Dans le bureau de la directrice

- Par l'auteur HDS La dirlette -
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Récit libertin : Dans le bureau de la directrice Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dans le bureau de la directrice
Moi c’est Mia, jeune directrice d’école de 24 ans. La plus jeune de mon département, ce qui en perturbe plus d’un. Physiquement, je ne suis pas la plus jolie, grande blonde assez forte, je revendique mes rondeurs et j’essaye de les mettre en valeur au mieux. Je suis arrivée dans mon école à la rentrée de septembre et dès la première semaine j’ai eu la chance de rencontrer notre nouveau conseiller pédagogique, Nicolas, la quarantaine, grand et très charismatique. L’homme qui vous ferait oublier que vous êtes en couple, car oui… je l’étais depuis 2 ans et déjà pacsée. Malheureusement il manquait dans ma relation une chose essentielle, le sexe.

J’avais connu énormément d’hommes l’année de mes 19 ans, dont un qui m’en avait appris plus sur moi que les 30 précédents. Il m’avait fait aimer mon corps et fait prendre mon pied dans toutes les pièces et toutes les positions. J’étais restée 3 ans avec lui et mon intimité s’en souvenait encore. Depuis son départ j’étais en manque, même après ma mise en couple. Je l’avais revu une fois, et cela m’avait donné envie de sombrer dans l’adultère. Ce qui risquait fortement d’arriver après la rencontre avec Nicolas.

Il était le papa divorcé d’un de mes élèves mais aussi mon responsable de secteur, il passait donc souvent nous voir à l’école. Beaucoup plus que la normale si l’on écoutait les collègues. J’aimais sa présence et il avait l’air d’apprécier la mienne en retour. J’espérai secrètement qu’un jour les choses dérapent et que nous jouions à un jeu dangereux. Il était lui aussi en couple depuis peu, ce qui compliquait les choses mais ne me décourageais pas. J’essayai sans cesse d’attirer son attention et de li faire passer des messages en jouant de petites robes et de décolletés plongeant lorsqu’il prévoyait de venir.

C’est au mois de décembre que ce petit jeu sembla porter ses fruits, je l’avais convoqué un soir avec son ex-femme au sujet de leur fils qui amusait la galerie toute la journée. A la fin du rendez vous il a demandé à me parler au sujet du travail. J’ai donc raccompagné son fils et son ex-femme à la porte de l’école avant de le retrouver dans mon bureau de direction. Il s’est assis face au bureau sans un mot et j’ai pris place de mon côté. L’ambiance était très tendue tout comme elle l’avait été durant le rendez-vous. Ayant commis plusieurs erreurs de direction pendant la semaine, je ne savais pas à quelle sauce j’allais être mangée. Le silence sembla durer une éternité, éternité pendant laquelle je pu le dévorer des yeux, il avait de grands yeux bleus, un grand sourire et ses cheveux poivre et sel lui donnait un sex appeal très fort. Son charisme était déstabilisant, j’avais l’impression d’être une petite fille face à un homme.
Sans aucune parole, il se leva doucement, se pencha par-dessus mon bureau et m’attrapa posa sa main sur ma nuque, il m’attira vers lui et posa sauvagement ses lèvres sur les miennes. Le contact chaud et légèrement humide m’électrisa jusqu’au plus profond de moi-même. Tous mes sens se réveillèrent et je sentis mon intimité s’humidifier d’un coup. Nous y étions, mes 4 mois de fantasmes allaient se réaliser, là, dans mon bureau de direction, là où je recevrai le lendemain parents et collègues. J’allais enfin pouvoir gouter à cet homme qui occupait mes rêves de sexe depuis trop longtemps.

Il remonta sa main dans mes cheveux, m’attirant toujours plus près de lui, ses lèvres descendirent dans mon cou doucement, embrassant chaque centimètre de peau. Je sentais son souffle s’accélérer au fur et à mesure de la descente. Je maudissais de plus en plus ce bureau qui nous séparait, il m’empêchait de le toucher et de me coller à lui pour sentir son odeur. Sa tête était presque au niveau de mon décolleté, je rêvais de sentir ses mains sur mes seins, sa bouche sur mes tétons… Mais il s’arrêta net, mis sa tête au niveau de mon oreille et me chuchota « mets toi à genoux sous le bureau », j’étais hypnotisée par cette voix et mon corps se mit tout seul à genoux, j’étais sous mon bureau, je ne voyais que la moitié de son corps, il baissa son pantalon et se rassit. C’est alors que je découvris l’objet de toutes mes envies. Il avait un membre à couper le souffle, pas très longue mais d’une épaisseur hallucinante, j’imaginais déjà la sensation que je ressentirai quand elle se glisserai en moi. Il attrapa mes cheveux d’une main et guida ma tête jusque son sexe qui était déjà bien dressé. Je ne me fis pas prier, je pris doucement sa bite en bouche en commençant par en embrasser le bout, puis ma langue pris le relais en en léchant la totalité, de bas en haut. Il avait bon gout et je ne mis pas longtemps avant de vouloir le sentir entre mes lèvres. Ma bouche était remplie et j’avais l’impression de n’être qu’a la moitié de son sexe, je pris une grande inspiration et je pu descendre encore plus, son sexe touchait le fond de ma gorge m’empêchant de respirer, c’est alors que je sentis sa main appuyer encore plus sur ma tête pour que j’aille encore plus loin. Je ne pouvais plus respirer tellement j’étais remplie, sentant que je suffoquais, il commença à imprimer un mouvement de va et vient, je salivais énormément, mais ce n’était rien à côté de l’humidité qui s’emparait de mon string. J’avais envie de lui, je voulais qu’il me défonce sur mon bureau, sans sentiment, sans ménagement. Son mouvement s’accéléra petit à petit tout comme sa respiration, il me regardait droit dans les yeux et je soutenais son regard. J’aimais sucer et je voulais qu’il le voie. Son rythme s’accéléra encore plus, il était au bord de la jouissance, je pensais qu’il allait m’éjaculer dans la bouche mais au dernier moment il retira ma tête d’un coup sec. Il me releva, me retourna et me glissa à l’oreille « Je n’allais pas t’éjaculer dans la bouche tout de suite, quand on a une femme qui transpire le sexe à ce point, il faut en profiter au maximum ». Il me bascula sur le bureau, les fesses tendues vers lui. Il releva ma jupe et fit descendre mon string. Je pris alors conscience de la situation, j’étais le cul à l’air, en bas et perchée sur mes talons devant mon responsable. Je mouillais abondamment et il ne tarda pas à le découvrir. Il glissa doucement un de ses doigts le long de mon intimité jusqu’à le faire glisser en moi, il rentra comme dans du beurre, il continuait de me chuchoter des choses à l’oreille ce qui m’excitait encore plus « tu mouilles comme une salope, on dirait que tu as envie de quelque chose. Moi j’ai bien envie de te mettre plus qu’un doigt dans ta chatte, elle est tellement humide que je pourrai à coup sûr y mettre 4 doigts ». Il ne se fit pas prier plus longtemps pour rentrer un doigt de plus puis 2. Il entreprit un mouvement de va et vient mais ce qu’il fit par la suite me fit fondre complètement. Il recourba ses doigts en moi pour faire une sorte de crochet contre mon point G, quand il commença à actionner son bras je perdis pieds, je sentis la jouissance monter en moi à une vitesse folle, ce geste était hallucinant et ma jouissance éclata en un puissant jet de cyprine. Il ne s’arrêta pas pour autant, j’eu l’impression de devenir folle, il jouait avec mon sexe comme on jouerait d’un instrument, me faisant hurler ma jouissance et perdre toute notion des choses. Il profita de cette lubrification intense pour d’un coup rentrer un quatrième doigt, j’étais tellement loin que je ne compris pas réellement ce qu’il se passait. Je sentis simplement quelque chose pousser encore un peu sur mes petites lèvres. Je compris rapidement ce qu’il se passait, il était en train de me fister, son poing était totalement dans ma chatte et il le faisait bouger en rythme. Il tenait mon plaisir comme on pourrait tenir une marionnette. Je sentais chacun de ses mouvements et mon plaisir remontait encore et encore. C’est quand il enleva son poing qu’un jet de cyprine partit à nouveau, l’arrosant complètement. J’étais couchée face contre le bureau, haletante, mes jambes me supportaient à peine. Il me soutenait par les hanches pour m’empêcher de tomber, j’étais sur une autre planète. J’entendis sa voix au loin « J’espère que tu en as encore parce que je n’ai pas fini de m’occuper de toi ». Il m’ordonna de me retourner, ce que je fis sans réfléchir. Il me souleva par les hanches pour m’asseoir sur mon bureau et c’est à ce moment que sa bite remplaça sa main. « Je ne vais pas te défoncer la chatte trop longtemps, ma main s’en est déjà chargée, c’est dans ton cul que je veux prendre mon pied et ensuite, tu avaleras mon sperme comme la bonne salope que tu es ». Ces mots ne me choquèrent pas, même s’ils venaient d’un homme que je reverrai dans le cadre du travail chaque semaine. Ce qui me choqua c’était la possibilité qu’il me sodomise. Je n’avais pas été prise de cette manière depuis plus de 3 ans et mon petit trou devait être refermé. D’autant plus que son membre était énorme. Il dut lire le moment de panique sur mon visage puisqu’il me chuchota ceci « Ne t’inquiète pas, vu comme tu mouilles, je rentrerai comme du beurre. Tu vas voir, tu vas aimer te faire défoncer le cul, tu m’en redemanderas » et pendant qu’il me limait la chatte, il entreprit de glisser dans mon cul ses doigts en prenant soin de les humidifier avec ce qui coulait de mon intimité. Il avait raison, son premier doigt rentra comme si de rien était, le deuxième suivi le même chemin rapidement. Il branlait mon anus au même rythme que sa bite pilonnait ma chatte. Il se servit de sa seconde main pour branler mon clitoris tout gonflé et en profita pour glisser un troisième doigt dans mon cul, son manège devient difficile car je sentais à nouveau la jouissance monter, je ne savais même plus pour la combientième fois. J’avais perdu toute notion des choses. C’est quand je sentis son quatrième doigt que je partis à nouveau dans les tours, je ne parvenais plus à me contrôler et j’hurlais ma jouissance. Il attrapa alors très vite une balle antistress qui traînait sur mon bureau et me la fourra dans la bouche avant de recommencer à branler mon clito « Je ne voudrais pas que quelqu’un d’autre que moi sache quel genre de salope tu es, tu es à moi maintenant, c’est moi qui te défoncerais quand j’en aurai envie ». Il retira ses doigts de mon cul d’un coup, provoquant un vide en moi, mes yeux l’implorèrent de recommencer, il avait raison… J’allais aimer me faire défoncer le cul par son sexe et j’allais en redemander. Je sens son pénis pointer à l’entrée de mon anneau. Il force le passage délicatement, d’une douceur dont il n’avait pas encore fait preuve depuis le début. Je sentis chaque centimètre de son sexe rentrer en moi. Quand son pubis se colla à mes fesses, j’étais remplie comme je ne l’avais jamais été. Il commença à bouger lentement en moi, de léger vas et viens, puis il accéléra progressivement, la douleur ressente disparue rapidement pour laisser la place à toutes les terminaisons nerveuses de mon fondement. Celles-ci commencèrent à réagir au rythme des mouvements de Nicolas, il accéléra encore et encore jusqu’à me pilonner le cul, la balle mise en bâillon dans ma bouche m’empêchai de crier mon plaisir mais les gémissements étouffés le traduisaient bien, il me chuchotait des mots crus, me traitant de salope et de chienne et cela m’excitait au plus haut point. Il sortait carrément sa bite et la rentrait en replongeant dans mes entrailles d’un coup sec. Je n’avais jamais été prise aussi violement mais j’aimais ça, j’étais fatiguée mais j’aurai pu rester comme ça toute la nuit. Il accéléra encore, son souffle était saccadé, il allait jouir. Je le regardais droit dans les yeux avec mon regard le plus pervers possible et il ne tint plus. Il se déversa en moi avant de s’écrouler sur moi. Nos respirations mirent plusieurs minutes avant de redevenir normales, il m’embrassa tendrement puis me proposa d’aller me doucher chez lui afin de pouvoir effacer les traces de notre baise avant de rentrer chez moi. En fermant la porte de mon bureau j’imaginais déjà les souvenirs que je revivrai le lendemain en m’asseyant sur ma chaise…

Nous refîmes l’amour dans sa douche, un instant plein de douceur et de caresses puis je dû rentrer chez moi. La tête pleine de souvenirs et la chatte tout endolorie. Sur mon téléphone s’affichait déjà un message « J’ai hâte de vous revoir chère collègue ». Un message plein de promesses.

Les avis des lecteurs

Une vraie petite salope comme je les aime...Ton histoire est très excitante ;)
Envie de savoir si tu l'as revu...Si il t'a à nouveau défoncé...

Histoire Erotique
Vous écrivez comme vous baisez, à toute vitesse ! Il faut prendre le temps d'aller à la ligne comme parfois il faut donner un coup de langue pour redonner de l'élan à un gland



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