Découverte de ma vraie sexualité - histoire érotique

Ma situation conjugale n’allait pas fort mais mon épouse m’a donné une fille. Elle m’offre une vie sexuelle rare, 1 fois tous les 2 ou 3 mois. Malgré ce manque, je ne voulais pas la tromper avec une autre femme, et pourtant l’envie ne manquait pas, une de mes collègues au physique plus qu’agréable n’arrêtait pas de m’allumer, mais je ne souhaitais pas mélangé le travail et le plaisir.

Je n’ai jamais eu d’autres relations qu’hétérosexuelles, et adorait me frotter contre les dessous sexy de ma femme, quand elle en portait, autre fois. Durant les première année ma femme était très portée sur le sexe et aimait les dessous très sexy, et me demandait souvent que je la sodomise, elle en retirait une grande jouissance à ce qu’elle me disait.
En trop grand manque, je me suis mis à surfer sur Internet, il y a quelques mois. Le hasard et la curiosité aidant, je suis entré en contact avec une femme dont le pseudo est significatif (TESAMOI) de mes envies, elle m’a dit qu’elle souhait s’occuper d’un homme qu’elle soumettrait et baiserait selon ses envies. Après quelques échange de désires, et que je ne pouvais recevoir, elle m’a transmis un nom de lieu pour se rencontré, un café dans sa ville. Elle s’est montrée très compréhensive, me décrivant elle-même ses désires et envies, mais en restant dans le vague. Elle s’est rendue si convaincante que j’ai accepté de la rencontrer. Il y a 5 mois, je me suis rendu dans sa ville pour le week-end, je suis arrivé en début d’après-midi du vendredi et me suis rendu à l’adresse indiquée (pour ma femme, j’avais un séminaire professionnelle). C’est une femme comme je les aime, bien proportionnée, noiraude, fine, très élégante (bcbg sexy). Elle s’est révélée très douce et plus compréhensive que sur le net. Elle m’a fait comprendre que si je me comportais en homme passif, elle me ferait prendre le plus grand plaisir de ma vie, et que je ne pourrais plus me passez d’elle. Elle ne voulait pas brusquer les choses mais qu’elle était prête à me former le jour où… Au moment de nous quitter, elle m’a caressé la joue et dit tu aimera te faire mettre. Cela m’a procuré un frisson inhabituel.

Dès son départ, tout tournait dans ma tête et j’ai fini par craquer. Moins d’une heure après notre séparation au café, j’ai téléphoné à Noemi (c’est le nom qu’elle m’a donné en se présentant au café) pour lui dire que j’étais prêt et que je me mettait à sa disposition pour le week-end. A l’heure convenue je frappai à sa porte. elle me fit entrer et avancer vers le salon. A peine entré dans le salon, elle me demanda si je voulait vraiment me soumettre et obéir à ses pulsions sexuelles, je lui confirmait que je voulait me soumettre tout un week-end et après je verrais si je souhaite continuer, mais que je serait le plus soumis des hommes pour ce week-end, et n’obéirait qu’à ses ordres et pulsions, et à personnes d’autres, elle me dit « et si je veut faire participer d’autres personnes » je lui dit que je ferait que ce qu’elle m’ordonnera, mais pas ce que les autres personnes m’ordonneront. Elle me pris par la main et me fit aller dans une chambre ou elle m’ordonna de me mettre totalement nu, puis elle mit mes habits dans une armoire fermée à clef, et me tendit un porte-jartelle, des bas et une paire d’escarpins à haut talons, puis me maquilla fortement, me repris par la main pour me ramener dans le salon, elle m’ordonna de marcher en me trémoussant comme une salope en disant fort je suis une salope qui aime se faire baiser, elle n’arrêtait pas de me dire de continuer jusqu’à ce que j’ai l’habitude de marcher avec ses chaussures et de ne pas arrêter de dire que je voulait me faire baiser. Après une bonne vingtaine de minutes, elle fit entré trois hommes qui se dévêtir totalement puis s’assis nus sur le canapé. Je reculait pour aller dans la chambre, mais avant que j’ai finit de faire demi tour elle me dit regarde ici la camera, et ce que j’ai dans la main (un dictaphone), et les message sur le net que j’ai gardé, tu aimerais que je les donnent à ta femme et à ton travail, je ne pense pas, alors obéit et fait tout ce que je t’ordonne, et surtout n’oublie pas que tu doit le faire comme une bonne salope obéissante. Malgré ces parole, je voulu partir, mais elle dit…..

"N’oublie pas que j’ai enregistré notre conversation au restaurant, j’ai tous nos échanges Internet, et tu es filmé depuis que tu es rentré ici, te dandinant en sous vêtement de femme et disant que tu es une salope qui veut se faire baiser. Si tu veux, on peut en parler à ta femme tout de suite."

Je n’y tenais absolument pas. Me sentant hésitant, Noemi m'ordonna fermement de me mettre à genoux devant les homes. Je voulait refuser mais Noemi me remontra le dictaphone et de l’autre main la caméra. Je m’exécutait en allant me placer devant les hommes et avant que je me mette à genoux Noemi me fit tourner sur moi-même pour m’offrir entièrement aux regards de ces hommes et dit "Joli petit cul !" Denis, l’homme à gauche du canapé demanda quand ma bouche sera active, et Noemi m’ordonna A genoux immédiatement salope, et je me suis agenouillé devant les trois hommes. Une fois à genoux à quelques centimètres de l’homme du milieu (c’est Sébastien), Je fut étonné d’être fier de ce compliment que Noemi m’adressa par ces mots au sujet de mon cul. Sébastien mit une de ses mains derrière ma nuque. Il plaqua ses lèvres sur les miennes et m’embrassa vigoureusement. C’était mon premier baisé avec un homme. Sa langue me pénétrait profondément. Je m’abandonnai à ses caresses, moi qui suis plutôt actif avec une femme, je ressentait du plaisir à être passif avec Noemi et les hommes. Continuant de m’embrasser, Sébastien me caressa les fesses avec son autre main. Doucement, je me mis à bander. Sébastien arrêta de m’embrasser et poussa ma tête vers Denis pour que je le suce. Un peu choqué, je regarda l’enregistreur et la caméra et j’approchai ma bouche de sa bite, je saisis son pénis et me le mis maladroitement en bouche. Je fis des mouvements essayant d’imiter les femmes qui m’avaient sucé. Je n’étais visiblement pas très performant car Denis me saisit la tête à pleines mains et me donna quelques conseils puis il m’imprima de vigoureux mouvements envoyant son sexe cogner au fond de ma gorge. Je commençai à me faire à la chose, essayant de m’appliquer quand Marcello, assis tout à droite du canapé, se leva. Quelques instants plus tard, je sentis mes fesses s'écarter un produit froid est appliqué contre mon anus, le réflexe voulu que je serrai aussitôt mes fesses et les cuisses. Marcello me les écarta avec l’aide de Sébastien, et ils me dirent détend toi si tu ne veut pas avoir trop mal et je sentis son sexe appuyer contre mon anus. Je voulus crier non, mais Denis me força et m’envoya son sexe encore plus profond. Les doigts de Marcello commencèrent à masser mon cul en insistant sur mon anus, je me détendis et 1 puis 2 et enfin 3 doigts étaient enfoncés dans mon petit cul vierge, puis ce fut le sexe de Marcello qui commença à dilater mon anus et commença à me pénétrer. Je voulus crier de douleur lorsque le gland passa mais avec la queue de Denis dans la bouche et le plaisir qui faisait place à la douleur, je me mis à m’appliquer à sucer et de faire que mon anus soit détendu. Marcello commença un lent va et vient et le plaisir me submergea. Je m’abandonnai totalement à Denis qui disposait de ma bouche et à Marcello qui disposait de mon cul, et moi qui commençais a monté plus haut que le plus grand plaisir que j’avais eu avec les femmes.

Le plaisir fut brutal. Lorsque la queue de Denis se gonfla et m’envoya par saccades son sperme au fond de la gorge. Je voulus me dégager mais le : "Avale tout, petite salope !" de Denis me remis à ma place. Et j’avalai tout consciencieusement.
Denis se retira et Sébastien, pris sa place dans ma bouche. Sa queue un peu plus grande me força à l’ouvrir plus large que pour Denis. Pendant que je besognais Sébastien, je sentis la queue de Marcello se dilater et se soulager dans le préservatif au fond de mes entrailles. À peine se retira-t-il que les mains de Noemi me saisissaient fortement par les hanches et OOHHHH surprise sa queue (Noemi était un travestit) frottait ma rondelle. Mon anus dilaté laissa celle-ci passer sans aucune douleur (bien que plus petite que celle des hommes, elle avait la taille parfaite pour mon cul). Les mains chaudes de Noemi me faisaient frissonner comme au restaurant. Ses poussées lentes (et faites avec douceur) me comblaient. À tel point que je ressentis le plaisir monté en moi, et pourtant sans que qui que ce soit aie touché ma queue, et en moins d’une minutes, j’explosait et répandait mon sperme sur le tapis. Comme ça elle avait raison : j’étais fait pour être passif, soumis et obéissant avec les personnes dominantes. La jouissance me transporta dans un état inconnu et avait en moi un véritable feu d’artifice du plaisir. Je ne savais plus qui était dans ma bouche. Qui était dans mon cul. Juste quand Sébastien me sodomisa ; je sentis alors mon anus se dilater comme s’il allait exploser. Mais le plaisir était tellement fort que j’aurais pu supporter encore plus gros. Ce fut un véritable défilement de bite dans mon cul et dans ma bouche, et quand il ont tous finit de jouir, j’avais encore envie d’être sodomiser et qu’ont remplisse ma bouche avec une bonne queue. Puis je me suis rendu compte qu’il fallait dire à Noemi, qu’elle avait raison et qu’il fallait qu’elle me soumette et pas seulement un jour de temps en temps mais le plus souvent possible, que je voulait lui appartenir, mais je ne disait rien tant que ces hommes étaient présent. J’étais pour l’instant leur chose. J’étais à l’entière disposition de Noemi, Denis, Sébastien et Marcello pour satisfaire tous leurs désirs. Le mien aussi car j’étais dans un état euphorique, jusqu’au moment où ils allèrent prendre leurs douche. Une fois seul avec Noemi, elle me demanda ce que je comptait faire, rentrer ou continuer à me soumettre, alors je lui ai tout dit, qu’elle avait raison et que je ne pourrais plus me passer de me soumettre à tous ces ordres, que je voulait être sa salope et même que je serait sa pute si elle le désirait, que pour pouvoir exécuté ses ordres je ferait absolument tout pour continuer à avoir ce plaisir si fort que je venait d’avoir, Elle me dit bon alors dormons un peu, demain tu aura beaucoup de boulot.

Au réveil, j’étais blottit contre ma Maîtresse Noemi, et je me suis tourné doucement pour ne pas la réveiller, et j’ai frotter mon cul contre sa petite bite, à ce moment précis, je voulait avoir cette queue dans la bouche et voulait recevoir son jus d’amour au fond de la bouche, puis de recevoir cette queue sans préservatif pour ressentir la jouissance de ma Maîtresse dominatrice envahir le plus profond de mon cul. Noemi se réveilla doucement par le frottement de mes fesses contre son sexe et me sourit amicalement et m’embrassa longuement, puis me demanda ce que je souhaitait vraiment, je lui dit que je voulait la sucer et la boire entièrement, elle me dit vas-y ma salope boit moi. Je me suis penché est j’ai pris sa queue qui grossissait dans ma bouche une sensation incroyable me parcouru de sentir cette queue grossir et durcir dans ma bouche, et quand la jouissance arriva, je m’appliquait pour ne pas en perdre une goutte, puis me mis à lécher, sucer pour ne rien perdre. Après avoir repris ses esprits elle me demanda si je voulait toujours être sa salope et lui obéir totalement quoi qu’elle me demande, je lui ai dit que rien ne pourrais me donner plus de plaisir que de lui obéir, elle se leva et alla prendre une douche, en revenant elle me demanda si elle pouvait encore faire quelques choses pour moi, avant de me soumettre, et je lui ai dit que je souhaitait me faire sodomiser sans préservatif par elle et seulement par elle, parce que je lui faisait totalement confiance, mais surtout pour lui montrer que je ferais tout ce qu’elle veut, en prenant avec les autres toutes les précautions. Elle s’approcha, glissa un coussin sous mes reins. Elle vint me donner sa bite à sucer et dès qu’elle avait une bonne grosseur, me releva les jambes sur ses épaules, mon cul ainsi offert, elle n’eut aucun mal à me pénétrer, même si mon anus se souvenait de notre folle nuit de baise. Noemi me souriait pendant ses lents va-et-vient au fond de mes entrailles. Elle avait l’air heureuse et je l’étais aussi, le plaisir était ce matin encore plus fort et violent que la nuit précédente, c’était le fait de le voir ainsi en face pendant qu’elle me défonçait le cul en me disant qu’il fallait être une bonne et grande salope à ses ordres. Soudain elle se raidit, son visage exprima la jouissance et je sentis les saccades de sperme m’envahir. Et elle s’écroula sur moi. Je n’avais pas joui mais c’était encore mieux de sentir ses petits seins contre ma poitrine et son souffle irrégulier et rapide du à la jouissance. Le reste de la journée n’a été qu’obéissance, soumission et surtout être défoncé à la chaîne, en ce samedi, j’ai subit les assauts de ses amies travestit et transsexuel (9+elle), un groupe d’hommes (5), 3 couples séparément et 14 hommes individuellement, j’avoue que j’avait hâte de finir, j’avait le cul en feu et douloureux, mais je voulait lui prouvé que je serait la salope qu’elle souhaitait, le dimanche j’ai eu droit à un bonheur incroyable, c’est elle qui c’est occupé de moi, et à midi, j’ai du recommencé à satisfaire ses amis et amies, entre 13 et 18 heures, j’ai du satisfaire 17 personnes, puis je pris ma douche avant de reprendre la route et de lui certifié que je serait de retour vendredi prochain, mais avant de partir, j’ai eu l’immense honneur de pouvoir la sucer à fond et de recevoir une fois encore sa liqueur d’amour au fond de ma bouche.
Depuis mes relation avec ma femme ont changé, elle a pris un amant, ainsi je peut avoir tous mes week-end pour me mettre aux ordres de Noemi, mais vu son déménagement, ont ne se voit plus que un week-end tous les 2 mois, la soumission aux sexe tous les jours me manque.