Dans la chaleur de la soirée
Récit érotique écrit par Mordil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Dans la chaleur de la soirée
Je suis assis, à moitié allongé sur le canapé dans ton salon…
Je te vois sortir de la salle de bain, nue, pour entrer dans ta chambre. Ce soir on sort, tu viens de terminer ta toilette intégrale.
Tu regardes les étagères pour choisir ce que tu vas mettre. J'en profite pour rincer mes yeux sur tes seins, descendre jusqu'au triangle de poiles qui souligne ton joli minou. Tu es belle... Tu me plais.
Tu ne sais pas quoi te mettre alors je me redresse et, appuyé dans l’embrasure de la porte, je t'interpelle.
" Tu as deux solutions, soit le look de grand-mère, soit le look de pute. Je n'ai pas envie que tu sois habillées comme une grand-mère. "
" Alors dis-moi ce que tu veux que je mets "
Persuadé que je dors et que je suis dans un rêve, je me lâche.
" Ok, je te veux sapé en pute. Tu porteras tes bijoux et je veux que ta chatte soit accessible en permanence. "
Après 10 minutes passées à sortir tes vêtements les plus courts, le résultat ne me parait pas si mal…
Une minijupe fourreau noir, un débardeur noir également et des escarpins à talon de 15 cm.
Ce qu'il y a dessous se devine à peine bien qu'un œil insistant remarquera immanquablement certaines choses.
Je t'ai mis les pinces après avoir amoureusement sucé tes tétons…
Je t'ai mis le plug dans ton joli cul tout en t'embrassant… Je l'ai fait jouer et tu as aimé.
Je t'ai autorisé un string, le noir avec la rose rouge, il te va si bien.
" Et voilà, sapé en pute et par-dessous … ce qu'il faut pour te titiller. Mais j'en veux plus pour ce soir. Je ne veux pas que tu sois seulement ma pute, je veux que, pour nous deux, tu sois ma chienne, ma chienne en chaleur. Je veux que tout ton corps cri ton envie d'être baisée comme une salope. "
" Tu es conscient qu'il y aura du monde et que l'on ne peut pas faire ce que l'on veut ? "
" Pas grave. Pour ce soir c'est moi qui écris l'histoire. Et je décide qu'il n'y aura personne que nous connaissons ni personne qui nous connaît. Nous aurons l'anonymat pour nous. "
Oui, c'est mon récit et j'ai envie de t'avoir libre de toutes contrainte, libre de toute pudeur et libre de toute retenue. J'ai vu comment tu pouvais être lorsque tu te lâches. Je te veux comme cela.
Avant de partir, je te tends le collier de cuir…
Tu hésites…
Tu m'embrasse et tu le mets autour de ton coup…
Je te vois te mettre à genoux…
" Je suis ta chienne, je suis à vos ordres maître. "
" Ce soir tu m'appartiens, ce soir je te laisse libre de faire ce que tu veux, mais lorsque je te mettrais la laisse, tu ne t'appartiendras plus. Tu seras exclusivement soumise à mes désires "
Nous descendons l'escalier, je suis déjà en érection. Ma main glisse sur ton cul, j'ai envie de toi mais il est trop tôt. Arrivé à la voiture je t'ouvre la porte et tu montes en écartant bien les jambes ce qui fait remonter ta jupe. Je fais le tour, m'installe et démarre. À peine avons-nous quitté la cité que ma main droite se pose sur ta jambe et remonte le long de ta cuisse jusqu'à ton string. Tu as écarté le tissue pour que je puisse bien voir, je passe mon index le long de tes lèvre, titille ton clitoris… tu te cambre légèrement sur le siège, j'introduis une phalange dans ta chatte, la fais glisser de haut en bas, en vas et vient. Le trajet se poursuit ainsi durant les minutes qui nous mènent à destination. Je gare la voiture à mi-chemin entre la plage et un bar d’où s’échappe une musique de zouk. Tu n'as pas baissé ta jupe en ville, tu es déjà complètement humide...
La soirée au bar se passe tranquillement à discuter, repérer les éventuelles partenaires, tant masculin que féminin, pour un éventuel plan à trois. Les DSP et mojito aidant, la température monte, tu as envie de danser. Tu m'emmène sur la piste mais je ne suis pas à la hauteur. Tu te sens frustrée alors tu cherches d'autres partenaires. Ils sont nombreux à vouloir se coller à toi, trois, quatre, cinq… Tu enchaînes les mouvements torrides. Les mains se montrent toujours plus baladeuses, impossible qu'aucun n'ait senti la chaîne sur ta poitrine. Je viens te chercher sur la piste, je t'embrasse, tu me rends fougueusement mon baisé, tu as envie de sexe, tu as envie d'être baisée.
Nous nous éloignons du bar, la plage n'est pas loin et coupée de la ville par une palissade en plaque de béton. Là-bas, il y a des petites pagodes protégeant des tables de pique-nique. L'éclairage public n'arrive pas jusqu'à la dernière. Il n'y a personne dessous mais elle n'est pas cachée à la vue des autres où déjà d'autres couples s'embrassent. Tant pis, ces inconnus profiterons du spectacle…
***
Je t'assois sur la table, nos lèvres ne se quittent pas, tes bras m'enlacent derrière ma nuque. Tu as repliés tes jambes dernière mes fesses ce qui a fait remonter ta jupe, dévoilant le haut de tes cuisses. Mes mains glissent le long de ton dos sur le tissu de ton débardeur. Elles descendent sur tes hanches, caressent tes cuisses puis remontent sur tes fesses. En réduisant ta minijupe à l'état de ceinture, je fini d'exposer ton cul aux voyeurs. Ce n’est que le début. À travers mon jean, mon sexe en érection frotte contre ta chattes, je te sens onduler du bassin.
Ma main passe sous ton débardeur, je joue avec la chaîne qui est reliée à tes tétons, je tire dessus. Ma main continue de remonter et mes doigts viennent titiller la pointe de tes seins. J'ai envie de sucer tes tétons, de les mordre... Mais ils sont encore cachés.
Les autres couples ne nous ont pas encore remarqués.
" Je croyais que tu voulais que je sois ta pute, ta chienne. Qu'est-ce que tu attends ? "
Tu portes nonchalamment tes doigts à l'anneau de ton collier en me regardant dans les yeux. Je ne veux pas que se soit trop rapide, je veux te baiser plusieurs fois. Je veux que tu ne sois déjà plus que vice et luxure avant de t'avilir complètement. Mes mains remontent sous ton débardeur, le font passer par-dessus ta tête puis reviennent pour ôter le bout de tissus de ta jupe. Je t'observe vêtu de ton seul string, assise sur la table. Tu écarte tes jambes comme une invitation, tu es toujours trop vêtu à mon goût.
" Retire ton string. "
Tu te mets à quatre pas et ton air de défi me dit clairement que tu veux jouer. Je prends ta tête en main et t'embrasse. Nos langues s’entremêlent. Ma mains se lève et vient claquer fortement sur tes fesses, une fois, deux fois, trois fois. Je fais jouer le plug dans ton anus. Tu te cambre.
" Retire ton string. "
Tu me fais non de la tête. Ma main vient claquer ton cul encore et encore. Tu aime ça, tu veux ça. Ma mains t'attrape derrière ta nuque et dirige ta bouche sur ma queue en érection. Tu vas me sucer. Tu me suce et moi je fais jouer le plug. Tu aime le plaisir anal, tu aime sentir que l'on joue avec ton cul.
" Ce soir je vais jouer avec ton cul et de plusieurs manières. "
Je ne t'enculerais pas ici, pas tout de suite. Je veux que tu sois encore en attente de sexe pour la suite.
" Redresses-toi et descend de la table. Je veux te voir chaude et humide, je veux te voir t'exhiber. "
Tu t'exécute et sans que je ne te le demande, tu fais glisser ton string et le jette sur la table. Tu es là devant moi, visible par celles et ceux qui nous entours, nue sur tes talons, une chaîne reliant tes tétons, ton anus orné du joyau rouge du plug. Tu cambres ton corps, tu t'appuis et te frotte contre l'un des poteaux de la pagode de la manière la plus suggestive qui soit. Tout en toi traduit un appel à la baise.
Ma salope, ma pute, ma chienne.
Alors je te prends, te soulève et t'assois sur le bord de la table. Mon gland vient frotter tes lèvres puis s'immiscer entre elles. Je commence mes mouvements de va et vient, d'abord lentement pour les sentir s’écarter puis de plus en plus violemment et profondément.
Tu te colle à moi, nous nous regardons dans les yeux. Je sens le plug à travers la paroi de ton vagin. Tu ondules ton bassin au rythme de mes coups de queue. Ton plaisir se lit sur ton visage.
La situation, toi, tout porte à me faire jouir rapidement. Je me vide en toi tout en t'embrassant. Nous restons ainsi quelque secondes puis je me retire. Je te fais descendre.
" Nettoie. "
" C'est dégueulasse. "
Je passe ma main dans ton collier et fermement je descends ta bouche devant ma queue.
" Nettoie. "
Tu me suce alors, faisant passer ta langue sur mon gland et tout le long de ma queue.
" Ce soir tu n'aura pas le droit de t'essuyer sur autre chose que toi. Tu devras te contenter de ton corps pour se qui coulera sur toi. "
Après m'avoir nettoyé, je te vois passer tes main sur l'intérieur de tes cuisses pour ramasser le sperme qui a coulé puis porter tes doigts un à un à ta bouche pour les sucer de la manière la plus suggestive qui soit.
Ma salope, ma pute, ma chienne... Tu es presque comme je te fantasme mais tu es encore trop retenue, trop pudique.
" Remets ta jupe et ton débardeur, ton string je le garde. "
" Je sens le foutre."
" Je sais et la soirée n'est pas fini. Tu te rappels la métisse au bar ? Elle est là-bas et il est impossible qu'elle n'ait rien vu. "
Elle n'est d'ailleurs pas la seule à s'être rincer l'œil, un autre couple et un groupe de trois mecs regardent clairement dans notre direction.
***
Une fois rhabillé, nous nous dirigeons vers la ville, la métisse est resté là, sur notre trajet.
" Vous êtes graves tous les deux pour baiser comme ça. "
" Tu aurais voulus te joindre à nous" lu dis-je en guise d'invitation pendant que tu détailles son corps de gazelle avec insistance.
" Je ne suis pas exhibitionniste moi. Mais vous avez des clients pour vous qui arrivent "
Je me retourne et je vois deux des mecs qui nous mataient s'approcher résolument de nous.
" Elle est chaude ta meuf, tu nous la prêtes ? "
Tu es contre moi, la tête contre ma poitrine. En réponse à leur invective, je lis l'envie dans ton regard, ça me plait.
" Elle est très chaude du cul et elle aime ça. "
Ma main a remonté ta jupe, dévoilant tes fesses et le plug que je fais jouer de mon majeur.
Stimulée par ton plaisir anal tu te cambre, laissant apercevoir ton minou encore humide aux deux jeunes en rut. Leur érection est bien visible sous leur bermuda.
" Putain la salope, elle a un truc dans le cul "
" Et si ce n'était que ça." leur dis-je avec mystère.
Je te fais rouler contre moi, tu te retrouve face à eux, la chatte totalement exposée. De ma main gauche, je soulève ton débardeur, révélant la chaîne et les pinces attachées à tes tétons.
Je te susurre à l'oreille si bas que nous deux seulement pouvons comprendre :
" Tu es une salope. "
" Je suis une salope. " me réponds-tu dans un souffle.
" Tu es ma pute. "
" Je suis ta pute. " Ta main droite caresse ta chatte.
" Tu es ma chienne. "
" Je suis ta chienne. " Tu es entrain de te masturber, ton dos collé à moi, devant les deux mecs qui ont sortis leur queue pour l’astiquer.
" Je veux voir ma chienne en chaleur, je veux voir ma chienne se faire baiser. "
J'hôtes ton débardeur et fais glisser ta jupe, te voilà de nouveau à poile. Sans un mot, j'accroche la laisse à ton collier et, tenant fermement la poignée de cuir, je te pousse légèrement en avant.
" Oublis-toi et baise ! "
Tu t'approches des deux mâles et tombe à genoux devant eux. Je te vois saisir à plaine main leur chibre et les masturber, les sucer. Tu alternes d'une queue à l'autre. Elles sont déjà bien dures. Elles sont plus grosses que la mienne, tu vas les sentir. Tes doigts massent leurs couilles, ta langue joue avec les glands, tes lèvres enserre les hampes, tu semble vouloir les aspirer là sur la plage.
Du menton je désigne l'une des tables, sous l'éclairage public. Ils m'ont compris. Je tire légèrement sur la laisse pour te faire arrêter puis je te conduis avec eux vers l'endroit désigné. Le premier, un blondinet, s'allonge le dos sur la table, sa pine en érection. Je lui tends un préservatif, il le met. Alors je te soulève et te pose sur lui. Tu guide sa queue dans ta chatte, la sentant rentré en toi. L'autre, un créole, mate ton cul avec envie.
" Ici cela m'est réservé. Tu peux en faire tous ce que tu veux sauf ça. "
Les coups de boutoir du premier t'ont déjà fait décoller, tu te fous de ce qui va arriver du moment que tu te fais baiser.
Le second te présente sa queue devant ta figure. Tu t'en empares et le masturbe, lui suces la pine et les couilles.
Je bande, te voire prise comme ça me donne envie de te saillire comme une chienne. Tu es comme je te veux. Sans lâcher la laisse, je retire lentement le plug de ton anus. Tu tourne la tête et à ton regard, ton sourire, je sais que tu as compris que tu allais te faire enculer. Je présente mon gland devant ta rondelle et pousse pour rentrer. Ma queue se place en toi, je sens les mouvements de la queue du blondinet. Je commence alors à bouger. Tu es là sur une table éclairée, exposée, entrain de te faire prendre par trois mecs en même temps. Le blondinet sous toi joue avec la chaîne, tir sur tes tétons. Les mouvements de piston des deux bites en toi te font prendre ton pied, les seul mots que tu arrives à prononcer sont " Baisez-moi je suis une salope. ".
Au bout d’une dizaine de minutes, j’annonce : " On inverse. "
Sans sortir de ton cul, je te soulève et je viens m'assoire sur une table à coté, tout aussi éclairée. Dans cette position, ta chatte est totalement exposée, offerte à qui voudra te prendre. Le créole en profite. Il a mit un préservatif à son tour et vient te saillir alors que tu as toujours ma queue dans ton cul. Le blondinet vient te présenter sa queue pour que tu le suce à son tour. Tu es prise par tous les trous. Seule ta main gauche est restée disponible, une queue de plus y aurait trouvé sa place… ou un petit minou.
Tu sens que le blondinet va venir, il voudrait jouir dans ta bouche et que tu aval mais tu détourne sa queue au dernier moment. Il se répand sur ta poitrine, la couvrant de foutre. La scène finit d'achever le créole qui jouie dans sa capote. Tu repousse alors le blondinet en essuyant ta main sur son ventre puis éjecte la queue de l'autre en veillant bien à ce que le préservatif suive le même chemin. Les couilles vides, les deux mecs se cassent rapidement. Tu renverse ta tête et accrochant mon regarde, tu étales le sperme que tu as sur toi, maculant tes seines et ton ventre. Tu sais très bien ce que tu fais, à la vue de tes actes, je me décharge dans ton cul et le rempli de mon foutre.
Je bascule sur la droite et sors de ton cul. Allongée sur le côté, sur la table, tu regardes vers un coin d'ombre :
" Ne reste pas là, viens nous rejoindre. " souffles-tu à la métisse qui, son pantalon baissé, se masturbait en nous regardant baiser.
***
Je décroche la laisse de ton collier, tu t’es presque bien comporté, tu as droit à une récompense. Pour le reste on verra plus tard.
Je m’approche de la métisse, elle est assez mince avec des hanches marquées et une poitrine généreuse mais sans excès.
" Tu vois que tu aimes ça. Aller viens, on continu. "
Passant ma main derrière sa taille je la rapproche de toi. Tu t’es relevée, ta tête est à la hauteur de la sienne et sans que rien ne soit dit je vous vois vous embrasser langoureusement. Je ne peux pas débander.
Tu as rapidement déshabillé cette fille inconnue sans qu’elle n’émette le moindre désaccord. Tu es assise sur la table, les jambes dans le vide. Elle s’est placé devant toi, tu couvres son corps de caresses et de baisés, ses hanches, ses fesses, son ventres, ses seins, ses épaules, son coup, ses lèvres… Elle en fait de même, un peu surprise par la chaîne reliant tes tétons. Vos mains ne tardent pas à trouver le sexe de l’autre et à jouer avec. Tu l‘invite à monter sur toi. L’une sur l’autre, vous frotter vos seins pendant que vos main fouillent vos intimités en toute indécence. Je profite du spectacle que vous offrez en ondulant vos corps. Le couple est partie, je ne vois personnes d’autre.
Les minutes s’égrènent au rythme de vos souffles entremêlés. Tu te redresse et te tourne, te plaçant en position pour un torride 69. Je vois ta langue fouillé entre ses lèvres humides, titiller son clitoris. Je te vois aspirer ses grandes lèvres. Sa cyprine coule sur tes joues. Je devine au mouvement de ton bassin qu’elle en fait de même avec toi. Tu dois lui offrir un goût bien particulier, mélange de ta cyprine et de mon sperme.
Tu lèves la tête et me regarde. Sans quitter la position dans laquelle tu te fais brouter, tu me fais signe d’approcher. Ma queue est raide, mon gland est écarlate. Tu prends un troisième préservatif dans la poche de mon pantalon et le mets en place. Tu me guide par la queue et présente mon gland devant la chatte de ton jouet :
" Profites-en. Tu as deux meufs pour toi tout seul. "
Je pénètre alors cette fille, elle est si humide qu’elle n’offre aucune résistance. Je vais lentement pour que tu puisses bien voir ma queue jouer dans une autre chatte que la tienne. Tu te mets alors à lui sucer le clitoris en même temps. Elle se cambre de plaisir.
Tu te cambre à ton tour et je distingue entre les lobs de tes fesses qu’elle a enfoncé deux de ses doigts dans ton cul et leur fais faire des vas et viens en cadence avec mes coups de queue. J’en profite pour te saisir dernière la nuque et t’embrasser, faire rentrer ma langue profondément dans ta bouche et jouer avec ton piercing.
Je sens que je vais à nouveau jouir et mes mouvements se font plus saccadés. Tu t’en rends compte et tu te saisis de ma queue, hôte le préservatif et la porte à ta bouche au moment même où un jet de sperme sort de mon gland. Ta figure est zébrée de foutre, ta gorge en est remplie. Tu te tournes alors et embrasse à pleine bouche la métisse, partageant mon jus. Cette dernière n’est toutefois pas rassasiée et se lève pour venir me sucer. Sans demander l’autorisation, elle me nettoie la queue proprement. Malgré ton air faussement outrée, tu ne peux pas t’empêcher de sourire. Tu récolte alors le sperme restant sur tes joues, ta poitrine, ton cul. Tu l’étale sur ta chatte. Et te place devant la métisse :
" Finis. "
Tu lui fais alors brouté proprement ton minou, lui offrant un mélange de sperme de deux mecs et de ta cyprine.
Une fois terminé, tu viens goûter le mélange sur ses lèvres puis nous la voyons reprendre ses affaires et repartir. Dommage, elle aurait pu resservir.
***
" Tu n’aurais pas vu mes vêtements ? "
" Non mais ce n’est pas grave. Tu n’as qu’à rester comme ça. Là où on en est ça ne changera plus grand-chose. "
" Tu veux que je reste à poile ? "
" Tu m’as désobéit deux fois ce soir. Pour ta punition, tu seras exhibée. "
" Quand t’ai-je désobéi ? "
" Quand tu as essuyé ta main sur le ventre du type et lorsque tu as donné ta chatte à nettoyer à la black… Même si j’ai bien aimé cette dernière partie. "
" À vos ordres maître. " me réponds-tu en t’adossant à un réverbère allumé dans une position totalement impudique. Tu sembles prendre du plaisir à exhiber volontairement ton intimité, diminuant d’autant la "contrainte" de la punition.
Je te remets la laisse et t’emmène ainsi jusqu’à la voiture garée à peine 15 mètres plus loin. Arrivé devant, je te fait mettre les mains sur le côté du capot, les jambes écartées, te rendant totalement exposée, vulnérable. Le plug est resté dans ma poche mais en regardant par la vitre, j’ai vu quelque chose avec quoi je vais pouvoir jouer.
Tenant fermement la laisse de la main gauche, je libère ma ceinture de la droite et la replies sur elle-même pour m’en servir de fouet. Le bruit ne t’a laissé aucun doute, tu sais ce qui va t’arriver.
" Je suis une vilaine fille, j’aime quand tu me punis. "
" Je sais. J’aime les vilaines filles. "
Je fais claquer la ceinture sur tes fesses deux fois, quatre fois, six fois. Tu m’en demandes encore d’avantage avec plus de force. Je passe le cuire contre ta chatte, elle est si humide que des gouttes de ta cyprine tombent au sol. Je refais claquer mon fouet de circonstance, tes fesses sont déjà rouges depuis plusieurs coups lorsque tu me dis stop.
Punition ou récompense, tu aimes tellement ça que je ne peux finir la dessus.
" Je t’ai dit que je jouerai avec ton cul. Je t’ai dit que je te voulais avilis. "
Passant la main par la vitre ouverte, j’attrape une des deux bouteilles de DSP vide de ce matin et te présente le goulot devant la bouche.
" Suce et mets y bien ta salive. "
Je te vois obtempérer avec une docilité surprenante. Tu sais très bien ce que je vais en faire et tu sembles même prendre du plaisir rien qu’à y penser. La bouteille rentre sans aucune difficulté dans ton anus, semblant te comblé d’un vide. Je lui imprègne des mouvements de vas et viens qui te font te cambrer.
Tu me fais signe d’approcher mon oreille. Tu me souffle encore une fois quelque chose qui me remet instantanément en érection.
" Mets-moi la deuxième dans la chatte. "
Sans hésitation, je commence à détremper le goulot de la seconde bouteille contre tes lèvres. Elle rentre facilement dans ton con largement ouvert par trois bites successives. De ta main droite, tu lui imprime toi-même un mouvement. Tu es là, appuyée contre le capot de notre voiture, sur le trottoir de la ville, nue, en laisse, exhalant le foutre et la cyprine, à te faire pistonner et de te pistonner toi-même avec des bouteilles de DSP vide. Si mes couilles n’étaient pas vides, je devrais changer de pantalon. J’aurais aimé pouvoir filmer ça.
Ma salope, ma pute, ma chienne. Tu es comme je te veux. Sans aucune pudeur ni retenue. N’ayant que le désir du plaisir sexuel.
Sentant tes jambes fléchir, je te libère de ces jouets improvisés et de la laisse. Je t’assois sur le siège passager et te recouvre avec une couverture. Nous rentrons à la maison. Même si ce n’est pas l’envie qui te manque, tu es trop fatiguer pour faire quoi que ce soit sur le trajet. Dommage, une pipe ou une petite masturbation ne m’aurai pas déplus.
Arrivé à l’appartement, je te porte presque jusque sous la douche que nous prenons chastement ensemble. Tu me passe du savon sur tout le corps, insistant sur mon gland pour le rendre propre. Je nettoie le foutre qui a séché sur tout ton joli corps. Je t’allonge sur notre lit, nous échangeons un long regard. Nous somme ensemble, je te fais alors doucement et tendrement l’amour jusque tard dans la nuit.
La question que tu me poseras le lendemain ?
" Pourquoi m’as-tu emmené si à l’écart pour baiser ? Il y avait une pagode éclairée encore libre au milieu des autres. "
Je t’aime.
Je te vois sortir de la salle de bain, nue, pour entrer dans ta chambre. Ce soir on sort, tu viens de terminer ta toilette intégrale.
Tu regardes les étagères pour choisir ce que tu vas mettre. J'en profite pour rincer mes yeux sur tes seins, descendre jusqu'au triangle de poiles qui souligne ton joli minou. Tu es belle... Tu me plais.
Tu ne sais pas quoi te mettre alors je me redresse et, appuyé dans l’embrasure de la porte, je t'interpelle.
" Tu as deux solutions, soit le look de grand-mère, soit le look de pute. Je n'ai pas envie que tu sois habillées comme une grand-mère. "
" Alors dis-moi ce que tu veux que je mets "
Persuadé que je dors et que je suis dans un rêve, je me lâche.
" Ok, je te veux sapé en pute. Tu porteras tes bijoux et je veux que ta chatte soit accessible en permanence. "
Après 10 minutes passées à sortir tes vêtements les plus courts, le résultat ne me parait pas si mal…
Une minijupe fourreau noir, un débardeur noir également et des escarpins à talon de 15 cm.
Ce qu'il y a dessous se devine à peine bien qu'un œil insistant remarquera immanquablement certaines choses.
Je t'ai mis les pinces après avoir amoureusement sucé tes tétons…
Je t'ai mis le plug dans ton joli cul tout en t'embrassant… Je l'ai fait jouer et tu as aimé.
Je t'ai autorisé un string, le noir avec la rose rouge, il te va si bien.
" Et voilà, sapé en pute et par-dessous … ce qu'il faut pour te titiller. Mais j'en veux plus pour ce soir. Je ne veux pas que tu sois seulement ma pute, je veux que, pour nous deux, tu sois ma chienne, ma chienne en chaleur. Je veux que tout ton corps cri ton envie d'être baisée comme une salope. "
" Tu es conscient qu'il y aura du monde et que l'on ne peut pas faire ce que l'on veut ? "
" Pas grave. Pour ce soir c'est moi qui écris l'histoire. Et je décide qu'il n'y aura personne que nous connaissons ni personne qui nous connaît. Nous aurons l'anonymat pour nous. "
Oui, c'est mon récit et j'ai envie de t'avoir libre de toutes contrainte, libre de toute pudeur et libre de toute retenue. J'ai vu comment tu pouvais être lorsque tu te lâches. Je te veux comme cela.
Avant de partir, je te tends le collier de cuir…
Tu hésites…
Tu m'embrasse et tu le mets autour de ton coup…
Je te vois te mettre à genoux…
" Je suis ta chienne, je suis à vos ordres maître. "
" Ce soir tu m'appartiens, ce soir je te laisse libre de faire ce que tu veux, mais lorsque je te mettrais la laisse, tu ne t'appartiendras plus. Tu seras exclusivement soumise à mes désires "
Nous descendons l'escalier, je suis déjà en érection. Ma main glisse sur ton cul, j'ai envie de toi mais il est trop tôt. Arrivé à la voiture je t'ouvre la porte et tu montes en écartant bien les jambes ce qui fait remonter ta jupe. Je fais le tour, m'installe et démarre. À peine avons-nous quitté la cité que ma main droite se pose sur ta jambe et remonte le long de ta cuisse jusqu'à ton string. Tu as écarté le tissue pour que je puisse bien voir, je passe mon index le long de tes lèvre, titille ton clitoris… tu te cambre légèrement sur le siège, j'introduis une phalange dans ta chatte, la fais glisser de haut en bas, en vas et vient. Le trajet se poursuit ainsi durant les minutes qui nous mènent à destination. Je gare la voiture à mi-chemin entre la plage et un bar d’où s’échappe une musique de zouk. Tu n'as pas baissé ta jupe en ville, tu es déjà complètement humide...
La soirée au bar se passe tranquillement à discuter, repérer les éventuelles partenaires, tant masculin que féminin, pour un éventuel plan à trois. Les DSP et mojito aidant, la température monte, tu as envie de danser. Tu m'emmène sur la piste mais je ne suis pas à la hauteur. Tu te sens frustrée alors tu cherches d'autres partenaires. Ils sont nombreux à vouloir se coller à toi, trois, quatre, cinq… Tu enchaînes les mouvements torrides. Les mains se montrent toujours plus baladeuses, impossible qu'aucun n'ait senti la chaîne sur ta poitrine. Je viens te chercher sur la piste, je t'embrasse, tu me rends fougueusement mon baisé, tu as envie de sexe, tu as envie d'être baisée.
Nous nous éloignons du bar, la plage n'est pas loin et coupée de la ville par une palissade en plaque de béton. Là-bas, il y a des petites pagodes protégeant des tables de pique-nique. L'éclairage public n'arrive pas jusqu'à la dernière. Il n'y a personne dessous mais elle n'est pas cachée à la vue des autres où déjà d'autres couples s'embrassent. Tant pis, ces inconnus profiterons du spectacle…
***
Je t'assois sur la table, nos lèvres ne se quittent pas, tes bras m'enlacent derrière ma nuque. Tu as repliés tes jambes dernière mes fesses ce qui a fait remonter ta jupe, dévoilant le haut de tes cuisses. Mes mains glissent le long de ton dos sur le tissu de ton débardeur. Elles descendent sur tes hanches, caressent tes cuisses puis remontent sur tes fesses. En réduisant ta minijupe à l'état de ceinture, je fini d'exposer ton cul aux voyeurs. Ce n’est que le début. À travers mon jean, mon sexe en érection frotte contre ta chattes, je te sens onduler du bassin.
Ma main passe sous ton débardeur, je joue avec la chaîne qui est reliée à tes tétons, je tire dessus. Ma main continue de remonter et mes doigts viennent titiller la pointe de tes seins. J'ai envie de sucer tes tétons, de les mordre... Mais ils sont encore cachés.
Les autres couples ne nous ont pas encore remarqués.
" Je croyais que tu voulais que je sois ta pute, ta chienne. Qu'est-ce que tu attends ? "
Tu portes nonchalamment tes doigts à l'anneau de ton collier en me regardant dans les yeux. Je ne veux pas que se soit trop rapide, je veux te baiser plusieurs fois. Je veux que tu ne sois déjà plus que vice et luxure avant de t'avilir complètement. Mes mains remontent sous ton débardeur, le font passer par-dessus ta tête puis reviennent pour ôter le bout de tissus de ta jupe. Je t'observe vêtu de ton seul string, assise sur la table. Tu écarte tes jambes comme une invitation, tu es toujours trop vêtu à mon goût.
" Retire ton string. "
Tu te mets à quatre pas et ton air de défi me dit clairement que tu veux jouer. Je prends ta tête en main et t'embrasse. Nos langues s’entremêlent. Ma mains se lève et vient claquer fortement sur tes fesses, une fois, deux fois, trois fois. Je fais jouer le plug dans ton anus. Tu te cambre.
" Retire ton string. "
Tu me fais non de la tête. Ma main vient claquer ton cul encore et encore. Tu aime ça, tu veux ça. Ma mains t'attrape derrière ta nuque et dirige ta bouche sur ma queue en érection. Tu vas me sucer. Tu me suce et moi je fais jouer le plug. Tu aime le plaisir anal, tu aime sentir que l'on joue avec ton cul.
" Ce soir je vais jouer avec ton cul et de plusieurs manières. "
Je ne t'enculerais pas ici, pas tout de suite. Je veux que tu sois encore en attente de sexe pour la suite.
" Redresses-toi et descend de la table. Je veux te voir chaude et humide, je veux te voir t'exhiber. "
Tu t'exécute et sans que je ne te le demande, tu fais glisser ton string et le jette sur la table. Tu es là devant moi, visible par celles et ceux qui nous entours, nue sur tes talons, une chaîne reliant tes tétons, ton anus orné du joyau rouge du plug. Tu cambres ton corps, tu t'appuis et te frotte contre l'un des poteaux de la pagode de la manière la plus suggestive qui soit. Tout en toi traduit un appel à la baise.
Ma salope, ma pute, ma chienne.
Alors je te prends, te soulève et t'assois sur le bord de la table. Mon gland vient frotter tes lèvres puis s'immiscer entre elles. Je commence mes mouvements de va et vient, d'abord lentement pour les sentir s’écarter puis de plus en plus violemment et profondément.
Tu te colle à moi, nous nous regardons dans les yeux. Je sens le plug à travers la paroi de ton vagin. Tu ondules ton bassin au rythme de mes coups de queue. Ton plaisir se lit sur ton visage.
La situation, toi, tout porte à me faire jouir rapidement. Je me vide en toi tout en t'embrassant. Nous restons ainsi quelque secondes puis je me retire. Je te fais descendre.
" Nettoie. "
" C'est dégueulasse. "
Je passe ma main dans ton collier et fermement je descends ta bouche devant ma queue.
" Nettoie. "
Tu me suce alors, faisant passer ta langue sur mon gland et tout le long de ma queue.
" Ce soir tu n'aura pas le droit de t'essuyer sur autre chose que toi. Tu devras te contenter de ton corps pour se qui coulera sur toi. "
Après m'avoir nettoyé, je te vois passer tes main sur l'intérieur de tes cuisses pour ramasser le sperme qui a coulé puis porter tes doigts un à un à ta bouche pour les sucer de la manière la plus suggestive qui soit.
Ma salope, ma pute, ma chienne... Tu es presque comme je te fantasme mais tu es encore trop retenue, trop pudique.
" Remets ta jupe et ton débardeur, ton string je le garde. "
" Je sens le foutre."
" Je sais et la soirée n'est pas fini. Tu te rappels la métisse au bar ? Elle est là-bas et il est impossible qu'elle n'ait rien vu. "
Elle n'est d'ailleurs pas la seule à s'être rincer l'œil, un autre couple et un groupe de trois mecs regardent clairement dans notre direction.
***
Une fois rhabillé, nous nous dirigeons vers la ville, la métisse est resté là, sur notre trajet.
" Vous êtes graves tous les deux pour baiser comme ça. "
" Tu aurais voulus te joindre à nous" lu dis-je en guise d'invitation pendant que tu détailles son corps de gazelle avec insistance.
" Je ne suis pas exhibitionniste moi. Mais vous avez des clients pour vous qui arrivent "
Je me retourne et je vois deux des mecs qui nous mataient s'approcher résolument de nous.
" Elle est chaude ta meuf, tu nous la prêtes ? "
Tu es contre moi, la tête contre ma poitrine. En réponse à leur invective, je lis l'envie dans ton regard, ça me plait.
" Elle est très chaude du cul et elle aime ça. "
Ma main a remonté ta jupe, dévoilant tes fesses et le plug que je fais jouer de mon majeur.
Stimulée par ton plaisir anal tu te cambre, laissant apercevoir ton minou encore humide aux deux jeunes en rut. Leur érection est bien visible sous leur bermuda.
" Putain la salope, elle a un truc dans le cul "
" Et si ce n'était que ça." leur dis-je avec mystère.
Je te fais rouler contre moi, tu te retrouve face à eux, la chatte totalement exposée. De ma main gauche, je soulève ton débardeur, révélant la chaîne et les pinces attachées à tes tétons.
Je te susurre à l'oreille si bas que nous deux seulement pouvons comprendre :
" Tu es une salope. "
" Je suis une salope. " me réponds-tu dans un souffle.
" Tu es ma pute. "
" Je suis ta pute. " Ta main droite caresse ta chatte.
" Tu es ma chienne. "
" Je suis ta chienne. " Tu es entrain de te masturber, ton dos collé à moi, devant les deux mecs qui ont sortis leur queue pour l’astiquer.
" Je veux voir ma chienne en chaleur, je veux voir ma chienne se faire baiser. "
J'hôtes ton débardeur et fais glisser ta jupe, te voilà de nouveau à poile. Sans un mot, j'accroche la laisse à ton collier et, tenant fermement la poignée de cuir, je te pousse légèrement en avant.
" Oublis-toi et baise ! "
Tu t'approches des deux mâles et tombe à genoux devant eux. Je te vois saisir à plaine main leur chibre et les masturber, les sucer. Tu alternes d'une queue à l'autre. Elles sont déjà bien dures. Elles sont plus grosses que la mienne, tu vas les sentir. Tes doigts massent leurs couilles, ta langue joue avec les glands, tes lèvres enserre les hampes, tu semble vouloir les aspirer là sur la plage.
Du menton je désigne l'une des tables, sous l'éclairage public. Ils m'ont compris. Je tire légèrement sur la laisse pour te faire arrêter puis je te conduis avec eux vers l'endroit désigné. Le premier, un blondinet, s'allonge le dos sur la table, sa pine en érection. Je lui tends un préservatif, il le met. Alors je te soulève et te pose sur lui. Tu guide sa queue dans ta chatte, la sentant rentré en toi. L'autre, un créole, mate ton cul avec envie.
" Ici cela m'est réservé. Tu peux en faire tous ce que tu veux sauf ça. "
Les coups de boutoir du premier t'ont déjà fait décoller, tu te fous de ce qui va arriver du moment que tu te fais baiser.
Le second te présente sa queue devant ta figure. Tu t'en empares et le masturbe, lui suces la pine et les couilles.
Je bande, te voire prise comme ça me donne envie de te saillire comme une chienne. Tu es comme je te veux. Sans lâcher la laisse, je retire lentement le plug de ton anus. Tu tourne la tête et à ton regard, ton sourire, je sais que tu as compris que tu allais te faire enculer. Je présente mon gland devant ta rondelle et pousse pour rentrer. Ma queue se place en toi, je sens les mouvements de la queue du blondinet. Je commence alors à bouger. Tu es là sur une table éclairée, exposée, entrain de te faire prendre par trois mecs en même temps. Le blondinet sous toi joue avec la chaîne, tir sur tes tétons. Les mouvements de piston des deux bites en toi te font prendre ton pied, les seul mots que tu arrives à prononcer sont " Baisez-moi je suis une salope. ".
Au bout d’une dizaine de minutes, j’annonce : " On inverse. "
Sans sortir de ton cul, je te soulève et je viens m'assoire sur une table à coté, tout aussi éclairée. Dans cette position, ta chatte est totalement exposée, offerte à qui voudra te prendre. Le créole en profite. Il a mit un préservatif à son tour et vient te saillir alors que tu as toujours ma queue dans ton cul. Le blondinet vient te présenter sa queue pour que tu le suce à son tour. Tu es prise par tous les trous. Seule ta main gauche est restée disponible, une queue de plus y aurait trouvé sa place… ou un petit minou.
Tu sens que le blondinet va venir, il voudrait jouir dans ta bouche et que tu aval mais tu détourne sa queue au dernier moment. Il se répand sur ta poitrine, la couvrant de foutre. La scène finit d'achever le créole qui jouie dans sa capote. Tu repousse alors le blondinet en essuyant ta main sur son ventre puis éjecte la queue de l'autre en veillant bien à ce que le préservatif suive le même chemin. Les couilles vides, les deux mecs se cassent rapidement. Tu renverse ta tête et accrochant mon regarde, tu étales le sperme que tu as sur toi, maculant tes seines et ton ventre. Tu sais très bien ce que tu fais, à la vue de tes actes, je me décharge dans ton cul et le rempli de mon foutre.
Je bascule sur la droite et sors de ton cul. Allongée sur le côté, sur la table, tu regardes vers un coin d'ombre :
" Ne reste pas là, viens nous rejoindre. " souffles-tu à la métisse qui, son pantalon baissé, se masturbait en nous regardant baiser.
***
Je décroche la laisse de ton collier, tu t’es presque bien comporté, tu as droit à une récompense. Pour le reste on verra plus tard.
Je m’approche de la métisse, elle est assez mince avec des hanches marquées et une poitrine généreuse mais sans excès.
" Tu vois que tu aimes ça. Aller viens, on continu. "
Passant ma main derrière sa taille je la rapproche de toi. Tu t’es relevée, ta tête est à la hauteur de la sienne et sans que rien ne soit dit je vous vois vous embrasser langoureusement. Je ne peux pas débander.
Tu as rapidement déshabillé cette fille inconnue sans qu’elle n’émette le moindre désaccord. Tu es assise sur la table, les jambes dans le vide. Elle s’est placé devant toi, tu couvres son corps de caresses et de baisés, ses hanches, ses fesses, son ventres, ses seins, ses épaules, son coup, ses lèvres… Elle en fait de même, un peu surprise par la chaîne reliant tes tétons. Vos mains ne tardent pas à trouver le sexe de l’autre et à jouer avec. Tu l‘invite à monter sur toi. L’une sur l’autre, vous frotter vos seins pendant que vos main fouillent vos intimités en toute indécence. Je profite du spectacle que vous offrez en ondulant vos corps. Le couple est partie, je ne vois personnes d’autre.
Les minutes s’égrènent au rythme de vos souffles entremêlés. Tu te redresse et te tourne, te plaçant en position pour un torride 69. Je vois ta langue fouillé entre ses lèvres humides, titiller son clitoris. Je te vois aspirer ses grandes lèvres. Sa cyprine coule sur tes joues. Je devine au mouvement de ton bassin qu’elle en fait de même avec toi. Tu dois lui offrir un goût bien particulier, mélange de ta cyprine et de mon sperme.
Tu lèves la tête et me regarde. Sans quitter la position dans laquelle tu te fais brouter, tu me fais signe d’approcher. Ma queue est raide, mon gland est écarlate. Tu prends un troisième préservatif dans la poche de mon pantalon et le mets en place. Tu me guide par la queue et présente mon gland devant la chatte de ton jouet :
" Profites-en. Tu as deux meufs pour toi tout seul. "
Je pénètre alors cette fille, elle est si humide qu’elle n’offre aucune résistance. Je vais lentement pour que tu puisses bien voir ma queue jouer dans une autre chatte que la tienne. Tu te mets alors à lui sucer le clitoris en même temps. Elle se cambre de plaisir.
Tu te cambre à ton tour et je distingue entre les lobs de tes fesses qu’elle a enfoncé deux de ses doigts dans ton cul et leur fais faire des vas et viens en cadence avec mes coups de queue. J’en profite pour te saisir dernière la nuque et t’embrasser, faire rentrer ma langue profondément dans ta bouche et jouer avec ton piercing.
Je sens que je vais à nouveau jouir et mes mouvements se font plus saccadés. Tu t’en rends compte et tu te saisis de ma queue, hôte le préservatif et la porte à ta bouche au moment même où un jet de sperme sort de mon gland. Ta figure est zébrée de foutre, ta gorge en est remplie. Tu te tournes alors et embrasse à pleine bouche la métisse, partageant mon jus. Cette dernière n’est toutefois pas rassasiée et se lève pour venir me sucer. Sans demander l’autorisation, elle me nettoie la queue proprement. Malgré ton air faussement outrée, tu ne peux pas t’empêcher de sourire. Tu récolte alors le sperme restant sur tes joues, ta poitrine, ton cul. Tu l’étale sur ta chatte. Et te place devant la métisse :
" Finis. "
Tu lui fais alors brouté proprement ton minou, lui offrant un mélange de sperme de deux mecs et de ta cyprine.
Une fois terminé, tu viens goûter le mélange sur ses lèvres puis nous la voyons reprendre ses affaires et repartir. Dommage, elle aurait pu resservir.
***
" Tu n’aurais pas vu mes vêtements ? "
" Non mais ce n’est pas grave. Tu n’as qu’à rester comme ça. Là où on en est ça ne changera plus grand-chose. "
" Tu veux que je reste à poile ? "
" Tu m’as désobéit deux fois ce soir. Pour ta punition, tu seras exhibée. "
" Quand t’ai-je désobéi ? "
" Quand tu as essuyé ta main sur le ventre du type et lorsque tu as donné ta chatte à nettoyer à la black… Même si j’ai bien aimé cette dernière partie. "
" À vos ordres maître. " me réponds-tu en t’adossant à un réverbère allumé dans une position totalement impudique. Tu sembles prendre du plaisir à exhiber volontairement ton intimité, diminuant d’autant la "contrainte" de la punition.
Je te remets la laisse et t’emmène ainsi jusqu’à la voiture garée à peine 15 mètres plus loin. Arrivé devant, je te fait mettre les mains sur le côté du capot, les jambes écartées, te rendant totalement exposée, vulnérable. Le plug est resté dans ma poche mais en regardant par la vitre, j’ai vu quelque chose avec quoi je vais pouvoir jouer.
Tenant fermement la laisse de la main gauche, je libère ma ceinture de la droite et la replies sur elle-même pour m’en servir de fouet. Le bruit ne t’a laissé aucun doute, tu sais ce qui va t’arriver.
" Je suis une vilaine fille, j’aime quand tu me punis. "
" Je sais. J’aime les vilaines filles. "
Je fais claquer la ceinture sur tes fesses deux fois, quatre fois, six fois. Tu m’en demandes encore d’avantage avec plus de force. Je passe le cuire contre ta chatte, elle est si humide que des gouttes de ta cyprine tombent au sol. Je refais claquer mon fouet de circonstance, tes fesses sont déjà rouges depuis plusieurs coups lorsque tu me dis stop.
Punition ou récompense, tu aimes tellement ça que je ne peux finir la dessus.
" Je t’ai dit que je jouerai avec ton cul. Je t’ai dit que je te voulais avilis. "
Passant la main par la vitre ouverte, j’attrape une des deux bouteilles de DSP vide de ce matin et te présente le goulot devant la bouche.
" Suce et mets y bien ta salive. "
Je te vois obtempérer avec une docilité surprenante. Tu sais très bien ce que je vais en faire et tu sembles même prendre du plaisir rien qu’à y penser. La bouteille rentre sans aucune difficulté dans ton anus, semblant te comblé d’un vide. Je lui imprègne des mouvements de vas et viens qui te font te cambrer.
Tu me fais signe d’approcher mon oreille. Tu me souffle encore une fois quelque chose qui me remet instantanément en érection.
" Mets-moi la deuxième dans la chatte. "
Sans hésitation, je commence à détremper le goulot de la seconde bouteille contre tes lèvres. Elle rentre facilement dans ton con largement ouvert par trois bites successives. De ta main droite, tu lui imprime toi-même un mouvement. Tu es là, appuyée contre le capot de notre voiture, sur le trottoir de la ville, nue, en laisse, exhalant le foutre et la cyprine, à te faire pistonner et de te pistonner toi-même avec des bouteilles de DSP vide. Si mes couilles n’étaient pas vides, je devrais changer de pantalon. J’aurais aimé pouvoir filmer ça.
Ma salope, ma pute, ma chienne. Tu es comme je te veux. Sans aucune pudeur ni retenue. N’ayant que le désir du plaisir sexuel.
Sentant tes jambes fléchir, je te libère de ces jouets improvisés et de la laisse. Je t’assois sur le siège passager et te recouvre avec une couverture. Nous rentrons à la maison. Même si ce n’est pas l’envie qui te manque, tu es trop fatiguer pour faire quoi que ce soit sur le trajet. Dommage, une pipe ou une petite masturbation ne m’aurai pas déplus.
Arrivé à l’appartement, je te porte presque jusque sous la douche que nous prenons chastement ensemble. Tu me passe du savon sur tout le corps, insistant sur mon gland pour le rendre propre. Je nettoie le foutre qui a séché sur tout ton joli corps. Je t’allonge sur notre lit, nous échangeons un long regard. Nous somme ensemble, je te fais alors doucement et tendrement l’amour jusque tard dans la nuit.
La question que tu me poseras le lendemain ?
" Pourquoi m’as-tu emmené si à l’écart pour baiser ? Il y avait une pagode éclairée encore libre au milieu des autres. "
Je t’aime.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai vraiment adoré. Je pratique aussi le BDSM et j'aime beaucoup les scénarios. Mais surtout j'adore jouer en public.
J'espère que vous avez eu le plaisir de vivre ce récit en tout ou partie.
Au plaisir de vous lire.
J'espère que vous avez eu le plaisir de vivre ce récit en tout ou partie.
Au plaisir de vous lire.
Belle histoire, j’ai l'entrejambe humide à sa lecture. J'aimerais bien vivre la même chose