Dan sles sapins. - histoire érotique

Bonjour je m'appelle Dominique et je voulais vous raconter quelques aventures qui me sont arrivées.

J'ai 18 ans depuis peu et je fais souvent du VTT dans les monts de la Madeleine. Au col du Saint Thomas pour les connaisseurs. J'aime pédaler dans les petits sentiers qui servaient au débardage, il y a souvent de vieilles maisons dont ne restent que des murs en brique cernés de ronce. Au col, régulièrement volé, il existe un poteau indiquant la frontière entre l'Auvergne et la France.
Je croise souvent des chevreuils mais sinon la forêt reste plantée de sapins alignés comme à la parade.

Ce jour-là il faisait très chaud même à l'ombre des arbres et j'avais glissé mon petit blouson dans un sac ceinture, pédalant en cuissard de cycliste à bretelle. J'adore quand les bretelles frottent les tétons et à chaque fois je me mets à bander.
Bah il n’y a jamais personne sur ces chemins forestiers et je me suis arrêté pour ôter le cuissard. A l’ombre il faisait frais mais au soleil, pédaler nu était un vrai plaisir. Le frottement de la selle entre mes fesses et sur mes couilles était plus qu’agréable.

Heureusement j’avais le GPS qui m’indiquait à peu près ou j’étais. Ce que je n’avais pas prévu c’était les trois mecs qui se sont trouvés devant moi après un virage. J’en ai percuté un mais j’ai assez vite été retenu par les deux autres avant de tomber. Moi il était visible que je n’avais rien et je me suis inquiété de celui que j’avais bousculé.

En fait il n’avait rien.

-Qu’est-ce que tu fais à poil sur ton vtt.

J’avais piqué un fard et là en effet que répondre. Ben c’est simple j’aime bien mais d’habitude il n’y a personne.

C’est sûr que tu aimes ça. Tu ne peux pas cacher ton plaisir.

Il a ri en fixant mon sexe encore dressé, cette fois par l’excitation d’être vu.

-On va revenir un eu en arrière, il y a un petit morceau d’herbe caché par les bois. On te suit avec ton vélo à la main. Tu sais que tu as de belles fesses ?

Une main est passée de mes reins sur mes fesses me faisant frissonner. Bien sûr j’avais déjà sucé des potes dans des soirées mais jamais été plus loin. Celui de gauche m’a pris la main pour la plaquer sur sa braguette.

-Tu sens l’effet que tu produis ?

Bien sur que je le sentais ! Chaud, raide, épais. Je le suis attardé dessus. Les gars n’avaient pas l’air méchant. Et s’ils étaient plus vieux que moi c’était de peu. Surtout excité par la trouvaille d’un mec nu en plein bois. En effet, un peu plus loin derrière une rangée de sapins une petite clairière couverte d’herbe tendre laissait passer un ru. Le vélo posé leurs mains ont explorés mon corp ce qui ne me déplaisait pas. J’ai eu une petite crispation quand un doigt est passé sur mon anus serré.

-Avec ta petite tronche d’amour tu n’as jamais servi de ce côté-là ?

-Non jamais je suis puceau. Enfin, des fesses.

Le premier avait laissé tomber son pantalon et son boxer se tendait sous l’effet de son sexe.

Là j’étais plus à mon affaire et je me suis laissé glisser à genoux pour passer la main puis la bouche sur la bosse que j’avais provoquée. Son boxer avait un petit goût de pipi qui m’excitait encore plus. Comme j’étais nu et penché j’ai senti une langue passer entre mes fesses et lécher mon trou de mec. Mes couilles reposaient sur son front et j’ai eu un gémissement non retenu. Après la langue un doigt et venu titiller ma rondelle en même temps qu’un mec assis sur mon dos écartait mes fesses.

-Tu as vraiment un petit trou fait pour l’amour.

J’ai baissé la boxer du mec et sa tige a jailli, raide, imposante le gland pointant du prépuce.

-Aller mec suce moi j’en ai autant envie que toi.

Il a appuyé sur mon crâne une fois sa queue dans ma bouche. Il m’a imposé sa cadence me faisant ne penser plus qu’à sa bite. C’était fou mais j’étais en pleine forêt, nu, suçant une bite inconnue et les fesses ouvertes, exposées. Le pire était que j’aimais ça ! J’ai eu une crispation quand le doigt a pénétré mon intimité doucement mais avec la salive il est entré. J’ai entendu puis senti un raclement et de la salive a coulé sur le doigt, glissant plus facilement.

Tu as envie qu’on aille plus loin ?

Euh, m’enculer ?

-Oui te prendre comme une femme mais par le cul.

Je ne sais pas si ça rentrera.

Il a ri gentiment.

-Tous pareils la première fois mais tu auras mal puis que du bien ensuite. Tu n’as pas vu ma queue mais je ne suis pas si épais que ça et pour débuter elle passera. Là où elle est passée chez bien d’autres. Jean va tenir tes fesses écartées et détend toi. Pense à la bite que tu suces.

Il en avait de bonnes ! Pas facile la première fois même et surtout parce que je voulais connaître cette sensation mais j’avais la frousse. J’ai d’abord senti le gland chaud qui poussait et Jean qui m’écartait les fesses. Je savais pour avoir eu des potes pris de cette façon que c’était génial une fois passé, alors j’ai pensé à ce que je faisais, sucer. D’un coup mon trou s’est ouvert à l’intrus et là j’ai couiné sur la bite que je pompais.

-Ne t’inquiètes pas, tu as eu mal mais maintenant ce ne sera que du bonheur.

Il a commencé des mouvements de va et vient dans mes fesses, et vrai, j’ai apprécié sa queue dans mes fesses. J’ai même au bout d’un moment poussé vers lui pour aller contre son ventre pour mieux le sentir.

-Toi je sens que tu aimes te faire prendre ! Bon, ça fera mal quand je me retirerais mais avec mon jus ma queue va glisser facile. Les puceaux je ne tiens pas longtemps dans leur cul.

Il a continué à limer puis a eu une sorte de spasme et s’est retiré cette fois plus facilement.

-Tu veux que mon pote te prenne aussi ? Tu auras moins mal et comme ta rondelle a été ouverte ça va mieux passer.

Je peux le voir et changer de position ?

Bien sûr, allonges toi sur le dos.

J’ai vu la queue de celui qui m’avait dépucelé elle ne me paraissait pas si petite d’en bas et celle de Jean sans prépuce a paru avoir le gland plus épais. De toutes façons j’avais dit oui alors j’assumais. Il a écarté mes cuisses et les deux autres m’ont tenu les chevilles relevées le temps qu’il entre dans mes fesses. J’ai couiné un peu plus fort mais c’est passé et le plaisir est revenu à chaque poussée. J’ai pu me branler et j’ai joui assez vite de tout le plaisir qu’ils me donnaient. Une fois retiré il m’a fixé, droit dans les yeux.

-Je ne te forcerais pas à en prendre trois mais j’ai vu le GPS sur ton vélo et je te donne les coordonnées de la ferme ou on bosse. Tiens pour t’essuyer les fesses. Il m’a tendu un paquet de mouchoirs en papier. Tu ne glisseras pas sur la selle. Passe quand tu veux tu as un bon cul.

J’ai regardé les coordonnées et ce n’était pas si loin.

Ok comptez sur moi je passerais j’ai bien aimé aussi et une première dans les bois dehors c’était super les gars.