Dans les griffes d’une vraie COUGAR … hummmm enfin ! (1)
Récit érotique écrit par Max(pour dame mure) [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Dans les griffes d’une vraie COUGAR … hummmm enfin ! (1)
Dans les griffes d’une vraie COUGAR … hummmm enfin !
Je vous ai déjà parlé de mon goût pour les femmes mûres…
J’avoue avoir une préférence pour les mères de familles bcbg, bien élevées d’apparences sages qui se lâchent le temps d’une bonne baise sans tabou. Pas vraiment des ‘cougars’ comme on l’entend, mangeuses d’hommes, allumeuses et ultra libérées … peut être qu’elles m’intimidaient … tout en m’excitant mais avant de rencontrer Marie-France je ne savais pas si elles existaient vraiment ces femmes cougars gourmandes et terriblement sexy (comme dans les films). Jusque-là c’était plutôt moi qui prenais les initiatives. ; J’aimais les intriguer puis les exciter… qu’elles pensent à des cochonneries qui ne seraient jamais venu à leurs esprits. ; Puis qu’elles en ai envie … très envie.
Avec une cougar c’est différent, on se sent comme un bout de viande… mais c’est aussi très plaisant et vraiment excitant.
La première fois que j’ai vu Marie-France elle était assise au bar. ; Sur un tabouret dans la salle de billard que j’aime fréquenter de temps à autres. Je jouais avec un ami mais mes yeux ne pouvaient se détacher du corps de cette femme de 50 ans en robe moulante et hyper courte. Je l’avais très vite repérée et détaillé sa tenue de bas en haut … de ses chaussures rouges à lanières qui lui enserrait les chevilles … et des talons qui lui galbaient les jambes dès qu’elle était debout. Ces bas nylons dont jeme demandais comment ils tenaient et sa mini robe noire qui lui moulait le cul. ; rebondi mais ferme. On voyait distinctement son string tellement sa robe était serrée. Ses seins semblaient déborder de son décolleté … ses cheveux roux – bruns légèrement frisés tombaient sur ses épaules… ses yeux verts parfaitement maquillés…sa bouche pulpeuse ou son vernis à ongle ou son bracelet doré à la cheville. ; J’avais tout vu et je n’étais pas le seul à la mater plus ou moins discrètement dans la salle.
Perchée sur un tabouret de bar à siroter du cognac. ; Seule, discutant un peu avec le barman… se trémoussant comme une bimbo bien consciente d’attirer les regards… envieux, elle observait chaque jeune mâle présent d’un air intéressé. Et la manière dont elle fixait leurs culs pendant qu’ils jouaient au billard ne laissait que peu d’équivoques sur ses intentions. Elle était en chasse.
Je l’avais fait remarquer à mon collègue et une fois notre partie terminée nous décidâmes d’aller lui offrir un verre, de tenter de faire connaissance. Avec déjà pleins d’idées biens salaces derrière la tête mais sans trop d’espoir. Si j’avais juste suivi mon instinct… l’envie qu’elle avait déclenché en moi… je lui aurais fourré ma queue presque dure en bouche sur le champ… je l’imaginais a genoux, moi sur le tabouret… me branlant le sexe et grattant mes couilles avec ses longs ongles peints… mon gland en bouche… J’y pensais d’ailleurs très fort en l’abordant…
Elle portait un parfum assez lourd qui éveillait vraiment des envies bestiales…
- Bonsoir nous aimerions vous offrir un verre… ou plusieurs.
Lui dis-je poliment avec un large sourire.
Vincent mon pote un blondinet rachitique un peu plus jeune que moi se tenait à mes côtés en la fixant la bouche ouverte, c’est à peine si la bave ne lui coulait pas sur les joues. Il esquissa un sourire gêné accompagné d’un clin d’œil… lubrique.
- Avec joie. je bois du cognac … et j’adore la compagnie de beaux jeunes hommes.
Répondit-elle naturellement en se trémoussant un peu sur son tabouret.
Nous fîmes connaissance, elle nous dit être avocate, divorcée … et constata amusée qu’en additionnant l’âge de mon collègue et le mien on était encore en dessous du sien. Ce qui nous permit de la couvrir de compliments et de réflexions flatteuses sur son physique, sa tenue … elle gloussait en se trémoussant en nous écoutant. Elle parlait fort en trempant sa langue dans son verre de manière très suggestive. Elle nous expliqua qu’elle venait d’une autre ville mais que de temps en temps elle s’offrait un petit weekend end coquin. Pour ce faire elle descendait dans un grand hôtel et puis partait à l’aventure (pour ne pas dire en chasse) Elle venait souvent dans cette salle de billard pour débuter la soirée car elle connaissait le barman et s’y sentait à l’aise et en sécurité... Elle nous parla aussi d’une discothèque où elle avait ses habitudes... Pour le deuxième verre elle nous proposa d’aller nous installer à une petite table au fond… sur une banquette. Je me risquai à lui effleurer le cul lorsqu’elle descendit du tabouret… elle me sourit sans rien dire… du coup, sans me poser de questions je lui ai collé une main au fesses bien franchement… malaxant doucement en avançant. Elle gloussait toujours et se retourna à nouveau pour me lancer un baiser et un clin d’œil.
Là je commençais à être surexcité… la proximité de cette superbe femme peu farouche, allumeuse, me faisait bander et vu la tête de mon ami, lui aussi l’aurait bien sautée tout de suite… mais il était presque muet, intimidé par cette ‘cougar’ hyper sexy qui se trémoussait comme une ado en chaleur devant nous et se laissait tripoter par des inconnus. Elle s’arrêta devant une table :
- Sérieusement vous me trouvez comment ? dit-elle d’une voix suave en se cambrant un peu
- Superbe et très attirante répondis-je sans hésiter.
- Et vous avez déjà fréquenté des femmes de mon âge ?
- Oui, très souvent… mais rarement aussi sexy que vous.
- Et ça ne vous gênes pas d’être vu en ma compagnie ? occupé à me draguer ?
- Que du contraire… ce serait un honneur de vous sortir…
- Tu es assez mignon et tu me parais aussi déterminé… coquin… et ton camarade je lui plais aussi ? dit-elle en fixant mon pote qui n’avait rien dit et qui la matait toujours la bouche ouverte, les yeux écarquillés….
- Euh … oui mmmm vous êtes splendide marmonna t il
- Tu m’as l’air beaucoup plus timide que ton ami… c’est mignon.
Elle se laissa glisser sur la banquette, j’étais assis à côté d’elle et la sentait se relâcher. Face à nous Vincent se trémoussait sur sa chaise… cherchant à reluquer sous la mini robe de notre chaude nouvelle amie qui ayant remarqué son cinéma écarta un peu plus les cuisses. J’en profitai pour poser ma main sur son genou… et remonter sur sa cuisse en la massant doucement. Elle sursauta, m’adressa un regard vicieux, ses grands yeux verts plongèrent dans les miens.
- Audacieux… hummmm prouvez moi ce que vous me disiez…. Que vous n’avez pas honte d’être avec une vieille… Me chuchota t elle
Je ne me fis pas prier. Je l’embrassai à pleine bouche tout en continuant à lui caresser les cuisses a travers ses bas. Elle répondit à mon baiser avec fougue, enroulant sa langue autour de la mienne … ses lèvres aspirant les miennes. Elle m’enlaça immédiatement … me caressant le dos à travers ma chemise. Mes mains se promenaient un peu partout sur elle. Vincent nous fixait, bien raide sur sa chaise, mi-gêné mi-excité… il n’était pas le seul à nous fixer… une bonne partie de la salle nous observait plus ou moins discrètement.
- Je pense qu’on pourrait passer de bons moments. me chuchota t elle collée à moi en me caressant la nuque.
Je la pris par la taille pour l’attirer encore plus contre moi. J’étais maintenant affalé sur la banquette une magnifique ‘cougar’ sur les genoux. Je lui murmurais les cochonneries qu’elle m’inspirait en lui léchouillant le cou tout en lui massant le ventre, les cuisses … Hyper docile elle s’était laissé faire et soupirait d’envie à chaque mot cru qu’elle m’entendait lui chuchoter à l’oreille… elle avait repris son verre et riait fort… tout en se laissant tripoter. Je sentais mon sexe durcir dans mon jeans, compressé qu’il était dans mon boxer. Je lui attrapai la main pour la poser discrètement sur la bosse de plus en plus visible. Elle se mit de suite a palpé ma queue sans ménagement, malaxant mon paquet, mes couilles et tout ce qui dépassait sans se poser de questions…. A travers mon pantalon qui allait exploser… je bandais comme un dingue excité par cette cochonne gourmande.
- Vous voyez que je ne bluffais pas… vous me faites beaucoup d’effet.
- Hummmm oui il me semble… et tu n’as pas honte de tripoter une vieille en public
- J’en ferais beaucoup plus si l’endroit s’y prêtait… lui dis je en tentant de glisser ma main sous sa robe sous les regards pervers de quelques mecs qui avaient remarqués notre cinéma.
- Il va falloir que l’on trouve un endroit plus intime… tant pis pour la discothèque.
- Moi je suis prêt à continuer où vous voulez jusqu’au petit matin à vous tripoter partout avec ma langue dans votre bouche et devant qui vous voulez….
Elle me fourra sa langue au fond de la gorge pour toute réponse pour un baiser goulu
- Mais ton ami ? me dit-elle en jetant un regard du coin de l’œil à Vincent qui ne bougeait plus son verre à la main.
- Il est- assez grand pour rentrer seul, ne t’inquiètes pas.
- Tu ne crois pas qu’il préfèrerait nous accompagner ?
- Heu… sans aucun doute… enfin si tu en as envie… moi ça me déranges pas.
- Si il a trop peur il n’aura qu’à mater… mais je me sens assez d’appétit pour vous dévorer tout les deux… on ne va pas l’abandonner le pauvre minet….
Elle se leva et vint se mettre devant Vincent, éberlué… elle se pencha vers lui, lui tenant la nuque… elle lui mordilla l’oreille avant de lui chuchoter je ne sais quoi qui le fit rougir. Puis elle posa un baiser mouillé sur ses lèvres se retourna et me lança en se trémoussant.
- Bon. on va baiser maintenant ?
La suite au prochain épisode si vous voulez connaitre les détails sur cette ‘cougar’ déchaînée….
Je vous ai déjà parlé de mon goût pour les femmes mûres…
J’avoue avoir une préférence pour les mères de familles bcbg, bien élevées d’apparences sages qui se lâchent le temps d’une bonne baise sans tabou. Pas vraiment des ‘cougars’ comme on l’entend, mangeuses d’hommes, allumeuses et ultra libérées … peut être qu’elles m’intimidaient … tout en m’excitant mais avant de rencontrer Marie-France je ne savais pas si elles existaient vraiment ces femmes cougars gourmandes et terriblement sexy (comme dans les films). Jusque-là c’était plutôt moi qui prenais les initiatives. ; J’aimais les intriguer puis les exciter… qu’elles pensent à des cochonneries qui ne seraient jamais venu à leurs esprits. ; Puis qu’elles en ai envie … très envie.
Avec une cougar c’est différent, on se sent comme un bout de viande… mais c’est aussi très plaisant et vraiment excitant.
La première fois que j’ai vu Marie-France elle était assise au bar. ; Sur un tabouret dans la salle de billard que j’aime fréquenter de temps à autres. Je jouais avec un ami mais mes yeux ne pouvaient se détacher du corps de cette femme de 50 ans en robe moulante et hyper courte. Je l’avais très vite repérée et détaillé sa tenue de bas en haut … de ses chaussures rouges à lanières qui lui enserrait les chevilles … et des talons qui lui galbaient les jambes dès qu’elle était debout. Ces bas nylons dont jeme demandais comment ils tenaient et sa mini robe noire qui lui moulait le cul. ; rebondi mais ferme. On voyait distinctement son string tellement sa robe était serrée. Ses seins semblaient déborder de son décolleté … ses cheveux roux – bruns légèrement frisés tombaient sur ses épaules… ses yeux verts parfaitement maquillés…sa bouche pulpeuse ou son vernis à ongle ou son bracelet doré à la cheville. ; J’avais tout vu et je n’étais pas le seul à la mater plus ou moins discrètement dans la salle.
Perchée sur un tabouret de bar à siroter du cognac. ; Seule, discutant un peu avec le barman… se trémoussant comme une bimbo bien consciente d’attirer les regards… envieux, elle observait chaque jeune mâle présent d’un air intéressé. Et la manière dont elle fixait leurs culs pendant qu’ils jouaient au billard ne laissait que peu d’équivoques sur ses intentions. Elle était en chasse.
Je l’avais fait remarquer à mon collègue et une fois notre partie terminée nous décidâmes d’aller lui offrir un verre, de tenter de faire connaissance. Avec déjà pleins d’idées biens salaces derrière la tête mais sans trop d’espoir. Si j’avais juste suivi mon instinct… l’envie qu’elle avait déclenché en moi… je lui aurais fourré ma queue presque dure en bouche sur le champ… je l’imaginais a genoux, moi sur le tabouret… me branlant le sexe et grattant mes couilles avec ses longs ongles peints… mon gland en bouche… J’y pensais d’ailleurs très fort en l’abordant…
Elle portait un parfum assez lourd qui éveillait vraiment des envies bestiales…
- Bonsoir nous aimerions vous offrir un verre… ou plusieurs.
Lui dis-je poliment avec un large sourire.
Vincent mon pote un blondinet rachitique un peu plus jeune que moi se tenait à mes côtés en la fixant la bouche ouverte, c’est à peine si la bave ne lui coulait pas sur les joues. Il esquissa un sourire gêné accompagné d’un clin d’œil… lubrique.
- Avec joie. je bois du cognac … et j’adore la compagnie de beaux jeunes hommes.
Répondit-elle naturellement en se trémoussant un peu sur son tabouret.
Nous fîmes connaissance, elle nous dit être avocate, divorcée … et constata amusée qu’en additionnant l’âge de mon collègue et le mien on était encore en dessous du sien. Ce qui nous permit de la couvrir de compliments et de réflexions flatteuses sur son physique, sa tenue … elle gloussait en se trémoussant en nous écoutant. Elle parlait fort en trempant sa langue dans son verre de manière très suggestive. Elle nous expliqua qu’elle venait d’une autre ville mais que de temps en temps elle s’offrait un petit weekend end coquin. Pour ce faire elle descendait dans un grand hôtel et puis partait à l’aventure (pour ne pas dire en chasse) Elle venait souvent dans cette salle de billard pour débuter la soirée car elle connaissait le barman et s’y sentait à l’aise et en sécurité... Elle nous parla aussi d’une discothèque où elle avait ses habitudes... Pour le deuxième verre elle nous proposa d’aller nous installer à une petite table au fond… sur une banquette. Je me risquai à lui effleurer le cul lorsqu’elle descendit du tabouret… elle me sourit sans rien dire… du coup, sans me poser de questions je lui ai collé une main au fesses bien franchement… malaxant doucement en avançant. Elle gloussait toujours et se retourna à nouveau pour me lancer un baiser et un clin d’œil.
Là je commençais à être surexcité… la proximité de cette superbe femme peu farouche, allumeuse, me faisait bander et vu la tête de mon ami, lui aussi l’aurait bien sautée tout de suite… mais il était presque muet, intimidé par cette ‘cougar’ hyper sexy qui se trémoussait comme une ado en chaleur devant nous et se laissait tripoter par des inconnus. Elle s’arrêta devant une table :
- Sérieusement vous me trouvez comment ? dit-elle d’une voix suave en se cambrant un peu
- Superbe et très attirante répondis-je sans hésiter.
- Et vous avez déjà fréquenté des femmes de mon âge ?
- Oui, très souvent… mais rarement aussi sexy que vous.
- Et ça ne vous gênes pas d’être vu en ma compagnie ? occupé à me draguer ?
- Que du contraire… ce serait un honneur de vous sortir…
- Tu es assez mignon et tu me parais aussi déterminé… coquin… et ton camarade je lui plais aussi ? dit-elle en fixant mon pote qui n’avait rien dit et qui la matait toujours la bouche ouverte, les yeux écarquillés….
- Euh … oui mmmm vous êtes splendide marmonna t il
- Tu m’as l’air beaucoup plus timide que ton ami… c’est mignon.
Elle se laissa glisser sur la banquette, j’étais assis à côté d’elle et la sentait se relâcher. Face à nous Vincent se trémoussait sur sa chaise… cherchant à reluquer sous la mini robe de notre chaude nouvelle amie qui ayant remarqué son cinéma écarta un peu plus les cuisses. J’en profitai pour poser ma main sur son genou… et remonter sur sa cuisse en la massant doucement. Elle sursauta, m’adressa un regard vicieux, ses grands yeux verts plongèrent dans les miens.
- Audacieux… hummmm prouvez moi ce que vous me disiez…. Que vous n’avez pas honte d’être avec une vieille… Me chuchota t elle
Je ne me fis pas prier. Je l’embrassai à pleine bouche tout en continuant à lui caresser les cuisses a travers ses bas. Elle répondit à mon baiser avec fougue, enroulant sa langue autour de la mienne … ses lèvres aspirant les miennes. Elle m’enlaça immédiatement … me caressant le dos à travers ma chemise. Mes mains se promenaient un peu partout sur elle. Vincent nous fixait, bien raide sur sa chaise, mi-gêné mi-excité… il n’était pas le seul à nous fixer… une bonne partie de la salle nous observait plus ou moins discrètement.
- Je pense qu’on pourrait passer de bons moments. me chuchota t elle collée à moi en me caressant la nuque.
Je la pris par la taille pour l’attirer encore plus contre moi. J’étais maintenant affalé sur la banquette une magnifique ‘cougar’ sur les genoux. Je lui murmurais les cochonneries qu’elle m’inspirait en lui léchouillant le cou tout en lui massant le ventre, les cuisses … Hyper docile elle s’était laissé faire et soupirait d’envie à chaque mot cru qu’elle m’entendait lui chuchoter à l’oreille… elle avait repris son verre et riait fort… tout en se laissant tripoter. Je sentais mon sexe durcir dans mon jeans, compressé qu’il était dans mon boxer. Je lui attrapai la main pour la poser discrètement sur la bosse de plus en plus visible. Elle se mit de suite a palpé ma queue sans ménagement, malaxant mon paquet, mes couilles et tout ce qui dépassait sans se poser de questions…. A travers mon pantalon qui allait exploser… je bandais comme un dingue excité par cette cochonne gourmande.
- Vous voyez que je ne bluffais pas… vous me faites beaucoup d’effet.
- Hummmm oui il me semble… et tu n’as pas honte de tripoter une vieille en public
- J’en ferais beaucoup plus si l’endroit s’y prêtait… lui dis je en tentant de glisser ma main sous sa robe sous les regards pervers de quelques mecs qui avaient remarqués notre cinéma.
- Il va falloir que l’on trouve un endroit plus intime… tant pis pour la discothèque.
- Moi je suis prêt à continuer où vous voulez jusqu’au petit matin à vous tripoter partout avec ma langue dans votre bouche et devant qui vous voulez….
Elle me fourra sa langue au fond de la gorge pour toute réponse pour un baiser goulu
- Mais ton ami ? me dit-elle en jetant un regard du coin de l’œil à Vincent qui ne bougeait plus son verre à la main.
- Il est- assez grand pour rentrer seul, ne t’inquiètes pas.
- Tu ne crois pas qu’il préfèrerait nous accompagner ?
- Heu… sans aucun doute… enfin si tu en as envie… moi ça me déranges pas.
- Si il a trop peur il n’aura qu’à mater… mais je me sens assez d’appétit pour vous dévorer tout les deux… on ne va pas l’abandonner le pauvre minet….
Elle se leva et vint se mettre devant Vincent, éberlué… elle se pencha vers lui, lui tenant la nuque… elle lui mordilla l’oreille avant de lui chuchoter je ne sais quoi qui le fit rougir. Puis elle posa un baiser mouillé sur ses lèvres se retourna et me lança en se trémoussant.
- Bon. on va baiser maintenant ?
La suite au prochain épisode si vous voulez connaitre les détails sur cette ‘cougar’ déchaînée….
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