De voyeur à caudaliste, il n’y a que quelques pas… Episode 4
Récit érotique écrit par LUIS35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De voyeur à caudaliste, il n’y a que quelques pas… Episode 4
Fidèle à nos habitudes, nous sommes restés bien sages entre nous pendant un moment. Mais l’idée de la voir se faire mettre par un autre mec était devenu obsessionnel. Après tout, elle m’avait avoué avoir pris un gros kif la dernière fois surtout quand le mec lui a tout lâché sur la bouche et qu’elle m’a senti me déverser dans le fond son cul. Mais non, elle n’en démordait pas, elle voulait bien sucer des bites, elle adorait faire jouir des mecs, mais la pénétration, c’était juste avec moi.
J’ai donc fais mine d’acquiescer à sa règle du jeu et je lui ai proposé de retourner au club libertin. J’ai volontairement choisi une soirée mixte, non réservée aux couples mais sans le lui préciser. Arrivés au club, je lui ai proposé d’aller essayer la partie humide que nous n’avions pas testé la dernière fois. Lorsque nous somme rentrés dans le jacuzzi, elle a évidemment remarqué qu’il y avait beaucoup d’hommes seuls et peu de couples. On s’est installés dans un coin et elle m’a dit : Tu aurais pu me prévenir, ce n’est pas le même genre de soirée! Ne sachant que lui répondre, je l’ai embrassé et j’ai commencé à lui peloter les seins. Une fois encore ses mamelons se sont érigés. Toi qui aimes que l’on te mate, te voilà servi, je lui susurre à l’oreille. Et en effet, j’ai vu plusieurs mecs commencer à regarder dans notre direction, certains avec leur main dans l’eau et ne laissant que peu de doutes sur leur activité ! Mon pelotage en règle était en train de faire de l’effet et moi-même je commençais à sentir mon sexe se déployer. Ma chérie s’en saisit pendant que mes doigts s’insinuait entre ses cuisses. Je sentais le mec à côté de moi se rapprocher de nous. Voyant qu’on réagissait pas, il est venu se mettre en face de nous pour se branler. Ma meuf l’a regardé d’un air amusé. Prenant cela pour un encouragement, il s’est mis debout pour lui présenter sa bite. Ma chérie lui a fait non de la tête, il faut dire qu’avec sa petite bite et son ventre bedonnant, il n’était pas très appétissant. Je voyais d’autres mecs se rapprocher dangereusement et comme je sentais qu’elle n’était pas vraiment prête à un gang bang dans le jacuzzi, je lui ai pris la main et nous sommes sortis pour nous diriger vers le hammam.
Il y faisait très sombre et il y avait comme un attroupement avec les cris d’une femme qui semblait prendre cher. On s’est assis dans un coin, en attendant que notre vue s’habitue à la quasi obscurité. Puis nous sommes rapprochés du feu de l’action. Il y avait une femme de forte corpulence qui s’en prenait par tous les trous et des dizaines de mains sur son corps. Toi qui aimes regarder, c’est à ton tour d’être servi et je vois que ça te fait de l’effet mon cochon me dit-elle en chopant mon sexe bien tendu. On me touche aussi de partout a t-elle rajouté. Laisses-toi un peu faire, je lui répondis. Je sentais des mains qui explorait son corps pendant qu’elle s’agrippait à mon cou. Elle avait des mains partout sur son sexe, sur son cul, sur ses seins et comme elle se collait à moi je sentais des mains qui s’immisçait entre nous me touchant aussi la bite et les couilles, je bandais comme un âne… Elle se laissait faire en m’embrassant. Par contre, elle ne les touchait pas en gardant ses deux mains sur moi. J’ai senti qu’elle était en train de se faire vigoureusement branler et quelqu’un était venu derrière moi pour me faire subir le même sort. Au moment où je me demandais si c’était un mec ou une nana qui m’astiquait ainsi, j’ai senti le corps se rapprocher et une bite bien raide se coller entre mes fesses. Cela devenait trop chaud et je ne voulais pas que ma chérie s’aperçoive à quel point cela me faisait de l’effet. Un vieux fantasme homosexuel qui remontait. Il faut dire que voir des belles bites bien raides m’a toujours excité même si je ne suis pas vraiment bi…
Je lui proposais donc de sortir de ce lieu de folie et d’aller se réfugier dans une alcôve au calme…
La dernière fois, j’avais repéré un endroit avec une vitre que l’on pouvait occulter avec un rideau. J’espérais que ce soit disponible. Ma chérie allait adorer…Bingo! Ce n’était pas occupé ! Je lui ai dis de s’allonger face à la vitre et de se branler ce qui n’allait pas manquer d’attirer le chaland, d’autant qu’une ouverture au-dessus de la vitre permettait d’entendre ce qui se passait à l’intérieur. Ce qui n’a pas manqué d’arriver arriva : 5 hommes et un couple se sont agglutinés devant la vitre. Je remarquais un homme noir, grand et musclé qui semblait bien intéressé. Je prend les seins de ma chérie et recommence un tirage en règle, je sais qu’elle ne sait pas résister à ce traitement entre plaisir et douleur. Je vois des sexes apparaître et notamment la queue d’ébène qui prend du volume. Je décide de passer à la vitesse supérieure et de jouer à un petit jeu de soumission qui jusqu’à présent était resté dans notre vie privée. Mais ce soir, il y a des voyeurs. Tourne toi lui dis-je, tu n’as vraiment aucune pudeur de t’exhiber ainsi. Tu mérites d’être punie. Relève ton cul qu’ils puissent en profiter et voir la fessée que tu mérites. Le cul tourné vers les mateurs, en position d’offrande, la garce se laisse faire. Écartes mieux tes jambes que l’on puisse voir ta vulve humide. Et effectivement, elle était luisante de mouille. La première claque s’abat sur sa fesse droite, la deuxième sur la gauche. Et je recommence l’opération. Ma chérie gémit, ses fesses rougissent. De se sentir ainsi fessée en public, l’abricot de la petite coquine dégouline. Nous n’avons jamais été aussi loin dans la perversité. Je décide de porter l’estocade en lui claquant à plusieurs reprises le sexe, martyrisant son clitoris érigé. Elle pousse un cri et s’écoule sur le matelas. C’est là que je vois devant elle que la cloison est percée et que des belles bites bien raides n’attendent que d’être prise en main et en bouche. Je remarque immédiatement la plus impressionnante. Certainement celle du black que j’avais repéré. Le mandrin est de belle taille, un véritable gourdin.
Regarde ma chérie, voilà un bel hommage. Sauras-tu l’honorer ? Je ne sais pas me dis-t-elle, elle est vraiment très grosse. Hé bien vas-y profites en, tu ne risques rien. Elle s’est approchée de cette queue d’ébène pour la prendre en main, elle en faisait difficilement le tour. Je sais qu’elle ne pourra pas résister à la mettre en bouche. Avec d’infinies précautions, elle se mit à le lécher comme un sucre d’orge, ce qui fit gonfler encore plus ce monumental pieu. Je comprenais mieux le sens de bois d’ébène. Elle n’arrivait pas à le mettre en bouche, le gland était énorme. Comme elle n’y arrivait pas, la queue disparut de ce sorte de glory hole et j’entendis frapper à la porte. C’était notre ami black qui voulait rentrer. Visiblement, elle me laisser mener le jeu, je lui dis : ok, mais tu te contentes de regarder. Je fermais précipitamment la porte car il y avait du monde derrière qui voulait en profiter.
Ma petite garce n’était pas rassurée, je lui dis de venir me sucer pendant que notre voyeur s’astiquait derrière elle. Ce mec avait vraiment une très belle bite et je voulais que ma petite salope se la prenne. Que tu veuilles ou pas, tu vas te la prendre, je me suis dis. Par petit signe, je lui ai fait comprendre de la choper pour lui bouffer le minou. Avant qu’elle ait eu le temps de réagir, le mec avait déjà le nez dans son entre-jambes. Je lui tenais la tête pour qu’elle continue à me bouffer la queue, histoire qu’elle ne résiste pas. Visiblement, elle avait pris goût à notre jeu de soumission. Et après tout, ce n’était qu’une langue qui s’immisçait en elle, cela ne dépassait pas la règle qu’elle avait fixée. Je décidais d’arrêter la fellation car j’étais au bord de l’explosion. Ma coquine gémissait comme une chienne chaleur, il savait vraiment y faire le salaud. Surtout quand je l’ai vu remonter un peu vers le haut des fesses, j’ai compris qu’il était en train de lui bouffer le cul et là je savais qu’elle serait prête à tout. Je me glissais sous elle pour lui sucer le clito et je montrais à notre ami du soir un préservatif. C’était le moment ou jamais. J’occupai ma chérie a coup de langue et de doigts jusqu’au moment où je vis l’énorme pieu de chair se rapprocher. Je me retirais précipitamment pour me mettre devant elle et lui tenir les bras. Ho n’on dit-elle, on n’avait dit pas ça… Mon cheri, Il est trop gros, dis lui d’arrêter, ho il rentre, doucement! Voyant qu’elle ne résistait plus, je me suis mis à côté pour voir cette grosse queue l’écarteler. À ma grande surprise, il l’avait déjà mise bien profond et commençait à la limer. Ma petite garce dodelinait de la tête en faisant des drôles de bruits, elle hoquetait. Je suis repassé devant elle et je l’ai obligé à se redresser en mettant sa tête contre mon épaule et en passant ses bras autour de mon cou. Mister big cock l’a attrapé par les hanches et a commencé à la pilonner. Il me remplit me dit-elle, il me cogne au fond, c’es bon mon chéri, je ne voulais pas, ce n’est pas bien… Ses gémissements se sont transformés en hululements. Elle se faisait posséder commune femelle en rut. Je décidais de la lâcher pour aller parler à l’oreille de son pourfendeur. Mets la lui dans le cul lui ai-je chuchoté, elle aime ça ! Je savais qu’elle était proche l’orgasme, qu’il serait dévastateur et qu’après elle n’accepterait plus rien. Je le vis retirer sa matraque et tout en la maintenant fermement, il se positionna sur son trou du cul. Elle se cabra en disant : non pas le mauvais trou, pas par là ! Non ce n’est pas possible…
Je me glissais sous elle pour lui lécher le clitoris et profiter du spectacle. Il avait commencé à introduit son énorme gland en forme de champignon et j’ai vu sa rosette s’ouvrir en corolle. Ma petite salope à hurlé quand le gland est passé. Il a eu la délicatesse de s’arrêter pour qu’elle s’habitue à l’intrusion. Elle soufflait bruyamment et je lui massais la vulve. Comme par inadvertance, je suis venu frôler cette queue qui m’impressionnait. J’y suis retourné plus franchement au risque de me faire jeter mais il m’a laissé faire. Je l’ai donc fermement touché, on aurait dit une barre d’acier. C’est le moment qu’il a choisit pour s’enfoncer d’un coup jusqu’au couilles. Ma chérie s’est contentée d’un haaa! de surprise. Il faut dire qu’une fois le gland passé, le reste rentrait sans problème même si elle n’en avait jamais pris une aussi loin. Je ne voyais plus que ses grosses couilles rondes et lisses. Je glissai ma main pour les soupeser, elles étaient lourdes et pleines. Il a commencé de lent va eet vient soulignés par des ouch, ouch de ma chérie. Moi qui rêvait de la voir se faire mettre, j’étais exaucé au delà de toutes mes espérances. Le rythme s’est accéléré et sa chatte s’ouvrait chaque coup de boutoir libérant de la mouille. Je glissais aisément trois doigts à l’intérieur et je sentais de l’autre côté de la paroi sa grosse queue qui lui ébranlait le fondement. Ma chérie râlait, bavait, j’avais l’impression qu’elle était au delà de l’orgasme et qu’elle jouissait en permanence. Lorsque que j’ai senti qu’il commençait à se crisper, je lui ai demandé de ne pas tout lâcher dans sa capote. Ce serait du gâchis mais de se retirer pour inonder le dos de ma jolie salope soumise. Il m’a sourit et a accéléré la cadence. La dernière fois, je pensais lui avoir détruit le cul mais j’étais bien immodeste. Il entrait et ressortait presque de son cul béant à grand coup de claques sur les fesses. Elle allait s’en souvenir de cette soirée, elle hurlait littéralement comme une possédée. Et c’était finalement ce qui lui arrivait, elle était possédée comme jamais elle ne l’avait jamais été. Je me mis près de lui, la verge tendue comme un arc. Je n’osais pas me toucher car je savais que j’allais exploser. Mes couilles commençait à devenir douloureuse à force d’attendre la libération finale. Je le vis sortir précipitamment son mandrin du cul béant de cette chienne en rut et arracher cette capote qui lui serrait la queue et lâcher trois longs jets puissants de semence en lui disant, je vais t’inonder salope. Les jets sont allés jusqu’à atteindre la chevelure bouclée de ma femme qui a crié : oui c’est bon, c’est chaud. Devant un tel spectacle, j’ai éjaculé sans les mains, le trop plein est sorti d’un coup continuant ainsi à arroser ma chérie. On pouvait dire qu’elle en avait plein le dos. Une fois remis de nos émotions, nous sommes sortis chancelants vers la douche et j’ai remarqué que la vitre était couverte de sperme. Nous avions oubliés que nous avions des spectateurs mais visiblement eux ne nous avaient pas oubliés…
J’ai donc fais mine d’acquiescer à sa règle du jeu et je lui ai proposé de retourner au club libertin. J’ai volontairement choisi une soirée mixte, non réservée aux couples mais sans le lui préciser. Arrivés au club, je lui ai proposé d’aller essayer la partie humide que nous n’avions pas testé la dernière fois. Lorsque nous somme rentrés dans le jacuzzi, elle a évidemment remarqué qu’il y avait beaucoup d’hommes seuls et peu de couples. On s’est installés dans un coin et elle m’a dit : Tu aurais pu me prévenir, ce n’est pas le même genre de soirée! Ne sachant que lui répondre, je l’ai embrassé et j’ai commencé à lui peloter les seins. Une fois encore ses mamelons se sont érigés. Toi qui aimes que l’on te mate, te voilà servi, je lui susurre à l’oreille. Et en effet, j’ai vu plusieurs mecs commencer à regarder dans notre direction, certains avec leur main dans l’eau et ne laissant que peu de doutes sur leur activité ! Mon pelotage en règle était en train de faire de l’effet et moi-même je commençais à sentir mon sexe se déployer. Ma chérie s’en saisit pendant que mes doigts s’insinuait entre ses cuisses. Je sentais le mec à côté de moi se rapprocher de nous. Voyant qu’on réagissait pas, il est venu se mettre en face de nous pour se branler. Ma meuf l’a regardé d’un air amusé. Prenant cela pour un encouragement, il s’est mis debout pour lui présenter sa bite. Ma chérie lui a fait non de la tête, il faut dire qu’avec sa petite bite et son ventre bedonnant, il n’était pas très appétissant. Je voyais d’autres mecs se rapprocher dangereusement et comme je sentais qu’elle n’était pas vraiment prête à un gang bang dans le jacuzzi, je lui ai pris la main et nous sommes sortis pour nous diriger vers le hammam.
Il y faisait très sombre et il y avait comme un attroupement avec les cris d’une femme qui semblait prendre cher. On s’est assis dans un coin, en attendant que notre vue s’habitue à la quasi obscurité. Puis nous sommes rapprochés du feu de l’action. Il y avait une femme de forte corpulence qui s’en prenait par tous les trous et des dizaines de mains sur son corps. Toi qui aimes regarder, c’est à ton tour d’être servi et je vois que ça te fait de l’effet mon cochon me dit-elle en chopant mon sexe bien tendu. On me touche aussi de partout a t-elle rajouté. Laisses-toi un peu faire, je lui répondis. Je sentais des mains qui explorait son corps pendant qu’elle s’agrippait à mon cou. Elle avait des mains partout sur son sexe, sur son cul, sur ses seins et comme elle se collait à moi je sentais des mains qui s’immisçait entre nous me touchant aussi la bite et les couilles, je bandais comme un âne… Elle se laissait faire en m’embrassant. Par contre, elle ne les touchait pas en gardant ses deux mains sur moi. J’ai senti qu’elle était en train de se faire vigoureusement branler et quelqu’un était venu derrière moi pour me faire subir le même sort. Au moment où je me demandais si c’était un mec ou une nana qui m’astiquait ainsi, j’ai senti le corps se rapprocher et une bite bien raide se coller entre mes fesses. Cela devenait trop chaud et je ne voulais pas que ma chérie s’aperçoive à quel point cela me faisait de l’effet. Un vieux fantasme homosexuel qui remontait. Il faut dire que voir des belles bites bien raides m’a toujours excité même si je ne suis pas vraiment bi…
Je lui proposais donc de sortir de ce lieu de folie et d’aller se réfugier dans une alcôve au calme…
La dernière fois, j’avais repéré un endroit avec une vitre que l’on pouvait occulter avec un rideau. J’espérais que ce soit disponible. Ma chérie allait adorer…Bingo! Ce n’était pas occupé ! Je lui ai dis de s’allonger face à la vitre et de se branler ce qui n’allait pas manquer d’attirer le chaland, d’autant qu’une ouverture au-dessus de la vitre permettait d’entendre ce qui se passait à l’intérieur. Ce qui n’a pas manqué d’arriver arriva : 5 hommes et un couple se sont agglutinés devant la vitre. Je remarquais un homme noir, grand et musclé qui semblait bien intéressé. Je prend les seins de ma chérie et recommence un tirage en règle, je sais qu’elle ne sait pas résister à ce traitement entre plaisir et douleur. Je vois des sexes apparaître et notamment la queue d’ébène qui prend du volume. Je décide de passer à la vitesse supérieure et de jouer à un petit jeu de soumission qui jusqu’à présent était resté dans notre vie privée. Mais ce soir, il y a des voyeurs. Tourne toi lui dis-je, tu n’as vraiment aucune pudeur de t’exhiber ainsi. Tu mérites d’être punie. Relève ton cul qu’ils puissent en profiter et voir la fessée que tu mérites. Le cul tourné vers les mateurs, en position d’offrande, la garce se laisse faire. Écartes mieux tes jambes que l’on puisse voir ta vulve humide. Et effectivement, elle était luisante de mouille. La première claque s’abat sur sa fesse droite, la deuxième sur la gauche. Et je recommence l’opération. Ma chérie gémit, ses fesses rougissent. De se sentir ainsi fessée en public, l’abricot de la petite coquine dégouline. Nous n’avons jamais été aussi loin dans la perversité. Je décide de porter l’estocade en lui claquant à plusieurs reprises le sexe, martyrisant son clitoris érigé. Elle pousse un cri et s’écoule sur le matelas. C’est là que je vois devant elle que la cloison est percée et que des belles bites bien raides n’attendent que d’être prise en main et en bouche. Je remarque immédiatement la plus impressionnante. Certainement celle du black que j’avais repéré. Le mandrin est de belle taille, un véritable gourdin.
Regarde ma chérie, voilà un bel hommage. Sauras-tu l’honorer ? Je ne sais pas me dis-t-elle, elle est vraiment très grosse. Hé bien vas-y profites en, tu ne risques rien. Elle s’est approchée de cette queue d’ébène pour la prendre en main, elle en faisait difficilement le tour. Je sais qu’elle ne pourra pas résister à la mettre en bouche. Avec d’infinies précautions, elle se mit à le lécher comme un sucre d’orge, ce qui fit gonfler encore plus ce monumental pieu. Je comprenais mieux le sens de bois d’ébène. Elle n’arrivait pas à le mettre en bouche, le gland était énorme. Comme elle n’y arrivait pas, la queue disparut de ce sorte de glory hole et j’entendis frapper à la porte. C’était notre ami black qui voulait rentrer. Visiblement, elle me laisser mener le jeu, je lui dis : ok, mais tu te contentes de regarder. Je fermais précipitamment la porte car il y avait du monde derrière qui voulait en profiter.
Ma petite garce n’était pas rassurée, je lui dis de venir me sucer pendant que notre voyeur s’astiquait derrière elle. Ce mec avait vraiment une très belle bite et je voulais que ma petite salope se la prenne. Que tu veuilles ou pas, tu vas te la prendre, je me suis dis. Par petit signe, je lui ai fait comprendre de la choper pour lui bouffer le minou. Avant qu’elle ait eu le temps de réagir, le mec avait déjà le nez dans son entre-jambes. Je lui tenais la tête pour qu’elle continue à me bouffer la queue, histoire qu’elle ne résiste pas. Visiblement, elle avait pris goût à notre jeu de soumission. Et après tout, ce n’était qu’une langue qui s’immisçait en elle, cela ne dépassait pas la règle qu’elle avait fixée. Je décidais d’arrêter la fellation car j’étais au bord de l’explosion. Ma coquine gémissait comme une chienne chaleur, il savait vraiment y faire le salaud. Surtout quand je l’ai vu remonter un peu vers le haut des fesses, j’ai compris qu’il était en train de lui bouffer le cul et là je savais qu’elle serait prête à tout. Je me glissais sous elle pour lui sucer le clito et je montrais à notre ami du soir un préservatif. C’était le moment ou jamais. J’occupai ma chérie a coup de langue et de doigts jusqu’au moment où je vis l’énorme pieu de chair se rapprocher. Je me retirais précipitamment pour me mettre devant elle et lui tenir les bras. Ho n’on dit-elle, on n’avait dit pas ça… Mon cheri, Il est trop gros, dis lui d’arrêter, ho il rentre, doucement! Voyant qu’elle ne résistait plus, je me suis mis à côté pour voir cette grosse queue l’écarteler. À ma grande surprise, il l’avait déjà mise bien profond et commençait à la limer. Ma petite garce dodelinait de la tête en faisant des drôles de bruits, elle hoquetait. Je suis repassé devant elle et je l’ai obligé à se redresser en mettant sa tête contre mon épaule et en passant ses bras autour de mon cou. Mister big cock l’a attrapé par les hanches et a commencé à la pilonner. Il me remplit me dit-elle, il me cogne au fond, c’es bon mon chéri, je ne voulais pas, ce n’est pas bien… Ses gémissements se sont transformés en hululements. Elle se faisait posséder commune femelle en rut. Je décidais de la lâcher pour aller parler à l’oreille de son pourfendeur. Mets la lui dans le cul lui ai-je chuchoté, elle aime ça ! Je savais qu’elle était proche l’orgasme, qu’il serait dévastateur et qu’après elle n’accepterait plus rien. Je le vis retirer sa matraque et tout en la maintenant fermement, il se positionna sur son trou du cul. Elle se cabra en disant : non pas le mauvais trou, pas par là ! Non ce n’est pas possible…
Je me glissais sous elle pour lui lécher le clitoris et profiter du spectacle. Il avait commencé à introduit son énorme gland en forme de champignon et j’ai vu sa rosette s’ouvrir en corolle. Ma petite salope à hurlé quand le gland est passé. Il a eu la délicatesse de s’arrêter pour qu’elle s’habitue à l’intrusion. Elle soufflait bruyamment et je lui massais la vulve. Comme par inadvertance, je suis venu frôler cette queue qui m’impressionnait. J’y suis retourné plus franchement au risque de me faire jeter mais il m’a laissé faire. Je l’ai donc fermement touché, on aurait dit une barre d’acier. C’est le moment qu’il a choisit pour s’enfoncer d’un coup jusqu’au couilles. Ma chérie s’est contentée d’un haaa! de surprise. Il faut dire qu’une fois le gland passé, le reste rentrait sans problème même si elle n’en avait jamais pris une aussi loin. Je ne voyais plus que ses grosses couilles rondes et lisses. Je glissai ma main pour les soupeser, elles étaient lourdes et pleines. Il a commencé de lent va eet vient soulignés par des ouch, ouch de ma chérie. Moi qui rêvait de la voir se faire mettre, j’étais exaucé au delà de toutes mes espérances. Le rythme s’est accéléré et sa chatte s’ouvrait chaque coup de boutoir libérant de la mouille. Je glissais aisément trois doigts à l’intérieur et je sentais de l’autre côté de la paroi sa grosse queue qui lui ébranlait le fondement. Ma chérie râlait, bavait, j’avais l’impression qu’elle était au delà de l’orgasme et qu’elle jouissait en permanence. Lorsque que j’ai senti qu’il commençait à se crisper, je lui ai demandé de ne pas tout lâcher dans sa capote. Ce serait du gâchis mais de se retirer pour inonder le dos de ma jolie salope soumise. Il m’a sourit et a accéléré la cadence. La dernière fois, je pensais lui avoir détruit le cul mais j’étais bien immodeste. Il entrait et ressortait presque de son cul béant à grand coup de claques sur les fesses. Elle allait s’en souvenir de cette soirée, elle hurlait littéralement comme une possédée. Et c’était finalement ce qui lui arrivait, elle était possédée comme jamais elle ne l’avait jamais été. Je me mis près de lui, la verge tendue comme un arc. Je n’osais pas me toucher car je savais que j’allais exploser. Mes couilles commençait à devenir douloureuse à force d’attendre la libération finale. Je le vis sortir précipitamment son mandrin du cul béant de cette chienne en rut et arracher cette capote qui lui serrait la queue et lâcher trois longs jets puissants de semence en lui disant, je vais t’inonder salope. Les jets sont allés jusqu’à atteindre la chevelure bouclée de ma femme qui a crié : oui c’est bon, c’est chaud. Devant un tel spectacle, j’ai éjaculé sans les mains, le trop plein est sorti d’un coup continuant ainsi à arroser ma chérie. On pouvait dire qu’elle en avait plein le dos. Une fois remis de nos émotions, nous sommes sortis chancelants vers la douche et j’ai remarqué que la vitre était couverte de sperme. Nous avions oubliés que nous avions des spectateurs mais visiblement eux ne nous avaient pas oubliés…
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