Déchainement sexuel
Récit érotique écrit par JEREMY [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2006 dans la catégorie Plus on est
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Déchainement sexuel
Je vis avec ma compagne depuis 7 ans et notre vie sexuelle a été très banal jusqu’à il y a peu de temps. Au début, nos rapports fréquents étaient très passionnels, puis se sont espacés pour enfin ne devenir que le devoir conjugal connu par de nombreux couples après quelques années. Le travail, la maison, les enfants ont certainement été pour beaucoup dans la dégradation de nos relations. Malgré cela, nous continuions à nous aimer tendrement. J’ai aujourd’hui 28 ans et Margaux, mon amie 27.
Pensant que cet éloignement pouvait un jour nuire à notre couple, Margaux décida de prendre les choses en mains pour enrichir notre vie sexuelle. Elle connaissait, mon principal fantasme et avait décidé de me permettre de le réaliser. Fantasme tout a fait ordinaire pour un homme qui consisterait à faire l’amour avec elle, en même temps qu’une autre femme. Elle m’avait tout de même questionner à ce sujet de peur d’une réaction négative face à la surprise (mais entre nous, quel homme réagirait mal à telle surprise ?).
Ce jour là, mes soupçons quant à son attirance pour les femmes se renforcèrent. J’avais pu en effet remarqué que lorsque nous regardions des films pornographiques, les scènes entre femmes semblaient beaucoup l’exciter et de la voir ainsi animer d’un tel enthousiasme à rechercher cette nouvelle partenaire, je compris qu’elle ne le faisait pas que pour moi, ce qui me rendait encore plus impatient de vivre cette expérience.
Cette idée avait maintenant bien pris sa place dans nos tête et devenait une obsession. Nos rapports sont redevenus plus fréquents et un peu plus bestiaux qu’à nos débuts et à chaque fois après nous être imaginés avec cette femme que nous n’avions toujours pas trouver.
C’est en répondant à des annonces sur Internet que nous avions trouver une femme qui rechercher justement des jeunes couples pour des relations très coquines et se disant exercée et capable de prendre les choses en main. Nous nous sommes dit que cela serait une bonne chose puisque pour une première nous risquions peut-être d’être un peu coincés. Elle se prénomme Sabine et est âgée de 45 ans, ce qui rassura un peu Margaux par rapport au fait que je puisse la préférer à elle.
Le rendez-vous était donc pris, et nous nous retrouvions à passer un week-end à 350 Km de chez nous, les enfants ayant été déposés chez leur grands parents. Margaux s’était parée de ses vêtements les plus appétissants (une jupe noire fendue jusqu’à mi-cuisses, un chemisier blanc laissant paraître un magnifique décolleté et un très joli petit soutien gorge par transparence, sur mes conseils, elle ne portait rien sous sa jupe ce qui en rajouter à mon excitation). Nous allions donc passer 2 jours dans un hôtel en compagnie de Sabine. L’impatience mais aussi l’appréhension augmentaient au fur et à mesure que nous nous approchions de notre destinations.
Quand nous sommes arrivés, elles nous attendait dans le hall de l’hôtel, elle était très attirante, et il se dégageait de cette personne comme une aura sexuelle. Son regard a lui seul était une invitation à la baiser , cela ajouté à sa tenue et son corps parfait la rendait irrésistible. A ce moment, je n’hésitais plus un seul instant et je constatais que mon sentiment était partagé par Margaux quand je la vit presser le pas pour rejoindre notre chambre.
Les petits câlins commencèrent, j’embrassais Margaux qui fut très réceptive, et je fus surpris de voir à quel point elle était déjà excitée. Sabine s’approcha de nous et à mon grand regret décida de commencer par s’occuper de Margaux qui fondait littéralement de désir sous ses caresses. La main de Sabine descendait de ses cheveux vers son cou puis sous son chemisier où elle lui caressa un sein, ce qui accéléra encore sa respiration. Elle lui retira son chemisier puis son soutient pour faciliter ses caresses, et enfin déboutonna sa jupe. Elle fut surprise et sembla à son tour s’exciter lorsqu’elle remarqua que Margaux ne portait rien dessous. Puis ce fut au tour de Sabine d’être dévêtue, et je découvrais enfin son corps qui m’obsédait depuis notre arrivée dans cet hôtel.
Je n’étais pour l’instant que spectateur de cette scène superbement excitante et je décidais d’en devenir acteur en m’avançant vers le duo féminin. Mais Sabine ne l’entendait pas de cette façon, elle tendit la main vers moi pour me stopper et nous proposa un petit jeu dans lequel je serais attaché et contraint de les laisser faire. Je n’était pas contre cette idée tout en étant un peu déçu de ne pas pouvoir participer activement à ces ébats.
Je me retrouvais donc nu et menotté au lit de la chambre d’hôtel et je les contemplais se faire plaisir mutuellement. Les caresses de Sabine se faisaient plus précises, elle avait maintenant la main sur le sexe de margaux et y enfonçait ses doigts. Margaux était animé par des spasmes et se dandinait sur cette main qui la fouillait. Je ne l’avais jamais vu aussi chaude. Très vite elle se mis à jouir très fort et Sabine retira ses doigt trempés du plaisir de Margaux qu’elle lécha avec délectation. Je n’en pouvais plus. Margaux semblait en vouloir encore et elle se jeta sur la chatte de Sabine qu’elle se mit à déguster.
Je trouvais cela magnifique de les voir se procurer autant de plaisir, mais il était temps qu’elle s’intéressent un peu à moi. Je leur fit donc la remarque. Sabine se leva donc et à ce moment je me dit qu’enfin j’allais pouvoir profiter de mes deux amantes. Mais au lieu de ça, elle me bâillonna solidement avec un de ses bas et se dirigea vers une petite porte qui donnait sur la salle de bain de la chambre. Quand elle ouvrit la porte nous fûmes tous les deux surpris de découvrir qu’un homme d’une cinquantaine d’année attendait patiemment qu’on vienne le chercher. Je vis Margaux se couvrir rapidement et commencer à paniquer. Sabine l’attrapa par le bras et déposa sur ses lèvres un doux baiser comme pour la rassurer. Margaux était de nouveau sous son emprise. De mon côté, mon excitation était soudain retombée et je devenait fou, car je comprenais bien ce qui allait se passait. Mais j’étais impuissant et j’allais devoir subir l’outrage de voir ma femme se faire prendre par un autre homme.
Les caresses de Sabine avait de nouveau éveillé les sens de Margaux qui se remettais à gémir. L’homme appréciait le spectacle de ma femme ainsi offerte en se masturbant et je constatais alors qu’il avait une bite énorme, la mienne étant de taille raisonnable mais très moyenne comparé à cette matraque. Sabine la présenta ensuite à Margaux assise au bout du lit , elle se mit à le sucer docilement. Ca me mettait hors de moi. Sabine indiquait à ma femme où elle devait passer sa langue pour donner du plaisir à celui qui je le compris ensuite était son homme. Margaux s’exécuter semblant être prête à obéir à tous ces ordres comme une sale petites putes soumises. C’est en effet ce que je pensait d’elle a cet instant.
Elle passa ainsi sa langue sur les moindres recoins de cette énorme queue puis dû descendre plus bas léchant ses couilles et enfonçant sa langue dans le petit trou de cet inconnu. Comment pouvait elle faire cela. Elle devait être posséder pour accepter d’obéir à de tels ordres. Elle branlait maintenant cette grosse queue et je voyais qu’elle était émerveillait par un tel engin, elle en avait envie. Je ne reconnaissais plus ma femme. Sabine l’allongea au bout du lit et dit à son homme « vas-y elle est à toi ». il s’allongea sur elle et la pilonna au rythme de ses gémissements qui se faisaient de plus en plus bruyants. Elle criait maintenant son plaisir, elle appréciait cet homme et sa grosse bite.
Devant ce spectacle, je commençait de nouveau à m’exciter, me disant qu’après tout c’était bien une salope et qu’elle méritait bien qu’on la baise. Sabine pendant ce temps se dirigea vers la salle de bains et laissant la porte ouverte pour qu’on la voit bien s’asseoir sur les WC appela Margaux d’une voix autoritaire qui s’empressa de la rejoindre. Après s’être soulagée elle ordonna à Margaux de lui nettoyer la chatte, ce qu’elle fit évidemment. Elle attrapa ensuite sa tête qu’elle maintint entre ses cuisses à quelques centimètres de sa chatte et en me regardant droit dans les yeux comme pour me dire « tu as vu je fais ce que je veux de ta petite pute de femme », elle laissa s’échappé un dernier petit filet d’urine qui vint s’écraser sur le visage de Margaux et aussitôt ensuite plaqua sa bouche sur son sexe pour qu’elle finisse son nettoyage.
A ce moment, voyant ma salope de femme se prêter à de tels pratiques, l’excitation devenant trop forte j’éjaculais, sans qu’on ait eu besoin de me toucher, tout mon plaisir sur mon ventre. Ce qui sembla ravir Sabine qui attrapa Margaux par les cheveux pour l’approcher de ma semence et lui permettre de tout nettoyer. Ce contact me fit rebander aussitôt ne me laissant aucun répit dans mon désir irréalisable de participer.
Elle lui ordonna ensuite de se mettre à quatre patte sur le lit. Elle lui présenta sa chatte à lécher et l’homme passa derrière elle. Il lui léchait maintenant la chatte et elle aimait cela. Il remontait jusqu’à son petit trou enfonçait des doigts dans les deux. Elle adorait et se trémousser dans tous les sens. Puis il présenta son pieu à l’entrée de son cul. Sabine ordonna à Margaux de ne pas bouger. A cet instant elle semblait paniquer. Sabine la tenait fermement et d’un coup, le vieux cochon enfonça toute la masse de son énorme bitte dans le cul de ma femme qui hurla sa douleur en regardant sa maîtresse d’un regard implorant la pitié.
Mais Sabine ne céda pas et encouragea son mari à la bourrer encore plus. Des larmes de douleur coulaient sur les joues de Margaux. Sabine fit tourner le couple pour que les fesses de Margaux soient face à moi et que je ne perde rien au spectacle. L’homme s’était mis en position semis debout pour que je vois bien son pieu défoncer l’anus de ma femme. C’était impressionnant, je voyait le trou du cul de Margaux ouvert à un point inimaginable et je l’entendais crier à chaque coup de butoir. Mais ces cris se transformer de plus en plus en gémissement et je compris qu’elle y prenait maintenant du plaisir. Je voyait son jus coulait sur ses cuisses. L’homme se retira se replaça devant sa bouche, elle le suça frénétiquement quelques instant et je le vis jouir dans sa bouche. Sabine lui ordonna de tout avaler. Comme j’aurais aimer être à la place de cet homme.
Je la voulait elle maintenant. Sabine ne m’intéressait plus. C’était ma femme la star, la salope. Et mon vœu fut exaucé. Sabine la plaça sur ma bite pendant que l’homme se représenta sur son anus. Elle était trempée, elle coulait sur ma bite. Trois minute de cette double pénétration lui on suffit pour qu’elle jouisse laissant s’échapper encore plus de liquide de sa petite chatte. Je jouis presque aussitôt.
Le temps de nous remettre, nous constations que le couple qui venait de nous offrir ce qui devait être la plus grande jouissance de notre vie était parti en laissant juste un petit mot : « nous nous reverrons ! »
Pensant que cet éloignement pouvait un jour nuire à notre couple, Margaux décida de prendre les choses en mains pour enrichir notre vie sexuelle. Elle connaissait, mon principal fantasme et avait décidé de me permettre de le réaliser. Fantasme tout a fait ordinaire pour un homme qui consisterait à faire l’amour avec elle, en même temps qu’une autre femme. Elle m’avait tout de même questionner à ce sujet de peur d’une réaction négative face à la surprise (mais entre nous, quel homme réagirait mal à telle surprise ?).
Ce jour là, mes soupçons quant à son attirance pour les femmes se renforcèrent. J’avais pu en effet remarqué que lorsque nous regardions des films pornographiques, les scènes entre femmes semblaient beaucoup l’exciter et de la voir ainsi animer d’un tel enthousiasme à rechercher cette nouvelle partenaire, je compris qu’elle ne le faisait pas que pour moi, ce qui me rendait encore plus impatient de vivre cette expérience.
Cette idée avait maintenant bien pris sa place dans nos tête et devenait une obsession. Nos rapports sont redevenus plus fréquents et un peu plus bestiaux qu’à nos débuts et à chaque fois après nous être imaginés avec cette femme que nous n’avions toujours pas trouver.
C’est en répondant à des annonces sur Internet que nous avions trouver une femme qui rechercher justement des jeunes couples pour des relations très coquines et se disant exercée et capable de prendre les choses en main. Nous nous sommes dit que cela serait une bonne chose puisque pour une première nous risquions peut-être d’être un peu coincés. Elle se prénomme Sabine et est âgée de 45 ans, ce qui rassura un peu Margaux par rapport au fait que je puisse la préférer à elle.
Le rendez-vous était donc pris, et nous nous retrouvions à passer un week-end à 350 Km de chez nous, les enfants ayant été déposés chez leur grands parents. Margaux s’était parée de ses vêtements les plus appétissants (une jupe noire fendue jusqu’à mi-cuisses, un chemisier blanc laissant paraître un magnifique décolleté et un très joli petit soutien gorge par transparence, sur mes conseils, elle ne portait rien sous sa jupe ce qui en rajouter à mon excitation). Nous allions donc passer 2 jours dans un hôtel en compagnie de Sabine. L’impatience mais aussi l’appréhension augmentaient au fur et à mesure que nous nous approchions de notre destinations.
Quand nous sommes arrivés, elles nous attendait dans le hall de l’hôtel, elle était très attirante, et il se dégageait de cette personne comme une aura sexuelle. Son regard a lui seul était une invitation à la baiser , cela ajouté à sa tenue et son corps parfait la rendait irrésistible. A ce moment, je n’hésitais plus un seul instant et je constatais que mon sentiment était partagé par Margaux quand je la vit presser le pas pour rejoindre notre chambre.
Les petits câlins commencèrent, j’embrassais Margaux qui fut très réceptive, et je fus surpris de voir à quel point elle était déjà excitée. Sabine s’approcha de nous et à mon grand regret décida de commencer par s’occuper de Margaux qui fondait littéralement de désir sous ses caresses. La main de Sabine descendait de ses cheveux vers son cou puis sous son chemisier où elle lui caressa un sein, ce qui accéléra encore sa respiration. Elle lui retira son chemisier puis son soutient pour faciliter ses caresses, et enfin déboutonna sa jupe. Elle fut surprise et sembla à son tour s’exciter lorsqu’elle remarqua que Margaux ne portait rien dessous. Puis ce fut au tour de Sabine d’être dévêtue, et je découvrais enfin son corps qui m’obsédait depuis notre arrivée dans cet hôtel.
Je n’étais pour l’instant que spectateur de cette scène superbement excitante et je décidais d’en devenir acteur en m’avançant vers le duo féminin. Mais Sabine ne l’entendait pas de cette façon, elle tendit la main vers moi pour me stopper et nous proposa un petit jeu dans lequel je serais attaché et contraint de les laisser faire. Je n’était pas contre cette idée tout en étant un peu déçu de ne pas pouvoir participer activement à ces ébats.
Je me retrouvais donc nu et menotté au lit de la chambre d’hôtel et je les contemplais se faire plaisir mutuellement. Les caresses de Sabine se faisaient plus précises, elle avait maintenant la main sur le sexe de margaux et y enfonçait ses doigts. Margaux était animé par des spasmes et se dandinait sur cette main qui la fouillait. Je ne l’avais jamais vu aussi chaude. Très vite elle se mis à jouir très fort et Sabine retira ses doigt trempés du plaisir de Margaux qu’elle lécha avec délectation. Je n’en pouvais plus. Margaux semblait en vouloir encore et elle se jeta sur la chatte de Sabine qu’elle se mit à déguster.
Je trouvais cela magnifique de les voir se procurer autant de plaisir, mais il était temps qu’elle s’intéressent un peu à moi. Je leur fit donc la remarque. Sabine se leva donc et à ce moment je me dit qu’enfin j’allais pouvoir profiter de mes deux amantes. Mais au lieu de ça, elle me bâillonna solidement avec un de ses bas et se dirigea vers une petite porte qui donnait sur la salle de bain de la chambre. Quand elle ouvrit la porte nous fûmes tous les deux surpris de découvrir qu’un homme d’une cinquantaine d’année attendait patiemment qu’on vienne le chercher. Je vis Margaux se couvrir rapidement et commencer à paniquer. Sabine l’attrapa par le bras et déposa sur ses lèvres un doux baiser comme pour la rassurer. Margaux était de nouveau sous son emprise. De mon côté, mon excitation était soudain retombée et je devenait fou, car je comprenais bien ce qui allait se passait. Mais j’étais impuissant et j’allais devoir subir l’outrage de voir ma femme se faire prendre par un autre homme.
Les caresses de Sabine avait de nouveau éveillé les sens de Margaux qui se remettais à gémir. L’homme appréciait le spectacle de ma femme ainsi offerte en se masturbant et je constatais alors qu’il avait une bite énorme, la mienne étant de taille raisonnable mais très moyenne comparé à cette matraque. Sabine la présenta ensuite à Margaux assise au bout du lit , elle se mit à le sucer docilement. Ca me mettait hors de moi. Sabine indiquait à ma femme où elle devait passer sa langue pour donner du plaisir à celui qui je le compris ensuite était son homme. Margaux s’exécuter semblant être prête à obéir à tous ces ordres comme une sale petites putes soumises. C’est en effet ce que je pensait d’elle a cet instant.
Elle passa ainsi sa langue sur les moindres recoins de cette énorme queue puis dû descendre plus bas léchant ses couilles et enfonçant sa langue dans le petit trou de cet inconnu. Comment pouvait elle faire cela. Elle devait être posséder pour accepter d’obéir à de tels ordres. Elle branlait maintenant cette grosse queue et je voyais qu’elle était émerveillait par un tel engin, elle en avait envie. Je ne reconnaissais plus ma femme. Sabine l’allongea au bout du lit et dit à son homme « vas-y elle est à toi ». il s’allongea sur elle et la pilonna au rythme de ses gémissements qui se faisaient de plus en plus bruyants. Elle criait maintenant son plaisir, elle appréciait cet homme et sa grosse bite.
Devant ce spectacle, je commençait de nouveau à m’exciter, me disant qu’après tout c’était bien une salope et qu’elle méritait bien qu’on la baise. Sabine pendant ce temps se dirigea vers la salle de bains et laissant la porte ouverte pour qu’on la voit bien s’asseoir sur les WC appela Margaux d’une voix autoritaire qui s’empressa de la rejoindre. Après s’être soulagée elle ordonna à Margaux de lui nettoyer la chatte, ce qu’elle fit évidemment. Elle attrapa ensuite sa tête qu’elle maintint entre ses cuisses à quelques centimètres de sa chatte et en me regardant droit dans les yeux comme pour me dire « tu as vu je fais ce que je veux de ta petite pute de femme », elle laissa s’échappé un dernier petit filet d’urine qui vint s’écraser sur le visage de Margaux et aussitôt ensuite plaqua sa bouche sur son sexe pour qu’elle finisse son nettoyage.
A ce moment, voyant ma salope de femme se prêter à de tels pratiques, l’excitation devenant trop forte j’éjaculais, sans qu’on ait eu besoin de me toucher, tout mon plaisir sur mon ventre. Ce qui sembla ravir Sabine qui attrapa Margaux par les cheveux pour l’approcher de ma semence et lui permettre de tout nettoyer. Ce contact me fit rebander aussitôt ne me laissant aucun répit dans mon désir irréalisable de participer.
Elle lui ordonna ensuite de se mettre à quatre patte sur le lit. Elle lui présenta sa chatte à lécher et l’homme passa derrière elle. Il lui léchait maintenant la chatte et elle aimait cela. Il remontait jusqu’à son petit trou enfonçait des doigts dans les deux. Elle adorait et se trémousser dans tous les sens. Puis il présenta son pieu à l’entrée de son cul. Sabine ordonna à Margaux de ne pas bouger. A cet instant elle semblait paniquer. Sabine la tenait fermement et d’un coup, le vieux cochon enfonça toute la masse de son énorme bitte dans le cul de ma femme qui hurla sa douleur en regardant sa maîtresse d’un regard implorant la pitié.
Mais Sabine ne céda pas et encouragea son mari à la bourrer encore plus. Des larmes de douleur coulaient sur les joues de Margaux. Sabine fit tourner le couple pour que les fesses de Margaux soient face à moi et que je ne perde rien au spectacle. L’homme s’était mis en position semis debout pour que je vois bien son pieu défoncer l’anus de ma femme. C’était impressionnant, je voyait le trou du cul de Margaux ouvert à un point inimaginable et je l’entendais crier à chaque coup de butoir. Mais ces cris se transformer de plus en plus en gémissement et je compris qu’elle y prenait maintenant du plaisir. Je voyait son jus coulait sur ses cuisses. L’homme se retira se replaça devant sa bouche, elle le suça frénétiquement quelques instant et je le vis jouir dans sa bouche. Sabine lui ordonna de tout avaler. Comme j’aurais aimer être à la place de cet homme.
Je la voulait elle maintenant. Sabine ne m’intéressait plus. C’était ma femme la star, la salope. Et mon vœu fut exaucé. Sabine la plaça sur ma bite pendant que l’homme se représenta sur son anus. Elle était trempée, elle coulait sur ma bite. Trois minute de cette double pénétration lui on suffit pour qu’elle jouisse laissant s’échapper encore plus de liquide de sa petite chatte. Je jouis presque aussitôt.
Le temps de nous remettre, nous constations que le couple qui venait de nous offrir ce qui devait être la plus grande jouissance de notre vie était parti en laissant juste un petit mot : « nous nous reverrons ! »
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