Dans un sauna gay à Barcelona - histoire érotique

De nature discrète, bisexuel mais hors-milieu je me suis dit qu’il était temps pour moi de me «lâcher » niveau mec, j’ai donc pris la décision sur un coup de tête de partir à Barcelone durant un peu plus d’un mois, j’avais pris quelques infos et arrivé sur place je pouvais faire ma « chaudasse » et connaître ainsi tout le milieu gay connu sous le nom d’ Eixample ou Gayxample ou encore Shangay !! Au bout de mon séjour les sex-shops, discothèques bars et saunas n’avaient plus aucun secret pour moi sauf… dans les derniers jours avant mon retour pour la France, je décidais de me rendre dans un sauna que je n’avais encore pas fait, histoire de finir mon escapade en beauté, y apporter la touche finale en quelque sorte. J’arrive, paie mon entrée passe dans les vestiaires, une p’tite douche et je m’avance confiant et excité dans les couloirs et les étages de ce nouvel endroit que je découvre : quelques minutes suffirent pour enrager intérieurement, 12 euros pour me retrouver au milieu de 4 pelés quinquagénaires lubriques qui n’ont de cesse de me reluquer, me souffler dans la nuque et me frôler le dos de la main : tout ce dont j’ai horreur et avant que je ne pète les plombs sur l’un d’eux, je bloque net sur un mec plus jeune, la quarantaine bien tassée mais dans le style « vieux beau » qui n’est pas pour me déplaire : les cheveux noirs très courts, le visage carré, une barbe de 3 jours, le faciès quelque peu marqué de rides d’expression, le torse poilu entretenu, de larges épaules de sportif, et un peu de gras au niveau de la ceinture abdominale, bref : THE mec !!!! Typiquement hispanique le regard noir soutenu dans le mien si bien que je me surprend à détourner la tête, il a l’attitude de celui qui ne veut pas qu’on le dérange, j’ai bien-sûr entre aperçu quelque chose qui pendouillait entre ses cuisses mais sans vraiment regarder. Lui par contre ne se gênait pas pour mâter quand je me savonnais, je lui faisais dos, il avait une belle vue sur ma croupe, le temps de me sécher un peu et il a déjà disparu.

A l’étage, loin d’imaginer ce qui allait se tramer, blasé et frustré je reste quand même dans cet établissement quasi-désert, je m’assois la serviette autour de la taille dans un fauteuil en cuir rouge, il y a des magazines gayfriendly, des tracts publicitaires pour les soirées à venir… que je commence à feuilleter, je bave sur le corps de ces apollons couchés sur du papier glacé à défaut d’en avoir un dans la bouche ou sous la main, ici et maintenant. Quand soudain je vois
Le mec monter l’escalier se trouvant face à moi, je ne sais pas pour quelle raison il m’intimide, car au lieu de le déshabiller du regard, insolemment comme je le ferai en temps normal, je garde le nez dans mes lectures mais reste suffisamment distrait pour le regarder du coin de l’œil en traitre, déambuler face à moi et s’éloigner vers le jacuzzi. J’ai un temps d’arrêt et j’écoute ; j’entends la douche puis des mots étouffés par la musique et le bouillonnement de la piscine, enfin le bruit de quelqu’un qui va dans l’eau. Je veux en avoir le cœur net, s’il y a moyen de faire quoi que ce soit avec cette bombe sexuelle çà sera avec moi et avec personne d’autre, je vais pas laisser passer ma chance surtout pour me le faire piquer par un de ces vieux lubriques à la peau toute fripée, eeeuurrkk !! Je me dirige vers le jacuzzi et là, me faisant dos le mec est posé dans l’eau les bras de chaque côté des bords, mais le plus étonnant en face de lui, un couple de cinquantenaire qui s’embrassent … dans ce bassin rond trop petit mais avec suffisamment de place pour la 4e personne que j’étais, au début je me dit «il va s’en aller si je m’incruste » et puis finalement si le couple n’est pas dérangé d’avoir un 3e, il ne verra pas d’inconvénient à en avoir un 4e non plus ; je fais donc le pas décisif et prend une petite douche. Timidement, je sens qu’on m’observe mais m’avance, laisse tomber ma serviette et mes sandales taillée 44 puis entre enfin dans l’eau. J’ai une boule d’excitation dans le bas du ventre, tout les sens en éveil, l’envie furieuse d’être pris en main. Les genoux des uns côtoient ceux des autres, essayant de pas trop toucher mes voisins de droite qu’apparemment je laisse indifférent tant ils s’appliquent à se caresser et à s’embrasser amoureusement ; et à ma gauche, celui qui allait devenir mon mec pour une heure ou deux et qui me lance déjà des regards en coin dont je n’arrive toujours pas à interpréter. Une chose est sure je ne peux plus ni ne veux faire machine arrière, ce serait trop bête et illogique ! Je suis partagé entre la folle excitation d’aller plus loin tout de suite et celle de laisser faire les choses d’elle-même. Alors que le couple s’en va, un p’tit vieux maigrichon arrive dans l’eau prenant leur place, mon mec imperturbable la tête en arrière et les yeux fermés, bain bouillonnant se faisant, le vieux tend alors sa main vers lui et je devine qu’il le branle comme çà sans gène sous l’eau, le mouvement des « vagues » ne me donne aucune indication de ce qui s’y passe réellement ni si le mec est bandé, rien !! Le vieux tente une approche à mon égard, je fais « non » poliment accompagné d’un petit sourire et continue à observer ce petit manège quelques minutes. Le vieux s’active sous l’eau quand soudain, fronce les sourcils et forme sa bouche en un « O » qui veut tout dire.
Je devine très vite qu’il tient dans sa main un gros paquet, celui de mon apollon qui n’a pas l’air inquiet de se faire ploter par un fossile, je suis dégouté pour lui limite ! Je ne vais pas en rester là, je m’approche doucement et commence à lui caresser la cuisse et descend en soutenant le regard vers ce beau brun toujours les yeux fermés, brusquement il les ouvre et me fixe dans les yeux pour avoir la confirmation que c’est bien moi et replonge dans sa somnolence turgescente.

Et là j’écarquille les yeux, ce n’est pas possible, je tiens entre mes doigts un monstre de chair et de muscle, un pénis que même dans le plus chaud des films X je n’avais vu : 19cm sur 6, peut-être 7 de circonférence. Un petit gland comparé au mien mais à partir du frein l’engin s’élargit et atteint des dimensions hallucinantes, je le tiens dans ma main toute entière et pour bien me prouver que je ne rêve pas sur la grosseur du machin je serre cette queue bien forte, elle reste ainsi vigoureuse, belle, énorme !!! Je me mets à califourchon sur lui comme s’il voulait me pénétrer et la folle étreinte commence, il soulève le bassin je le suce du mieux que je peux, j’en ai tellement envie j’en ai mal à la mâchoire, on s’embrasse profondément nos langues se mélangent, la pipe tout comme le baiser ajoutés à l’eau qu’on ingère automatiquement décuplent ma libido, quand je suis au dessus de lui comme çà, la lumière rosée des spots aidant, je lui devine une grande ressemblance avec l’acteur Matthew Fox dans LOST-les disparus, cet acteur me rend dingue mais alors là, tombé sur quelqu’un qui lui ressemble à ce moment-là, c’est presque trop beau.. Je suis excité come une p’tite salope, il titille mon trou sous l’eau et y met un doigt, c’est bien la seule chose qu’il pourra mettre, son engin est beaucoup trop gros… et comme il est actif on en restera là, je me retourne, me couchant sur le rebord lui laissant à loisir de me lécher la chatte suintant de désir, les bulles du jacuzzi, l’ambiance fiévreuse… je ne me contrôle plus, un vrai sauvage, une bête assoiffée de sexe, j’en veux toujours plus, sa bouche, son cul, sa bite, ses cuisses galbés putain quel plan de folie !!
Jamais je n’aurai imaginé vivre quelque chose d’aussi intense à ce point. Pour finir, il s’assied sur le rebord laissant les couilles tomber dans l’eau que je m’empresse de gober toutes entières, deux putains de belles couilles rasées bien formées dans leur sac, je continue à lécher la tige, le gland, je le branle, je le suce, je le branle, je gobe plus qu’à l’accoutumée son braquemard surdimensionné (il a dû joué dans un porno ce mec, c’est presque pas possible !!) , je sens qu’il vient, il garde les yeux fermés et écarte les cuisses, je lui mets un doigt et le branle en même temps, je le fais redescendre dans l’eau pour le finir a la main il éjacule trois grands coups, je les confonds avec les jets d’eau mais quand j’y goute de plus près je me rends bien compte qu’il s’agit de ce nectar si connu.

Tout se termine très vite, nous passons à la douche, il est 6h du matin j’ai encore du chemin à faire pour arriver à la station de métro la plus proche et déjà nous nous séparons. En relisant ce texte, je me rappelle précisément du moindre moment passé avec l’Apollon et je mouille déjà de partout !