Daniel 5
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Daniel 5
On est reparti. J’ai demandé à Éric s’ils étaient ensemble avant.
-Oui en fait depuis le collège on se cherchait et ça fait deux ans que je le travaille mais il n’est pas aussi docile que toi. Bon on se fait un sandwich et on va nager un peu.
-Je n’ai pas pris de maillot !
-Pas besoin, tu verras.
Un mec tenait une baraque avec juste un comptoir et une tablette avec des tabourets retenu de sa camionnette. On s’est installé et Éric a commandé deux burgers mais épicés. Pendant qu’il préparait, il m’a demandé d’ouvrir un peu plus le devant de mon short et de soulever le tissu. Je me suis trouvé pratiquement le sexe à l’air tourné vers lui.
-Il faut vraiment que je te taille la touffe de ton sexe.
On a mangé comme ça, des clients passaient prendre leur commande et mataient sans discrétion entre mes cuisses. J’étais gêné et j’ai bandouillé. Lui se marrait.
-Un de ces jours tu mettras un string et un short bas à la taille. On verra bien que t’es presque une femelle.
Je n’ai rien répondu ça m’excitait.
Bon aller on va à la voiture. Il est parti sur les petites routes puis dans la garrigue où se trouvait une piste privée. Il a payé pour entrer et une fois à l’intérieur m’a laissé le volant.
-Avec celle-ci tu n’as que deux pédales. Tu accélères ou tu freines. Fais gaffe il y a d’autre voitures sur le circuit. Surveille dans le rétro. Ne te laisse pas distraire. Il a passé la main sous mon short, dégageant ma queue.
-Fais gaffe à ce que tu fais !
Il me branlait lentement me forçant à ne penser qu’à ce que je faisais. J’ai fait une embardée quand in mec m’a doublé en klaxonnant. Ça m’a valu un coup sur les couilles.
-Bon arrête toi je reprends le volant on rentre mais on va se baigner avant.
On est revenu à la pointe rouge ou on a marché sur le sable jusqu’à avoir l’eau aux mollets.
-Vire ton short et jette le sur la plage au sec.
Mais il y a du monde !
-Et alors il n’y a pas de mômes fais le pour moi, je te le demande.
J’ai passé le short sous mes pieds et jeté le short le plus loin de l’eau, il a atterri juste à côté des vagues et je me suis vite accroupi.
-Aller marche et avance.
Des filles et des hommes me mataient sans complexes. Et j’ai eu assez vite l’eau au-dessus de mes fesses. Elle était fraiche. Éric et parti en crawl j’ai suivi mais il s’est arrêté pour me dire de faire la brasse en soulevant le cul. J’ai obéi sas voir qui voyait mes fesses nues à chaque mouvement.
Il a fait des aller-retours entre la digue et moi.
-Aller on sort.
Là j’ai eu la honte de sortir nu mais peu m’ont fixé avant que je remette mon short.
Il s’est essuyé avec une serviette et me l’a jeté.
-Essuie ton cul et ton dos pour pas tacher la voiture on rentre.
J’étais soulagé une fois au mobile home. Il est allé prendre une douche pour ôter le sel de sa peau et en me laissant la place Il m’a prévenu que cette fois je ne devais pas me laver l’intérieur pour laisser la flore intestinale se renouveler. J’ai des trucs à prendre chez les parents et je reviens.
-Si Jean se pointe avant que je revienne tu le fais entrer et attendre nu dans la chambre. Je reviendrais avec des plats à réchauffer.
J’ai pris ma douche et mis un short et un tee-shirt, il faisait chaud et je me suis mis au bureau. J’ai découvert dans un placard des revues porno hétéro que je feuilletais en matant les voitures qui entraient et celles qui sortaient. Les nanas avaient de gros seins mais les mecs avaient de beaux avantages et prenaient les filles par tous les trous. Je bandouillais sur certaines photos. Jean est arrivé en patinette électrique et il l’a laissé contre la cloison avant d’entrer.
-Éric n’est pas là ?
Non il est parti chercher des affaires chez lui. Il m’a dit que tu devais attendre dans la chambre, nu. C’est par là. Je suis resté le voir se dessaper.
-T’es son nouveau petit ami ?
Pour un moment oui, c’était ça ou dormir dehors. Il a eu une hésitation avant de commencer à se dessaper puis en haussant les épaules a ouvert la chemisette et l’a fait tomber avant de faire glisser son short retenu par l’élastique de la taille.
-Tu ne peux pas me laisser ?
Pourquoi on finira nus tous les deux.
-Ok.
Il a enlevé le string qui retenait ses couilles bien pendantes. Sous une petite bite.
Mignonne !
-Bof.
Je suis retourné à mon poste, Éric a garé sa voiture et a ramené un sac jusqu’à la chambre. J’ai entendu un coup et la porte s’est fermée.
Comme la veille tout le monde est sorti, avec un salut de la main, la secrétaire avec un sourire et le patron en dernier.
-Tu peux fermer et lâcher le chien.
Bien patron. Je suis sorti fermer le portail et lâcher le chien qui est parti comme un fou faire un tour. Revenant à l’intérieur, je me suis mis nu avant d’entrer dans la chambre. Jean était à quatre pattes et Éric le fouettait avec une ceinture de cuir.
-Tu arrives juste à temps. Cette chienne ne voulait pas me sucer disant qu’elle ne voulait pas sentir ton cul. Mets-toi devant lui et tends tes fesses qu’il lèche ce trou qui est le mien aussi. Tu as entendu la chienne ? Lèche-lui le cul.
Dans une glace sur le côté j’ai vu qu’il appuyait sa tête contre mes fesses et j’ai senti sa langue et ses lèvres collées à mes fesses. Quelle sensation, je n’avais jamais reçu une caresse de la langue sur mon trou et je me suis caressé, passant la main entre mes cuisses. De temps en temps Jean recevait un coup sur les fesses pour le stimuler. Puis Éric a mis une capote et sans attendre il l’a enculé d’un coup sec le faisant couiner sur mon trou. Il l’a ramoné un moment avant de lorgner mon sexe raide.
-Tu as déjà baisé une lopette Daniel ?
Ben des mecs oui mais pas vraiment des lopettes.
-Cette fois tu vas le baiser. Prends une capote dans le sac, fais-le sucer et je te laisse la place.
Quand Éric s’est dégagé le trou était encore ouvert et je n’ai eu aucun mal à entrer dans la chaleur de son cul.
-Vas-y remue dans ses fesses je change de capote.
Je n’avais pas le même calibre qu’Éric mais je le sentais bien et il a passé son gland avec le caoutchouc devant la bouche de Jean il a sucé comme un perdu avant qu’Éric change et me la mette dans la bouche appuyant ses fesses sur son cou. Puis passant derrière moi il m’a écarté les fesses et pénétré bien au fond me collant moi-même aux fesses de Jean.
-Petite salopes vous aimez ça la bite des hommes.
Il me ramonait et moi du coup je limais Jean. Je n’avais pas trop l’habitude de faire ça mais l’aide d’Éric en moi me rendait fou de sexe.
-Tu as du aller dans les cités nord, Jean ton cul et large et souple. Changeons de position laisse Daniel s’allonger et assieds-toi sur lui. Oui tu seras une salope baisée par une salope. Là c’est bien. Collez-vous ventre contre ventre que je voie la queue de Daniel te baiser.
J’ai senti Jean tressaillir et vu dans le miroir de côté qu’Éric se positionnait entre ses fesses à côté de la ma queue, pesant de tout son poids. Son gland forçait contre le mien et d’un coup a pénétré le cul de Jean.
-Vraiment une pute depuis que t’es allé là-bas, ton cul accepte tout. Les beurs du coin ont du prendre leur pied. Plus gros c’est dans tes fesses et plus tu aimes. Je me trompe salope ?
-Aaah non Éric j’ai le fion rempli et j’adore. On s’est dégagé tous les deux laissant son trou béant se refermer.
-Fous tes mains dans le dos.
Il lui a passé des attaches pour les retenir et a sorti du sac un gode genre cône de signalisation en plus petit mais les couleurs étaient en fait des bourrelets de différentes tailles il a juste engagé la première.
-Cale toi contre le mur et descend sur les genoux jusqu’à ce que tout rentre. Moi je m’occupe de Daniel devant toi. Je suis sur que ça va t’exciter.
Il a encore sorti des attaches qu’il a fixé à mes chevilles et à mes poignets puis aux quatre coins du lit avant de prendre des trucs genre ventouse qu’il a léché avant de les appliquer sur mes tétons et vissé, faisant un vide qui attirait mes pointes dans ce vide.
C’est drôle l’effet que ça me faisait, mal oui un peu, mais surtout très excitant de les voir en redressant la tête pointer par transparence du tube. Je bandais comme un malade et il a joué à me branler doucement avant de sortir un autre outil, genre de roulette avec comme de petites pointes très piquantes qu’il a passé un peu partout sur moi, s’attardant sur mon sexe et sous les couilles. J’avais le gland qui perlait et je gémissais sans pouvoir bouger.
-Oui en fait depuis le collège on se cherchait et ça fait deux ans que je le travaille mais il n’est pas aussi docile que toi. Bon on se fait un sandwich et on va nager un peu.
-Je n’ai pas pris de maillot !
-Pas besoin, tu verras.
Un mec tenait une baraque avec juste un comptoir et une tablette avec des tabourets retenu de sa camionnette. On s’est installé et Éric a commandé deux burgers mais épicés. Pendant qu’il préparait, il m’a demandé d’ouvrir un peu plus le devant de mon short et de soulever le tissu. Je me suis trouvé pratiquement le sexe à l’air tourné vers lui.
-Il faut vraiment que je te taille la touffe de ton sexe.
On a mangé comme ça, des clients passaient prendre leur commande et mataient sans discrétion entre mes cuisses. J’étais gêné et j’ai bandouillé. Lui se marrait.
-Un de ces jours tu mettras un string et un short bas à la taille. On verra bien que t’es presque une femelle.
Je n’ai rien répondu ça m’excitait.
Bon aller on va à la voiture. Il est parti sur les petites routes puis dans la garrigue où se trouvait une piste privée. Il a payé pour entrer et une fois à l’intérieur m’a laissé le volant.
-Avec celle-ci tu n’as que deux pédales. Tu accélères ou tu freines. Fais gaffe il y a d’autre voitures sur le circuit. Surveille dans le rétro. Ne te laisse pas distraire. Il a passé la main sous mon short, dégageant ma queue.
-Fais gaffe à ce que tu fais !
Il me branlait lentement me forçant à ne penser qu’à ce que je faisais. J’ai fait une embardée quand in mec m’a doublé en klaxonnant. Ça m’a valu un coup sur les couilles.
-Bon arrête toi je reprends le volant on rentre mais on va se baigner avant.
On est revenu à la pointe rouge ou on a marché sur le sable jusqu’à avoir l’eau aux mollets.
-Vire ton short et jette le sur la plage au sec.
Mais il y a du monde !
-Et alors il n’y a pas de mômes fais le pour moi, je te le demande.
J’ai passé le short sous mes pieds et jeté le short le plus loin de l’eau, il a atterri juste à côté des vagues et je me suis vite accroupi.
-Aller marche et avance.
Des filles et des hommes me mataient sans complexes. Et j’ai eu assez vite l’eau au-dessus de mes fesses. Elle était fraiche. Éric et parti en crawl j’ai suivi mais il s’est arrêté pour me dire de faire la brasse en soulevant le cul. J’ai obéi sas voir qui voyait mes fesses nues à chaque mouvement.
Il a fait des aller-retours entre la digue et moi.
-Aller on sort.
Là j’ai eu la honte de sortir nu mais peu m’ont fixé avant que je remette mon short.
Il s’est essuyé avec une serviette et me l’a jeté.
-Essuie ton cul et ton dos pour pas tacher la voiture on rentre.
J’étais soulagé une fois au mobile home. Il est allé prendre une douche pour ôter le sel de sa peau et en me laissant la place Il m’a prévenu que cette fois je ne devais pas me laver l’intérieur pour laisser la flore intestinale se renouveler. J’ai des trucs à prendre chez les parents et je reviens.
-Si Jean se pointe avant que je revienne tu le fais entrer et attendre nu dans la chambre. Je reviendrais avec des plats à réchauffer.
J’ai pris ma douche et mis un short et un tee-shirt, il faisait chaud et je me suis mis au bureau. J’ai découvert dans un placard des revues porno hétéro que je feuilletais en matant les voitures qui entraient et celles qui sortaient. Les nanas avaient de gros seins mais les mecs avaient de beaux avantages et prenaient les filles par tous les trous. Je bandouillais sur certaines photos. Jean est arrivé en patinette électrique et il l’a laissé contre la cloison avant d’entrer.
-Éric n’est pas là ?
Non il est parti chercher des affaires chez lui. Il m’a dit que tu devais attendre dans la chambre, nu. C’est par là. Je suis resté le voir se dessaper.
-T’es son nouveau petit ami ?
Pour un moment oui, c’était ça ou dormir dehors. Il a eu une hésitation avant de commencer à se dessaper puis en haussant les épaules a ouvert la chemisette et l’a fait tomber avant de faire glisser son short retenu par l’élastique de la taille.
-Tu ne peux pas me laisser ?
Pourquoi on finira nus tous les deux.
-Ok.
Il a enlevé le string qui retenait ses couilles bien pendantes. Sous une petite bite.
Mignonne !
-Bof.
Je suis retourné à mon poste, Éric a garé sa voiture et a ramené un sac jusqu’à la chambre. J’ai entendu un coup et la porte s’est fermée.
Comme la veille tout le monde est sorti, avec un salut de la main, la secrétaire avec un sourire et le patron en dernier.
-Tu peux fermer et lâcher le chien.
Bien patron. Je suis sorti fermer le portail et lâcher le chien qui est parti comme un fou faire un tour. Revenant à l’intérieur, je me suis mis nu avant d’entrer dans la chambre. Jean était à quatre pattes et Éric le fouettait avec une ceinture de cuir.
-Tu arrives juste à temps. Cette chienne ne voulait pas me sucer disant qu’elle ne voulait pas sentir ton cul. Mets-toi devant lui et tends tes fesses qu’il lèche ce trou qui est le mien aussi. Tu as entendu la chienne ? Lèche-lui le cul.
Dans une glace sur le côté j’ai vu qu’il appuyait sa tête contre mes fesses et j’ai senti sa langue et ses lèvres collées à mes fesses. Quelle sensation, je n’avais jamais reçu une caresse de la langue sur mon trou et je me suis caressé, passant la main entre mes cuisses. De temps en temps Jean recevait un coup sur les fesses pour le stimuler. Puis Éric a mis une capote et sans attendre il l’a enculé d’un coup sec le faisant couiner sur mon trou. Il l’a ramoné un moment avant de lorgner mon sexe raide.
-Tu as déjà baisé une lopette Daniel ?
Ben des mecs oui mais pas vraiment des lopettes.
-Cette fois tu vas le baiser. Prends une capote dans le sac, fais-le sucer et je te laisse la place.
Quand Éric s’est dégagé le trou était encore ouvert et je n’ai eu aucun mal à entrer dans la chaleur de son cul.
-Vas-y remue dans ses fesses je change de capote.
Je n’avais pas le même calibre qu’Éric mais je le sentais bien et il a passé son gland avec le caoutchouc devant la bouche de Jean il a sucé comme un perdu avant qu’Éric change et me la mette dans la bouche appuyant ses fesses sur son cou. Puis passant derrière moi il m’a écarté les fesses et pénétré bien au fond me collant moi-même aux fesses de Jean.
-Petite salopes vous aimez ça la bite des hommes.
Il me ramonait et moi du coup je limais Jean. Je n’avais pas trop l’habitude de faire ça mais l’aide d’Éric en moi me rendait fou de sexe.
-Tu as du aller dans les cités nord, Jean ton cul et large et souple. Changeons de position laisse Daniel s’allonger et assieds-toi sur lui. Oui tu seras une salope baisée par une salope. Là c’est bien. Collez-vous ventre contre ventre que je voie la queue de Daniel te baiser.
J’ai senti Jean tressaillir et vu dans le miroir de côté qu’Éric se positionnait entre ses fesses à côté de la ma queue, pesant de tout son poids. Son gland forçait contre le mien et d’un coup a pénétré le cul de Jean.
-Vraiment une pute depuis que t’es allé là-bas, ton cul accepte tout. Les beurs du coin ont du prendre leur pied. Plus gros c’est dans tes fesses et plus tu aimes. Je me trompe salope ?
-Aaah non Éric j’ai le fion rempli et j’adore. On s’est dégagé tous les deux laissant son trou béant se refermer.
-Fous tes mains dans le dos.
Il lui a passé des attaches pour les retenir et a sorti du sac un gode genre cône de signalisation en plus petit mais les couleurs étaient en fait des bourrelets de différentes tailles il a juste engagé la première.
-Cale toi contre le mur et descend sur les genoux jusqu’à ce que tout rentre. Moi je m’occupe de Daniel devant toi. Je suis sur que ça va t’exciter.
Il a encore sorti des attaches qu’il a fixé à mes chevilles et à mes poignets puis aux quatre coins du lit avant de prendre des trucs genre ventouse qu’il a léché avant de les appliquer sur mes tétons et vissé, faisant un vide qui attirait mes pointes dans ce vide.
C’est drôle l’effet que ça me faisait, mal oui un peu, mais surtout très excitant de les voir en redressant la tête pointer par transparence du tube. Je bandais comme un malade et il a joué à me branler doucement avant de sortir un autre outil, genre de roulette avec comme de petites pointes très piquantes qu’il a passé un peu partout sur moi, s’attardant sur mon sexe et sous les couilles. J’avais le gland qui perlait et je gémissais sans pouvoir bouger.
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