Dans le bois d'amour - histoire érotique

Ceci est une histoire qui j'espère bien fera mouiller ou bandé tout le monde qui la
lira...autant fille que gars...Profitant du fait que ma copine était chez ses parents
et qu’elle viendrait me rejoindre plus tard dans l’après midi, je profitais de ce
moment pour lui réservé une surprise qu’elle n’allait pas oublier de sitôt…

Sur la ferme paternelle, j’avais été installé ma tente de camping près d’un ruisseau
par un belle après-midi de juin 1995. À son arrivé chez moi, je lui proposai d’aller
prendre une marche dans la forêt. Après une quinzaine de minutes à gambader dans les
boisés, elle aperçu la tente. Elle me traita alors de petit coquin, et par le regard
qu’elle me fit, je savais que j’allais y passer un mauvais quart d’heure. Ne fessant
ni une ni deux, elle retira son t-shirt ainsi que son soutien-gorge pour laisser
paraître ses jolies mamelons rose. La légère brise d’été lui fit durcir ses
magnifiques auréoles. On s’installa sur le matelas gonflable, et en un rien de temps,
nous fûmes tous les deux nus. Une magnifique fellation débuta nos préliminaires.
Quelques instants plus tard, c’est en 69 qu’on ce retrouva. Ce moment magique nous
donnas un orgasme simultané. J’avais le visage couvert de son jus de jeune femme et
elle, la bouche remplie de mon sperme. Elle se redressa et se mit à jouer avec ma
semence pour m’exciter davantage, et en une gorgé, elle avala le tout.

Nous avons poursuivi notre rapport sexuel sous la tente où une chaleur nous maintenait
« chaud » dans tous les sens du terme. Multiples positions et multiples orgasmes pour
mademoiselle. Lors ce fût le moment de ma seconde jouissance, je me sorti la bite et
éjacula sur le gazon face à la sortie.

Le temps passait (achat d’une maison, mariage, enfant, etc.…) mais tous les étés, nous
profitions de notre tente de camping pour y passer d’excellents moments sexuelle.

Au cours de l’été 2011, je fis l’achat d’une roulotte de camping datant de quelques
années mais qui était d’une telle propreté qu’on pourrait qualifiée de petit château.
J’installai cette roulotte presqu’au même endroit que nous connûmes nos premiers
balbutiements amoureux. Sur la ferme paternelle.

Lors d’une journée de congé, que les enfants étaient à l’école et que ma femme était
au sous-sol pour une corvée de linge, je lui laissai un message sur le comptoir de
cuisine lui disant de venir me rejoindre à la roulotte pour qu’on puisse s’envoyer en
l’air en pleine nature et pour augmenter mon désir, elle devait me surprendre comme
elle sait si bien le faire. Tout était permis.

Près de ¾ heures d’attente...à fantasmer...

Tout à coup, j’entends le bruit de son véhicule venir au loin. Je rentrai à
l’intérieur de la roulotte et me positionna derrière le rideau pour observer la
surprise qu’elle me réservait. Je la vis descendre, habiller très normalement. Je suis
déçu. Viendra telle briser les attente que je m’étais créer. Oh que non. Au lieu de
venir vers la roulotte, elle ouvrit la portière côté passager et sorti un sac. Elle
ôta son jeans, son caleçon, ses bas, son chandail et son soutien-gorge. Elle était nue
en plein bois et moi j’étais en pleine érection derrière mon rideau. Un voyeur de la
pire espèce. Je me branlai tranquillement la bite, nu sur le lit. Elle sorti une paire
de talons haut et son joli déshabillé blanc assorti d’un string, que le soleil rendait
encore plus magnifique. Elle venait maintenant vers la roulotte avec son sac qui
contenait sûrement quelques vibrateurs et un bon tube de lubrifiant. Les premiers mots
qu’elle me dit :
* Tu te souviens de l’une de nos premières baises sous la tente?
* Et comment que je me rappelle, que je lui répondis
* Et bien aujourd’hui, tu t’en souviendras longtemps aussi
* J’espère bien mon trésor.

Elle se jeta sur moi tout en prenant soin de déposer doucement son sac près du lit.
Elle tassa doucement la dentelle de son string et s’empala sur ma bite. Elle était
déjà amplement trempée. Je lui caressais les seins par dessus le doux tissu. Lorsque
ma bite et mes couilles était remplies de son jus, elle est venue de faire une bonne
pipe (elle adore son propre jus de femme). Une pipe qui dura près de 10 minutes.
Juste avant que j’éjacule, elle arrêta. Elle se leva et prit son sac et en sorti
l’ordinateur portable.
* Pour que l’on se souvienne longtemps de ce moment, je veux nous filmer avec la
webcam. Comme ça, plus tard, on pourra ce masturber en voyant notre ébat dans la
roulotte.
* Excellente idée ma princesse
* Ce n’est pas tout. Dans mon sac, j’ai tout pour arriver au 7ième ciel.
* Alors montre-moi ça !! (j’avais raison, elle y avait mis un gros dildo, un petit
vibrateur à cul et son tube de lubrifiant)

Elle installa l’ordinateur et elle venu s’étendre près de moi sur le lit.
* Tu m’observais tantôt par le rideau ? Maintenant va t’asseoir à la table et continu
de faire ton voyeur.

Avec le ton employé, je n’avais guère le choix. Je me levai et alla l’observer tout en
branlant ma queue. Elle me fit tout un show de masturbation en solitaire. Tous les
orifices y passèrent. A coup de vibrateur, elle ce donna du plaisir, il allant même
d’une double pénétration. Elle était en feu. Elle avait sûrement joui à 2 ou 3
reprises. À force de me branler, une grosse goutte de sperme couvrait la sorti de mon
gland. Elle le remarqua et voulu s’en régaler.
* Viens, donne moi cette grosse goutte que je me désaltère un ….
Elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouvait la bouche
remplie.
* Suce moi bien ma petite salope d’amour
Je me retirai de sa bouche pour la pénétrer durant quelques instants et lui remis dans
la bouche.
* Viens bébé, reprends moi, j’en ai trop envie
* Si tu le veux, mets toi à 4 pattes petite salope
Elle était déjà en position.
* Oh oui, va y plus fort, oh oui, tire moi les cheveux gros cochon, rentre ton pouce
dans mon anus, va y….
* Si c’est ce que tu veux, tu l’auras. Je lui donnai de bonne tape sur les fesses pour
l'excité davantage.
* C’est bon, je joui, arrête pas, plus creux, ahhhahhhhaa

Je m’étendais le bras pour saisir le tube de lubrifiant et en déposa sur son petit
orifice.
* Il était temps, va y, encule moi gros pervers, oh, ahhah, oui…

Je lui glissant ma queue dans son anus qui s'ouvrit sans offrir de résistance. Après
plusieurs minutes de ce traitement, elle explosa en criant tellement fort que les gens
au village l'on sûrement entendu (à environ 1 km)

Je lui laissai quelques instants de répits.

J'allais me positionner en cuillère derrière elle et la pénétra doucement tout en lui
massant les épaules et le dos. L'excitation fessait place à la douceur.
- J'ai pensé à autre chose, une autre surprise t'attend dans mon sac.
- Fais-moi voir

Elle sortie des bandes de tissu (qui était en fait des ceintures de robe de chambre)
et voulu que je l'attache aux poignets et aux chevilles.
Ce que je fis. Je l’avais attaché en lui laissant une certaine mobilité au niveau des
jambes, ce qui me permettrait de mieux la pénétrer et pour qu’elle puisse facilement
onduler son bassin.
- Maintenant, fais ce que tu veux de moi, je suis à toi

J'ai commencé par lui bouffer son petit minou bien rasé, un court instant. Ensuite, je
me suis positionné face à elle et je me suis mis à chatouillé son clitoris et ses
lèvres avec mon gland. A l'occasion, je descendais jusqu'a son petit oeillet, ou je
prenais plaisir à m'attarder. Sous elle, sur le drap, un rond de mouille est apparut.
Elle prenait plaisir à être légèrement dominé. C'est dans cette position que je lui
donnais son XIème orgasme de la journée. N'en pouvant plus, elle me supplia d'éjaculer
à mon tour. Comme je pouvais faire ce que je voulais de ma femme, je la pénétrai un
instant, et au moment de venir, je me retirai et me masturba près de ses seins. Un
flot de foutre alla couvrir son visage et ses seins. Elle ouvrit la bouche pour saisir
ma bite et se régaler des dernières gouttes.

C'est à ce moment que de l'ordinateur annonça que sa pile était à un bas niveau. Nous
aussi nous étions épuisés.

Fréquemment, nous regardons le DVD de cette après-midi ou nous avons consumé notre
amour