découverte

Récit érotique écrit par CV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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découverte
Souvenir ..
Je m'appellerai Prince, elle s'appellera Douce.. pour découvrir les jeux coquins, elle avait donné un accord de principe de ne rien refuser, mais à lui de tout organiser, tout prévoir .. et en échange elle se donnerait entièrement, pour essayer, promettant de toujours chercher le plaisir dans les aventures proposées.
Première fois, nuit d'hiver. Soirée volée. Ils réussissent à se retrouver et il a préparé un jeu. Un premier jeu.
Voiture, neige qui étouffe les bruits, il est au volant, heureux qu'il fasse déjà si sombre, sa tension n'est pas visible, masquée par l'obscurité.
Elle a lu le SMS envoyé en fin de journée, et a appliqué à la lettre les consignes. Elle a mis un jupe courte, des bas, sa position assise en dévoile le haut, elle s'est maquillée, peu mais la mise en valeur est nette, ses lèvres semble briller dans ce début de soirée, ses yeux sont fardés, renforçant sa sensualité naturelle.. il la désire très fort mais ce soir, c'est le premier jeu.
Il traverse tout l'ouest parisien. Une heure de route. Il lui distille lentement, par petits morceaux, le contour du jeu.
- J'ai enfin trouvé un complice. Après plusieurs tentatives, cette fois, c'est le bon
- Ha oui ? c'est donc cela, nous allons .. le rencontrer ? j'ai peur ..
- Tu peux avoir confiance. J'ai déjeuné avec lui avant-hier et nous échangeons depuis plusieurs semaines. Il a compris ce que nous recherchons, il sait qu'il est le premier qui entre dans notre intimité. Nous avons fixé les limites. Et défini exactement ce qui sera possible ce soir..
- hoooo.. j'ai peur..
- Tu peux avoir confiance.
Et puis .. il commence, toujours par petite touche, à décrire leur complice d'un soir. Brun. Grand. Fin. Libertin, la quarantaine, cérébral. Il joue a parler des limites, sans n'en donner aucun détail. Il sait qu'elle tremble, mais qu'elle se prend au jeu. Il sent son excitation. Et puis il décide, après lui avoir dit qu'il restait encore 5 bonnes minutes de route, de passer au cran supérieur.
- Dans la boite à gants, devant toi, tu vas trouver un objet important pour ce soir. A toi de jouer !
Elle ouvre, fébrile. Un masque. De ceux que l'on vous donne pour passer la nuit en avion. Elle comprend immédiatement ce qu'il attend, le mettre c'est donner son accord, explicite, pour enfin franchir le pas, entrer dasn le libertinage. Mais quelle limite ? quel jeu ? que lui a t il préparé ? Elle a confiance, elle sait qu'il ne veut pas brusquer les choses, mais là, ce soir, c'est .. le premier pas. La première fois.
- Alors, que décides tu ? aucune obligation, il sait et nous en avons parlé encore il y a une petite heure par téléphone, il sait que jusque dans les dernières minutes, tu peux dire stop et on oublie, on attend, on reprendra ... alors ?
Elle ne dit rien. Tremble comme une feuille.. son corps est tendu, mais elle sent qu'elle désire essayer, elle veut sentir le désir d'un autre, elle veut voir les yeux briller, sentir les étincelles dans son regard, deviner chez lui aussi le désir fou, l'amour de son Prince comme elle aime à l'appeler dans l'intimité. Elle affermit sa prise, ne dit rien, positionne le masque et ouvre son chemisier noir, elle a respecté la demande, elle l'entend souffler bruyamment, il apprécie ce qu'il voit.
Ses seins sont libres de toute entrave, elle se réfugie dans l'obscurité offerte par le masque, elle sait qu'en réalité elle est dissimulée, ils roulent en ville mais dans la pénombre, la voiture est haute, mais tout de même, elle s'exhibe et ses seins sont bien visible, le chemiser totalement ouvert. Elle sent le désir monter, elle se surprend elle-même a espérer avoir rapidement une main sur elle, sentir que son Prince veut la caresser.
Mais lui continue de rouler, ralentit et soudain..
- Merci, il va apprécier. Il nous attend au bout de la prochaine rue, une impasse, nous y sommes dans une centaine de mètres. Aie confiance, il n'y a personne, trop froid, trop tard. Seul cet homme, qui connait déjà tes seins, je lui ai partagé plusieurs photos, va te voir, te regarder. Peut être même ...
- Oui ?
- Chuuuut... tu es objet de désir ce soir, rappelles toi, le masque mis, silence ..
Ce petit rappel à l'ordre, exprimé doucement mais très fermement, achève de faire monter son excitation à un point qu'elle n'aurait pas imaginé quelques minutes plus haut.
Son entre-jambe est littéralement trempé. Elle n'a pas de culotte, bien évidemment, comme exigé aussi, dans ce message de ce soir. Message qu'elle espérait, craignait, depuis longtemps maintenant qu'ils avaient partagé leurs fantasmes..
La voiture s'arrête. Prince pose sa main sur le haut de sa cuisse, côté conducteur, c'est le seul contact qu'il donne .. sa voix, basse, lui indique que le complice est là. A côté. Il la regarde. Il décrit le déplacement de cet homme, qui fait le tour de la voiture.
Et soudain, elle entend. Le bruit feutré des pas. C'est VRAI, il y a VRAIMENT un passant, un voyeur, un complice. Prince a VRAIMENT organisé le jeu. Elle est donc sous le regard d'un autre. Il est à ses côté, la voiture est un écrin qui lui semble soudain très fragile, réduisible à néant dès lors que la porte s'ouvrira. Le déclic simultané des portières lui indique clairement que Prince vient de dévérouiller les sécurités.
- Caresses tes seins. Doucement. Etire les pointes. Montre lui ce que j'aime tant, cette caresse tellement intime que tu te procures. Allez. Allez je te dis, tire, plus fort, je veux qu'il voit précisément ce que tu aimes, ce que tu ressens lorsque tu étires les points à leur maximum. Allez, plus fort ! bon sang, je ne vais pas le faire quand même !
Elle s'exécute, au fil de sa demande, sa voix monte, mais elle sait qu'il joue, et elle lui rend la pareille... et soudain elle bascule, ça y est, elle franchit la barrière et bascule dans le jeu, complètement. Elle obéit, sans réserve, elle veut tout faire pour lui plaire, sa bouche est entrouverte, sa langue pointe, elle gémit. Ses tétons sont à la limite de la douleur, elle les étire, presse les bouts, frotte entre ses doigts, en insistant, en pressant, comme si elle voulait en extraire du lait, c'est la première image qui lui vient..
Il caresse à nouveau sa cuisse, mais cette fois remonte franchement la jupe courte, dévoile son entre-jambe, elle sent qu'il se penche, il cherche quelque chose et un petit bruit lui fait comprendre : il a ouvert la boite à gant et allumé la petite lampe de veille. L'inconnu, le complice doit désormais voir un rai de lumière qui éclaire son sexe, elle sent les doigts de son prince qui écarte ses lèvres.. elle gémit, elle voudrait qu'il enfonce ses doigts, qu'il presse son clitorie. Mais il écarte implacablement, presse les grandes lèvres sur les hauts de cuisses, elle écarte machinalement les jambes, gémit, gémit ..
L'inconnu fait alors entendre sa voix, étouffée, derrière la vitre, un "Magnifique .. merci Prince, merci Douce, continuez.." .. ils ont bien préparé leur coup, cet inconnu utilise leurs mots complices, elle est troublée, se sent totalement mise à nu, elle est ailleurs, toutes les barrières sont tombées, elle sent couler hors d'elle sur les doigts de Prince son jus intime.. avec un doigt de sa deuxième main, il se badigeonne, puis plonge une, non deux, phalanges en elle, trempe littéralement son doigt comme si il voulait l'enduire de son miel intime...
- Aie confiance ma Douce, j'ai promis à ce bel inconnu que si il était bien sage et toi bien entrée dans le jeu, je lui ferai gouter ta chatte .. attention, il va faire froid dans quelques secondes, n'ai pas peur, confiance ..
Prince se redresse, il garde toujours une main pour écarter les replis de ses chairs et l'exhiber, elle tire toujours ses pointes de seins, elle se sent au bord de la jouissance et .. un chuintement, c'est la fenêtre qui s'abaisse, le froid s'engouffre et avec lui une odeur musquée, celle d'un parfum d'homme, et une voix, grave, nette cette fois "Magnifique, merci encore, quelle femme splendide, Prince, elle est comme vous me l'avez montrée, et quelle exhibitionniste, manifestement heureuse de se montrer si j'en crois ce que vous me montrez !"
Ils se vouvoient, comme dans ses fantasmes intimes, ils ont vraiement bien préparé leur jeu.. elle sent le bras de Prince traverser l'espace juste devant elle, et elle défaille lorsque qu'elle comprend, au bruit de succion qui suit, que Prince vient de tendre son index trempé de ses jus intimes à cet inconnu, qui prend soin de bien faire entendre qu'il déguste un nectar.
Le bras se recule. Voix plus affirmée : "Douce a la chatte délicieuse. Merci. Je peux goûter à la source ?"
Prince ne répond pas. La porte s'ouvre.
La ceinture se détache, l'inconnu s'active, manifestement il se positionne en s'agenouillant, mais en prenant soin de ne pas toucher Douce.
- Tourne toi ma chérie, ouvre ton compas, place ta jambe sur lui, aie confiance. Il ne fera que ce que nous avons convenu. Tu peux le toucher, le sentir, tu peux poser ta jambe droite sur lui. Et jouis. Nous voulons lui et moi t'entendre jouir. Je surveille que pas un passant ne s'approche..
Elle s'exécute, avec l'impression étrange d'ouvrir ses cuisses dans le vide, de jeter une jambe vers le vide, l'inconnu est impalpable, il est très prudent et ce n'est que lorsque sa jambe redescend qu'une main, très douce, s'en empare au niveau du mollet, pour la placer sur une épaule, juste à la bonne hauteur .. L'inconnu est agenouille, dans la neige, il approche et resprise bruyamment, juste au dessus de son sexe.
Contact.
Pour la première fois, une langue inconnue se pose sur elle. Il a eu le temps de la dévorer des yeux, de regarder son intimité ouverte, de façon crue, sans aucune barrière. Elle ne sait rien encore de lui.
Elle pose une main sur la tête, l'encourage, sa lange est rejointe par un, deux, puis trois doigts, qui vont rester en surface mais jouer le long des lèvres, parcourir les hauts de cuisse, l'intérieur des cuisses, se glisser jusqu'au bord de son anus, et faire ainsi mille et un va-et-vient, et sa langue, qui danse, danse, danse...
Elle jouit, quasi immédiatement, et Prince lui parle, garde le contact avec toujours une main sur la cuisse gauche, qui ne bouge pas. Elle sait que le spectacle pour lui est un rêve éveillé, il attend cela depuis tellement longtemps, mais là, malgré son envie profonde de lui partager ce qu'elle vit, elle ne peut que constater que son corps a pris le dessus, elle veut encore et encore jouir, jouir, jouir...
Jamais elle n'avait eu ce plaisir en rebond, de cette façon .. le stress, l'envie, la confiance, le respect .. tout a joué.. et puis soudain, il sent, il sait, il faut arrêter, le plaisir a atteint sa limite, et il se retire, va parler pour la dernière fois, et elle guette ses paroles..elle sait le soin que Prince donne aux détails et elle devine qu'il a certainement prévu une fin "comme il aime", une fin qui va lui déclencher un feu d'artifice..
- Douce, que beau surnom. Je parle pour que ma voix vous soit familière. Prince m'a proposé de revenir, de vous retrouver, de vous approcher, de vous surprendre..vous me reconnaitrez par la voix, Douce, à notre prochaine rencontre, et moi je sais quand, je sais où; Prince aussi .. et vous.. vous serez surprise. Et vous serez alors prise. Par moi. Je serais votre premier amant. Merci à vous pour vous être ainsi montré à moi. A bientôt
Elle gémit, fond, voudrait voir, retirer ce masque, mais elle sait que ce serait gâcher le moment, le jeu. Elle brûle à l'intérieur, elle sent son sexe gonflé, cette dernière phrase a atteint son objectif, ses muqueuses sont hyper sensibles, elle tremble, il a un dernier contact avec elle en refermant le compas de ses jambes, la replace en position assise passager et .. fermer doucement la porte.
Elle entend ses pas dans la neige. Prince remet le vérouillage des portes. Les bruits secs se succèdent, le moteur se remet en branle et elle attend, elle attend l'autorisation de retirer son masque.
=====================
Ce n'est pas une histoire inventée, c'est notre histoire. Notre première fois. C'était il y a bientôt 20 ans. Nous venions de décider de vivre ensemble et de vivre. Ensemble. En laissant derrière nous des vies qui n'étaient pas du tout en phase avec ce que nous voulions. Et le faire en s'aimant.
Je m'appellerai Prince, elle s'appellera Douce.. pour découvrir les jeux coquins, elle avait donné un accord de principe de ne rien refuser, mais à lui de tout organiser, tout prévoir .. et en échange elle se donnerait entièrement, pour essayer, promettant de toujours chercher le plaisir dans les aventures proposées.
Première fois, nuit d'hiver. Soirée volée. Ils réussissent à se retrouver et il a préparé un jeu. Un premier jeu.
Voiture, neige qui étouffe les bruits, il est au volant, heureux qu'il fasse déjà si sombre, sa tension n'est pas visible, masquée par l'obscurité.
Elle a lu le SMS envoyé en fin de journée, et a appliqué à la lettre les consignes. Elle a mis un jupe courte, des bas, sa position assise en dévoile le haut, elle s'est maquillée, peu mais la mise en valeur est nette, ses lèvres semble briller dans ce début de soirée, ses yeux sont fardés, renforçant sa sensualité naturelle.. il la désire très fort mais ce soir, c'est le premier jeu.
Il traverse tout l'ouest parisien. Une heure de route. Il lui distille lentement, par petits morceaux, le contour du jeu.
- J'ai enfin trouvé un complice. Après plusieurs tentatives, cette fois, c'est le bon
- Ha oui ? c'est donc cela, nous allons .. le rencontrer ? j'ai peur ..
- Tu peux avoir confiance. J'ai déjeuné avec lui avant-hier et nous échangeons depuis plusieurs semaines. Il a compris ce que nous recherchons, il sait qu'il est le premier qui entre dans notre intimité. Nous avons fixé les limites. Et défini exactement ce qui sera possible ce soir..
- hoooo.. j'ai peur..
- Tu peux avoir confiance.
Et puis .. il commence, toujours par petite touche, à décrire leur complice d'un soir. Brun. Grand. Fin. Libertin, la quarantaine, cérébral. Il joue a parler des limites, sans n'en donner aucun détail. Il sait qu'elle tremble, mais qu'elle se prend au jeu. Il sent son excitation. Et puis il décide, après lui avoir dit qu'il restait encore 5 bonnes minutes de route, de passer au cran supérieur.
- Dans la boite à gants, devant toi, tu vas trouver un objet important pour ce soir. A toi de jouer !
Elle ouvre, fébrile. Un masque. De ceux que l'on vous donne pour passer la nuit en avion. Elle comprend immédiatement ce qu'il attend, le mettre c'est donner son accord, explicite, pour enfin franchir le pas, entrer dasn le libertinage. Mais quelle limite ? quel jeu ? que lui a t il préparé ? Elle a confiance, elle sait qu'il ne veut pas brusquer les choses, mais là, ce soir, c'est .. le premier pas. La première fois.
- Alors, que décides tu ? aucune obligation, il sait et nous en avons parlé encore il y a une petite heure par téléphone, il sait que jusque dans les dernières minutes, tu peux dire stop et on oublie, on attend, on reprendra ... alors ?
Elle ne dit rien. Tremble comme une feuille.. son corps est tendu, mais elle sent qu'elle désire essayer, elle veut sentir le désir d'un autre, elle veut voir les yeux briller, sentir les étincelles dans son regard, deviner chez lui aussi le désir fou, l'amour de son Prince comme elle aime à l'appeler dans l'intimité. Elle affermit sa prise, ne dit rien, positionne le masque et ouvre son chemisier noir, elle a respecté la demande, elle l'entend souffler bruyamment, il apprécie ce qu'il voit.
Ses seins sont libres de toute entrave, elle se réfugie dans l'obscurité offerte par le masque, elle sait qu'en réalité elle est dissimulée, ils roulent en ville mais dans la pénombre, la voiture est haute, mais tout de même, elle s'exhibe et ses seins sont bien visible, le chemiser totalement ouvert. Elle sent le désir monter, elle se surprend elle-même a espérer avoir rapidement une main sur elle, sentir que son Prince veut la caresser.
Mais lui continue de rouler, ralentit et soudain..
- Merci, il va apprécier. Il nous attend au bout de la prochaine rue, une impasse, nous y sommes dans une centaine de mètres. Aie confiance, il n'y a personne, trop froid, trop tard. Seul cet homme, qui connait déjà tes seins, je lui ai partagé plusieurs photos, va te voir, te regarder. Peut être même ...
- Oui ?
- Chuuuut... tu es objet de désir ce soir, rappelles toi, le masque mis, silence ..
Ce petit rappel à l'ordre, exprimé doucement mais très fermement, achève de faire monter son excitation à un point qu'elle n'aurait pas imaginé quelques minutes plus haut.
Son entre-jambe est littéralement trempé. Elle n'a pas de culotte, bien évidemment, comme exigé aussi, dans ce message de ce soir. Message qu'elle espérait, craignait, depuis longtemps maintenant qu'ils avaient partagé leurs fantasmes..
La voiture s'arrête. Prince pose sa main sur le haut de sa cuisse, côté conducteur, c'est le seul contact qu'il donne .. sa voix, basse, lui indique que le complice est là. A côté. Il la regarde. Il décrit le déplacement de cet homme, qui fait le tour de la voiture.
Et soudain, elle entend. Le bruit feutré des pas. C'est VRAI, il y a VRAIMENT un passant, un voyeur, un complice. Prince a VRAIMENT organisé le jeu. Elle est donc sous le regard d'un autre. Il est à ses côté, la voiture est un écrin qui lui semble soudain très fragile, réduisible à néant dès lors que la porte s'ouvrira. Le déclic simultané des portières lui indique clairement que Prince vient de dévérouiller les sécurités.
- Caresses tes seins. Doucement. Etire les pointes. Montre lui ce que j'aime tant, cette caresse tellement intime que tu te procures. Allez. Allez je te dis, tire, plus fort, je veux qu'il voit précisément ce que tu aimes, ce que tu ressens lorsque tu étires les points à leur maximum. Allez, plus fort ! bon sang, je ne vais pas le faire quand même !
Elle s'exécute, au fil de sa demande, sa voix monte, mais elle sait qu'il joue, et elle lui rend la pareille... et soudain elle bascule, ça y est, elle franchit la barrière et bascule dans le jeu, complètement. Elle obéit, sans réserve, elle veut tout faire pour lui plaire, sa bouche est entrouverte, sa langue pointe, elle gémit. Ses tétons sont à la limite de la douleur, elle les étire, presse les bouts, frotte entre ses doigts, en insistant, en pressant, comme si elle voulait en extraire du lait, c'est la première image qui lui vient..
Il caresse à nouveau sa cuisse, mais cette fois remonte franchement la jupe courte, dévoile son entre-jambe, elle sent qu'il se penche, il cherche quelque chose et un petit bruit lui fait comprendre : il a ouvert la boite à gant et allumé la petite lampe de veille. L'inconnu, le complice doit désormais voir un rai de lumière qui éclaire son sexe, elle sent les doigts de son prince qui écarte ses lèvres.. elle gémit, elle voudrait qu'il enfonce ses doigts, qu'il presse son clitorie. Mais il écarte implacablement, presse les grandes lèvres sur les hauts de cuisses, elle écarte machinalement les jambes, gémit, gémit ..
L'inconnu fait alors entendre sa voix, étouffée, derrière la vitre, un "Magnifique .. merci Prince, merci Douce, continuez.." .. ils ont bien préparé leur coup, cet inconnu utilise leurs mots complices, elle est troublée, se sent totalement mise à nu, elle est ailleurs, toutes les barrières sont tombées, elle sent couler hors d'elle sur les doigts de Prince son jus intime.. avec un doigt de sa deuxième main, il se badigeonne, puis plonge une, non deux, phalanges en elle, trempe littéralement son doigt comme si il voulait l'enduire de son miel intime...
- Aie confiance ma Douce, j'ai promis à ce bel inconnu que si il était bien sage et toi bien entrée dans le jeu, je lui ferai gouter ta chatte .. attention, il va faire froid dans quelques secondes, n'ai pas peur, confiance ..
Prince se redresse, il garde toujours une main pour écarter les replis de ses chairs et l'exhiber, elle tire toujours ses pointes de seins, elle se sent au bord de la jouissance et .. un chuintement, c'est la fenêtre qui s'abaisse, le froid s'engouffre et avec lui une odeur musquée, celle d'un parfum d'homme, et une voix, grave, nette cette fois "Magnifique, merci encore, quelle femme splendide, Prince, elle est comme vous me l'avez montrée, et quelle exhibitionniste, manifestement heureuse de se montrer si j'en crois ce que vous me montrez !"
Ils se vouvoient, comme dans ses fantasmes intimes, ils ont vraiement bien préparé leur jeu.. elle sent le bras de Prince traverser l'espace juste devant elle, et elle défaille lorsque qu'elle comprend, au bruit de succion qui suit, que Prince vient de tendre son index trempé de ses jus intimes à cet inconnu, qui prend soin de bien faire entendre qu'il déguste un nectar.
Le bras se recule. Voix plus affirmée : "Douce a la chatte délicieuse. Merci. Je peux goûter à la source ?"
Prince ne répond pas. La porte s'ouvre.
La ceinture se détache, l'inconnu s'active, manifestement il se positionne en s'agenouillant, mais en prenant soin de ne pas toucher Douce.
- Tourne toi ma chérie, ouvre ton compas, place ta jambe sur lui, aie confiance. Il ne fera que ce que nous avons convenu. Tu peux le toucher, le sentir, tu peux poser ta jambe droite sur lui. Et jouis. Nous voulons lui et moi t'entendre jouir. Je surveille que pas un passant ne s'approche..
Elle s'exécute, avec l'impression étrange d'ouvrir ses cuisses dans le vide, de jeter une jambe vers le vide, l'inconnu est impalpable, il est très prudent et ce n'est que lorsque sa jambe redescend qu'une main, très douce, s'en empare au niveau du mollet, pour la placer sur une épaule, juste à la bonne hauteur .. L'inconnu est agenouille, dans la neige, il approche et resprise bruyamment, juste au dessus de son sexe.
Contact.
Pour la première fois, une langue inconnue se pose sur elle. Il a eu le temps de la dévorer des yeux, de regarder son intimité ouverte, de façon crue, sans aucune barrière. Elle ne sait rien encore de lui.
Elle pose une main sur la tête, l'encourage, sa lange est rejointe par un, deux, puis trois doigts, qui vont rester en surface mais jouer le long des lèvres, parcourir les hauts de cuisse, l'intérieur des cuisses, se glisser jusqu'au bord de son anus, et faire ainsi mille et un va-et-vient, et sa langue, qui danse, danse, danse...
Elle jouit, quasi immédiatement, et Prince lui parle, garde le contact avec toujours une main sur la cuisse gauche, qui ne bouge pas. Elle sait que le spectacle pour lui est un rêve éveillé, il attend cela depuis tellement longtemps, mais là, malgré son envie profonde de lui partager ce qu'elle vit, elle ne peut que constater que son corps a pris le dessus, elle veut encore et encore jouir, jouir, jouir...
Jamais elle n'avait eu ce plaisir en rebond, de cette façon .. le stress, l'envie, la confiance, le respect .. tout a joué.. et puis soudain, il sent, il sait, il faut arrêter, le plaisir a atteint sa limite, et il se retire, va parler pour la dernière fois, et elle guette ses paroles..elle sait le soin que Prince donne aux détails et elle devine qu'il a certainement prévu une fin "comme il aime", une fin qui va lui déclencher un feu d'artifice..
- Douce, que beau surnom. Je parle pour que ma voix vous soit familière. Prince m'a proposé de revenir, de vous retrouver, de vous approcher, de vous surprendre..vous me reconnaitrez par la voix, Douce, à notre prochaine rencontre, et moi je sais quand, je sais où; Prince aussi .. et vous.. vous serez surprise. Et vous serez alors prise. Par moi. Je serais votre premier amant. Merci à vous pour vous être ainsi montré à moi. A bientôt
Elle gémit, fond, voudrait voir, retirer ce masque, mais elle sait que ce serait gâcher le moment, le jeu. Elle brûle à l'intérieur, elle sent son sexe gonflé, cette dernière phrase a atteint son objectif, ses muqueuses sont hyper sensibles, elle tremble, il a un dernier contact avec elle en refermant le compas de ses jambes, la replace en position assise passager et .. fermer doucement la porte.
Elle entend ses pas dans la neige. Prince remet le vérouillage des portes. Les bruits secs se succèdent, le moteur se remet en branle et elle attend, elle attend l'autorisation de retirer son masque.
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Ce n'est pas une histoire inventée, c'est notre histoire. Notre première fois. C'était il y a bientôt 20 ans. Nous venions de décider de vivre ensemble et de vivre. Ensemble. En laissant derrière nous des vies qui n'étaient pas du tout en phase avec ce que nous voulions. Et le faire en s'aimant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci 'Lecteur', pas facile de rapporter ce souvenir si fort.. les choses ont tellement évoluées depuis. Je vais essayer d'écrire nos jeux progressivement, et de les situer dans le temps... à suivre donc ^^
Absolument magnifique !
Bravo …
Bravo …

