Le départ
Récit érotique écrit par May [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le départ
C’est la fin des vacances et me voilà à Paris à peaufiner les derniers préparatifs avant mon départ au Mexique. Je revois un de mes meilleurs amis (un ex d’il y a 9 ans avec qui je m’entends hyper bien…) qui vit à Paris et avec qui j’ai accidentellement couché pendant l’été alors que rien ne s’était passé depuis des années. Ça tombe bien, c’est ma dernière semaine en France et lui ne travaille pas, rien de mieux qu’une bonne semaine entre amis pour peaufiner la mutation, faire les derniers achats et profiter encore un peu de notre belle capitale. Il s’appelle Nik.
Un soir, on décide de se faire une soirée Mojitos, c’est parti !!Il m’emmène boire des mojitos à l’azote liquide… un vrai délice les meilleurs mojitos de ma vie ;) Après deux mojitos, je suis toute gaie, lui aussi. Il me raccompagne chez ma sœur lesbienne qui habite en banlieue et qui actuellement est en vacances dans le sud avec sa dulcinée.
Arrivé à l’appartement, on se met un peu de musique, on se sert une petite bière, on allume une clope et naturellement, comme si de rien n’était on s’embrasse sur le canapé. Il est doux, avec lui, je me sens toujours bien, en confiance. Il est grand, élancé, les cheveux mi- longs, blonds vénitiens, un sourire à faire craquer et des lèvres qui appellent aux bisous passionnés. Il m’enlace et je me colle à lui. Il dépose de légers baisers dans mon cou et je sens le désir monté. Doucement, il détache mon chemisier, dégrafe mon soutien-gorge rouge, les fait glisser, et continue ses baisers langoureux, autour de mes seins, de mes tétons en me caressant le cou. Je lui ôte aussi sa chemise hawaïenne qui lui confère ce style si spéciale, si déroutant qu’il ne peut vous laisser indifférent. Nos corps sont chauds et le dernier obstacle doit disparaitre au plus vite. Avec précipitation, j’enlève ma jupe et lui son pantalon, les deux, nous sentons le besoin de ne plus avoir le moindre bout de tissu qui puisse séparer nos deux corps brûlant de désir.
Une fois nus, mes tétons durs comme jamais se frottaient à son torse, et mon pubis venait se coller à son sexe déjà bien dur. Nos bouches se cherchaient et se perdaient dans le cou l’un de l’autre, derrière l’oreille, sur la clavicule, l’intérieur d’un poignet… Comment faisait-il pour connaitre mes endroits les plus sensibles et qui immanquablement allait m’amener à me redécouvrir intégralement. Il me mettait à nu, toute mon âme et mon corps était à sa merci, les plaisirs de la chair paraissent soudain s’envoler et les liens qui nous unissent fustigent. Je n’étais pas amoureuse de Nik mais j’avais besoin qu’il m’ouvre les portes d’un univers que je m’étais toujours refusé à explorer. Mi- assise, mi- allongée sur le canapé, les jambes pendantes dans le vide, il parcourt tout mon corps de caresses ou plutôt d’effleurements du bout des doigts que je ressens comme autant de décharges électriques sur ma peau. Sa dextérité était unique, je ne l’avais jamais connu avec un autre homme auparavant ni avec aucune femme d’ailleurs.
Sa bouche finit par quitter le haut de mon corps pour parcourir, par petites touches le reste de ma peau en évitant à dessein les zones érogènes. Malgré ça, je commençais à mouiller plus que d’habitude. Nik s’en rendit compte et avait l’air d’apprécier, au fur et à mesure de ses effleurements et de ses caresses avec la pulpe de son majeur, il constatait que l’auréole qui se formait entre mes cuisses augmentait régulièrement. Il en voulait plus. Il voulait que je lui dise de toucher des zones plus érogènes, de pénétrer son doigt au fond de mon vagin pour revenir vers mon clitoris dont la dureté de l’érection se faisait chaque fois plus forte.
Ces préliminaires étaient juste divins, mais c’était un supplice, j’avais envie de le sentir en moi mais il continuait ses investigations tactiles en y ajoutant çà et là de petits baisers des plus exquis. Mes seins furent les premiers à être honorés par ses lèvres succulentes, sa langue est venue ensuite parcourir mes aréoles et ses lèvres aspirer mes tétons que je n’avais jamais sentis aussi durs. En même temps, son majeur écartait les lèvres de mon sexe qui étaient ruisselantes de mon liquide intime. Il montait et descendait, je le sentais arriver à mon clitoris mais comme intimidé il s'en éloignait immédiatement pour y revenir la seconde d'après. Je sentais l'orgasme monter, je mouillais de façon plus abondante à chaque fois et rien n'y faisait, ce doigt pervers ne s'arrêtait pas.
Sa bouche en revanche avait quitté mes seins et descendait, lentement sur mon torse, mon ventre, faisant une pause sur mon nombril pour le forer d'une pointe mutine et enfin je la sentais arriver à ma toison en même temps que son index et son pouce prenaient mon clitoris entre eux. Je n'en pouvais plus, mon corps se tordait comme traversé par mille décharges électriques. L'orgasme était enfin là, attendu mais dont l'intensité était redoutée, je n'en avais jamais eu de pareil et j'éjaculais un liquide à plusieurs centimètres de ma vulve. Cela ne m'était jamais arrivé auparavant !!!C’était impressionnant…
Nous avons tous deux explosés de rire tellement pris de stupéfaction par ce phénomène tout nouveau pour moi et puis, il m’a dit : « tu es une femme fontaine chérie ! On continue ? » Je pense que mon expression lui suffit pour comprendre la réponse. Il a immédiatement absorbé mes lèvres, mon clitoris pour le sucer comme un bonbon. Et ces doigts ont continué leur travail, les orgasmes se sont succédés tels des déferlantes. Je n’avais qu’une envie que ça continue encore et encore, je voulais que lui aussi éjacule, il était bien évidement prêt, et dans ce flot aquatique, il ne lui a pas fallu longtemps pour mélanger sa semence à la mienne. Un vrai délice … et dire que deux jours après, je m’envolais pour le Mexique … en espérant bien évidement que là-bas, je vivrais peut-être d’autres expériences aussi savoureuses…
Un soir, on décide de se faire une soirée Mojitos, c’est parti !!Il m’emmène boire des mojitos à l’azote liquide… un vrai délice les meilleurs mojitos de ma vie ;) Après deux mojitos, je suis toute gaie, lui aussi. Il me raccompagne chez ma sœur lesbienne qui habite en banlieue et qui actuellement est en vacances dans le sud avec sa dulcinée.
Arrivé à l’appartement, on se met un peu de musique, on se sert une petite bière, on allume une clope et naturellement, comme si de rien n’était on s’embrasse sur le canapé. Il est doux, avec lui, je me sens toujours bien, en confiance. Il est grand, élancé, les cheveux mi- longs, blonds vénitiens, un sourire à faire craquer et des lèvres qui appellent aux bisous passionnés. Il m’enlace et je me colle à lui. Il dépose de légers baisers dans mon cou et je sens le désir monté. Doucement, il détache mon chemisier, dégrafe mon soutien-gorge rouge, les fait glisser, et continue ses baisers langoureux, autour de mes seins, de mes tétons en me caressant le cou. Je lui ôte aussi sa chemise hawaïenne qui lui confère ce style si spéciale, si déroutant qu’il ne peut vous laisser indifférent. Nos corps sont chauds et le dernier obstacle doit disparaitre au plus vite. Avec précipitation, j’enlève ma jupe et lui son pantalon, les deux, nous sentons le besoin de ne plus avoir le moindre bout de tissu qui puisse séparer nos deux corps brûlant de désir.
Une fois nus, mes tétons durs comme jamais se frottaient à son torse, et mon pubis venait se coller à son sexe déjà bien dur. Nos bouches se cherchaient et se perdaient dans le cou l’un de l’autre, derrière l’oreille, sur la clavicule, l’intérieur d’un poignet… Comment faisait-il pour connaitre mes endroits les plus sensibles et qui immanquablement allait m’amener à me redécouvrir intégralement. Il me mettait à nu, toute mon âme et mon corps était à sa merci, les plaisirs de la chair paraissent soudain s’envoler et les liens qui nous unissent fustigent. Je n’étais pas amoureuse de Nik mais j’avais besoin qu’il m’ouvre les portes d’un univers que je m’étais toujours refusé à explorer. Mi- assise, mi- allongée sur le canapé, les jambes pendantes dans le vide, il parcourt tout mon corps de caresses ou plutôt d’effleurements du bout des doigts que je ressens comme autant de décharges électriques sur ma peau. Sa dextérité était unique, je ne l’avais jamais connu avec un autre homme auparavant ni avec aucune femme d’ailleurs.
Sa bouche finit par quitter le haut de mon corps pour parcourir, par petites touches le reste de ma peau en évitant à dessein les zones érogènes. Malgré ça, je commençais à mouiller plus que d’habitude. Nik s’en rendit compte et avait l’air d’apprécier, au fur et à mesure de ses effleurements et de ses caresses avec la pulpe de son majeur, il constatait que l’auréole qui se formait entre mes cuisses augmentait régulièrement. Il en voulait plus. Il voulait que je lui dise de toucher des zones plus érogènes, de pénétrer son doigt au fond de mon vagin pour revenir vers mon clitoris dont la dureté de l’érection se faisait chaque fois plus forte.
Ces préliminaires étaient juste divins, mais c’était un supplice, j’avais envie de le sentir en moi mais il continuait ses investigations tactiles en y ajoutant çà et là de petits baisers des plus exquis. Mes seins furent les premiers à être honorés par ses lèvres succulentes, sa langue est venue ensuite parcourir mes aréoles et ses lèvres aspirer mes tétons que je n’avais jamais sentis aussi durs. En même temps, son majeur écartait les lèvres de mon sexe qui étaient ruisselantes de mon liquide intime. Il montait et descendait, je le sentais arriver à mon clitoris mais comme intimidé il s'en éloignait immédiatement pour y revenir la seconde d'après. Je sentais l'orgasme monter, je mouillais de façon plus abondante à chaque fois et rien n'y faisait, ce doigt pervers ne s'arrêtait pas.
Sa bouche en revanche avait quitté mes seins et descendait, lentement sur mon torse, mon ventre, faisant une pause sur mon nombril pour le forer d'une pointe mutine et enfin je la sentais arriver à ma toison en même temps que son index et son pouce prenaient mon clitoris entre eux. Je n'en pouvais plus, mon corps se tordait comme traversé par mille décharges électriques. L'orgasme était enfin là, attendu mais dont l'intensité était redoutée, je n'en avais jamais eu de pareil et j'éjaculais un liquide à plusieurs centimètres de ma vulve. Cela ne m'était jamais arrivé auparavant !!!C’était impressionnant…
Nous avons tous deux explosés de rire tellement pris de stupéfaction par ce phénomène tout nouveau pour moi et puis, il m’a dit : « tu es une femme fontaine chérie ! On continue ? » Je pense que mon expression lui suffit pour comprendre la réponse. Il a immédiatement absorbé mes lèvres, mon clitoris pour le sucer comme un bonbon. Et ces doigts ont continué leur travail, les orgasmes se sont succédés tels des déferlantes. Je n’avais qu’une envie que ça continue encore et encore, je voulais que lui aussi éjacule, il était bien évidement prêt, et dans ce flot aquatique, il ne lui a pas fallu longtemps pour mélanger sa semence à la mienne. Un vrai délice … et dire que deux jours après, je m’envolais pour le Mexique … en espérant bien évidement que là-bas, je vivrais peut-être d’autres expériences aussi savoureuses…
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