Dans la chaleur de l'été (3)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Dans la chaleur de l'été (3)
Émilie voulait draguer. Elle avait envie depuis plusieurs jours de ramener quelqu’un, homme ou femme, chez nous et baiser avec. Cette soirée du 13 juillet, avec ses nombreux bals des pompiers un peu partout en ville, était la soirée parfaite pour ce plan. Sans compter les nombreux de touristes étrangers en ville.
— Tu me laisses libre, me demanda-t-elle, je fais ce que je veux, je drague qui je veux, et je baise avec qui je veux?
Je ne pouvais qu’approuver, ayant moi aussi le champ libre pour m’amuser, et comptant bien le faire.
Émilie avait enfilé une jupe qui lui moulait les fesses et un chemisier léger qui ne cachait rien de sa poitrine. Avant de partir, elle me jeta sa culotte, signe qu’elle était prête à tout ce soir. Je la rangeais dans la poche de mon jean.
Il était encore tôt dans la soirée, le soleil n’avait pas jeté ses derniers rayons.
Les rues étaient très animées, les terrasses de café pleines. Nous marchâmes sans but, regardant les gens, repérant le terrain. Depuis que nous nous étions retrouvés seuls dans le grand appartement, si nous n’avions pas vécu en abstinents, nous nous étions contentés de sexe à deux et nous avions l’un comme l’autre envie de retrouver un peu de folie dans notre vie.
Je rêvais de croiser Claire ce soir, et de l’entraîner dans cette nuit que je voulais débridée. Nous nous racontions depuis des jours des histoires plus excitantes les unes que les autres. Je sentais bien désormais que celles qu’elle me racontait étaient en quelque sorte des fantasmes, et qu’elle rêvait de vivre au moins une fois ce genre de situation.
Dans l’idéal, il aurait fallu que je croise Claire et Sophie. Mon dernier récit dans lequel j’avais introduit une trans avait fait beaucoup d’effet à Claire. J’imaginais sa surprise si jamais elle se retrouvait face à la superbe bite de Sophie. Je la voyais la sucer tout en matant ses seins. Se caressant en goûtant à cette femme à bite superbe. Offrant son corps de rêve aux assauts de Sophie, jouissant de cette femme paradoxale.
Nous nous installâmes à une terrasse non loin d’une caserne. Nous pouvions tout en buvant notre bière observer la foule qui commençait à se regrouper et les derniers préparatifs du bal. Émilie m’indiquait les « proies » potentielles, en ajoutant des commentaires.
— Celle là doit être une bombe au lit, je suis sûre que tu pourrais tout lui faire
— Celle là doit rêver de se faire enculer.
— Ce mec doit être monté comme un taureau, j’adorerais le voir te prendre sur la terrasse avant de lui sucer la queue.
— Je pense que ces deux-là se gouine dans leur chambre d’hôtel et qu’elle n’attende qu’une bonne bite.
Cela dura jusqu’à ce que les premières notes sortent des enceintes et que le bal commence.
Nous nous faufilâmes au traver de la foule, et Émilie se jeta sur la piste de danse.
Elle se déhanchait, aguichant tout ce qui passait à sa portée. Je suis sûr que comme moi tous les mecs de l’assistance sentaient leur bite grossir dans leur pantalon.
Bien vite la piste fut bondée, et je perdais Émilie de vue. J’en profitais pour me balader et repérer telle ou telle fille, tel ou tel garçon. Je rejoignais Émilie sur la piste après ce petit tour. Elle dansait très langoureusement avec une demoiselle qui ne semblait pas insensible aux charmes de ma compagne. Je m’approchais et le joignais à elles.
— Je te présente Bella, me dit Émilie à l’oreille, elle est allemande et aime beaucoup la France.
— Et les Français, ajouta notre nouvelle amie avec un fort accent germanique qui n’était pas pour me déplaire.
Il était clair qu’elle avait l’esprit ouvert et que nous avions trouvé notre première partenaire. Émilie n’avait pas envie d’attendre que nous rentrions chez nous pour commencer.
— Ça te dirait de le sucer, lui demanda-t-elle?
— Oui beaucoup, répondit Bella.
Nous quittâmes le bal à la recherche d’un endroit tranquille, ce qui n’était pas facile tant les rues étaient pleines de monde. Nous nous rabattîmes sur les toilettes d’un café. Bella entra dans une cabine et nous la suivisme dans cet espace très étroit.
Emilie défit mon jean et sorti ma bite bien dure.
— Regarde comme il bande, tu vas te régaler..
Bella s’empara de mon sexe et l’embrassa, le lécha, le huma. Elle avait le regard plein de désir et très vite m’avala. Sa bouche était chaude et elle ne fut pas longue à me faire jouir tant j’étais excité. Émilie se pencha pour l’embrasser et partager avec elle mon foutre chaud.
— Bouffe-moi la chatte pendant qu’il reprend des forces, lui dit elle en relevant sa jupe.
Bella se jeta sur Émilie avec autant de passion que sur mon sexe et la bouffa jusqu’à la faire gémir de plaisir. Je bandais de nouveau, et en me contorsionnant je me plaçais derrière Bella. Je m’installais sur la cuvette et la fit s’assoir sur moi, s’empalant sur ma queue. Sa chatte était trempée de désir et je me glissais dedans comme dans un fourreau. Je la laissais me baiser à son rythme pendant qu’Émilie, adossée contre la porte se masturbait en nous regardant faire.
— Encule là, me dit-elle, je suis sure qu’elle adore ça.
Bella sourit, se leva et me présenta son cul.
— Inside the ass, j’aime, dit-elle en se glissant un doigt dans l’anus pour se préparer à m’accueillir.
Elle s’encula sur moi et je jouis en même temps qu’elle. Émilie baissa sa jupe, fit lécher ses doigts à Bella et nous sortîmes des toilettes.
Nous nous embrassâmes sur le trottoir. Bella nous remercia pour le « joli » moment et repartit vers le bal.
Émilie se serra contre moi, et me susurra à l’oreille.
— J’ai encore envie.
— Tu me laisses libre, me demanda-t-elle, je fais ce que je veux, je drague qui je veux, et je baise avec qui je veux?
Je ne pouvais qu’approuver, ayant moi aussi le champ libre pour m’amuser, et comptant bien le faire.
Émilie avait enfilé une jupe qui lui moulait les fesses et un chemisier léger qui ne cachait rien de sa poitrine. Avant de partir, elle me jeta sa culotte, signe qu’elle était prête à tout ce soir. Je la rangeais dans la poche de mon jean.
Il était encore tôt dans la soirée, le soleil n’avait pas jeté ses derniers rayons.
Les rues étaient très animées, les terrasses de café pleines. Nous marchâmes sans but, regardant les gens, repérant le terrain. Depuis que nous nous étions retrouvés seuls dans le grand appartement, si nous n’avions pas vécu en abstinents, nous nous étions contentés de sexe à deux et nous avions l’un comme l’autre envie de retrouver un peu de folie dans notre vie.
Je rêvais de croiser Claire ce soir, et de l’entraîner dans cette nuit que je voulais débridée. Nous nous racontions depuis des jours des histoires plus excitantes les unes que les autres. Je sentais bien désormais que celles qu’elle me racontait étaient en quelque sorte des fantasmes, et qu’elle rêvait de vivre au moins une fois ce genre de situation.
Dans l’idéal, il aurait fallu que je croise Claire et Sophie. Mon dernier récit dans lequel j’avais introduit une trans avait fait beaucoup d’effet à Claire. J’imaginais sa surprise si jamais elle se retrouvait face à la superbe bite de Sophie. Je la voyais la sucer tout en matant ses seins. Se caressant en goûtant à cette femme à bite superbe. Offrant son corps de rêve aux assauts de Sophie, jouissant de cette femme paradoxale.
Nous nous installâmes à une terrasse non loin d’une caserne. Nous pouvions tout en buvant notre bière observer la foule qui commençait à se regrouper et les derniers préparatifs du bal. Émilie m’indiquait les « proies » potentielles, en ajoutant des commentaires.
— Celle là doit être une bombe au lit, je suis sûre que tu pourrais tout lui faire
— Celle là doit rêver de se faire enculer.
— Ce mec doit être monté comme un taureau, j’adorerais le voir te prendre sur la terrasse avant de lui sucer la queue.
— Je pense que ces deux-là se gouine dans leur chambre d’hôtel et qu’elle n’attende qu’une bonne bite.
Cela dura jusqu’à ce que les premières notes sortent des enceintes et que le bal commence.
Nous nous faufilâmes au traver de la foule, et Émilie se jeta sur la piste de danse.
Elle se déhanchait, aguichant tout ce qui passait à sa portée. Je suis sûr que comme moi tous les mecs de l’assistance sentaient leur bite grossir dans leur pantalon.
Bien vite la piste fut bondée, et je perdais Émilie de vue. J’en profitais pour me balader et repérer telle ou telle fille, tel ou tel garçon. Je rejoignais Émilie sur la piste après ce petit tour. Elle dansait très langoureusement avec une demoiselle qui ne semblait pas insensible aux charmes de ma compagne. Je m’approchais et le joignais à elles.
— Je te présente Bella, me dit Émilie à l’oreille, elle est allemande et aime beaucoup la France.
— Et les Français, ajouta notre nouvelle amie avec un fort accent germanique qui n’était pas pour me déplaire.
Il était clair qu’elle avait l’esprit ouvert et que nous avions trouvé notre première partenaire. Émilie n’avait pas envie d’attendre que nous rentrions chez nous pour commencer.
— Ça te dirait de le sucer, lui demanda-t-elle?
— Oui beaucoup, répondit Bella.
Nous quittâmes le bal à la recherche d’un endroit tranquille, ce qui n’était pas facile tant les rues étaient pleines de monde. Nous nous rabattîmes sur les toilettes d’un café. Bella entra dans une cabine et nous la suivisme dans cet espace très étroit.
Emilie défit mon jean et sorti ma bite bien dure.
— Regarde comme il bande, tu vas te régaler..
Bella s’empara de mon sexe et l’embrassa, le lécha, le huma. Elle avait le regard plein de désir et très vite m’avala. Sa bouche était chaude et elle ne fut pas longue à me faire jouir tant j’étais excité. Émilie se pencha pour l’embrasser et partager avec elle mon foutre chaud.
— Bouffe-moi la chatte pendant qu’il reprend des forces, lui dit elle en relevant sa jupe.
Bella se jeta sur Émilie avec autant de passion que sur mon sexe et la bouffa jusqu’à la faire gémir de plaisir. Je bandais de nouveau, et en me contorsionnant je me plaçais derrière Bella. Je m’installais sur la cuvette et la fit s’assoir sur moi, s’empalant sur ma queue. Sa chatte était trempée de désir et je me glissais dedans comme dans un fourreau. Je la laissais me baiser à son rythme pendant qu’Émilie, adossée contre la porte se masturbait en nous regardant faire.
— Encule là, me dit-elle, je suis sure qu’elle adore ça.
Bella sourit, se leva et me présenta son cul.
— Inside the ass, j’aime, dit-elle en se glissant un doigt dans l’anus pour se préparer à m’accueillir.
Elle s’encula sur moi et je jouis en même temps qu’elle. Émilie baissa sa jupe, fit lécher ses doigts à Bella et nous sortîmes des toilettes.
Nous nous embrassâmes sur le trottoir. Bella nous remercia pour le « joli » moment et repartit vers le bal.
Émilie se serra contre moi, et me susurra à l’oreille.
— J’ai encore envie.
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