Découverte des godes
Récit érotique écrit par PATRICIASEULE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Découverte des godes
Mon dépucelage anal terminé, il faut que je vous raconte ma fin de journée. J'ai effectivement passée la nuit chez Sandrine, mais pas une nuit blanche comme annoncée. Notre séance à trois s'est passée l'après midi, et il était à peine 18h lorsque Corinne est partie. Sandrine a passé un petit moment avec elle, le temps qu'elle se fasse un peu de toilette, se rhabille. Je me retrouve seule dans le lit, avec ce gode qui semble me fixer de son gland, comme pour me dire : qu'est ce que tu attends. Je m'en saisis avec envie et scrupules à la fois. En venant voir Sandrine j'étais persuadée de rassasier mon petit minou, et il faut vous avouer que le 69 final m'a laissée sur ma faim. J'ai toujours le feu au ventre.
Je ne regrette pas la façon dont les choses ont tournées, c'était très bien, j'en redemande, mais ma chatounette inassouvie me rappelle à ses bons souvenirs.
J'ai le gode à pleine main, et je me l'enfile d'un seul coup. Je suis tellement mouillée qu'il disparaîtrait entièrement en mon ventre, et que je dois le retenir. Je ferme les yeux, me masturbe amoureusement, suis dans un état second, et enchaîne les orgasmes jusqu'à épuisement.
Lorsque enfin je suis satisfaite et sereine, je retire ce sexe bienfaiteur, et ouvre les yeux. Sandrine est assise près de moi, et me regarde d'un œil attendri. J'ai honte, j'ai le feu qui monte aux joues, je dois être cramoisie. Elle me décroche un sourire des plus ravissant, me dis que je suis hyper belle quand je me masturbe, puis se penche sur moi pour m'embrasser, comme au bon vieux temps.
Je lui avoue que je me caresse souvent, mais que c'est la première fois que j'utilise un objet. Elle me rassure, beaucoup de femme s'aiment en solitaire, elle aussi, et elle a quantité de joujoux qu'elle me montrera, et que je pourrais essayer.
Mais on n'en est pas là. On prend une douche ensemble, on se nettoie l'une l'autre, puis on prend un petit apéro, et on grignote un repas froid.
Elle me propose alors de regarder des vidéos sur internet. Elle connait un site avec plein de pornstars féminines, hétéro, bi, ou lesbiennes. Elle s'est fait un petit répertoire de ses préférées.
La première vidéo montre deux femmes qui se godent le cul, se le lèche. Je reconnais la scène que l'on s'est faite, et elle m'avoue s'inspirer de ces petits films.
Elle me montre ensuite des filles seules qui s'envoient en l'air, avec leurs doigts, avec des fruits ou légumes, avec des joujoux plus mouillants les uns que les autres, et que je n'avais jamais imaginés. Je ne sais d'où sortent ces filles, mais elles sont jeunes, belles et salopes comme pas possible.
On s'est mis en petite tenue après la douche, mais l'ambiance devient trop chaude, et on se déshabille pour se faire du bien. Sandrine me laisse seule et revient avec deux magnifiques phallus en verre, avec des glands démesurés. Elle se place face à moi et se fait l'amour sans aucune pudeur. Je peux voir son huître ouverte et inondée, sa bouche humide et gourmande, et se sceptre aller de l'une à l'autre. Je ne résiste pas et l'imite.
Le micro tombe en veille mais peu importe, on se fait notre propre film.
Elle me demande si je veux baiser, puis devant mon regard interrogateur elle m'annonce qu'elle a de très beaux godes ceinture. Elle me montre sa collection de toys assez impressionnante; elle pourrait ouvrir un sex-shop. Je m'étonne d'une telle débauche, et elle me dit qu'elle m'expliquera. Elle a trois appareillages de mensuration différente, et je choisis le plus gros, pour ma chatte, et non pour mon cul. Elle s'en équipe et me prépare à la recevoir.
Je suis allongée sur le lit, cuisses ouvertes. Elle me dévore le minou, me le doigte, me le fiste, enfonce sa main entière. Elle est douce, experte, et je ne ressens que du plaisir. Elle me pense assez ouverte, crache sur son pieu pour le lubrifier, vient sur moi et me pénètre. Je la sens emplir mon vagin qui se dilate au maximum pour l'accueillir. Avec précaution elle s'engage à fond, et je sens cette bite impossible frapper à la porte de mon utérus. Je suis au septième ciel, jouis comme une chienne en chaleur, et encourage mon amante à m'aimer encore et encore. Après une longue baise, elle n'en peut plus et se retire épuisée. Elle est sur le dos, je l'enfourche; m'empale sur son énorme sexe et la chevauche au galop. Je jouis comme jamais, puis m'effondre, épuisée.
Je suis sur le dos à côté d'elle, elle enlève son ustensile, va le laver, revient près de moi, éteint la lumière, et la nuit blanche espérée se transforme en nuit de sommeil profond et réparateur. Il nous reste le week-end.
Sandrine m'a initiée, et continue à ce jour, à de nouveaux plaisirs que je vous raconterai si vous le souhaitez.
C'est elle qui m'a fait découvrir hds, et a insisté pour que j'écrive. Je suis étonnée et ravie des quelques commentaires reçus, dont celui d'une lectrice à qui je rappelle que j'ai une adresse mail...
J'ai reçu des messages d'hommes, et leur demande pardon de ne pas leur répondre.
Je t'embrasse isabelle.
Je ne regrette pas la façon dont les choses ont tournées, c'était très bien, j'en redemande, mais ma chatounette inassouvie me rappelle à ses bons souvenirs.
J'ai le gode à pleine main, et je me l'enfile d'un seul coup. Je suis tellement mouillée qu'il disparaîtrait entièrement en mon ventre, et que je dois le retenir. Je ferme les yeux, me masturbe amoureusement, suis dans un état second, et enchaîne les orgasmes jusqu'à épuisement.
Lorsque enfin je suis satisfaite et sereine, je retire ce sexe bienfaiteur, et ouvre les yeux. Sandrine est assise près de moi, et me regarde d'un œil attendri. J'ai honte, j'ai le feu qui monte aux joues, je dois être cramoisie. Elle me décroche un sourire des plus ravissant, me dis que je suis hyper belle quand je me masturbe, puis se penche sur moi pour m'embrasser, comme au bon vieux temps.
Je lui avoue que je me caresse souvent, mais que c'est la première fois que j'utilise un objet. Elle me rassure, beaucoup de femme s'aiment en solitaire, elle aussi, et elle a quantité de joujoux qu'elle me montrera, et que je pourrais essayer.
Mais on n'en est pas là. On prend une douche ensemble, on se nettoie l'une l'autre, puis on prend un petit apéro, et on grignote un repas froid.
Elle me propose alors de regarder des vidéos sur internet. Elle connait un site avec plein de pornstars féminines, hétéro, bi, ou lesbiennes. Elle s'est fait un petit répertoire de ses préférées.
La première vidéo montre deux femmes qui se godent le cul, se le lèche. Je reconnais la scène que l'on s'est faite, et elle m'avoue s'inspirer de ces petits films.
Elle me montre ensuite des filles seules qui s'envoient en l'air, avec leurs doigts, avec des fruits ou légumes, avec des joujoux plus mouillants les uns que les autres, et que je n'avais jamais imaginés. Je ne sais d'où sortent ces filles, mais elles sont jeunes, belles et salopes comme pas possible.
On s'est mis en petite tenue après la douche, mais l'ambiance devient trop chaude, et on se déshabille pour se faire du bien. Sandrine me laisse seule et revient avec deux magnifiques phallus en verre, avec des glands démesurés. Elle se place face à moi et se fait l'amour sans aucune pudeur. Je peux voir son huître ouverte et inondée, sa bouche humide et gourmande, et se sceptre aller de l'une à l'autre. Je ne résiste pas et l'imite.
Le micro tombe en veille mais peu importe, on se fait notre propre film.
Elle me demande si je veux baiser, puis devant mon regard interrogateur elle m'annonce qu'elle a de très beaux godes ceinture. Elle me montre sa collection de toys assez impressionnante; elle pourrait ouvrir un sex-shop. Je m'étonne d'une telle débauche, et elle me dit qu'elle m'expliquera. Elle a trois appareillages de mensuration différente, et je choisis le plus gros, pour ma chatte, et non pour mon cul. Elle s'en équipe et me prépare à la recevoir.
Je suis allongée sur le lit, cuisses ouvertes. Elle me dévore le minou, me le doigte, me le fiste, enfonce sa main entière. Elle est douce, experte, et je ne ressens que du plaisir. Elle me pense assez ouverte, crache sur son pieu pour le lubrifier, vient sur moi et me pénètre. Je la sens emplir mon vagin qui se dilate au maximum pour l'accueillir. Avec précaution elle s'engage à fond, et je sens cette bite impossible frapper à la porte de mon utérus. Je suis au septième ciel, jouis comme une chienne en chaleur, et encourage mon amante à m'aimer encore et encore. Après une longue baise, elle n'en peut plus et se retire épuisée. Elle est sur le dos, je l'enfourche; m'empale sur son énorme sexe et la chevauche au galop. Je jouis comme jamais, puis m'effondre, épuisée.
Je suis sur le dos à côté d'elle, elle enlève son ustensile, va le laver, revient près de moi, éteint la lumière, et la nuit blanche espérée se transforme en nuit de sommeil profond et réparateur. Il nous reste le week-end.
Sandrine m'a initiée, et continue à ce jour, à de nouveaux plaisirs que je vous raconterai si vous le souhaitez.
C'est elle qui m'a fait découvrir hds, et a insisté pour que j'écrive. Je suis étonnée et ravie des quelques commentaires reçus, dont celui d'une lectrice à qui je rappelle que j'ai une adresse mail...
J'ai reçu des messages d'hommes, et leur demande pardon de ne pas leur répondre.
Je t'embrasse isabelle.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire. Quel plaisir de se faire jouir, seule ou à plusieurs avec ces merveilleux jouets.
Betty.
Betty.
tu m'as fait jouir à te lire... j'en suis encore toute humide et pleine car le gode est
encore en moi pendant que j'écris mon avis.
Merci...
encore en moi pendant que j'écris mon avis.
Merci...
je suis heureuse que mon commentaire t'ai plu.
la lecture de cette nouvelle aventure m'a encore procuré un plaisir délicieux.
je ne manquerais pas dès que j'en aurais le temps de t'envoyer un mail.
je t'embrasse comme tu le désires (et moi aussi)
A bientôt.
Isabelle
la lecture de cette nouvelle aventure m'a encore procuré un plaisir délicieux.
je ne manquerais pas dès que j'en aurais le temps de t'envoyer un mail.
je t'embrasse comme tu le désires (et moi aussi)
A bientôt.
Isabelle