Délices bucoliques

- Par l'auteur HDS Didon lénée -
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Récit libertin : Délices bucoliques Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2004 dans la catégorie Plus on est
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Délices bucoliques
Dans un coin calme et vert de la campagne normande, mes beaux-parents ont acquis une fermette restaurée à grands frais. Chaque année depuis notre mariage, leur fille Dora et moi y séjournons durant juillet. Le jardin de la maison longe une mare où croasse sans répit une abondante gente batracienne. L'unique ferme du village se trouve à un jet de pierre. La famille connaît bien le fermier et son épouse qui lui fournissent régulièrement oeufs, lait et fromage. Ce sont des gens d'agréable commerce et plus encore leur fils Freddo, célèbre dans tout le canton et devenu au fil des ans un adolescent plutôt déluré. De constitution robuste, il a gardé de l'enfance ses allures bellottes et sait user de ce contraste pour ajouter à un pouvoir séducteur naturel.

Ce matin, en guise de retrouvailles après un lustre séparateur dû à ses études, je l'ai convié à pêcher la grenouille comme au bon vieux temps. Il arrive et je reste une poignée de secondes sans voix. J'ai mal à reconnaître le gamin à peine pubère d'autrefois dans l'athlète au sourire largement ouvert sur l'impeccable alignement d'une denture dotée d'un émail immaculé. Vêtu d'un bermuda en spandex moulant des quadriceps aussi étonnamment développés que la triple bosse figurant ses attributs génitaux et d'un polo si étroitement collé à ses pectoraux saillants qu'une simple inspiration forcée en menacerait gravement l'intégrité des coutures, il a chaussé des bottes basses de style western qui accusent sa courbure lombaire et donnent aux muscles culiers qu'il fait jouer insolemment sous le mince tissu, porté aux limites de la distension sous la poussée outrancière, des reliefs terriblement attractifs. Fasciné par leurs mouvances osées qu'un soleil oblique rend encore plus suggestives, je le laisse, au sortir de la remise où nous avons monté les lignes, marcher devant moi. Ainsi, je peux lorgner à loisir les contractions rythmées de sa croupe provocante. Le chenapan, comme averti de mon émoi, se déhanche du coup avec une ostensible nonchalance. Si je m'écoutais, je laisserais choir sur le pré le matériel de pêche et, accroupi, dénuderais d'un seul geste les globes fessiers si tentants. Je donnerais à ma langue tout le temps de baver sa convoitise, en la promenant sans hâte sur les rotondités fermes et en l'abandonnant insensiblement à l'invincible attraction, dans la vallée profonde aux parois veloutées, du sphincter bistre qu'elle agacerait d'une pointe taquine, avant de se repaître des suaves saveurs d'épices. Narines béantes et délectées jusquà l'extase par les effluves forts du jeune mâle.

Accaparé par ces alléchantes perspectives, je ne remarque la présence de Dora derrière moi que lorsque nous arrivons près de la mare. Outre un ravissant chapeau de paille ceint d'un ruban écarlate et des lunettes de soleil dernier cri, elle arbore une robe délicatement fleurie au décolleté savamment audacieux et propre à braquer sur sa poitrine plantureuse les regards les plus blasés. Ses mollets ronds sertis dans des bas de nylon blanc à couture et ses pieds mignons logés dans des escarpins de chevreau glacé rouge cochenille à talons aiguilles. Sa bouche est peinte d'un carmin aussi agressif que le ton qu'elle emploie pour expliquer sa présence.

- Le père de Freddo m'a demandé de lui faire travailler son anglais. J'ai jugé qu'il pourrait s'entraîner tout en attrapant les grenouilles, déclare-t-elle péremptoirement en parfaite enseignante.

L'intéressé n'a pas l'air vraiment enchanté de devoir réciter les verbes irréguliers pendant qu'il surveillera son hameçon, mais beau joueur il se soumet sans rechigner aux exigences paternelles, d'autant plus volontiers qu'il louche sans vergogne sur les outrageuses proéminences mammaires de ma moitié. Je mesure que je n'ai plus qu'à m'éloigner et à gagner l'autre extrêmité de la mare. A l'abri d'un bouquet de roseaux, je les entends répéter les règles de grammaire. Le dialogue studieux se poursuit pendant une heure entière. Concentré sur la pêche,je capture dans le même temps trois douzaines de grenouilles. Toutefois je me morigène d'avoir eu des pulsions salaces envers le rustaud. Je m'accorde finalement une pause, d'autant plus nécessaire que j'éprouve l'impériosité d'un besoin naturel. Par ailleurs de longues périodes de silence entrecoupent dorénavant le discours studieux. Toute curiosité malsaine en éveil, je renoue aussitôt avec mes penchants de voyeur.. Silencieusement je m'approche , dissimulé par les roseaux, et m'immobilise à croupetons à moins de cinq mètres du vieux banc de pierre où Dora assise, jambes haut croisées, robes troussée jusqu'aux attaches des jarretelles sur ses cuisses écartées, offre à son élève comblé l'émoustillant point de vue d'une chatte dont les lèvres pulpeuses et méticuleusement épilées semblent vouloir avaler un minuscule string aux bords garnis de dentelle neigeuse. Le vaurien a bien du mérite à faire l'effort de répondre encore aux arcanes syntaxiques. Il n'accorde plus qu'une attention purement formelle à l'approche des grenouilles, parce que le supplice qu'il endure en quittant rien qu'un instant le bouleversant spectacle des dessous féminins généreusement proposé à sa concupiscence juvénile a pris une tournure trop cruelle.

Il bande , le maraud, de manière si monstrueuse que j'en ai le souffle coupé et l'échine secouée de tremblements. La protubérance cylindrique qui gonfle de façon obscène le devant du bermuda a une longueur et une circonférence extraordinairement disproportionnées. Assurément il s'agit d'une pine phénoménale comme on en voit sur certaines foires. Ma bouche s'inonde comme celle du connaisseur avant dégustation. Imitant ma femme, je scrute intensément le bas-ventre du garnement en quête du moindre détail que le mince tissu révèle comme une seconde peau. On suit parfaitement les contours du gland à la couronne étalée et on voit nettement palpiter la colossale colonne, lorsqu'à chaque systole, le sang envahit les tubes juxtaposés des corps caverneux. Le trouble qui me saisit fait se raidir ma bite. L'intense érection qui rapidement la tenaille n'a que peu de rapport avec l'envie d'uriner toujours présente. A coup sûr fière d'avoir allumé un désir irrépressible chez le bel éphèbe, Dora, consciemment ou non, passe et repasse une langue impatiente sur ses lèvres charnues toutes luisantes de salive et finit par céder à son péché habituel, l'autosatisfaction. Elle veut voir de plus près la gigantesque expansion pénienne qu'elle a délibérément déclenchée. Elle se lève d'un bloc et, les hanches animées d'une houle lascive, rejoint sans tarder sa proie soudain pétrifiée.

- Assez d'anglais pour aujourd'hui. Tu t'es bien comporté. Passons donc à d'autres jeux de langues, invite-t-elle enjôleuse d'une voix rendue chaude à l'adresse de Freddo. Tu as certes besoin de fortifier ton anglais, mais l'imposant projet que tu affiches sur l'heure ne réclame par contre aucune amélioration, mais plutôt le secours d'une main et d'une bouche apaisantes. Qu'en penses-tu, mon chou?

Confrontée au saisissement de son interlocuteur capable au mieux de bredouiller une réponse inaudible, elle avance vers lui une dextre caressante et frôle son cul musclé, en faisant crisser le spandex sous ses ongles manucurés. Elle ne tarde pas à les enfoncer pour un pelotage plus précis qui arrache au rufian un gémissement étouffé. Victorieuse, elle s'apprête en relais à user de sa senestre sur la cible principale, la turgescence surdimensionnée qui s'allonge davantage par saccades sur le bassin du jeune paysan et semble pourvue d'une vie propre.

Afin de devancer les plans de ma femme, je jaillis tel un diable de ma cachette végétale, clouant en vol ses doigts délicats déjà tendus. Réellement stupéfaite de mon intrusion, Dora reste cependant parfaitement maîtresse de la situation. Faisant montre d'une rouerie rare et soucieuse de masquer ses intentions, elle rentre subrepticement ses serres incrustées dans le croupion rebondi et se jette à mon cou, amante perfide, pour un baiser furtif avant de tourner les talons et de s'éloigner d'un pas altier vers la maison.

Abasourdi, gauche à l'excès, l'ami Freddo se contorsionne en de vaines tentatives destinées à masquer sa trique époustouflante. Je parviens à calmer son appréhension justifiée d'une tape sur l'épaule. Rassuré, il me fait face et je dois me retenir pour ne pas le palucher tellement les mains me démangent, car une seule ne suffirait pas. Je lui propose de m'accompagner aux toilettes, situées dans l'appentis attenant à la remise.

- Viens donc pisser avec moi, lui dis-je en chemin. Elle t'a mis dans un état qui réclame un soulagement urgent mais précautionneux. Elle adore se faire mater la motte. Elle a mis des talons aiguilles et des bas à couture pour te faire bander un max, parce que dans le village le bruit court que tu es monté comme un baudet. Pour une fois ce n'est pas une légende. Entrons là-dedans. Je veux reluquer ton bon dieu de braquemart de plus près et dans l'intimité.

Le fils du fermier ne se fait pas prier. Il me précède dans l'étroit réduit. Je ferme soigneusement le loquet de la porte et vais m'asseoir sur le siège...

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