m'a dit que tu devais partir tôt et serais absent pour la journée. Le colis contient un attirail avec lequel il devait travailler pour la journée durant ton absence. Si tu es toujours intéressé, annule ton activité demain. Reste secrètement dans ton appartement. Met ta cotte et tes bottes crades. À 11h précise, Stéphane sera au vestiaire. Son appart et le vestiaire sont remplis de caméras auxquelles j'ai accès. Sois prêt à le surprendre."

J'aime pas trop le ton directif de ce Monsieur M, mais en même temps, tout ça me fait bien bander, j'avoue. J'envoie un message sur le groupe de chasse avec qui j'étais aujourd'hui. Je m'excuse en prétextant être tombé malade. Hugo et Mathieu me disent que je suis qu'une tapette en rigolant. Mais ils feront leur battue sans moi !


La traite du soir se passe sans accrocs, mais la nuit est difficile. Je me pose tant de questions sur tout ça. J'arrive quand même à m'endormir. Le lendemain, comme prévu, je fais comme si je partais. Je gueule dans la cage d'escalier à Stéphane que je m'en vais. Je l'entends marmonner quelque chose en réponse. J'enfile ma cotte Fendt et mes Le Chameau d'habitude. Je claque la porte mais retourne dans mon appartement. J'entends beaucoup de bruit en haut, mais j'attends patiemment. Après 15 minutes, j'entends un bruit lourd de bottes dans les escaliers. Une fois qu'il est arrivé en bas, je sors d'un coup de mon appartement. Il se retourne et je le vois bien pour la première fois.


Stephane, le paysan viril, est habillé dans une combinaison complète en latex vert militaire. Sur son ventre et son dos, il y a écrit "PORC" en lettres jaunes. Il porte ses vieilles cuissardes de pêche, des Chameau Delta, et pour couronner le tout, un énorme bâillon boule dans la bouche. Il y a plusieurs cadenas, dont j'ai justement les clés dans ma poche. Il est comme une biche prise dans les phares des voitures, presque tétanisé, mais j'entends qu'il essaie de dire quelque chose à travers son bâillon. Le voir comme ça est en même temps perturbant et terriblement excitant. À ce moment-là, je sors simplement les clés de ma poche.
" C'est ça que tu cherches ? Je les ai trouvées par terre dans le vestiaire hier.
-mmmmpphphhp
-Bon, mets-toi à genoux pour que je puisse enlever ce que tu as dans la bouche."
Il se met rapidement à genoux et semble soulagé de retrouver les clés.
Après quelques essais, je trouve enfin la bonne clé et lui retire son bâillon. Rapidement, il crache aussi une de mes vieilles chaussettes en laine que je porte pour aller travailler à la ferme. Je comprends mieux pourquoi j'en perdais souvent. Immédiatement après, il commence à me parler.
"Ah putain, merci, je pensais que ça allait mal finir tout ça..."


A ce moment là, il est encore a genou et ne bouge plus trop. Je brise le silence :
-C'est ça que tu veux ?
En désignant mes bottes. Il ne me regarde pas tant les yeux mais hoche la tête d'un air gêner. Je claque des doigt et instantanément il descente sur mes bottes et les lèches sur toutes leurs longueur. Elles ne sont pas super crade, mais je suis pas du genre a les laver tout les jours. Je sens la langue de ce Porc même a travers l'épaisse couche de caoutchouc et mes chaussettes en laine. Je vois son dos large et fort, tout en latex, avec ces lettre jaunes :"PORC". La vue est plaisante et la sensation aussi. Apres une dizaine de minutes, je m'assoie sur le banc du vestiaire et désigne ma queue. Stephane comprend vite et vient sans attendre la mettre en bouche.
Je lui enfonce ma queue au fond la gorge. Pendant qu'il se débats tant bien que mal en s'étouffant sur ma queue, je lui explique que je suis déjà au courant de tout ses fantasmes, notamment ceux sur moi. Il se calme vite assez vite. Apres quelque minutes, je retire ma queue de sa gueule, le choppe par le collier et le force a se retourner. Stephane est a 4 pattes, le cul tourné vers moi, je met ma mains entre ses jambe pour aller chercher un zip qui est au niveau de son bide, et qui s'ouvre pour me donner accès a son cul. Je découvre alors la cage de chasteté en métal qu'il porte. Elle est minuscule et laisse ses boules bien libre. Son cul est déjà rempli par un plug. A cette instant je l'entend dire timidement :
-B... Baise moi. S'il te plaitn baise moi.
J'en attendais pas moins, et Monsieur M m'avait bien dit que Stephane rêvait de se faire baiser par son rustre ouvrier de ferme ! Je retire le plug et lui fourre sans attendre ma queue dans son cul. Mes bottes frottent contre ses cuissardes pendant mes mouvements de va et viens. Il a un cul tellement confortable. Il m'en faut pas plus pour me vider dans son cul. Je pousse un râle puissant alors que Stephane lui gémi après cette insémination


Je donne l'ordre à Stephane de se relever. Le colosse, qui a encore mon jus qui lui coule du cul et qui s'infiltre dans ses cuissardes, me regarde timidement et me dit :
"Merci... Merci Chef".
C'est très plaisant de voir un bestiaux normalement si macho et d'une telle force, dans sa tenue de Porc, m'appeler Chef, comme Monsieur M me l'avait recommandé. Je donne les clés à Stephane, mais j'en garde une pour moi : celle de sa cage. Je vois bien dans son regard qu'il se questionne.
"Maintenant, c'est moi le patron. On est clair ?"
Voyant l'état de sa queue enfermée dans sa cage, Stephane n'essaie même pas de me contredire. En même temps, il a probablement rêvé de cette situation tellement de fois.
Sans plus d'explications, j'enfile mon treillis par-dessus ma combinaison et je pars rejoindre mes potes. Ils ont déjà commencé sans moi, mais ça ira. Je laisse Stephane passer sa journée sous les règles de ce mystérieux Monsieur M. Je suis impatient de rentrer ce soir. La vie à la ferme et mon quotidien devraient considérablement changer maintenant que je connais tous les secrets de Stephane et que je suis devenu le Chef du paysan.