Dans la cage d'escalier - histoire érotique

Nicolas vient d'emménager dans un immeuble au 6ème étage, et le 7ème sont les chambres de bonnes. Il y a un ascenseur et jamais Nicolas n'a pris l'escalier pour monter chez lui.
Plusieurs fois en passant devant la porte des escaliers, à son étage, il a entendu du bruit, comme des râles dans l'escalier, il a été étonné mais sans plus. Nicolas n'est pas curieux.

C'est un beau mec Nicolas, 26 ans, châtain clair, cheveux mi-longs qui descendent sur la nuque, de beaux yeux clairs et un sourire à damner un saint. Il aime les mecs Nicolas et n'a pas de genre particulier, il faut juste qu'ils lui plaisent, en plus il aime autant donner que recevoir, avec une préférence quand même c'est donner!

Mais ce soir là en rentrant du boulot, il avait fait quelques courses pour dîner le soir et paf, l'ascenseur est en panne, une pancarte annonce que la réparation n'aura lieu que le lendemain matin.
Bon il est jeune, sportif alors prenant son courage à deux mains il grimpe l'escalier pour la première fois. C'est le silence total dans l'escalier mais plus il monte plus il lui semble entendre des voix. Il s'arrête, écoute, oui on dirait deux personnes qui parlent tout bas.

Il continue de grimper et arrivé au 5ème, il entend là comme un râle, un gémissement et une voix basse qui dit distinctement "va doucement!".
C'est quoi ce bordel pense Nicolas en souriant, il monte son dernier étage doucement, faisant le moins de bruit possible, personne à son étage et les bruits viennent juste du dessus. Il s'avance et, n'en croit pas ses yeux. Un mec à quatre pattes dans l'escalier se fait enculer par un autre qui ne lésine pas sur les coups de reins.
Un beau cul le regarde et Nicolas apprécie en connaisseur, mais il veut être discret et rentre chez lui en rigolant.
Faudra que je vois ça de plus près dans les jours qui viennent pense t-il.

Dès le lendemain, l'ascenseur est réparé, il va déposer ses affaires chez lui, se met en survêt, tee-shirt et fonce inspecter l'escalier.
Il ouvre doucement la porte, écoute, pas un bruit.

Merde pense t-il, y'a pas représentation tous les jours! Il avance sur le palier et monte pour voir à l'étage supérieur et dans le virage il se fige d'un coup, un rebeu est assis sur les marches. Ils se matent sans rien dire et un sourire moqueur, ironique se dessine sur les lèvres du rebeu qui se relève de toute sa stature. Il est habillé comme Nicolas, survêt tee-shirt, le toise et Nicolas ne peut s'empêcher de voir son entrejambe bien rempli qui se trouve juste à hauteur de ses yeux. Une belle bosse qui semble prometteuse.
-alors c'est toi le voyeur, tu reviens voir si ça nique ou tu viens pour te prendre un zob dans ton cul ?

Il doit rougir Nicolas car il sent la chaleur l'envahir. Le rebeu descend tranquillement, sûr de lui et vient juste en face de lui qui se cramponne à la rampe.
Nicolas ne peut plus respirer, et il perd toute contenance ne sachant plus rien.
-eh mec! respire dit le rebeu en lui secouant l'épaule, donc c'était bien toi hier soir?
Nicolas finit par dire oui.
La main du rebeu se repose sur son épaule :
-et mon cul te plait ? car tu n'as vu que ça... tu sais j'ai un beau cul mais mon sgeg vaut le détour aussi et tu sais il aime beaucoup les culs de céfrans.

Nicolas finit par se reprendre, si on parle de cul...
-t'habites dans l'immeuble ?
-eh eh non dit le rebeu en riant, mais y'a que des salopes dans cet immeuble qui veulent se faire niquer par un rebeu, alors je viens faire le service, j'attends là et les petits culs viennent à moi.
Nicolas rigole en écoutant le rebeu qui a l'air de trouver tout ça normal.
-et tu baises dans la cage d'escalier, tu pourrais aller chez les mecs! dit Nicolas.
-j'aime bien ici, les mecs peuvent gueuler, j'm'en fous c'est pas chez moi!

Nicolas rigole et le rebeu se rapproche encore.
-et toi ? t'es revenu pourquoi ?
-la curiosité dit Nicolas, je n'ai vu qu'un cul hier, alors je voulais voir autre chose!
-t'as pas aimé mon cul ?
Nicolas fait mine d'essayer de se rappeler et dit :
-faudrait que je le revois pour donner vraiment un avis!

Là c'est le rebeu qui éclate de rire et le prend dans ses bras, le serrant contre lui :
-alors toi t'es spécial le céfran, d'habitude les céfrans veulent voir mon zob en premier.
-moi j'aime bien les deux dit Nicolas et en général les rebeux vous avez de très beaux culs!
-monsieur est un connaisseur ? Monsieur met des rebeux dans son lit ?
-bien sûr dit Nicolas en se rapprochant de lui, lui prend la main et la serre doucement, et toi tu aimes quoi chez les céfrans ?
-les niquer dit le rebeu plongeant ses yeux dans les siens.
-et toi tu te fais niquer ? demande Nicolas sans le quitter des yeux comme pour le défier.
-pourquoi tu veux me niquer le céfran ? ça se fait pas niquer un tunisien ça nique uniquement.
-t'es tunisien ?
-oui j'suis Aziz.
-pourtant j'en ai connu des tunisiens et ils ont toujours aimé que je les baise, comme moi j'aimais me faire baiser Aziz.
-le céfran est partageur alors ?
-oui pas le rebeu tunisien Aziz ?

Il rigole sans répondre mais vient se coller à Nicolas et l'entourer de ses bras, sa joue frotte la sienne et il respire le mec. Le sent, le hume, ses lèvres glissent sur la joue de Nicolas et les visages sont face à face, les nez se touchent et presque les lèvres.

Nicolas avance ses lèvres qui touchent celles d'Aziz qui rigole encore. Et d'un seul coup c'est le déchaînement, les lèvres se soudent et les langues se projettent dans les bouches adverses. Les salives changent de camp, les langues sont essorées, les soupirs, les râles se font entendre, les mains passent sous les tee-shirt. Les mains sont chaudes et les caresses brûlantes. Aziz passe ses mains dans le survêt, dans le boxer et vient prendre une fesse dans chaque main. Des fesses lisses et dures, une main passe dans la raie, cherche l'anus, le trouve et commence à gratouiller, forcer, s'enfoncer lentement pendant que Nicolas pousse de petits cris.

-J'te nique le céfran ? demande Aziz en baissant ses vêtements, le fait se retourner, appuie sur son dos. Nicolas se met à quatre pattes dans l'escalier et les mains du rebeu écartent ses fesses et sa langue vient faire connaissance avec son anus, puis c'est le tour des doigts qui le forent sans concession.

Rapidement le zob remplace les doigts, il ne l'a pas vu le zob, mais il sent la dureté, le gland l'ouvrir lentement et d'un coup de reins le faire entrer et Nicolas pousse un cri. Les mains du rebeu le caressent, claquent ses fesses et il s'enfonce en lui pour rapidement faire des va-et-vient. La queue l'ouvre bien, mais elle ne doit pas être si grosse que ça pense Nicolas qui encaisse les coups de reins.
Il doit être excité le rebeu car il jouit rapidement et il n'est pas avare en giclées.

Il sort lentement du cul de Nicolas, le fait se relever pour le prendre dans ses bras et l'embrasser tel un perdu, lui bouffant vraiment la langue, lui faisant des bisous partout.
Nicolas prend sa main et la pose sur son sexe bandé.
Aziz le caresse rapidement en demandant :
-tu veux me niquer le céfran ?
-si tu en as envie oui.
-d'accord mais pas ici, j'veux pas que les salopes voient que j'me fais niquer.
-tu viens chez moi j'suis juste à côté.

Dans la minute ils étaient dans la chambre de Nicolas et se déshabillaient tous les deux s'observant, se découvrant. Aziz regardait la toison claire du céfran et il avait l'air d'être hypnotisé car il se met à genoux et vient passer ses mains dans la toison, prend la belle queue de ce céfran et s'amuse avec le prépuce pour avaler le gland faisant sursauter Nicolas.
Il se relève et se met à quatre pattes sur le lit, tend son petit cul, s'offre.
-prépare le car il sert pas souvent!

Trop content d'avoir le cul du rebeu que Nicolas l'a dégusté et en fait il s'ouvrait facilement. Il savait bien qu'un rebeu ne dirait pas haut et fort qu'il se faisait niquer!
Mais de voir comment l'anus s'ouvrait sous ses coups de langue, comment son index est entré facilement, les râles, les gémissements qu'il faisait lorsqu'il a caressé la paroi interne il devait quand même en prendre assez souvent. Il n'a fait aucune réflexion et a bien préparé le petit cul rebeu, de toute façon il prenait son pied à le faire.

Nicolas a été surpris de la façon dont le rebeu s'est enfoncé sur sa queue en poussant un long râle qui se termine en gémissement. Puis il se redresse et vient coller son dos au torse du céfran qui l'enveloppe dans ses bras, lui mord la nuque, il rigole, il veut la langue du céfran.

Nicolas caresse ce corps doux et chaud du tunisien, ça sent le rebeu, le soleil et sa main arrive au zob qu'il prend en main pour le serrer tendrement. Il ne le voit pas mais constate que oui sa queue est plus épaisse.

Il ronronne le rebeu dans ses bras. Ses yeux brillent. Nicolas le repousse et le prend aux hanches et ses va-et-vient se font lentement, profondément. A l'arrivée il fait claquer sur les fesses et le rebeu pousse un petit cri en rigolant. Puis c'est l'accélération, le TGV est en marche et ils râlent tous les deux avant de crier ensemble, l'un heureux d'inonder, l'autre de recevoir ce jus brûlant qu'il sent se répandre en lui.

Nicolas sort doucement de ce beau cul et Aziz s'écroule sur le lit. Il le fait mettre sur le dos et le beau zob est là, raide comme la Justice. Il le soulève de sa main et se penche pour l'avaler entièrement et les gémissements du rebeu reprennent. Il le pipe comme un chef, Aziz tient sa tête et son petit cul se soulève, il râle, couine, crie et finit par se déverser dans la bouche offerte.

Nicolas s'allonge sur lui, vient lui offrir un peu de son sperme qu'il prend avec sa langue.
-t'es vraiment un vicieux le céfran! alors t'es content de toi d'avoir niquer un tunisien?
-bah oui dit Nicolas, j'avais bien vu que t'aimais ça aussi, comme moi!
-et t'as vu ça comment ?
Nicolas se penche à son oreille :
-en fait c'est pas moi qui l'ai vu, c'est ma queue qui m'a dit qu'elle voulait entrer dans ton petit cul de tunisien!

Il rigole Aziz, le serre contre lui et ils roulent sur le lit en s'embrassant, se caressant et constatent que les queues bandent encore.
-rho dit le rebeu on va jamais s'en sortir si on reste au lit.
-tu veux t'en aller ?
-ben faut bien que je rentre chez moi quand même dit le rebeu en souriant et plissant ses yeux.
-tu peux pas! dit Nicolas.
-pourquoi ?
-j'ai fermé la porte à clef!
-alors je suis ton prisonnier ?
-oui.
Aziz le regarde sans sourire, puis son visage s'éclaire :
-alors on peut remettre ça tout de suite alors ?
-qui commence ? demande Nicolas.
Ils rigolent tous les deux en roulant encore sur le lit.

La nuit allait être chaude!