Découverte échangiste
Récit érotique écrit par Comtemariegeo2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2014 dans la catégorie Plus on est
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Découverte échangiste
Découvertes échangistes
Dans les semaines qui ont suivi ces ébats en montagne, en général au cours et à l'issue de nos joutes amoureuses, nous avons pu faire le point sur nos aspirations érotiques. Il est clair que j'éprouve le plus grand plaisir à voir Marie dévoiler ses charmes et que j'aspire à la voir se donner à d'autres, voie dans laquelle je l'encourage depuis longtemps. Comment ? Jusqu'où ? Cela reste à définir mais je suis prêt à la laisser aller aussi loin qu'elle le voudra, à condition que l'initiative vienne d'elle, que ce soit en ma compagnie ou qu'elle ne me cache rien. De son côté, ma chérie est attirée par l'idée de faire partager sa beauté en se dévoilant en public comme elle l'a déjà largement prouvé. Le regard des hommes sur son corps l'excite profondément. Elle est trop sensuelle pour se limiter à nos jeux actuels et aimerait bien parfaire ses connaissances en se livrant à ceux qui pourraient les améliorer, puisqu'elle sait que cela ne peut que me plaire et m'exciter. Elle éprouverait une jouissance supplémentaire à se donner sous mes yeux et m'a déjà montré qu'elle ne verrait pas d'inconvénients à me voir agir de même, pour autant qu'elle reste maîtresse du jeu et libre de choisir nos éventuels partenaires. En d'autres termes, elle assume ses tendances exhibitionnistes et serait tentée de développer des relations échangistes. Seules limites: le libre choix de chacun, le maintien de nos relations dans un milieu correspondant à nos aspirations et l'exclusion de toute forme de violence ou de coercition. Elle ne serait même pas tout à fait contre vendre son corps et faire la pute, ça l'exciterait assez, mais à condition de pouvoir choisir ses clients et de me faire participer à ses ébats, ce qui paraît quand même poser quelques problèmes.
Nous savons à peu près ce que nous voulons, mais nous ne savons pas du tout comment y parvenir. Les réseaux échangistes, le Minitel, et à fortiori Internet, n'existaient pas à l'époque. Nous avions bien entendu parler de quelques boites dites " boites à partouzes " mais nous ne savions pas comment les trouver, surtout pas en province. Il fallait profiter de nos séjours à Paris.
Ils étaient heureusement assez fréquents. A notre prochain voyage, comme nous avons une soirée à perdre, nous nous rendons dans un cabaret du côté de Pigalle. Minable et sans le moindre intérêt. Ma chérie s'est déjà montrée bien plus excitante que les pauvres filles qui se dévoilent devant nous et ce genre de spectacle n'est pas de nature à provoquer la moindre émotion chez nous, si ce n'est de l'écœurement. Nous en sortons vers minuit, très déçus. Voyant les nombreuses filles qui ornent le trottoir, c'est Marie qui me suggère de leur demander si elles ne connaîtraient pas l'adresse d'une boite à partouzes. Comment mieux me faire comprendre qu'elle voudrait bien voir de quoi il retourne. Nous abordons une assez jolie fille qui croit d'abord que nous la draguons à deux. Détrompée, elle nous donne sans problème l'adresse de la boite où elle se rend parfois en nous assurant qu'il n'est pas trop tard pour y aller faire un tour et en nous souhaitant gentiment une bonne soirée.
– Tu veux vraiment y aller ? Tu es décidée ? Tu sais que ça me plairait beaucoup de te voir aussi audacieuse mais je ne t'y oblige pas, c'est à toi de choisir, c'est toi qui en a eu l'idée. Tu seras peut-être choquée de ce qui s'y passe.
– Oh, choquée, je commence à en avoir vu d'autres ! Si nous n'y allons pas, nous ne le saurons jamais, ce qui s'y passe ! Profitons de cette occasion. Je ne suis pas encore décidée à tout faire mais j'aimerai bien voir un peu l'ambiance et les jeux pratiqués dans ce genre de boites. Qu'est-ce qu'on risque ? On ne va pas me violer.
– Je ne crois pas qu'il y ait de risque, pas de te faire violer en tout cas, mais si on y va, il te faudra peut être assumer tes choix. On ne rentre pas dans ce genre d'endroit par hasard, pour prendre un verre et faire la conversation !
– On verra bien ! Tu seras avec moi, si ça ne nous plaît pas, nous repartirons. Il n'y a qu'à y aller !
Et nous voilà partis vers ce qui était probablement l'une des premières boites de Paris, non loin du parc Monceau. C'est un immeuble tout à fait ordinaire où nous sonnons à une porte au bout d'un long couloir. Elle s'ouvre sans aucune difficulté et nous entrons, un peu intimidés tout de même. La boite est simplement un appartement dont deux pièces sont des sortes de salons meublés de divans bas, de banquettes et de tables où poser les consommations délivrées par un bar. Sur ces divans, une douzaine de couples, car il n'y avait alors que des couples, à charge pour les isolés de faire appel à une professionnelle, se livrent aux jeux les plus divers, sous nos yeux stupéfaits. Certains, totalement vêtus, ont l'air de spectateurs qui observent sagement ce qui se passe, à ceci près que les caresses de l'homme sur sa compagne dépassent un peu les limites de la bienséance en découvrant plus ou moins sa gorge ou ses jambes. D'autres, plus ou moins dévêtus, certains complètement à poil, font carrément l'amour sous toutes ses formes, à deux, à trois ou à plusieurs. Pour la première fois nous voyons des couples s'échanger et des filles passer ainsi de bras en bras sans paraître se soucier beaucoup du nouveau partenaire, pourvu qu'il les monte bien. Ce qui nous étonne peut-être le plus, c'est de voir une fille prise en sandwich par deux hommes, sport dont nous avions entendu parler mais que nous n'avions jamais vu pratiquer. Couchée sur l'un d'eux qui la possède profondément mais très classiquement, son deuxième partenaire la chevauche et nous le voyons parfaitement forcer son œillet d'une queue de taille non négligeable. Ce qui parait étonner le plus ma chérie, c'est la satisfaction que parait éprouver intensément la belle enculée ! Hypocrite, va ! Elle se garde bien de me dire qu'elle a déjà expérimenté ce genre d'étreinte ! Tout cela dans une ambiance feutrée et amicale, sur un fond de musique douce, entre gens de bonne compagnie. Nous constatons assez vite que chacun s'associe ou non à ces jeux, dans la mesure où il le veut bien.
Nous nous faisons servir la consommation prévue dans notre droit d'entrée et nous asseyons sagement sur une banquette, un peu à l'écart. Ma chérie paraît dépassée par l'événement et, pour une fois, incapable de toute initiative. C'est presque craintive qu'elle se serre contre moi et crispe sa main dans la mienne. Elle était peut-être partante pour s'envoyer un garçon de temps à autres mais là, c'est peut-être beaucoup à la fois ! Sans dire mot, mais en regardant de tous ses yeux, elle se blottit dans mes bras et je dois la rassurer doucement en lui rappelant que nous ne sommes là que pour voir ce qui se passe et qu'elle n'est pas obligée de participer, du moins si elle ne le désire pas. Je n'en suis pas si sur moi-même mais il ne nous faut guère de temps pour constater que si beaucoup nous sourient gentiment, personne ne vient nous importuner en nous proposant quoi que ce soit. Chacun parait totalement libre, de faire tout ce qui lui plaît, y compris de ne rien faire du tout, c'est la liberté de chacun qui fixe les bornes des entreprises des autres.
Comme pour le moment, je suis trop intimidé pour faire mieux que peloter doucement ma compagne en l'embrassant et qu'elle même est trop crispée pour me permettre des initiatives plus hardies, ça se voit et les partouzeurs en déduisent vite que nous sommes des novices qu'il faudra gentiment apprivoiser. Ils sont trop expérimentés pour nous brusquer et risquer de casser un bon coup futur. Ils détachent donc vers nous un émissaire, en l'occurrence une fille, assez jeune, brune et bien foutue, seulement vêtue d'une sorte de combinaison très courte s'arrêtant au dessus des fesses et retenue aux épaules par deux fines bretelles. Elle vient s'asseoir à côté de Marie et je comprends alors l'utilité de son vêtement en constatant un certain manque de fermeté de la poitrine qu'il contribue à voiler. Elle se tourne bientôt en souriant vers ma douce et engage gentiment la conversation.
– Vous êtes nouveaux ? C'est la première fois que je vous vois.
– Oui. Nous ne sommes pas parisiens.
– Et ça vous plaît, c'est ce que vous attendiez ? Vous venez pour voir, pour être vus ou pour vous amuser ?
– Oh, ce soir, simplement pour voir. Nous ne sommes jamais entré dans un club de ce genre, nous découvrons aujourd'hui. Nous ne savions pas si ça nous plairait.
– C'est votre ami qui vous a amenée ?
– Non, c'est mon mari, nous sortons toujours ensemble. Nous avons tous deux voulu voir comment ça se passe ici.
– C'est extra ! Vous avez bien de la chance de pouvoir compter sur votre mari pour sortir avec vous et partager vos désirs. C'est lui qui veut vous dévergonder ou c'est vous qui en avez envie ? Si vous êtes ici, c'est que vous êtes attirés par l'échange et l'amour en groupe ? Vous l'avez déjà fait ?
– Non, nous ne savons pas encore si nous oserons. Nous sommes d'accord tous deux pour essayer, mais peut-être pas encore. Je craignais un peu d'être forcée…– En boite, vous ne risquez rien, personne ne vous forcera. Chacun fait ce qu'il veut quand il le veut. Vous savez, à la longue, nous nous connaissons tous plus ou moins. Il n'y a pas beaucoup de monde ce soir mais ce sont des habitués. D'ailleurs, nous pourrions nous tutoyer, ce serait plus sympa.
– Bien sur ! Tu viens souvent ?
– Oh, deux ou trois fois par mois, quand j'ai envie de m'éclater. Mais nous ne sommes pas toujours fidèles à cette boite. Il y en a d'autres.
– Tu es avec ton mari ?
– Non, mon mari est trop con pour me laisser baiser comme je veux et pour en profiter. Je le trompe et je viens ici avec un ami. C'est pour ça que je trouve que vous avez bien de la chance tous deux, c'est merveilleux de pouvoir être la complice de son mari. Tu as déjà participé à des échanges ?
– Un peu mais ce n'est pas facile en province. Je me suis déjà laissée caresser et sucer par un autre homme dans les bras de mon mari et j'ai même baisé avec quelques autres types, mais jamais devant lui: il le savait, bien sur et m'y avait encouragé. J'aime me montrer et prendre mon plaisir devant lui, ça m'excite beaucoup. Et pendant ces dernières vacances, je lui ai demandé de baiser une autre fille devant moi, ça m'a tellement excitée que nous avons passé les vacances à baiser en trio.
– C'est étonnant que tu n'aies pas été plus loin. Pourquoi tu ne t'es jamais fait sauter devant lui ?
– Je n'ai pas encore osé, il aimerait bien et il me l'a demandé mais je n'ai pas encore voulu. J'ai un peu peur de me donner totalement et en même temps j'en ai bien envie. Je suis compliquée !
– Mais non, c'est normal avant de se décider. Tu veux commencer ce soir ?
– Non, pardonne moi, mais je veux d'abord voir un peu et réfléchir. Tu sais, c'est la première fois que je vois des gens faire l'amour comme ça, c'est quand même un peu déroutant !
– Ce n'est pas grave, pour une première fois, je te comprends. Faites ce que vous voulez. Tu m'excuseras mais j'ai envie de baiser, j'y vais. Ça te donnera peut-être des idées. A tout à l'heure.
Et la jolie brune va s'étendre sur la moquette sous nos yeux, et pratiquement sous nos pieds, en demandant à la cantonade qui veut la baiser. Elle s'appelle Nelly et nous la reverrons souvent. Son ami vient s'étendre auprès d'elle et, remontant sa liquette, lui caresse doucement les seins, laissant un autre mâle se présenter entre ses cuisses ouvertes et glisser dans un antre déjà visiblement bien lubrifié une queue superbement bandée. Il la monte lentement et puissamment, avec le désir évident de bien montrer à tous, et en particulier à nous qui sommes si près, combien sa partenaire apprécie d'être ainsi chevauchée. Marie les regarde faire, très intéressée et un peu troublée à ce qu'il me semble, et me dit soudain.
– Chéri, je voudrais que tu la baises après lui. Je suis sure que plusieurs mec à la file ne lui font pas peur. ! Je t'ai déjà vu faire avec Jacqueline mais je veux voir si tu la fait aussi bien partir qu'elle. Regarde comme elle a l'air bonne et comme elle aime ça, cette salope ! Si elle s'envoie en l'air sous nos pieds, c'est pour nous provoquer. Ça ne te plairait pas de te la faire ?
– Si, bien sur, mais je ne veux pas m'amuser sans toi et faire l'amour à une autre fille si tu ne participes pas.
– Je me suis bien faite baiser, moi ! Je me suis déjà donnée à d'autres plus que toi, tu le sais bien. Tu as du retard à rattraper, je veux te donner cette fille, je n'irai pas plus loin si tu ne me donne pas l'exemple. Ici, je ne veux pas commencer la première. Je veux te voir faire avec elle et savoir si j'aimerai te voir prendre ton pied sans moi dans cette ambiance, si ça m'excitera ou si ça me rendra jalouse ! C'est bien ce que tu m'as demandé de faire, non ?
– Tu me reprocheras de ne penser qu'à moi et de te laisser tomber. C'est pour toi que nous sommes ici.
– Bien sur que non, tu le feras pour nous deux, pour voir si on s'aime assez pour pouvoir échanger sans risque, je veux voir ce que je vais ressentir en te partageant avec n'importe qui, je crois que je vais aimer comme j'ai aimé te voir baiser Jacqueline. Et puis, si tu me laisses, il va bien y en avoir un pour s'intéresser à moi. Je ne me laisserai peut-être pas faire jusqu'au bout mais je ne refuserai pas les caresses. Vas-y ! Qu'est ce que tu attends ? Tu ne vas pas me laisser me dévergonder toute seule ?
Bon, puisqu'elle le veut…Je vais donc m'agenouiller près de Nelly, gémissant doucement sous la charge du mec qui l'a entreprise. Elle paraît étonnée de me voir à ses côtés et vérifie qu'elle a bien compris.
– Tu me prêtes ton mari ? Tu te décides ? Tu n'es pas jalouse ?
– Bien sur que non ! Amuses toi avec lui, je regarderai, je veux voir comment il te fait l'amour, je ne l'ai pas souvent vu le faire à une autre femme.
– D'accord, je veux bien qu'il me baise mais à condition que mon ami puisses s'amuser un peu avec toi pendant ce temps. Pour un premier soir, tu l'arrêteras s'il va trop loin, mais on ne va pas le laisser seul.
– D'accord, qu'il vienne ! Mais je ne voudrais pas le décevoir, tu sais que je ne veux pas me donner totalement aujourd'hui !
– Bon, comme tu voudras. Mets-toi à l'aise, mon chou, déshabille toi et viens contre moi, je t'atteindrai mieux. Laisse lui la place, chéri, va caresser sa petite nana, doucement, comme tu sais le faire, tu vois qu'elle est encore timide, apprivoise là !
Je n'ai plus qu'à obéir puisque toutes ces dames se liguent contre moi ! D'un autre côté, je suis heureux que Nelly ait clairement fait comprendre à Marie qu'un échange se jouait à quatre et qu'il fallait payer un peu de sa personne, ce qu'elle ne peut plus refuser. Je me déshabille rapidement et reviens me coucher sur la moquette à côté de la petite brune toujours montée par son actuel amant. Pendant que j'embrasse et caresse sa poitrine, elle avance la main vers mon dard bandé à éclater et entreprend de lui maintenir sa rigidité en attendant de l'absorber. Sa main est douce et trop efficace et je dois la modérer pour pouvoir résister à son entreprise, tandis que son baiseur la lime toujours puissamment. Gémissant sous les assauts, Nelly m'attire à nouveau vers elle et entreprend maintenant de me prendre en bouche, ce que je ne peux lui refuser mais qui ne va pas pouvoir durer longtemps sous sa langue si agile sur mon gland. Il faut encore la modérer en espérant que son baiseur va l'achever, ce qui me laisse quelque présence d'esprit pour observer ce qui se passe sur la banquette.
L'ami de Nelly, totalement à poil, prend place à côté de mon adorée, peu effarouchée par ce contact si direct, et laisse sa main parcourir ses cuisses en remontant sournoisement une jupe qu'elle ne songe plus à maintenir en place. C'est un beau mâle, j'espère qu'il va lui plaire. Il ne tarde d'ailleurs pas à s'enhardir et à déboutonner chemisier et soutien-gorge pour laisser ma chérie seulement vêtue de sa jupe et de son slip. Il attire sa tête vers lui et j'ai l'heureuse surprise de la voir ouvrir les lèvres pour accepter la superbe bite qu'il lui offre. Ma chérie est en train de sucer ce type qui vient à peine de l'entreprendre: ça promet ! Les quelques vêtements encore sur elles doivent lui paraître gênants et je le vois dénuder complètement Minette. Je suis ravi de constater qu'elle se laisse faire et aide même à son déshabillage en se soulevant pour laisser glisser son slip. La voilà dans la même tenue que nous tous, offrant tout son corps aux caresses de son partenaire. Ça devient vraiment intéressant mais il est temps de m'intéresser à ma compagne du moment!
En quelques coups de reins, le type qui monte Nelly se vide en elle la faisant doucement gémir et je sens nettement son émoi à la soudaine crispation de ses lèvres sur moi. Ce premier mâle à peine retiré d'elle, elle m'attire par la bite pour se l'enfiler dans la chatte. Cet enfilage en série me laisse perplexe et j'éprouve quelque appréhension à barboter dans le foutre qui doit déjà remplir son chaton. Je jette un regard un peu inquiet vers ma chérie qui va me voir baiser devant elle une autre fille que nous ne connaissons pas. Est-elle réellement prête à ça ? Elle comprend mon hésitation et m'encourage d'un signe de tête. Après tout, c'est elle qui l'aura voulu. Peut-être est-elle trop occupée pour me prêter beaucoup d'attention ! Couchée sur la banquette, la tête tournée vers nous, elle paraît fascinée par le spectacle, mais pas du tout indifférente à la main qui étire la pointe de ses seins et à la bouche collée sur son petit minou: ma petite salope prend un plaisir visible à se laisser ainsi grignoter. Je sais combien elle adore cette caresse aussi puis-je sans remords m'intéresser à Nelly.
J'entreprend donc de pistonner le fourreau plus que lubrifié de la petite brune. Elle sait y faire, la garce et les contractions de son vagin conjuguées à ses coups de hanches pour mieux se faire planter ne peuvent me laisser indifférent. La sensation est trop forte et l'excitation de ce premier échange trop intense pour que je n'en profite pas pleinement. Couché sur elle, mordillant les pointes de ses seins, prenant ses lèvres au passage et surtout la labourant aussi profondément que je peux, j'oublie tout et ne pense même plus à regarder ce que fais Marie. Nelly ronronne sous moi et se donne avec une violence révélatrice de son plaisir. A ce rythme, je ne peux durer bien longtemps et sens monter une jouissance irrésistible. J'ai parfaitement conscience de me vider en elle trop rapidement mais je ne puis résister à la chaleur de son chat et à la perversité de cette situation. Les mêmes gémissements de chatte en chaleur me remercient, parce que Nelly est gentille, mais je ne pense pas qu'elle soit encore vraiment partie, il va lui en falloir d'autres pour pallier mon inexpérience !
Me redressant, j'ai la surprise de voir que la situation a très vite évoluée du côté de ma chérie. Je l'ai laissé cuisses ouvertes sous la bouche qui l'avait entreprise, je la retrouve chevauchant son compagnon en un superbe 69, se laissant dévorer l'abricot tandis qu'elle avale voracement son dard. Elle est superbe et j'ai enfin sous les yeux le tableau que j'espérai tant voir: ma chérie en train de faire l'amour sans aucune retenue avec un autre que moi. Incapable de s'expliquer, puisque les filles bien élevées ne parlent pas la bouche pleine, je n'arrive pourtant pas à croire qu'elle soit violée sous mes yeux: c'est tout juste si ce n'est pas elle qui viole son cavalier ! Je pense plutôt qu'entraînée par le mauvais exemple que Nelly et moi lui avons donné, elle s'est laissée faire sans trop protester et que le plaisir l'a très vite emportée, peut être plus loin qu'elle ne l'aurait voulu. Totalement déchaînée, elle se donne à fond et doit avoir bien du mal à ne pas étouffer avec la bite qui doit l'atteindre au fond de la gorge. La scène est de toute beauté, je jouis de les voir faire comme je l'avais espéré et Nelly se serre contre moi en me glissant:– Je crois que ta femme passe une bonne soirée ! Elle a l'air d'être douée ! Tu vois, il suffisait de la faire démarrer !
Nous les admirons un bon moment, en compagnie de plusieurs spectateurs venus se joindre à nous, jusqu'à ce que Marie prenne un pied phénoménal en hurlant de bonheur et désarçonne son cavalier, incapable d'en supporter davantage.
Le garçon a encore les bourses pleines et, se retournant, il glisse sur elle pour la posséder comme il croit en avoir acquis le droit. Reprenant ses esprits, elle lui fait signe qu'elle refuse la pénétration mais rampe vers lui pour venir ré emboucher la pine qui lui a si bien rempli la gorge. Un peu étonné, mais pas mécontent de ce traitement, le garçon se couche sur le dos et ma salope vient s'étendre entre ses jambes pour avaler le pieu aussi totalement qu'elle le peut en poussant de petits grognements d'excitation. A ce rythme, il ne faut pas longtemps pour le voir se raidir et échapper à la bouche de Marie, maintenant dégoulinante de foutre. L'un des spectateurs présente aussitôt sa bite à la jolie bouche mais elle le refuse d'un sourire et me prenant par la main m'entraîne pour faire un brin de toilette bien nécessaire pour tous deux.
Un peu inquiet de nos exploits respectifs, nous revenons nous asseoir, toujours parfaitement nus, à côté du mec qui reprend ses esprits. Comme je le pensais, Nelly a trouvé un autre partenaire qui la baise à nos pieds, ce qui nous laisse le loisir d'échanger nos impressions.
– Tu ne veux pas continuer et être à lui comme j'ai eu sa copine ?
– J'ai été assez salope à ton goût ? Ça t'a plu de me voir faire la chienne ? Alors, non je ne tiens pas à aller plus loin pour ce soir. J'ai déjà joui sur sa main et sous ses lèvres, il le faisait bien, je ne veux pas qu'il me prenne maintenant. D'ailleurs, je l'ai pompé à fond, il s'est vidé dans ma bouche et doit avoir besoin de se reposer. Et puis, si je me fais baiser, tu sais bien que c'est ce qu'ils attendent tous pour venir m'entreprendre et je ne veux pas encore me donner ce soir, il y en a trop !
– J'ai un peu honte d'avoir joui et de t'avoir trompée sous tes yeux alors que tu es restée presque sage..
– Presque sage ! Tu crois ? Moi aussi j'ai joui et j'ai fait jouir, tu l'as bien vu. C'est moi qui te remercie d'avoir baisé cette fille pour moi, tu me libères. Je voulais que ce soit toi qui commence ici. Je ne me suis pas gênée pour me laisser sucer et pour pomper un mec devant toi. J'étais tellement excitée de vous voir faire que c'est à peine si je me suis rendu compte de la façon dont ce type me disposait. Je peux te jurer qu'il m'a fait faire un 69 qui n'était pas du chiqué. J'ai joui comme une salope avec sa langue qui fouillait tous les recoins de mon con, s'attardait sur mon petit bouton et sa grosse pine qui me prenait la bouche et s'enfonçait dans ma gorge. J'avais envie d'écraser encore plus ma moule sur ses lèvres et de le sentir me mordre pendant que j'avalais sa bite aussi profond que je pouvais, je sentais son gland venir buter au fond de ma gorge, je ne savais plus me retenir, je l'ai fait partir comme une pute et j'ai tout avalé, mais c'était bon. Nous recommencerons, je crois que je suis prête, l'échange ne me déplaît pas. Mais pas ce soir. C'est encore trop tôt. Laisse moi m'habituer doucement à cette idée. Nous reviendrons et la prochaine fois j'irai un peu plus loin. En tout cas, cette boite est sympa, je n'ai plus peur, je m'y trouve bien avec toi. C'est vrai qu'on ne m'a pas violée !
Pour ce soir, nous en resterons là, nous nous rhabillons et restons sagement assis côte à côte pour observer, pendant un moment encore la suite de la soirée. Nous avons évidemment besoin de faire le point et de réfléchir sur ce que nous avons vu et sur ce que nous avons fait. Pour cela, il vaut mieux rentrer à l'hôtel et c'est ce que nous faisons assez rapidement.
Dans les semaines qui ont suivi ces ébats en montagne, en général au cours et à l'issue de nos joutes amoureuses, nous avons pu faire le point sur nos aspirations érotiques. Il est clair que j'éprouve le plus grand plaisir à voir Marie dévoiler ses charmes et que j'aspire à la voir se donner à d'autres, voie dans laquelle je l'encourage depuis longtemps. Comment ? Jusqu'où ? Cela reste à définir mais je suis prêt à la laisser aller aussi loin qu'elle le voudra, à condition que l'initiative vienne d'elle, que ce soit en ma compagnie ou qu'elle ne me cache rien. De son côté, ma chérie est attirée par l'idée de faire partager sa beauté en se dévoilant en public comme elle l'a déjà largement prouvé. Le regard des hommes sur son corps l'excite profondément. Elle est trop sensuelle pour se limiter à nos jeux actuels et aimerait bien parfaire ses connaissances en se livrant à ceux qui pourraient les améliorer, puisqu'elle sait que cela ne peut que me plaire et m'exciter. Elle éprouverait une jouissance supplémentaire à se donner sous mes yeux et m'a déjà montré qu'elle ne verrait pas d'inconvénients à me voir agir de même, pour autant qu'elle reste maîtresse du jeu et libre de choisir nos éventuels partenaires. En d'autres termes, elle assume ses tendances exhibitionnistes et serait tentée de développer des relations échangistes. Seules limites: le libre choix de chacun, le maintien de nos relations dans un milieu correspondant à nos aspirations et l'exclusion de toute forme de violence ou de coercition. Elle ne serait même pas tout à fait contre vendre son corps et faire la pute, ça l'exciterait assez, mais à condition de pouvoir choisir ses clients et de me faire participer à ses ébats, ce qui paraît quand même poser quelques problèmes.
Nous savons à peu près ce que nous voulons, mais nous ne savons pas du tout comment y parvenir. Les réseaux échangistes, le Minitel, et à fortiori Internet, n'existaient pas à l'époque. Nous avions bien entendu parler de quelques boites dites " boites à partouzes " mais nous ne savions pas comment les trouver, surtout pas en province. Il fallait profiter de nos séjours à Paris.
Ils étaient heureusement assez fréquents. A notre prochain voyage, comme nous avons une soirée à perdre, nous nous rendons dans un cabaret du côté de Pigalle. Minable et sans le moindre intérêt. Ma chérie s'est déjà montrée bien plus excitante que les pauvres filles qui se dévoilent devant nous et ce genre de spectacle n'est pas de nature à provoquer la moindre émotion chez nous, si ce n'est de l'écœurement. Nous en sortons vers minuit, très déçus. Voyant les nombreuses filles qui ornent le trottoir, c'est Marie qui me suggère de leur demander si elles ne connaîtraient pas l'adresse d'une boite à partouzes. Comment mieux me faire comprendre qu'elle voudrait bien voir de quoi il retourne. Nous abordons une assez jolie fille qui croit d'abord que nous la draguons à deux. Détrompée, elle nous donne sans problème l'adresse de la boite où elle se rend parfois en nous assurant qu'il n'est pas trop tard pour y aller faire un tour et en nous souhaitant gentiment une bonne soirée.
– Tu veux vraiment y aller ? Tu es décidée ? Tu sais que ça me plairait beaucoup de te voir aussi audacieuse mais je ne t'y oblige pas, c'est à toi de choisir, c'est toi qui en a eu l'idée. Tu seras peut-être choquée de ce qui s'y passe.
– Oh, choquée, je commence à en avoir vu d'autres ! Si nous n'y allons pas, nous ne le saurons jamais, ce qui s'y passe ! Profitons de cette occasion. Je ne suis pas encore décidée à tout faire mais j'aimerai bien voir un peu l'ambiance et les jeux pratiqués dans ce genre de boites. Qu'est-ce qu'on risque ? On ne va pas me violer.
– Je ne crois pas qu'il y ait de risque, pas de te faire violer en tout cas, mais si on y va, il te faudra peut être assumer tes choix. On ne rentre pas dans ce genre d'endroit par hasard, pour prendre un verre et faire la conversation !
– On verra bien ! Tu seras avec moi, si ça ne nous plaît pas, nous repartirons. Il n'y a qu'à y aller !
Et nous voilà partis vers ce qui était probablement l'une des premières boites de Paris, non loin du parc Monceau. C'est un immeuble tout à fait ordinaire où nous sonnons à une porte au bout d'un long couloir. Elle s'ouvre sans aucune difficulté et nous entrons, un peu intimidés tout de même. La boite est simplement un appartement dont deux pièces sont des sortes de salons meublés de divans bas, de banquettes et de tables où poser les consommations délivrées par un bar. Sur ces divans, une douzaine de couples, car il n'y avait alors que des couples, à charge pour les isolés de faire appel à une professionnelle, se livrent aux jeux les plus divers, sous nos yeux stupéfaits. Certains, totalement vêtus, ont l'air de spectateurs qui observent sagement ce qui se passe, à ceci près que les caresses de l'homme sur sa compagne dépassent un peu les limites de la bienséance en découvrant plus ou moins sa gorge ou ses jambes. D'autres, plus ou moins dévêtus, certains complètement à poil, font carrément l'amour sous toutes ses formes, à deux, à trois ou à plusieurs. Pour la première fois nous voyons des couples s'échanger et des filles passer ainsi de bras en bras sans paraître se soucier beaucoup du nouveau partenaire, pourvu qu'il les monte bien. Ce qui nous étonne peut-être le plus, c'est de voir une fille prise en sandwich par deux hommes, sport dont nous avions entendu parler mais que nous n'avions jamais vu pratiquer. Couchée sur l'un d'eux qui la possède profondément mais très classiquement, son deuxième partenaire la chevauche et nous le voyons parfaitement forcer son œillet d'une queue de taille non négligeable. Ce qui parait étonner le plus ma chérie, c'est la satisfaction que parait éprouver intensément la belle enculée ! Hypocrite, va ! Elle se garde bien de me dire qu'elle a déjà expérimenté ce genre d'étreinte ! Tout cela dans une ambiance feutrée et amicale, sur un fond de musique douce, entre gens de bonne compagnie. Nous constatons assez vite que chacun s'associe ou non à ces jeux, dans la mesure où il le veut bien.
Nous nous faisons servir la consommation prévue dans notre droit d'entrée et nous asseyons sagement sur une banquette, un peu à l'écart. Ma chérie paraît dépassée par l'événement et, pour une fois, incapable de toute initiative. C'est presque craintive qu'elle se serre contre moi et crispe sa main dans la mienne. Elle était peut-être partante pour s'envoyer un garçon de temps à autres mais là, c'est peut-être beaucoup à la fois ! Sans dire mot, mais en regardant de tous ses yeux, elle se blottit dans mes bras et je dois la rassurer doucement en lui rappelant que nous ne sommes là que pour voir ce qui se passe et qu'elle n'est pas obligée de participer, du moins si elle ne le désire pas. Je n'en suis pas si sur moi-même mais il ne nous faut guère de temps pour constater que si beaucoup nous sourient gentiment, personne ne vient nous importuner en nous proposant quoi que ce soit. Chacun parait totalement libre, de faire tout ce qui lui plaît, y compris de ne rien faire du tout, c'est la liberté de chacun qui fixe les bornes des entreprises des autres.
Comme pour le moment, je suis trop intimidé pour faire mieux que peloter doucement ma compagne en l'embrassant et qu'elle même est trop crispée pour me permettre des initiatives plus hardies, ça se voit et les partouzeurs en déduisent vite que nous sommes des novices qu'il faudra gentiment apprivoiser. Ils sont trop expérimentés pour nous brusquer et risquer de casser un bon coup futur. Ils détachent donc vers nous un émissaire, en l'occurrence une fille, assez jeune, brune et bien foutue, seulement vêtue d'une sorte de combinaison très courte s'arrêtant au dessus des fesses et retenue aux épaules par deux fines bretelles. Elle vient s'asseoir à côté de Marie et je comprends alors l'utilité de son vêtement en constatant un certain manque de fermeté de la poitrine qu'il contribue à voiler. Elle se tourne bientôt en souriant vers ma douce et engage gentiment la conversation.
– Vous êtes nouveaux ? C'est la première fois que je vous vois.
– Oui. Nous ne sommes pas parisiens.
– Et ça vous plaît, c'est ce que vous attendiez ? Vous venez pour voir, pour être vus ou pour vous amuser ?
– Oh, ce soir, simplement pour voir. Nous ne sommes jamais entré dans un club de ce genre, nous découvrons aujourd'hui. Nous ne savions pas si ça nous plairait.
– C'est votre ami qui vous a amenée ?
– Non, c'est mon mari, nous sortons toujours ensemble. Nous avons tous deux voulu voir comment ça se passe ici.
– C'est extra ! Vous avez bien de la chance de pouvoir compter sur votre mari pour sortir avec vous et partager vos désirs. C'est lui qui veut vous dévergonder ou c'est vous qui en avez envie ? Si vous êtes ici, c'est que vous êtes attirés par l'échange et l'amour en groupe ? Vous l'avez déjà fait ?
– Non, nous ne savons pas encore si nous oserons. Nous sommes d'accord tous deux pour essayer, mais peut-être pas encore. Je craignais un peu d'être forcée…– En boite, vous ne risquez rien, personne ne vous forcera. Chacun fait ce qu'il veut quand il le veut. Vous savez, à la longue, nous nous connaissons tous plus ou moins. Il n'y a pas beaucoup de monde ce soir mais ce sont des habitués. D'ailleurs, nous pourrions nous tutoyer, ce serait plus sympa.
– Bien sur ! Tu viens souvent ?
– Oh, deux ou trois fois par mois, quand j'ai envie de m'éclater. Mais nous ne sommes pas toujours fidèles à cette boite. Il y en a d'autres.
– Tu es avec ton mari ?
– Non, mon mari est trop con pour me laisser baiser comme je veux et pour en profiter. Je le trompe et je viens ici avec un ami. C'est pour ça que je trouve que vous avez bien de la chance tous deux, c'est merveilleux de pouvoir être la complice de son mari. Tu as déjà participé à des échanges ?
– Un peu mais ce n'est pas facile en province. Je me suis déjà laissée caresser et sucer par un autre homme dans les bras de mon mari et j'ai même baisé avec quelques autres types, mais jamais devant lui: il le savait, bien sur et m'y avait encouragé. J'aime me montrer et prendre mon plaisir devant lui, ça m'excite beaucoup. Et pendant ces dernières vacances, je lui ai demandé de baiser une autre fille devant moi, ça m'a tellement excitée que nous avons passé les vacances à baiser en trio.
– C'est étonnant que tu n'aies pas été plus loin. Pourquoi tu ne t'es jamais fait sauter devant lui ?
– Je n'ai pas encore osé, il aimerait bien et il me l'a demandé mais je n'ai pas encore voulu. J'ai un peu peur de me donner totalement et en même temps j'en ai bien envie. Je suis compliquée !
– Mais non, c'est normal avant de se décider. Tu veux commencer ce soir ?
– Non, pardonne moi, mais je veux d'abord voir un peu et réfléchir. Tu sais, c'est la première fois que je vois des gens faire l'amour comme ça, c'est quand même un peu déroutant !
– Ce n'est pas grave, pour une première fois, je te comprends. Faites ce que vous voulez. Tu m'excuseras mais j'ai envie de baiser, j'y vais. Ça te donnera peut-être des idées. A tout à l'heure.
Et la jolie brune va s'étendre sur la moquette sous nos yeux, et pratiquement sous nos pieds, en demandant à la cantonade qui veut la baiser. Elle s'appelle Nelly et nous la reverrons souvent. Son ami vient s'étendre auprès d'elle et, remontant sa liquette, lui caresse doucement les seins, laissant un autre mâle se présenter entre ses cuisses ouvertes et glisser dans un antre déjà visiblement bien lubrifié une queue superbement bandée. Il la monte lentement et puissamment, avec le désir évident de bien montrer à tous, et en particulier à nous qui sommes si près, combien sa partenaire apprécie d'être ainsi chevauchée. Marie les regarde faire, très intéressée et un peu troublée à ce qu'il me semble, et me dit soudain.
– Chéri, je voudrais que tu la baises après lui. Je suis sure que plusieurs mec à la file ne lui font pas peur. ! Je t'ai déjà vu faire avec Jacqueline mais je veux voir si tu la fait aussi bien partir qu'elle. Regarde comme elle a l'air bonne et comme elle aime ça, cette salope ! Si elle s'envoie en l'air sous nos pieds, c'est pour nous provoquer. Ça ne te plairait pas de te la faire ?
– Si, bien sur, mais je ne veux pas m'amuser sans toi et faire l'amour à une autre fille si tu ne participes pas.
– Je me suis bien faite baiser, moi ! Je me suis déjà donnée à d'autres plus que toi, tu le sais bien. Tu as du retard à rattraper, je veux te donner cette fille, je n'irai pas plus loin si tu ne me donne pas l'exemple. Ici, je ne veux pas commencer la première. Je veux te voir faire avec elle et savoir si j'aimerai te voir prendre ton pied sans moi dans cette ambiance, si ça m'excitera ou si ça me rendra jalouse ! C'est bien ce que tu m'as demandé de faire, non ?
– Tu me reprocheras de ne penser qu'à moi et de te laisser tomber. C'est pour toi que nous sommes ici.
– Bien sur que non, tu le feras pour nous deux, pour voir si on s'aime assez pour pouvoir échanger sans risque, je veux voir ce que je vais ressentir en te partageant avec n'importe qui, je crois que je vais aimer comme j'ai aimé te voir baiser Jacqueline. Et puis, si tu me laisses, il va bien y en avoir un pour s'intéresser à moi. Je ne me laisserai peut-être pas faire jusqu'au bout mais je ne refuserai pas les caresses. Vas-y ! Qu'est ce que tu attends ? Tu ne vas pas me laisser me dévergonder toute seule ?
Bon, puisqu'elle le veut…Je vais donc m'agenouiller près de Nelly, gémissant doucement sous la charge du mec qui l'a entreprise. Elle paraît étonnée de me voir à ses côtés et vérifie qu'elle a bien compris.
– Tu me prêtes ton mari ? Tu te décides ? Tu n'es pas jalouse ?
– Bien sur que non ! Amuses toi avec lui, je regarderai, je veux voir comment il te fait l'amour, je ne l'ai pas souvent vu le faire à une autre femme.
– D'accord, je veux bien qu'il me baise mais à condition que mon ami puisses s'amuser un peu avec toi pendant ce temps. Pour un premier soir, tu l'arrêteras s'il va trop loin, mais on ne va pas le laisser seul.
– D'accord, qu'il vienne ! Mais je ne voudrais pas le décevoir, tu sais que je ne veux pas me donner totalement aujourd'hui !
– Bon, comme tu voudras. Mets-toi à l'aise, mon chou, déshabille toi et viens contre moi, je t'atteindrai mieux. Laisse lui la place, chéri, va caresser sa petite nana, doucement, comme tu sais le faire, tu vois qu'elle est encore timide, apprivoise là !
Je n'ai plus qu'à obéir puisque toutes ces dames se liguent contre moi ! D'un autre côté, je suis heureux que Nelly ait clairement fait comprendre à Marie qu'un échange se jouait à quatre et qu'il fallait payer un peu de sa personne, ce qu'elle ne peut plus refuser. Je me déshabille rapidement et reviens me coucher sur la moquette à côté de la petite brune toujours montée par son actuel amant. Pendant que j'embrasse et caresse sa poitrine, elle avance la main vers mon dard bandé à éclater et entreprend de lui maintenir sa rigidité en attendant de l'absorber. Sa main est douce et trop efficace et je dois la modérer pour pouvoir résister à son entreprise, tandis que son baiseur la lime toujours puissamment. Gémissant sous les assauts, Nelly m'attire à nouveau vers elle et entreprend maintenant de me prendre en bouche, ce que je ne peux lui refuser mais qui ne va pas pouvoir durer longtemps sous sa langue si agile sur mon gland. Il faut encore la modérer en espérant que son baiseur va l'achever, ce qui me laisse quelque présence d'esprit pour observer ce qui se passe sur la banquette.
L'ami de Nelly, totalement à poil, prend place à côté de mon adorée, peu effarouchée par ce contact si direct, et laisse sa main parcourir ses cuisses en remontant sournoisement une jupe qu'elle ne songe plus à maintenir en place. C'est un beau mâle, j'espère qu'il va lui plaire. Il ne tarde d'ailleurs pas à s'enhardir et à déboutonner chemisier et soutien-gorge pour laisser ma chérie seulement vêtue de sa jupe et de son slip. Il attire sa tête vers lui et j'ai l'heureuse surprise de la voir ouvrir les lèvres pour accepter la superbe bite qu'il lui offre. Ma chérie est en train de sucer ce type qui vient à peine de l'entreprendre: ça promet ! Les quelques vêtements encore sur elles doivent lui paraître gênants et je le vois dénuder complètement Minette. Je suis ravi de constater qu'elle se laisse faire et aide même à son déshabillage en se soulevant pour laisser glisser son slip. La voilà dans la même tenue que nous tous, offrant tout son corps aux caresses de son partenaire. Ça devient vraiment intéressant mais il est temps de m'intéresser à ma compagne du moment!
En quelques coups de reins, le type qui monte Nelly se vide en elle la faisant doucement gémir et je sens nettement son émoi à la soudaine crispation de ses lèvres sur moi. Ce premier mâle à peine retiré d'elle, elle m'attire par la bite pour se l'enfiler dans la chatte. Cet enfilage en série me laisse perplexe et j'éprouve quelque appréhension à barboter dans le foutre qui doit déjà remplir son chaton. Je jette un regard un peu inquiet vers ma chérie qui va me voir baiser devant elle une autre fille que nous ne connaissons pas. Est-elle réellement prête à ça ? Elle comprend mon hésitation et m'encourage d'un signe de tête. Après tout, c'est elle qui l'aura voulu. Peut-être est-elle trop occupée pour me prêter beaucoup d'attention ! Couchée sur la banquette, la tête tournée vers nous, elle paraît fascinée par le spectacle, mais pas du tout indifférente à la main qui étire la pointe de ses seins et à la bouche collée sur son petit minou: ma petite salope prend un plaisir visible à se laisser ainsi grignoter. Je sais combien elle adore cette caresse aussi puis-je sans remords m'intéresser à Nelly.
J'entreprend donc de pistonner le fourreau plus que lubrifié de la petite brune. Elle sait y faire, la garce et les contractions de son vagin conjuguées à ses coups de hanches pour mieux se faire planter ne peuvent me laisser indifférent. La sensation est trop forte et l'excitation de ce premier échange trop intense pour que je n'en profite pas pleinement. Couché sur elle, mordillant les pointes de ses seins, prenant ses lèvres au passage et surtout la labourant aussi profondément que je peux, j'oublie tout et ne pense même plus à regarder ce que fais Marie. Nelly ronronne sous moi et se donne avec une violence révélatrice de son plaisir. A ce rythme, je ne peux durer bien longtemps et sens monter une jouissance irrésistible. J'ai parfaitement conscience de me vider en elle trop rapidement mais je ne puis résister à la chaleur de son chat et à la perversité de cette situation. Les mêmes gémissements de chatte en chaleur me remercient, parce que Nelly est gentille, mais je ne pense pas qu'elle soit encore vraiment partie, il va lui en falloir d'autres pour pallier mon inexpérience !
Me redressant, j'ai la surprise de voir que la situation a très vite évoluée du côté de ma chérie. Je l'ai laissé cuisses ouvertes sous la bouche qui l'avait entreprise, je la retrouve chevauchant son compagnon en un superbe 69, se laissant dévorer l'abricot tandis qu'elle avale voracement son dard. Elle est superbe et j'ai enfin sous les yeux le tableau que j'espérai tant voir: ma chérie en train de faire l'amour sans aucune retenue avec un autre que moi. Incapable de s'expliquer, puisque les filles bien élevées ne parlent pas la bouche pleine, je n'arrive pourtant pas à croire qu'elle soit violée sous mes yeux: c'est tout juste si ce n'est pas elle qui viole son cavalier ! Je pense plutôt qu'entraînée par le mauvais exemple que Nelly et moi lui avons donné, elle s'est laissée faire sans trop protester et que le plaisir l'a très vite emportée, peut être plus loin qu'elle ne l'aurait voulu. Totalement déchaînée, elle se donne à fond et doit avoir bien du mal à ne pas étouffer avec la bite qui doit l'atteindre au fond de la gorge. La scène est de toute beauté, je jouis de les voir faire comme je l'avais espéré et Nelly se serre contre moi en me glissant:– Je crois que ta femme passe une bonne soirée ! Elle a l'air d'être douée ! Tu vois, il suffisait de la faire démarrer !
Nous les admirons un bon moment, en compagnie de plusieurs spectateurs venus se joindre à nous, jusqu'à ce que Marie prenne un pied phénoménal en hurlant de bonheur et désarçonne son cavalier, incapable d'en supporter davantage.
Le garçon a encore les bourses pleines et, se retournant, il glisse sur elle pour la posséder comme il croit en avoir acquis le droit. Reprenant ses esprits, elle lui fait signe qu'elle refuse la pénétration mais rampe vers lui pour venir ré emboucher la pine qui lui a si bien rempli la gorge. Un peu étonné, mais pas mécontent de ce traitement, le garçon se couche sur le dos et ma salope vient s'étendre entre ses jambes pour avaler le pieu aussi totalement qu'elle le peut en poussant de petits grognements d'excitation. A ce rythme, il ne faut pas longtemps pour le voir se raidir et échapper à la bouche de Marie, maintenant dégoulinante de foutre. L'un des spectateurs présente aussitôt sa bite à la jolie bouche mais elle le refuse d'un sourire et me prenant par la main m'entraîne pour faire un brin de toilette bien nécessaire pour tous deux.
Un peu inquiet de nos exploits respectifs, nous revenons nous asseoir, toujours parfaitement nus, à côté du mec qui reprend ses esprits. Comme je le pensais, Nelly a trouvé un autre partenaire qui la baise à nos pieds, ce qui nous laisse le loisir d'échanger nos impressions.
– Tu ne veux pas continuer et être à lui comme j'ai eu sa copine ?
– J'ai été assez salope à ton goût ? Ça t'a plu de me voir faire la chienne ? Alors, non je ne tiens pas à aller plus loin pour ce soir. J'ai déjà joui sur sa main et sous ses lèvres, il le faisait bien, je ne veux pas qu'il me prenne maintenant. D'ailleurs, je l'ai pompé à fond, il s'est vidé dans ma bouche et doit avoir besoin de se reposer. Et puis, si je me fais baiser, tu sais bien que c'est ce qu'ils attendent tous pour venir m'entreprendre et je ne veux pas encore me donner ce soir, il y en a trop !
– J'ai un peu honte d'avoir joui et de t'avoir trompée sous tes yeux alors que tu es restée presque sage..
– Presque sage ! Tu crois ? Moi aussi j'ai joui et j'ai fait jouir, tu l'as bien vu. C'est moi qui te remercie d'avoir baisé cette fille pour moi, tu me libères. Je voulais que ce soit toi qui commence ici. Je ne me suis pas gênée pour me laisser sucer et pour pomper un mec devant toi. J'étais tellement excitée de vous voir faire que c'est à peine si je me suis rendu compte de la façon dont ce type me disposait. Je peux te jurer qu'il m'a fait faire un 69 qui n'était pas du chiqué. J'ai joui comme une salope avec sa langue qui fouillait tous les recoins de mon con, s'attardait sur mon petit bouton et sa grosse pine qui me prenait la bouche et s'enfonçait dans ma gorge. J'avais envie d'écraser encore plus ma moule sur ses lèvres et de le sentir me mordre pendant que j'avalais sa bite aussi profond que je pouvais, je sentais son gland venir buter au fond de ma gorge, je ne savais plus me retenir, je l'ai fait partir comme une pute et j'ai tout avalé, mais c'était bon. Nous recommencerons, je crois que je suis prête, l'échange ne me déplaît pas. Mais pas ce soir. C'est encore trop tôt. Laisse moi m'habituer doucement à cette idée. Nous reviendrons et la prochaine fois j'irai un peu plus loin. En tout cas, cette boite est sympa, je n'ai plus peur, je m'y trouve bien avec toi. C'est vrai qu'on ne m'a pas violée !
Pour ce soir, nous en resterons là, nous nous rhabillons et restons sagement assis côte à côte pour observer, pendant un moment encore la suite de la soirée. Nous avons évidemment besoin de faire le point et de réfléchir sur ce que nous avons vu et sur ce que nous avons fait. Pour cela, il vaut mieux rentrer à l'hôtel et c'est ce que nous faisons assez rapidement.
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