Danse, l’accomplissement du désir - histoire érotique

« Hâtons-nous de succomber à la tentation, avant qu'elle ne s'éloigne. »Epicure. Et oui, la tentation, on aime, on adore. Mais ce qui est vraiment bon dans la tentation, n’est-ce pas tout simplement d’y céder ? La tentation, le désir, des mots qui font frémir. Bien qu’ici on parle pluS d’une pulsion, c’est-à-dire d’un appétit soudain qui exige impérativement d’être assouvie et qui ne veut se plier à aucune règle… Alors me voilà de retour pour vous raconter la suite de mes aventures avec le charmant Francesco…
Pour se mettre dans l’ambiance, je vous propose d’écouter cette fois, une bachata, une danse qui nous vient directement de la République Dominicaine et qui cartonne dans notre beau pays, par sa chaleur et sa douceur. Pour cela, je vous propose le groupe Xtreme, chanson : te extraño (pour ceux qui ne connaissent pas du tout, vous pouvez regardez la video du même nom des danseurs Ataca y la alemana).

Je me prépare en musique bien sûr, avec une petite chanson, tranquille (lamento boliviano), ce soir, « je me le fais ». J’attends ça depuis maintenant quinze jours, c’est décider ce soir, je lui mets le feu. Pour ça, je prépare la totale. J’éclaircis la blondeur de mes cheveux, je me fais une manucure et pédicure, ongles rouge. Un peu de blush bon mine, un léger coup de crayon, du mascara, et un gloss rouge évidement. J’en profite aussi pour me faire de jolies anglaises, qui se fondent dans le style de ma robe, blanche et noir, moulante, plutôt courte et cintré bien sur, avec un petit dos nus légèrement recouvert par mes cheveux. Ma copine Laure arrive, une jolie blonde elle aussi aux yeux bleus, en pantalon moulant avec un haut blanc transparent assez outrageant, tenu par une petite ceinture qui laisse voir se dessiner son dos tout entier. Quand elle bouge, c’est juste incroyable, une ondulation qui va tous les laisser fou !!

On sort dans un nouveau bar, latino bien sûr ! Ce soir, les même musiques : merengue, kizomba, salsa et bachata !C’est là que Francesco arrive… Les cheveux tressés cette fois, un petit jean moulant, et sous son pull, un marcel blanc qui fait ressortir ses muscles saillants aux couleurs du soleil !Directement, il vient vers moi, m’embrasse à moitié sur la joue à moitié sur la lèvre (sans doute suite à nos échanges de sms qui ont laissé monter le désir…) puis il nous offre un verre. Après quelques gorgées, l’envie de danser est irrésistible, il le sent, il le voit dans mes yeux qui déjà pétillent de désir. Il me descend de la chaise de bar, m’attrape par la taille et m’emmène telle une princesse sur la piste de danse.
Après quelques déhanchés plutôt torrides, et quelques mots doux susurrer à l’oreille, il me propose de me raccompagner. Je saisis l’occasion sans hésiter.

En arrivant chez moi, il m’embrasse fougueusement, et me dis : « toi, je sens que t’es une coquine… » Il ne se trompe pas vraiment, je pense qu’il ne va pas être déçu du voyage !! Il entre et voit directement mes draps en satin noir avec l’édredon en satin rouge et là, il me glisse un petit « hummm » à l’oreille. Puis il a collé sa bouche sur la mienne et mis directement sa main entre mes cuisses. (j’adore quand les choses sont directs, il va droit au but et j’adore !)Ses doigts ont commencé à caresser mon sexe par-dessus le tissu déjà humide de ma culotte. J’étais très excitée, depuis le temps que j’attendais ce moment et j’ai voulu accéléré les choses, les prendre en main !

J’ai défait les boutons de son jean et j’ai glissé ma main sous son boxer. Vu la bosse formée par par son boxer, je sentais que j’allais me régaler. Son membre bien dur, je le rêvais déjà alors je me suis emparée de son sexe que j’ai commencé à le caresser de haut en bas. En n’oubliant pas d’attraper ses boules entre mains. C’est la qu’il ma demandé :
- Tu ne veux pas la gouter ?
Je n’ai pas hésité une seconde, mon envie de lui faire plaisir était telle. J’ai approché mes lèvres et j’ai lentement fait glisser sa tige dans ma bouche centimètre par centimètre. Le gout de son sexe sur ma langue, un régal, et je me suis occupée de sa friandise avec gourmandise. Mais je crois que ce que j'aime le plus c'est l'image de moi avec une queue dans la bouche... Soudain il a attrapé mon visage et il m’a imposée un rythme plus rapide. J’adore qu’il me prenne ainsi, comme son jouet, comme sa salope. Il m’a interrompue et m’a jetée sur le lit.

Et là, je ne sais pas pourquoi, d’habitude je ne fais jamais ça, mais je me suis directement mise à quatre pattes, j’avais envie qu’il me prenne, sentir tout son corps, et surtout som membre bien au fond de ma ptite chatte encore toute serrée. L’idée l’a séduit, et j’ai senti sa langue titiller mes petits trous, ses doigts me pénétrer la chatte et l’anus aussi. Avec de temps en temps une petite tape sur la fesse (vous savez, ces petites tapes timides dès début de relation, pour tester le partenaire : elle aime, elle aime pas ?je pense qu’il a vite compris que je n’avais pas aucun problème avec ça…) je lui caressais les bourses en mm temps). A quatre pattes, comme une chienne, j’ai relevé la tête, j’ai bien écarté mes cuisses en me cambrant autant que je le pouvais. Et c’est là, qu’ill s’est agenouillé derrière moi puis il a empoigné mes hanches. J’ai senti son membre gonflé glisser le long de ma fente jusqu’à trouver l’entrée de mon sexe brulant. Je l’ai senti glissé le long des parois de mon vagin jusqu’à m’emplir complètement.

Je pensais qu’il allait aller lentement mais non, il m’a labourée comme un fou. Mes fesses claquaient contre son bas ventre et mes seins ballotaient dans tous les sens. Je gémissais, je n’arrêtais pas de jouir et ma cyprine ruisselait le long de mes cuisses. C’était tellement bon. Et puis tout à coup il a retiré son membre de mon sexe trempé et il a appuyé son gland contre ma grotte. Avant que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit, il a introduit son engin dans mon anus. Personne ne s’était encore aventuré là et cette première pénétration a été un peu douloureuse. Sa bite pleine de cyprine s’est insinuée lentement jusqu’au fond de mon petit trou. Mon partenaire a entamé une sodomie lente et délicate, comprenant que c’était ma première fois. Tout doucement la douleur s’est estompée et une puissante sensation de plaisir m’a envahie. C’était trop bon, jamais je ne me serais doutée qu’un rapport anal pouvait procurer autant de plaisir.

Voyant que ma grotte s’ouvrait un peu plus à chaque mouvement, il a accéléré le rythme. Je prenais un pied pas possible. Les parois de mon vagin n’arrêtaient pas de se contracter à chaque fois que je jouissais. Tout à coup, dans un ultime coup de rein, mon partenaire a déversé sa semence bien au fond de mon trou tout dilaté. Nous nous sommes embrassés, avons pris une douche, remis ça dans la douche. Et en sortant, nus dans les draps froids en satin, j’étais tellement remplie de désir que je me suis remise à l’attaque.. Je lui ai sauté dessus, jusqu’à me faire jouir au plus profond de moi-même, je sentais les orgasmes qui s’enchainaient et je ne pouvais plus m’arrêter, lui non plus. Autant vous dire, que la nuit a été très courte. Il avait une capacité de récupération que pour ses 31 ans, j’ai trouvé remarquable, je me suis faite défoncée toute la nuit et je rêve déjà à la prochaine. Voici, un guadeloupéen que je ne suis pas prête d’oublier avec son sacré coup de rein et son corps parfait de bad boy de banlieue, waouu je kiffe ce mec, même si ce n’est que purement physique, la connexion est là et il risque d’y avoir de nombreuses histoires à suivre…
Pour conclure, je dirais donc qu’en effet, « Je peux résister à tout, sauf à la tentation. » (Merci Oscar !)