Découverte de plaisirs nouveaux ! (1)
Récit érotique écrit par Couplepolisson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Découverte de plaisirs nouveaux ! (1)
La semaine qui vient de s’écouler a été particulièrement coquine pour nous. Tu semblais excitée comme une puce. Bien que nous ayons les enfants à la maison, tu étais une vraie assoiffée de sexe, toujours prête à m’aguicher, me montrer tes sous-vêtements pendant nos ballades, me sauter dessus le soir dans le lit, m’envoyer des photos plutôt très osées… J’ai adoré ces derniers jours !
Tu as pris un malin plaisir à t’occuper de faire monter mon excitation, m’a prodigué des fellations comme rarement tu m’en as faites, titillant de tes doigts mon côté obscur pendant que tu me suçais. J’ai failli jouir dans ta bouche plusieurs fois, mais, sachant que tu n’aimes pas ça, j’ai réussi à me retenir. Me voyant au bord du gouffre, tu a plusieurs fois sorti mon jouet que tu as glissé en moi avec délice, me fixant dans les yeux tout en glissant ta main experte sur mon sexe dur comme jamais. Tu sentais mon orgasme arriver, jusqu’à ce que mes spasmes libèrent le fruit de ton travail. Déversant ma semence sur mon ventre pour ta plus grande joie.
Une fois que tu as réussi à faire retomber ma tension sexuelle, tu me demandais alors de m’occuper de toi doucement, de faire monter ton excitation. T’offrant à moi dans des poses toujours plus lascives, qui auraient pu être obscènes si elles n’étaient pas partagées dans l’intimité de notre chambre. J’ai adoré te voir te déshabiller entièrement devant moi, lentement pour me laisser observer tes délicieuses courbes. Puis t’allonger à côté de moi, écarter tes jambes, poser une main sur tes seins, les caressant langoureusement, une autre sur ta petite chatte, écartant tes lèvres intime et glissant la pulpe de ton index sur ta fente déjà bien humide.
Viens me lécher, caresses moi, prends moi, tels ont été tes mots, souvent coquins, parfois bestiaux, toujours plein d’envie.
Un soir, alors que je te léchais avec délectation, je te vois attraper d’abord tes chevilles, puis glisser tes mains derrière tes genoux, les ramenant ainsi sur toi poitrine. Dans cette position, j’ai non seulement accès à ton petit fruit, bien juteux de ton plaisir de de ma salive, mais également à ton petit trou, dont j’aime tant m’occuper !
Lorsque tu étais ainsi positionnée, timidement, mais avec une envie énorme, je descends ma bouche sur le côté sombre de ton plaisir. Je sors ma langue, doucement, et effleure ta petite rondelle délicieusement offerte. Je te lèche, d’abord superficiellement, puis ma langue se fait plus précise, plus attentionné au fur et à mesure que tes petits gémissement se font entendre et que ta respiration s’accélère. Je fais monter ton plaisir doucement en même temps que mon désir augmente. Je te lèche, je glisse ma langue et joins mes doigts à mes caresses buccales.
Doucement, je tourne mon pouce autour de cette petite porte, petit à petit j’appuie de plus en plus lorsque je passe en centre. Puis, assez rapidement à ma grande surprise, ma première phalange est comme aspirée par les profondeurs de tes entrailles, signe de ton envie grandissante et du plaisir que tu prends à recevoir mes caresses. J’entame de petits vas-et viens alors que mon autre main s’occupe de ton clitoris ou de ton abricot détrempé d’excitation.
Je te lubrifie abondamment de ma salive, mais ton plaisir est tel qu’il coule de ta chatte sur ton petit trou, maintenant palpitant sous mes caresses. Quelques minutes de ce traitement finissent de te mettre au supplice. Tu n’y tiens plus et me demande de venir te prendre, selon tes propres mots.
Tout à ma joie, je me relève et viens poser mon gland sur ta petite rondelle.
— Comme ça ?
— Oui, mais vas-y doucement.
— Oh que oui, avec grand plaisir !
Doucement donc, je pousse mon bassin vers toi. Je te sens t’ouvrir et m’aspirer littéralement. Que c’est bon ! Sans à-coups, sans précipitation, je me glisse en toi, jusqu’à être complètement entré. Je me recule pour recommencer, et tu me demandes alors :
— Ça ne te dérange pas sur je prends mon jouet favoris ?
— Bien sûr que non, au contraire, ça m’excite encore plus !
Je te le glisse même dans la main après l’avoir allumé. Tu le poses alors sur ton clitoris, gonflé de plaisir. Tu gardes les jambes relevées et écartées, les genoux sur le torse, une main écartant tes lèvres intimes, l’autre plaquant ton jouet sur ton bouton du plaisir. La scène que j’observe est un pur délice, je me vois en même temps glisser en toi par ce chemin détourné que nous n’utilisons que rarement.
Cette pratique te mets dans un état presque second, et libère sans aucun doute tes inhibitions, ainsi que ta parole.
— Oh oui, vas-y, c’est bon comme ça ! Me dis-tu.
— J’adore te sentir te glisser en moi, et le jouet en plus… ça me fait monter aux rideaux. J’espère que quand c’est moi qui m’occupe de toi c’est aussi bon que ça !
— Tu veux dire avec le petit jouet pour moi pendant que tu me suces ?
— Oui, c’est ça !
Ton souffle est court, tes paroles saccadées, je n’arrête pas un instant mes mouvement, mais sans accélérer. Je suis à nouveau au bord de la jouissance tant tu m’excites ainsi offerte.
— Oui ma chérie, c’est un délice quand tu t’occupes de moi. J’adore te sentir titiller mes fesses et me sucer en même temps.
— Ça ne te plairait pas un jouet… plus réaliste, que tu puisses ressentir la même chose que moi en ce moment ?
— C’est une offre alléchante ma chérie !
Mon excitation vient de monter d’un cran encore, je me concentre pour ne pas exploser…
— Il faudrait qu’on cherche ça ensemble, j’aimerais te prendre comme tu me le fais en ce moment…
Je te donne un coup de rein un peu plus vif…te phrase reste suspendue à ton souffle court. Tu fermes les yeux pour mieux me sentir au fond de tes entrailles pendant que ton jouet aspire ton clito et le fait vibrer de plaisir.
— Je pourrais te prendre et te branler en même temps !
— Je ne sais pas si je tiendrais longtemps… mais ça doit être bon !
Mes mouvements s’accélèrent, tu fermes à nouveau les yeux en te mordant la lèvre inférieure. Je regarde ma queue disparaitre en toi, et ta chatte luisante de désir, coulante de plaisir. Tu m’encourage à continuer, aussi discrètement qu’il t’est possible de le faire. A mon grand soulagement, je t’entends et surtout je te sens jouir. Je n’en pouvais plus et j’explose à mon tour au plus profond de toi, déversant tout mon plaisir. Nos spasmes sont conjugués, c’est un délice d’atteindre ainsi le nirvana ensemble.
— Ouah… que c’était bon !
— Oh oui ma chérie, j’adore te voir coquine et libérée comme ça ! Alors tu as aimé ce qu’on a fait, pas de douleurs ?
— Non, aucune, que du plaisir, j’aimerais vraiment te rendre la pareil un jour…
— Quand tu veux !
— Tu veux qu’on aille chercher un jouet ensemble pour réaliser ça ?
J’hésite, cette perspective m’enchante, toutes les activités liées au sexe qu’on peut faire ensemble m’enchantent de toute façon.
— Que dirais-tu de choisir seule et de me faire la surprise quand tu auras trouvé ?
— Ok, je te prendrai par surprise ! dans tous les sens du terme !
— Je t’aime mon amour !
— Moi aussi mon chéri !
Après avoir fait un petit brin de toilette, nous nous endormons tous les deux, enlacés, et profitons d’un sommeil réparateur.
Les jours passent et sans réellement oublier ces instants, ils disparaissent du premier plan de mes préoccupations.
Nous continuons notre petite vie coquine, parentale, d’adulte.
Enfin arrive se profil un weekend ou nous serons sans enfants. Bien sûr, nous avons des envies de sortie coquine, le sauna, rencontrer un homme ou une femme pour un trio à l’hôtel, éventuellement un couple chez eux, pas de choix particulier, tout nous plaît en fait. Nous consultons notre site de rencontre libertine et précisions nos prochaines disponibilités histoire de voir ce qui peut bien se présenter à nous.
Sans trop de surprises, nous avons surtout des contacts d’hommes seuls, majoritaires sur le site, bien que beaucoup couples soient également présents. Les femmes seules, bi ou hétéro sont, elles, par contre très rares !
Encore indécis, nous parcourons les messages. Tu prends l’ordinateur afin de mieux lire les différents messages, tu t’intéresses surtout à ceux des couples, mais deux ou trois hommes seuls qui sortent du lot retiennent ton attention aussi.
L’un d’entre eux en particulier, en ligne pendant que nous consultons, vient t’interpeler sur le chat. Tu commences à discuter, il est très agréablement surpris de discuter avec la femme du couple, bien souvent, ce sont les hommes au clavier. Vous échangez sans trop de fioriture, nous savons tous pourquoi nous sommes ici, le but est de trouver des partenaires de sexe, ou plutôt de baise littéralement. Il t’ouvre son album privé afin que nous puissions l’observer correctement, que ce soit son visage ou ses attributs. Son corps est agréable, musclé mais pas trop, il est bien membré, très peu de poils, et ses photos comme son dialogue nous donnent l’impression que c’est une personne « normale ». Pas un soiffard qui considère les couples comme un moyen de se vider facilement, ou un auto-satisfait qui se regarde le nombril afin de s’auto congratuler.
Assez rapidement, il nous propose de nous rencontrer, au sauna ou ailleurs. Il a beaucoup apprécié notre galerie privée également. Te voir me sucer et me voir te prendre l’a beaucoup excité. Il nous dit que tu lui plais beaucoup… tout comme moi d’ailleurs.
Cette remarque titille ta curiosité, tu lui demandes à quel point je lui plais. Il nous indique alors qu’en fait, il ne note pas qu’il est bi sur sa fiche parce que ça rebute trop de couples dont l’homme est réfractaire au partage entre homme, mais qu’à l’occasion, il aime bien échanger des caresses et un peu plus si tout le monde est d’accord bien sûr. Ça n’est qu’une facette supplémentaire de sa sexualité.
Tu te retournes vers moi, le regard coquin :
— Finalement on ne va peut-être pas avoir besoin de d’acheter un god plus réaliste mon chéri !
— Je n’en suis pas encore là, on verra bien. Ce sera peut-être l’occasion de faire quelques découvertes superficielles, mais bon, de là à aller plus loin, j’ai un doute quand même.
— Tu veux dire que tu pourrais le branler ou le sucer ?
— Je ne sais pas, peut-être…
— J’aimerais bien voir ça !
— Je ne veux rien promettre, on verra sur le moment.
Nous continuons donc de discuter avec lui et lui fixons rendez-vous sur une terrasse de café. Je crois à ce moment que la perspective de me faire découvrir de nouveau plaisir t’a fortement émoustillée. Tu me dis vouloir un cadre plus intimiste. Si le courant passe, on ira à l’hôtel me dis-tu. J’accepte bien sûr sans hésiter, je sais que quoi qu’il arrive, nous passerons un excellent moment, les témoignages liés au profil de Mathieu, c’est son prénom, son rassurant. Il semble très respectueux et sait donner du plaisir à ses partenaires, hommes ou femmes.
Ton excitation est telle que plutôt que de fixer le rendez-vous samedi comme nous le faisons habituellement, tu as choisi de lui proposer vendredi soir, même s’il sera 22 heures lorsque nous serons disponibles.
C’est demain, mais le temps te paraît déjà long… Tu expliques à Mathieu que tu dois le laisser, nous allons nous « échauffer » pour demain. Cette idée l’émoustille et son imagination tourne à plein régime. Il aimerait pouvoir nous rejoindre à l’instant.
Nous lui indiquons que malheureusement il va devoir être un peu patient, mais que nous comptons sur lui pour être en pleine forme demain soir.
A peine la session fermée et l’ordinateur éteint que ta main glisse déjà sur ma queue durcie par nos discussions et la perspective de la soirée que nous allons passer. Sans un mot de plus, tu gobe mon gland de tes douces lèvres comme s’il s’agissait d’un fruit juteux. Tu m’aspires, me lèches et me suces avec toute l’expertise que tu possèdes.
Avec un regard lubrique et coquin, tu lèches tes doigts abondamment et descend ta main sous mes bourses pour chercher, entre mes fesses, l’entrée de mon autre plaisir.
Tu me titilles et me caresse alors que ta bouche m’aspire vers le nirvana. Tu attrapes un petit jouet que nous avons et tu t’occupes de mon côté sombre. Une main fermement agrippée à la queue, de l’autre tu enfonces ce petit jouet en moi doucement. Une fois qu’il est bien en place, tu en déclenches les vibrations et entames de petits mouvements de va et vient. Sur ma queue comme entre mes fesses, tes mouvements sont un pur délice.
Tu sens les spasmes arriver, je me contracte et tu souris, tu vois les jets de sperme chaud qui giclent sur mon ventre. TU les accompagne de tes doux mouvements, continuant de me branler doucement. Je ne tiens jamais longtemps ainsi.
Je me nettoie, et me jette sur toi. Ma vigueur n’est pas encore revenue, mais je suis tout de même très excité.
Je te repousse en arrière, t’enlève tous tes vêtements, et lorsque tu es enfin nue face à moi, je précipite ma bouche entre tes fesses. Je te lèche, et te titille de ma langue, mais c’est surtout de ta petite chatte dont j’ai envie à l’instant. Je remonte donc ma bouche et viens aspirer ton nectar pendant que mes doigts glissent en toi. Je te sens mouiller comme rarement, excitée par ma jouissance récente. Je te lèche et te pénètre tactilement. Puis je me redresse et approche mon bassin de ta bouche afin que tu puisses, par tes talents, terminer de me redonner toute la rigidité dont j’ai besoin pour enfin me glisser dans ton doux écrin.
Mes doigts au fond de toi, je te vois faire disparaître mon gland entre tes lèvres, ma queue grossit instantanément. Je continue de faire monter ton plaisir et quand ma forme est suffisante, je viens me glisser entre tes jambes, que je pose sur mes épaules, et je glisse ma queue dans ta chatte, brulante de désir. Je glisse sur ton plaisir, je vais et je viens, doucement ou fermement.
Tu poses une main sur mon torse pendant que l’autre s’agrippe aux draps. Ton plaisir monte, je sens tes contractions sur ma queue, comme si tu essayais de m’emprisonner. Je ressors entièrement, pose mon gland entre tes petites lèvres, et pousse doucement. Je sens cette résistance physique en raison de tes contractions de plaisir. Comme un cran qui saute quand mon gland se fraye un passage. Je recommence plusieurs fois. Mon excitation devient trop grande, je ne peux m’empêcher de me glisser plus vivement et plus complètement en toi. Avec énergie je te besogne, je te vois, te sens et t’entends jouir quand, moi aussi, j’explose de plaisir tout au fond de ton intimité.
Ivres de plaisir et épuisés de notre douce étreinte, nous nous allongeons l’un à côté de l’autre. Je me glisse contre toi et goute au doux plaisir que te sentir ton corps nu contre le mien. Nous nous assoupissons, impatient d’être à demain soir. Les plaisirs qui nous attendent, encore inconnus pour le moment, semblent bien délicieux !
Tu as pris un malin plaisir à t’occuper de faire monter mon excitation, m’a prodigué des fellations comme rarement tu m’en as faites, titillant de tes doigts mon côté obscur pendant que tu me suçais. J’ai failli jouir dans ta bouche plusieurs fois, mais, sachant que tu n’aimes pas ça, j’ai réussi à me retenir. Me voyant au bord du gouffre, tu a plusieurs fois sorti mon jouet que tu as glissé en moi avec délice, me fixant dans les yeux tout en glissant ta main experte sur mon sexe dur comme jamais. Tu sentais mon orgasme arriver, jusqu’à ce que mes spasmes libèrent le fruit de ton travail. Déversant ma semence sur mon ventre pour ta plus grande joie.
Une fois que tu as réussi à faire retomber ma tension sexuelle, tu me demandais alors de m’occuper de toi doucement, de faire monter ton excitation. T’offrant à moi dans des poses toujours plus lascives, qui auraient pu être obscènes si elles n’étaient pas partagées dans l’intimité de notre chambre. J’ai adoré te voir te déshabiller entièrement devant moi, lentement pour me laisser observer tes délicieuses courbes. Puis t’allonger à côté de moi, écarter tes jambes, poser une main sur tes seins, les caressant langoureusement, une autre sur ta petite chatte, écartant tes lèvres intime et glissant la pulpe de ton index sur ta fente déjà bien humide.
Viens me lécher, caresses moi, prends moi, tels ont été tes mots, souvent coquins, parfois bestiaux, toujours plein d’envie.
Un soir, alors que je te léchais avec délectation, je te vois attraper d’abord tes chevilles, puis glisser tes mains derrière tes genoux, les ramenant ainsi sur toi poitrine. Dans cette position, j’ai non seulement accès à ton petit fruit, bien juteux de ton plaisir de de ma salive, mais également à ton petit trou, dont j’aime tant m’occuper !
Lorsque tu étais ainsi positionnée, timidement, mais avec une envie énorme, je descends ma bouche sur le côté sombre de ton plaisir. Je sors ma langue, doucement, et effleure ta petite rondelle délicieusement offerte. Je te lèche, d’abord superficiellement, puis ma langue se fait plus précise, plus attentionné au fur et à mesure que tes petits gémissement se font entendre et que ta respiration s’accélère. Je fais monter ton plaisir doucement en même temps que mon désir augmente. Je te lèche, je glisse ma langue et joins mes doigts à mes caresses buccales.
Doucement, je tourne mon pouce autour de cette petite porte, petit à petit j’appuie de plus en plus lorsque je passe en centre. Puis, assez rapidement à ma grande surprise, ma première phalange est comme aspirée par les profondeurs de tes entrailles, signe de ton envie grandissante et du plaisir que tu prends à recevoir mes caresses. J’entame de petits vas-et viens alors que mon autre main s’occupe de ton clitoris ou de ton abricot détrempé d’excitation.
Je te lubrifie abondamment de ma salive, mais ton plaisir est tel qu’il coule de ta chatte sur ton petit trou, maintenant palpitant sous mes caresses. Quelques minutes de ce traitement finissent de te mettre au supplice. Tu n’y tiens plus et me demande de venir te prendre, selon tes propres mots.
Tout à ma joie, je me relève et viens poser mon gland sur ta petite rondelle.
— Comme ça ?
— Oui, mais vas-y doucement.
— Oh que oui, avec grand plaisir !
Doucement donc, je pousse mon bassin vers toi. Je te sens t’ouvrir et m’aspirer littéralement. Que c’est bon ! Sans à-coups, sans précipitation, je me glisse en toi, jusqu’à être complètement entré. Je me recule pour recommencer, et tu me demandes alors :
— Ça ne te dérange pas sur je prends mon jouet favoris ?
— Bien sûr que non, au contraire, ça m’excite encore plus !
Je te le glisse même dans la main après l’avoir allumé. Tu le poses alors sur ton clitoris, gonflé de plaisir. Tu gardes les jambes relevées et écartées, les genoux sur le torse, une main écartant tes lèvres intimes, l’autre plaquant ton jouet sur ton bouton du plaisir. La scène que j’observe est un pur délice, je me vois en même temps glisser en toi par ce chemin détourné que nous n’utilisons que rarement.
Cette pratique te mets dans un état presque second, et libère sans aucun doute tes inhibitions, ainsi que ta parole.
— Oh oui, vas-y, c’est bon comme ça ! Me dis-tu.
— J’adore te sentir te glisser en moi, et le jouet en plus… ça me fait monter aux rideaux. J’espère que quand c’est moi qui m’occupe de toi c’est aussi bon que ça !
— Tu veux dire avec le petit jouet pour moi pendant que tu me suces ?
— Oui, c’est ça !
Ton souffle est court, tes paroles saccadées, je n’arrête pas un instant mes mouvement, mais sans accélérer. Je suis à nouveau au bord de la jouissance tant tu m’excites ainsi offerte.
— Oui ma chérie, c’est un délice quand tu t’occupes de moi. J’adore te sentir titiller mes fesses et me sucer en même temps.
— Ça ne te plairait pas un jouet… plus réaliste, que tu puisses ressentir la même chose que moi en ce moment ?
— C’est une offre alléchante ma chérie !
Mon excitation vient de monter d’un cran encore, je me concentre pour ne pas exploser…
— Il faudrait qu’on cherche ça ensemble, j’aimerais te prendre comme tu me le fais en ce moment…
Je te donne un coup de rein un peu plus vif…te phrase reste suspendue à ton souffle court. Tu fermes les yeux pour mieux me sentir au fond de tes entrailles pendant que ton jouet aspire ton clito et le fait vibrer de plaisir.
— Je pourrais te prendre et te branler en même temps !
— Je ne sais pas si je tiendrais longtemps… mais ça doit être bon !
Mes mouvements s’accélèrent, tu fermes à nouveau les yeux en te mordant la lèvre inférieure. Je regarde ma queue disparaitre en toi, et ta chatte luisante de désir, coulante de plaisir. Tu m’encourage à continuer, aussi discrètement qu’il t’est possible de le faire. A mon grand soulagement, je t’entends et surtout je te sens jouir. Je n’en pouvais plus et j’explose à mon tour au plus profond de toi, déversant tout mon plaisir. Nos spasmes sont conjugués, c’est un délice d’atteindre ainsi le nirvana ensemble.
— Ouah… que c’était bon !
— Oh oui ma chérie, j’adore te voir coquine et libérée comme ça ! Alors tu as aimé ce qu’on a fait, pas de douleurs ?
— Non, aucune, que du plaisir, j’aimerais vraiment te rendre la pareil un jour…
— Quand tu veux !
— Tu veux qu’on aille chercher un jouet ensemble pour réaliser ça ?
J’hésite, cette perspective m’enchante, toutes les activités liées au sexe qu’on peut faire ensemble m’enchantent de toute façon.
— Que dirais-tu de choisir seule et de me faire la surprise quand tu auras trouvé ?
— Ok, je te prendrai par surprise ! dans tous les sens du terme !
— Je t’aime mon amour !
— Moi aussi mon chéri !
Après avoir fait un petit brin de toilette, nous nous endormons tous les deux, enlacés, et profitons d’un sommeil réparateur.
Les jours passent et sans réellement oublier ces instants, ils disparaissent du premier plan de mes préoccupations.
Nous continuons notre petite vie coquine, parentale, d’adulte.
Enfin arrive se profil un weekend ou nous serons sans enfants. Bien sûr, nous avons des envies de sortie coquine, le sauna, rencontrer un homme ou une femme pour un trio à l’hôtel, éventuellement un couple chez eux, pas de choix particulier, tout nous plaît en fait. Nous consultons notre site de rencontre libertine et précisions nos prochaines disponibilités histoire de voir ce qui peut bien se présenter à nous.
Sans trop de surprises, nous avons surtout des contacts d’hommes seuls, majoritaires sur le site, bien que beaucoup couples soient également présents. Les femmes seules, bi ou hétéro sont, elles, par contre très rares !
Encore indécis, nous parcourons les messages. Tu prends l’ordinateur afin de mieux lire les différents messages, tu t’intéresses surtout à ceux des couples, mais deux ou trois hommes seuls qui sortent du lot retiennent ton attention aussi.
L’un d’entre eux en particulier, en ligne pendant que nous consultons, vient t’interpeler sur le chat. Tu commences à discuter, il est très agréablement surpris de discuter avec la femme du couple, bien souvent, ce sont les hommes au clavier. Vous échangez sans trop de fioriture, nous savons tous pourquoi nous sommes ici, le but est de trouver des partenaires de sexe, ou plutôt de baise littéralement. Il t’ouvre son album privé afin que nous puissions l’observer correctement, que ce soit son visage ou ses attributs. Son corps est agréable, musclé mais pas trop, il est bien membré, très peu de poils, et ses photos comme son dialogue nous donnent l’impression que c’est une personne « normale ». Pas un soiffard qui considère les couples comme un moyen de se vider facilement, ou un auto-satisfait qui se regarde le nombril afin de s’auto congratuler.
Assez rapidement, il nous propose de nous rencontrer, au sauna ou ailleurs. Il a beaucoup apprécié notre galerie privée également. Te voir me sucer et me voir te prendre l’a beaucoup excité. Il nous dit que tu lui plais beaucoup… tout comme moi d’ailleurs.
Cette remarque titille ta curiosité, tu lui demandes à quel point je lui plais. Il nous indique alors qu’en fait, il ne note pas qu’il est bi sur sa fiche parce que ça rebute trop de couples dont l’homme est réfractaire au partage entre homme, mais qu’à l’occasion, il aime bien échanger des caresses et un peu plus si tout le monde est d’accord bien sûr. Ça n’est qu’une facette supplémentaire de sa sexualité.
Tu te retournes vers moi, le regard coquin :
— Finalement on ne va peut-être pas avoir besoin de d’acheter un god plus réaliste mon chéri !
— Je n’en suis pas encore là, on verra bien. Ce sera peut-être l’occasion de faire quelques découvertes superficielles, mais bon, de là à aller plus loin, j’ai un doute quand même.
— Tu veux dire que tu pourrais le branler ou le sucer ?
— Je ne sais pas, peut-être…
— J’aimerais bien voir ça !
— Je ne veux rien promettre, on verra sur le moment.
Nous continuons donc de discuter avec lui et lui fixons rendez-vous sur une terrasse de café. Je crois à ce moment que la perspective de me faire découvrir de nouveau plaisir t’a fortement émoustillée. Tu me dis vouloir un cadre plus intimiste. Si le courant passe, on ira à l’hôtel me dis-tu. J’accepte bien sûr sans hésiter, je sais que quoi qu’il arrive, nous passerons un excellent moment, les témoignages liés au profil de Mathieu, c’est son prénom, son rassurant. Il semble très respectueux et sait donner du plaisir à ses partenaires, hommes ou femmes.
Ton excitation est telle que plutôt que de fixer le rendez-vous samedi comme nous le faisons habituellement, tu as choisi de lui proposer vendredi soir, même s’il sera 22 heures lorsque nous serons disponibles.
C’est demain, mais le temps te paraît déjà long… Tu expliques à Mathieu que tu dois le laisser, nous allons nous « échauffer » pour demain. Cette idée l’émoustille et son imagination tourne à plein régime. Il aimerait pouvoir nous rejoindre à l’instant.
Nous lui indiquons que malheureusement il va devoir être un peu patient, mais que nous comptons sur lui pour être en pleine forme demain soir.
A peine la session fermée et l’ordinateur éteint que ta main glisse déjà sur ma queue durcie par nos discussions et la perspective de la soirée que nous allons passer. Sans un mot de plus, tu gobe mon gland de tes douces lèvres comme s’il s’agissait d’un fruit juteux. Tu m’aspires, me lèches et me suces avec toute l’expertise que tu possèdes.
Avec un regard lubrique et coquin, tu lèches tes doigts abondamment et descend ta main sous mes bourses pour chercher, entre mes fesses, l’entrée de mon autre plaisir.
Tu me titilles et me caresse alors que ta bouche m’aspire vers le nirvana. Tu attrapes un petit jouet que nous avons et tu t’occupes de mon côté sombre. Une main fermement agrippée à la queue, de l’autre tu enfonces ce petit jouet en moi doucement. Une fois qu’il est bien en place, tu en déclenches les vibrations et entames de petits mouvements de va et vient. Sur ma queue comme entre mes fesses, tes mouvements sont un pur délice.
Tu sens les spasmes arriver, je me contracte et tu souris, tu vois les jets de sperme chaud qui giclent sur mon ventre. TU les accompagne de tes doux mouvements, continuant de me branler doucement. Je ne tiens jamais longtemps ainsi.
Je me nettoie, et me jette sur toi. Ma vigueur n’est pas encore revenue, mais je suis tout de même très excité.
Je te repousse en arrière, t’enlève tous tes vêtements, et lorsque tu es enfin nue face à moi, je précipite ma bouche entre tes fesses. Je te lèche, et te titille de ma langue, mais c’est surtout de ta petite chatte dont j’ai envie à l’instant. Je remonte donc ma bouche et viens aspirer ton nectar pendant que mes doigts glissent en toi. Je te sens mouiller comme rarement, excitée par ma jouissance récente. Je te lèche et te pénètre tactilement. Puis je me redresse et approche mon bassin de ta bouche afin que tu puisses, par tes talents, terminer de me redonner toute la rigidité dont j’ai besoin pour enfin me glisser dans ton doux écrin.
Mes doigts au fond de toi, je te vois faire disparaître mon gland entre tes lèvres, ma queue grossit instantanément. Je continue de faire monter ton plaisir et quand ma forme est suffisante, je viens me glisser entre tes jambes, que je pose sur mes épaules, et je glisse ma queue dans ta chatte, brulante de désir. Je glisse sur ton plaisir, je vais et je viens, doucement ou fermement.
Tu poses une main sur mon torse pendant que l’autre s’agrippe aux draps. Ton plaisir monte, je sens tes contractions sur ma queue, comme si tu essayais de m’emprisonner. Je ressors entièrement, pose mon gland entre tes petites lèvres, et pousse doucement. Je sens cette résistance physique en raison de tes contractions de plaisir. Comme un cran qui saute quand mon gland se fraye un passage. Je recommence plusieurs fois. Mon excitation devient trop grande, je ne peux m’empêcher de me glisser plus vivement et plus complètement en toi. Avec énergie je te besogne, je te vois, te sens et t’entends jouir quand, moi aussi, j’explose de plaisir tout au fond de ton intimité.
Ivres de plaisir et épuisés de notre douce étreinte, nous nous allongeons l’un à côté de l’autre. Je me glisse contre toi et goute au doux plaisir que te sentir ton corps nu contre le mien. Nous nous assoupissons, impatient d’être à demain soir. Les plaisirs qui nous attendent, encore inconnus pour le moment, semblent bien délicieux !
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