De maître à esclave - histoire érotique

J'écris aujourd'hui mon histoire depuis mon bureau. L'anus bouché par un buttplug le cou contraint par un collier en cuire et ce qu'il reste de mon pénis dans une petite cage de chasteté. Ma femme étant parti chez l'un de ses amants j'en profite pour partager mon expérience.


En effet je ne fut pas toujours traité ainsi. Lors de ma première année de relation avec Jeanne. C'était moi qui dominais et cela lui convenait très bien. Lors de nos baises elle m'appelait maître et m'obeissait au doigts et à l'oeil. Je la traînait en laisse, la baisant dans toute les positions imaginables. Je pratiquais quelque cunni pour lui faire plaisir mais c'était surtout sa bouche qui était utilisé lors de nos préliminaires. Néanmoins malgré l'immense plaisir que je prenais lors de nos ébats j'étais curieux et plutôt attiré par la soumission. L'idée de perdre le contrôle m'excitait beaucoup. Ma compagne c'était déjà aventuré a quelque anulingus et doigt ce qui avait éveillé en moi un certain attrait pour ce nouveau plaisir. Évidemment je n'avais rien laissé paraître car je ne voulais pas une fois ma virilité fragilisé qu'elle se désintéressé de moi.


Tout commença réellement lorsque Jeanne me proposa de m'acheter un plug pour essayer d'aller plus loin. Cela étant l'un de mes fantasmes je ne put résister et j'acceptais comme si c'était pour lui faire plaisir. Une fois reçu le plug servi plutôt à sur elle car je redoutais ce moment où j'allais devoir me dévoiler à celle que j'aime et qui me pense pleinement dominant. L'envie de faisant de plus en plus grande je pris les choses en mains et l'a mise au défis " si tu jouis dans les 30 secondes la prochaine fois je porterais le plug". Évidemment comme prévu elle a jouit en moins de 10 secondes.


La fois suivante je fus mélanger d'appréhension et d'excitation avant de commencer je lui ai précisé que même avec un plug je restais le dominant ce qu'elle acquiesça avec un léger sourire. D'abord nous nous sommes embrassé elle est descendu pour me sucer puis m'a fait le meilleur anulingus de l'histoire accompagné de quelque doigts qui on largement suffit a me détendre totalement. Ensuite en douceur a enfonça le plug jusqu'à la garde ce fut un immense mélange de douleur et de plaisir. Voyant immediatement les effets elle se remis à me sucer a me branler tout en bougeant légèrement le plug. Moi qui n'avait jamais jouis sans pénétration je jouissait pour la première fois de 5 puissants jets dans sa bouche a l'époque si docile.


Jeanne, ravie ne tarda pas a renouveler l'expérience cette a fois si sans me branler mais en s'empalant sur ma queue raide comme jamais. Là encore je ne tardais pas à jouir. Les fois suivante ressemblait a celle là et je sentais peu a peu mon emprise de dominant s'effacer dans mes gémissement. Une fois je voulus la renverser pour la baiser en missionnaire comme avant mais elle m'arrêta une main sur mon torse l'autre sur le plug menaçant de l'arracher d'un coup en cas de mouvement. Je vis a son sourire qu'elle avait remporté une nouvelle victoire. Elle ne m'appelais plus maître et avait même tendance a m'interpeller avec des phrases qui était jusque là les miennes " tu aimes ça hein !".


Après un certain nombre de baise en cavalier je me disais donc qu'il faudrait que malgré le plug je retourne dans une position dominante je pris alors les devant pour aller en missionnaire. Néanmoins elle a le bras suffisamment long pour attraper le plug et me masturber avec, ce qui la met a nouveau en position dominante. Dès lors je semblait condamné a perdre mon autorité. Je tentais à plusieurs reprise de la baiser sans plug mais elle arrivait toujours à me le mettre ( Sans beaucoup de résistance de ma part je l'avoue .) Mais une nouvelle phrase fit basculer mon couple. Suite a une baise, encore dans le flou du plaisir je lui ai dis que le plug avait éveillé en moi un côté soumis et que quand j'étais au sommet de l'excitation j'avais l'impression qu'elle pouvait faire ce qu'elle voulait de moi. Ma confession affirmation ce qu'elle devait déjà penser, elle en profita dès la fois suivante.


En effet la semaine suivante elle m'amena au bord de la jouissance puis s'arrêta d'un coup. " Tu mets le collier où on arrête". Choqué je la fis répéter avant de refuser catégoriquement car là où le plug pouvait n'être qu'un objet de plaisir un collier en cuire noir fait a la base pour les chiens était clairement un signe d'appartenance. Elle arrêta donc tout acte me disait que elle avait déjà jouis donc qu'elle pouvait bien me laisser attendre. Je menaça de me branler ceux a quoi elle répondit de manière simple: " tu te branle c'est un mois sans rien du tout". Voyant qu'elle n'avait pas l'air de rigoler je resta avec ma frustration. En lendemain elle me chauffa encore et encore, suçant comme une deesse, mon plug et ma queue était trempé d'excitation mais encore une fois a moment de l'extase final " Tu mets le collier où on arrête". Je lui ai demandé quand est ce qu'elle allait arrêter avec ça et enfin me laisser jouir tranquille. Elle me répondit tout aussi clairement. " Quand tu auras ce collier de chien autour de cou". J'hésitais un instant mais dans l'excitation je finis par accepter. Elle prit le collier qu'elle avait judicieusement placer sous l'oreiller l'air de dire qu'elle savait déjà que j'allais accepter. Elle me passa le collier au cou le serra au maximum et avec un grand sourire. Énonça une phrase que je lui avait dit de très nombreuses fois: " bon toutou" j'étais sur le point d'arracher le collier quand elle se mis a me chevaucher comme jamais au paravent. Une main sur mon torse une autre sur le plug je pu enfin jouir dans un grand gémissement. Jeanne s'allongea je me mis sur son épaule et elle me gratta la tête d'une main comme elle l'aurait fait pour son nouveau chien.

A suivre ...