délicieux rêve érotique !
Récit érotique écrit par Tamatao [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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délicieux rêve érotique !
Comme mon travail le demande depuis quelques mois, je rentre tard chez moi. Je trouve ma femme endormie dans notre lit. J’entre dans la chambre sans faire de bruit, me déshabille et me glisse à ses côtés. Elle est allongée sur le côté, elle me tourne le dos.
Cela ne fait que quelques minutes que je suis couché, je ne dors pas encore. Je crois entendre ma femme gémir. En écoutant mieux…oui effectivement, elle gémit. De petits soupirs saccadés comme lorsque nous faisons l’amour. Je glisse la main sous le drap à la rencontre de son sexe. Petit abricot, parfaitement imberbe et doux ! En glissant mes doigts, je la découvre toute mouillée. Ma femme rêve et prend son pied. Cette simple pensée me fait bander. Mon sexe est droit, au garde à vous et prêt au combat. De ma main libre je commence à me branler. D’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Ma femme continue à geindre et son bassin commence à bouger. Je deviens fou, mon sexe me fait mal à force de gonfler de désir. Je me tourne vers ma femme et place mon sexe à l’entrée du sien. Je glisse un bras sous sa tête jusqu’à pouvoir prendre son sein gauche dans la main. Mon autre main se pose sur ses hanches, prête à la maintenir. N’y tenant plus, j’entre en elle. Mon sexe entre comme dans du beurre. Elle mouille de plus en plus, ses gémissements sont de plus en plus rapprochés. Je commence mes va et vient, doucement, tendrement puis de plus en plus vite, presque brutalement. Tout son corps vibre au rythme de mes coups de rein. Le plaisir monte, je sens une boule de chaleur au creux de mes reins. Je vais aussi profondément que je le peux. Je m’enfonce, je m’enfonce, encore, encore, encore ! Je suis sur le point de jouir. Je sors de mon antre. Le plaisir n’en sera que meilleur. Je me glisse sous les draps et me dirige vers les petites fesses rebondies de ma belle endormie. Je glisse un doigt vers son petit trou. Aucune réaction ! Je m’approche, je glisse ma langue, je lèche, suce, aspire. Cette fois, je lui mets un doigt puis deux, je fais des va et vient pour préparer le terrain…L’attente est intenable. Mon sexe crie, me rappelle à l’ordre. Je n’en peux plus, je suis au bord de la folie. C’est l’heure, je me replace derrière ma femme, je la maintiens d’une main, l’autre dirige mon sexe plus qu’impatient devant son anus. Ivre de désir, j’entre sans précaution. Grand coup de rein ! Mes bourses claquent sur les fesses de ma femme. La violence de ce geste la réveille, elle se débat. Je la maintiens dans cette position de force. Elle n’est pas vraiment une adepte de la sodomie. Mais j’insiste, je continue, j’entre, je sors, plus vite, plus fort, plus profond. Encore et encore. Je vais jouir, je vais jouir…je ne pense plus à rien. Ma femme est maintenant allongée sur le ventre, je tiens ses jambes écartées avec les miennes pour pouvoir mieux la pénétrer. J’enfonce mes doigts dans le vagin de ma femme pendant que mon pouce s’active sur son bouton. Elle frémit, mais continue à me demander d’arrêter. Ça m’excite encore plus surtout que je la sens excitée malgré ses plaintes. Je la pénètre partout : ma main dans son vagin et mon sexe dans son anus. Sentant que je vais venir, je ralentis, glisse mes mains sous ses bras et m’accroche à ses deux épaules et rentre en elle une dernière fois aussi fort et profondément que je le peux. Je crie tout le plaisir qui sort de moi. Je jouis dans son cul, je me vide. Hummm, c’est trop bon !
Cela ne fait que quelques minutes que je suis couché, je ne dors pas encore. Je crois entendre ma femme gémir. En écoutant mieux…oui effectivement, elle gémit. De petits soupirs saccadés comme lorsque nous faisons l’amour. Je glisse la main sous le drap à la rencontre de son sexe. Petit abricot, parfaitement imberbe et doux ! En glissant mes doigts, je la découvre toute mouillée. Ma femme rêve et prend son pied. Cette simple pensée me fait bander. Mon sexe est droit, au garde à vous et prêt au combat. De ma main libre je commence à me branler. D’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Ma femme continue à geindre et son bassin commence à bouger. Je deviens fou, mon sexe me fait mal à force de gonfler de désir. Je me tourne vers ma femme et place mon sexe à l’entrée du sien. Je glisse un bras sous sa tête jusqu’à pouvoir prendre son sein gauche dans la main. Mon autre main se pose sur ses hanches, prête à la maintenir. N’y tenant plus, j’entre en elle. Mon sexe entre comme dans du beurre. Elle mouille de plus en plus, ses gémissements sont de plus en plus rapprochés. Je commence mes va et vient, doucement, tendrement puis de plus en plus vite, presque brutalement. Tout son corps vibre au rythme de mes coups de rein. Le plaisir monte, je sens une boule de chaleur au creux de mes reins. Je vais aussi profondément que je le peux. Je m’enfonce, je m’enfonce, encore, encore, encore ! Je suis sur le point de jouir. Je sors de mon antre. Le plaisir n’en sera que meilleur. Je me glisse sous les draps et me dirige vers les petites fesses rebondies de ma belle endormie. Je glisse un doigt vers son petit trou. Aucune réaction ! Je m’approche, je glisse ma langue, je lèche, suce, aspire. Cette fois, je lui mets un doigt puis deux, je fais des va et vient pour préparer le terrain…L’attente est intenable. Mon sexe crie, me rappelle à l’ordre. Je n’en peux plus, je suis au bord de la folie. C’est l’heure, je me replace derrière ma femme, je la maintiens d’une main, l’autre dirige mon sexe plus qu’impatient devant son anus. Ivre de désir, j’entre sans précaution. Grand coup de rein ! Mes bourses claquent sur les fesses de ma femme. La violence de ce geste la réveille, elle se débat. Je la maintiens dans cette position de force. Elle n’est pas vraiment une adepte de la sodomie. Mais j’insiste, je continue, j’entre, je sors, plus vite, plus fort, plus profond. Encore et encore. Je vais jouir, je vais jouir…je ne pense plus à rien. Ma femme est maintenant allongée sur le ventre, je tiens ses jambes écartées avec les miennes pour pouvoir mieux la pénétrer. J’enfonce mes doigts dans le vagin de ma femme pendant que mon pouce s’active sur son bouton. Elle frémit, mais continue à me demander d’arrêter. Ça m’excite encore plus surtout que je la sens excitée malgré ses plaintes. Je la pénètre partout : ma main dans son vagin et mon sexe dans son anus. Sentant que je vais venir, je ralentis, glisse mes mains sous ses bras et m’accroche à ses deux épaules et rentre en elle une dernière fois aussi fort et profondément que je le peux. Je crie tout le plaisir qui sort de moi. Je jouis dans son cul, je me vide. Hummm, c’est trop bon !
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