Dans la neige
Récit érotique écrit par Barjoz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dans la neige
Nous parlions, avec une amie, de ce week-end à ski depuis de nombreux mois déjà et le jour du départ était enfin arrivé.
Nous partîmes tôt ce samedi matin afin de pouvoir profiter un maximum des pistes mais surtout éviter la circulation.
Pendant le trajet nous échangions nos semaine respective dans le silence de l’habitacle, nous sommes adeptes du calme, du paisible, nous aimons savourer ces moments paisible teinté de silence. Mais je dérogeai à la règle et profitais de mes habitudes pour lui faire découvrir une émission de radio, les niolus, de l’humour bien de chez nous, «les Suisses», oui oui nous sommes des ptits suisses !
Nous arrivons face à notre hôtel la neige est bien présente et le soleil s’est invité à notre week-end et les caresses de ses rayons sont des plus agréables, nous faisant oublier le froid de la saison. Nous sommes bien accueilli, le cadre est sympa. Nous nous séparons le temps de d’aller poser nos bagages dans nos chambres respectives et se changer pour partir à l’assaut des pistes.
Il est presque 10h quand nous arrivons aux pieds de la montagne prêt à embarquer dans la télécabine non sans avoir subit la longue fil d’attente.
On pose nos ski et bâton dans l’espace dédié de la télécabine avant de nous entasser dans l’espace restreint de la cabine pour la longue montée en direction du premier sommet.
Un jeune couple d’amoureux se bécotent entre deux échange dans un langage plutôt nordique, du Danois selon mon amie, le sommet est enfin atteint, on récupère notre équipement et direction le télésiège pour le deuxième sommet et on pourra attaquer notre première descente.
Nous chaussons nos ski, les premières chutes accompagné des premier rire moqueur mais bon enfant, après quelques années sans pratique on se rend compte que l’on a perdu nos marque. Téméraire je me laisse glisser avec circonspection et tente de m’arrêter une dizaine de mètre plus bas aidé d’une perte d’équilibre je m’affale au sol. Mon amie me rejoins dans un élan plus assuré que ma prestation avant de me rentrer dedans en hurlant les bras au ciel nous faisant tombé les deux.
Je me rendis compte à ce moment que je n’avais jamais été aussi proche d’elle qu’en cet instant inattendu, je respirais son parfum discret, mes mains posées sur son corps, je me perdais dans mes pensées tandis que l’on se relevait du mieux que l’on pouvait.
Notre première journée de ski fut éprouvante mais heureusement teintée de rire, d’échange en tout genre, et de quelques moment de répit dans la neige à l’écart du monde profitant du soleil.
Nous regagnions l’hôtel pour aller prendre une bonne douche chaude chacun de son côté avant de nous retrouver au restaurant de l’hôtel pour un bon repas en tête à tête dans une ambiance détendue, à l’écart du stress quotidien.
Nous nous rendons épuisé mais repus en direction nos lits respectif pour aller passer une nuit réparatrice, nuit qui fût pour moi teintée de souvenir de mon amie, de son odeur, de son corps contre le miens, une nuit plein de fantasmes.
A mon réveil je ne pu que constater la bosse sous le duvet m’indiquant que mes songes d’une nuit furent endiablé. Je me préparais pour ce dimanche qui s’annonçait ensoleillé au vu de la lumière ambiante de la chambre.
Une fois prêt j’allais m’en quérir de mon amie et face à la porte de sa chambre je toquais à sa porte, elle est déjà levée et prête pour aller attaquer le petit déj et oui le plein d’énergie pour la matinée qu’il ne faut pas négliger.
Rebelote comme la veille, télécabine, télésiège descente, remontée, petit challenge, on a retrouver nos marque on s’éclate. Je la regarde ses long cheveux légèrement frisé coincé sous son bonnet, ses grand yeux, son sourire en coin. Ce n’est pas la première fois que je la regarde, mais la première fois que je la vois ainsi.
La matinée se passe dans une ambiance bon enfant, on se taquine, nous parlons de nos vie respective jusqu’à ce que la faim nous fasse réaliser l’heure avancée qu’il est. Nous nous décidons pour nous arrêter près de quelques arbres à l’abri du vent, exposé au soleil, entouré d’une belle couche de poudreuse, un petit coin à l’écart de la foule presque délaissé qui ne semblait n’attendre que nous.
Nous discutons de tout de rien et alors qu’elle me taquine sur un sujet qui me fait rougir, je la pousse pour qu’elle bascule et s’étale le dos dans la poudreuse.
Le soleil illumine son visage, ses cheveux noir s’étalent dans la candeur de la neige, le contraste de la blancheur de la neige avec sa peau chocolat au lait me subjugue, mes yeux sont hypnotisé mon esprit est submergé je me vois me pencher vers elle lui glisser un «tu es magnifique» à l’oreille avant de déposer un baiser chaste à la commissure de ses lèvres.
Puis avant qu’elle ne dise un mot une main viens se poser sur sa hanche tandis que mes lèvres vienne goûter les siennes, ses lèvres s’entre ouvre laissant la possibilité à nos langues de se mêler. Nos lèvres se sépare, nos regards se croisent un instant, avant que nos lèvres s’unissent de désir, nos mains s’activent, je me redresse à genoux entre ses jambes pour dézippé ma veste tandis qu’elle ouvre la sienne,je repart déguster ses douces lèvres, glisse lentement vers son cou sucré, son parfum est enivrant, je laisse mes pulsions prendre les commandes, je ne réfléchis plus et savoure cet instant.
Je me débarrasse de mes gants et part explorer son corps, je passe une main sous son pull, malgré le froid de la saison nous ressentons les caresses chaude des rayons du soleil, abrité du vent par ces quelques arbres, nous sommes dans un monde isolé réservé à nous seul.
Sa peau est douce et chaude je glisse une main sous ses vêtements le long de son ventre, remonte lentement en direction de son sein droit découvrant qu’elle n’a pas de soutiens gorge me laissant libre accès à son téton ériger, sa poitrine se durcit légèrement sous mes caresses.
Je remonte ses habits afin de pouvoir admirer sa poitrine mais gênée elle croise ses mains dessus, sans un mot juste par ses yeux je comprends et vient me serrer contre elle réajustant ses vêtements au passage..
Elle viens à la recherche de mes lèvres nous nous bécotons échappant quelques soupir une de mes mains se glisses dans son pantalon de ski après l’avoir déboutonné, je bataille brièvement avec les dessous thermique avant de pouvoir toucher du doigt son intimité tant convoitée, front contre front nos regard plongé dans celui de l’autre, nos respiration accélérée, je sent une main glissé vers mon entre jambe dézippé mon pantalon et se glisser un chemin vers mon intimité.
Je glissais un doigt le long de sa fente à peine humide pour la titiller en douceur, j’accédais à son bouton de plaisir tandis qu’elle activais sa main autour de mon vit, nous échangions un baiser entre deux soupirs lors desquelles je plongeais mes yeux dans ses grands yeux.
Je glissais un doigt le long de sa fente et glissais un doigt en elle en douceur, tandis que son abricot se mettait à couler mon joujou gagnait sa pleine forme.
Quand je glissais deux doigts en elle, un discret gémissement se fit entendre se mordant la lèvre inférieur au passage et fermant les yeux.
Alors que je me redressais elle se retourna me présentant ses fesses dénudée, je posais une main afin d’apprivoiser son beau séant alors que mon autre main se pressait à baiser mes habits. Je posais un baiser sur son doux fessiers osais glisser ma langue entre ses fesses voulant goûter à sa liqueur d’amour.
Elle me de mandais de la posséder rapidement et ne fit pas prier plus longtemps je présentait mon pieu à l’entrée de son bonbon tant désirer et me laissai aller en elle comme aspiré par son désir.
Je me laissais aller à de vigoureux coup de rein la faisant basculer sur l’avant, elle fini à plat ventre et la suivi en douceur collant mon pubis à ses fesses rondes, je continuais de m’activer en elle tout en venant lui suçoter le lobe de son oreille, parfois lui mordiller la nuque. Nos soupir se transformèrent en gémissement, je passais mes main entre le sol et ses épaules, l’agrippant fermement pour la tirer à moi, accentuant le contact entre nous, amplifiant la pénétration. Après quelques va et viens je me retirais en me redressant, je posait une main sur sa fesse gauche pour finir à la main ce que nous avions entrepris, venant souiller son popotin de ma liqueur d’amour.
Soudain une boule de neige vint s’écraser sur mon front tandis que mes oreilles reprenaient du service, j’entendis mon amie m’appeler désespérément, me demandant si ça allait, je l’aidais à se redresser en lui répondant que tout allait bien, que je m’étais égaré dans mes pensées un court instant. Elle n’alla pas chercher plus loin mais son air interrogateur ne laissait aucun doute quant à sa curiosité.
Nous reprîmes nos activé hivernal, quelques descente de supplémentaire afin de profiter au maximum de notre week-end entre amis. L’heure avançant inexorablement vers l’heure du départ nous entamons notre dernière descente du week-end, je la suis perdu dans mes pensées la regardant filer cheveux au vent pour atteindre le bas de la piste.
Un crochet à l’hôtel, une petite douche rapide, nous plions bagage brièvement, avant de charger sa voiture pour le trajet du retour. Nous nous remémorons notre petit week-end des plus sympathique nous encourageant à remettre ça très prochainement.
Nous partîmes tôt ce samedi matin afin de pouvoir profiter un maximum des pistes mais surtout éviter la circulation.
Pendant le trajet nous échangions nos semaine respective dans le silence de l’habitacle, nous sommes adeptes du calme, du paisible, nous aimons savourer ces moments paisible teinté de silence. Mais je dérogeai à la règle et profitais de mes habitudes pour lui faire découvrir une émission de radio, les niolus, de l’humour bien de chez nous, «les Suisses», oui oui nous sommes des ptits suisses !
Nous arrivons face à notre hôtel la neige est bien présente et le soleil s’est invité à notre week-end et les caresses de ses rayons sont des plus agréables, nous faisant oublier le froid de la saison. Nous sommes bien accueilli, le cadre est sympa. Nous nous séparons le temps de d’aller poser nos bagages dans nos chambres respectives et se changer pour partir à l’assaut des pistes.
Il est presque 10h quand nous arrivons aux pieds de la montagne prêt à embarquer dans la télécabine non sans avoir subit la longue fil d’attente.
On pose nos ski et bâton dans l’espace dédié de la télécabine avant de nous entasser dans l’espace restreint de la cabine pour la longue montée en direction du premier sommet.
Un jeune couple d’amoureux se bécotent entre deux échange dans un langage plutôt nordique, du Danois selon mon amie, le sommet est enfin atteint, on récupère notre équipement et direction le télésiège pour le deuxième sommet et on pourra attaquer notre première descente.
Nous chaussons nos ski, les premières chutes accompagné des premier rire moqueur mais bon enfant, après quelques années sans pratique on se rend compte que l’on a perdu nos marque. Téméraire je me laisse glisser avec circonspection et tente de m’arrêter une dizaine de mètre plus bas aidé d’une perte d’équilibre je m’affale au sol. Mon amie me rejoins dans un élan plus assuré que ma prestation avant de me rentrer dedans en hurlant les bras au ciel nous faisant tombé les deux.
Je me rendis compte à ce moment que je n’avais jamais été aussi proche d’elle qu’en cet instant inattendu, je respirais son parfum discret, mes mains posées sur son corps, je me perdais dans mes pensées tandis que l’on se relevait du mieux que l’on pouvait.
Notre première journée de ski fut éprouvante mais heureusement teintée de rire, d’échange en tout genre, et de quelques moment de répit dans la neige à l’écart du monde profitant du soleil.
Nous regagnions l’hôtel pour aller prendre une bonne douche chaude chacun de son côté avant de nous retrouver au restaurant de l’hôtel pour un bon repas en tête à tête dans une ambiance détendue, à l’écart du stress quotidien.
Nous nous rendons épuisé mais repus en direction nos lits respectif pour aller passer une nuit réparatrice, nuit qui fût pour moi teintée de souvenir de mon amie, de son odeur, de son corps contre le miens, une nuit plein de fantasmes.
A mon réveil je ne pu que constater la bosse sous le duvet m’indiquant que mes songes d’une nuit furent endiablé. Je me préparais pour ce dimanche qui s’annonçait ensoleillé au vu de la lumière ambiante de la chambre.
Une fois prêt j’allais m’en quérir de mon amie et face à la porte de sa chambre je toquais à sa porte, elle est déjà levée et prête pour aller attaquer le petit déj et oui le plein d’énergie pour la matinée qu’il ne faut pas négliger.
Rebelote comme la veille, télécabine, télésiège descente, remontée, petit challenge, on a retrouver nos marque on s’éclate. Je la regarde ses long cheveux légèrement frisé coincé sous son bonnet, ses grand yeux, son sourire en coin. Ce n’est pas la première fois que je la regarde, mais la première fois que je la vois ainsi.
La matinée se passe dans une ambiance bon enfant, on se taquine, nous parlons de nos vie respective jusqu’à ce que la faim nous fasse réaliser l’heure avancée qu’il est. Nous nous décidons pour nous arrêter près de quelques arbres à l’abri du vent, exposé au soleil, entouré d’une belle couche de poudreuse, un petit coin à l’écart de la foule presque délaissé qui ne semblait n’attendre que nous.
Nous discutons de tout de rien et alors qu’elle me taquine sur un sujet qui me fait rougir, je la pousse pour qu’elle bascule et s’étale le dos dans la poudreuse.
Le soleil illumine son visage, ses cheveux noir s’étalent dans la candeur de la neige, le contraste de la blancheur de la neige avec sa peau chocolat au lait me subjugue, mes yeux sont hypnotisé mon esprit est submergé je me vois me pencher vers elle lui glisser un «tu es magnifique» à l’oreille avant de déposer un baiser chaste à la commissure de ses lèvres.
Puis avant qu’elle ne dise un mot une main viens se poser sur sa hanche tandis que mes lèvres vienne goûter les siennes, ses lèvres s’entre ouvre laissant la possibilité à nos langues de se mêler. Nos lèvres se sépare, nos regards se croisent un instant, avant que nos lèvres s’unissent de désir, nos mains s’activent, je me redresse à genoux entre ses jambes pour dézippé ma veste tandis qu’elle ouvre la sienne,je repart déguster ses douces lèvres, glisse lentement vers son cou sucré, son parfum est enivrant, je laisse mes pulsions prendre les commandes, je ne réfléchis plus et savoure cet instant.
Je me débarrasse de mes gants et part explorer son corps, je passe une main sous son pull, malgré le froid de la saison nous ressentons les caresses chaude des rayons du soleil, abrité du vent par ces quelques arbres, nous sommes dans un monde isolé réservé à nous seul.
Sa peau est douce et chaude je glisse une main sous ses vêtements le long de son ventre, remonte lentement en direction de son sein droit découvrant qu’elle n’a pas de soutiens gorge me laissant libre accès à son téton ériger, sa poitrine se durcit légèrement sous mes caresses.
Je remonte ses habits afin de pouvoir admirer sa poitrine mais gênée elle croise ses mains dessus, sans un mot juste par ses yeux je comprends et vient me serrer contre elle réajustant ses vêtements au passage..
Elle viens à la recherche de mes lèvres nous nous bécotons échappant quelques soupir une de mes mains se glisses dans son pantalon de ski après l’avoir déboutonné, je bataille brièvement avec les dessous thermique avant de pouvoir toucher du doigt son intimité tant convoitée, front contre front nos regard plongé dans celui de l’autre, nos respiration accélérée, je sent une main glissé vers mon entre jambe dézippé mon pantalon et se glisser un chemin vers mon intimité.
Je glissais un doigt le long de sa fente à peine humide pour la titiller en douceur, j’accédais à son bouton de plaisir tandis qu’elle activais sa main autour de mon vit, nous échangions un baiser entre deux soupirs lors desquelles je plongeais mes yeux dans ses grands yeux.
Je glissais un doigt le long de sa fente et glissais un doigt en elle en douceur, tandis que son abricot se mettait à couler mon joujou gagnait sa pleine forme.
Quand je glissais deux doigts en elle, un discret gémissement se fit entendre se mordant la lèvre inférieur au passage et fermant les yeux.
Alors que je me redressais elle se retourna me présentant ses fesses dénudée, je posais une main afin d’apprivoiser son beau séant alors que mon autre main se pressait à baiser mes habits. Je posais un baiser sur son doux fessiers osais glisser ma langue entre ses fesses voulant goûter à sa liqueur d’amour.
Elle me de mandais de la posséder rapidement et ne fit pas prier plus longtemps je présentait mon pieu à l’entrée de son bonbon tant désirer et me laissai aller en elle comme aspiré par son désir.
Je me laissais aller à de vigoureux coup de rein la faisant basculer sur l’avant, elle fini à plat ventre et la suivi en douceur collant mon pubis à ses fesses rondes, je continuais de m’activer en elle tout en venant lui suçoter le lobe de son oreille, parfois lui mordiller la nuque. Nos soupir se transformèrent en gémissement, je passais mes main entre le sol et ses épaules, l’agrippant fermement pour la tirer à moi, accentuant le contact entre nous, amplifiant la pénétration. Après quelques va et viens je me retirais en me redressant, je posait une main sur sa fesse gauche pour finir à la main ce que nous avions entrepris, venant souiller son popotin de ma liqueur d’amour.
Soudain une boule de neige vint s’écraser sur mon front tandis que mes oreilles reprenaient du service, j’entendis mon amie m’appeler désespérément, me demandant si ça allait, je l’aidais à se redresser en lui répondant que tout allait bien, que je m’étais égaré dans mes pensées un court instant. Elle n’alla pas chercher plus loin mais son air interrogateur ne laissait aucun doute quant à sa curiosité.
Nous reprîmes nos activé hivernal, quelques descente de supplémentaire afin de profiter au maximum de notre week-end entre amis. L’heure avançant inexorablement vers l’heure du départ nous entamons notre dernière descente du week-end, je la suis perdu dans mes pensées la regardant filer cheveux au vent pour atteindre le bas de la piste.
Un crochet à l’hôtel, une petite douche rapide, nous plions bagage brièvement, avant de charger sa voiture pour le trajet du retour. Nous nous remémorons notre petit week-end des plus sympathique nous encourageant à remettre ça très prochainement.
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