Délires 1

- Par l'auteur HDS Maiega -
Récit érotique écrit par Maiega [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Délires 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Délires 1
<p> J’ai 51 ans, divorcé depuis quelques années, je n’ai pas encore retrouvé la complicité que je souhaiterais vivre avec une nouvelle compagne, les moments de bonheur, d’émotion, de joie et tendresse que l’on peut vivre à deux.

Je ne suis pas trop mal physiquement, assez grand, bien proportionné, je sais que les femmes me regardent mais je suis souvent trop timide pour tenter de lier conversation ou… plus…

Depuis tout jeune je ressens une attirance irrésistible pour la fourrure, le velours. Ces matières soyeuses, douces, caressantes me fascinent et je fantasme souvent sur une femme amie amante ayant ces mêmes attraits, obsession… Je m’habille souvent avec un pull ou t-shirt en velours, et quasiment tous mes sous-vêtements sont en cette matière. Achetés la plus part sur le Net, dans des boutiques virtuelles aux USA ou ailleurs car ce genre de produit ne se trouve pas dans le commerce habituel.

Récemment j’ai commandé par le même biais, 2 vestes en fourrure pour homme : 1 blouson noir en fausse fourrure de marmotte, extrêmement doux, à poils pas trop courts et dont le contact me met toujours dans un état indescriptible… L’autre est en vraie fourrure de marmotte rasée, avec un col de renard ainsi qu’un capuchon de la même facture, soit bordé de renard. Je n’ai toutefois jamais osé sortir vêtu de la sorte, ayant peur que l’on ne me prenne pour un homosexuel, ce que je ne suis pas du tout, au contraire. J’ai toujours pensé que le meilleur moyen de porter ces vestes serait de sortir avec une femme habillée également de fourrure. Mais en Europe, les campagnes des écologistes et anti-fourrure ont porté leur fruit et l’on voit de moins en moins de personnes se vêtir de ces chaudes matières.

Bref, j’ai tout dernièrement décidé de tenter de trouver par le biais d’une petite annonce, une femme ayant les mêmes fantasmes, obnubilée comme moi par ces incroyables sensations que procurent les caresses de la fourrure ou du velours sur la peau nue, et comme moi un brin exhibitionniste et fétichiste.

La petite annonce a été publiée un jeudi dans un journal particulier, à diffusion gratuite et largement distribué. Quelques jours après, je reçois une réponse… Une enveloppe rouge sang, parfumée avec un parfum fort, voluptueux, pénétrant… Quelques lignes qui me font battre mon cœur et mettre mes sens en émois :
« Tu dois être celui que j’attends depuis longtemps… Tu seras ma chose, mon esclave pour mes jeux de plaisir,
Je t’apprendrai ce que tu n’imagines même pas, je te ferai tellement jouir que tu ne te passeras plus de moi… Je n’ai pas encore mes 40 ans, je suis brune, cheveux longs bouclés, grande et mince… On me dit très belle, rebelle… Comme toi je suis fourrure et caresses de velours, comme toi je me torture pour aimer toujours plus fort… J’attends ton appel au ….. ».

Ces lignes m’ont fait un effet incroyable ! Je suis resté tout un jour à penser, rêver de ce sera cette rencontre, fantasmer sur ces lignes, ce parfum. Et puis je me suis décidé… Tout fébrile j’ai appelé le N° de portable indiqué au bas de la lettre. Ma voix tremblait, j’étais dans tout mes états et mon sexe déjà tendu… C’était un vendredi d’automne, en début soirée.

Sa voix était chaude, suave avec un petit accent que je n’arrivais pas à cerner. Après les premières présentations, elle m’a mit tout de suite à l’aise… Rieuse, chaleureuse, pas du tout mal à l’aise de parler de ses phobies, désirs, fantasmes, de ses aventures passées, de celles attendues, de me parler de son corps, de ses seins fermes abondants, de ses fesses rondes et de son sexe toujours rasé, de ses envies.

Elle ne veut pas attendre pour une première rencontre… Elle se sent prête et notre conversation lui a plu. Elle se dit déjà attirée par moi et voudrait me voir ce soir déjà. Par chance elle n’habite pas trop loin et nous pourrons nous retrouver dans un bar de la ville voisine, mais je devrai passer la prendre devant chez elle d’ici 2 heures.

-Puisque c’est dans un but précis que nous nous rencontrons, j’aimerais que tu t’habilles d’une certaine façon à cette occasion, est-tu d’accord ?
-Oui, bien sûr, je ferai ce que tu souhaites.
-Alors écoutes-moi bien : d’abord je veux que tu ne portes pas de sous-vêtements… Rien ! Ensuite tu t’habilleras tout en velours. Un pantalon, si tu as, bien serré pour que je voie toujours l’état de ton sexe et qui s’enlève facilement… Pour le haut, mets l’un de tes t-shirt dont tu m’a parlé et si possible de la même couleur que le pantalon. Enfin comme il fait froid ce soir, mets évidemment ta veste en fourrure, celle qui a un col en renard. Prends une bonne douche, parfumes-toi bien et viens me chercher… Appelles-moi quand tu arrives, je descendrai de suite…

Le temps est très compté, pas le loisir de me m’épancher, de libérer mon sexe de toute la tension accumulée durant cette conversation. Je fonce à la douche, me lave à fond avec un gel douche odorant, viril. Mon sexe est toujours tendu, je ne parvient pas à penser autre chose que ce qui va arriver ! Tant pis, je n’ai plus le temps… Je me rase vite, me parfume avec mon préféré : un parfum prenant, sensuel qui ressemble à celui de l’enveloppe… Je m’habille très vite, mais mon sexe toujours tendu peine à rentrer dans le pantalon en velours noir que j’avais acheté il y a quelques années et que je n’ai quasiment pas porté… Une grosse bosse déforme le devant quand je parviens enfin à fermer le zip sans me pincer. J’ai de la peine à fermer le bouton du haut et je ne mets pas de ceinture, selon sa demande… J’enfile un t-shirt en velours noir également, très serré avec un col montant. Je me regarde dans le miroir et l’image qu’il me renvoie me fait encore plus bander… C’est la totale quand j’enfile la veste en fourrure… Jamais je n’ai osé sortir ainsi ! Je sors discrètement de la maison, sans rencontrer personne heureusement.

En voiture j’ai l’impression que tout le monde me regarde, malgré l’obscurité… Je suis à la limite de la honte et de la jouissance….

J’arrive avec 5 min. de retard, j’appelle Cressy sur son portable :
-Je suis prête, mais j’ai pensé que tu ne viendras pas… Tu es comme je te l’ai demandé ? Alors j’arrive, où es-tu stationné ?

J’ai arrêté la voiture en face de l’entrée de son immeuble. D’ici je vois parfaitement la porte vitrée et l’ascenseur. Mon cœur recommence à battre plus fort, mon sexe est tendu à l’extrême, prêt à éclater le zip. De mon pantalon…. Je vois la lumière de la cage d’escalier s’allumer, le bouton de l’ascenseur passer au rouge et enfin la porte s’ouvrir…

Une femme grande, env. 170 cm, vêtue d’un manteau ¾ en fourrure noire, col et revers de manche en renard. Le manteau est magnifique, assez court en lui dévoilant assez haut les cuisses. Elle porte des bas et des chaussures à hauts talons, les cheveux libres, ondulants au rythme de sa démarche légèrement déhanchée. Elle doit porter une minijupe car je ne vois pas ses habits dépasser de son manteau. Elle s’emmitoufle dans son grand col en renard avant d’ouvrir la porte d’entrée du bâtiment… Elle est superbe, jamais je n’aurais imaginé une telle femme dans ma vie et pour une expérience aussi libertine !

Je fais un appel de phare pour la diriger et sors de la voiture pour l’accueillir. Elle n’est plus qu’à 30 mètres de moi, s’arrête, me regarde des pieds à la tête, sourit, s’approche enfin… Perchée sur ses talons elle est presque aussi grande que moi. Elle arrive devant moi, et je découvre 2 yeux noisettes, un peu flous, perdus dans le désir, une bouche gourmande, un sourire ravageur… Elle écarte les bras, m’enlace, se serre contre moi presque amoureusement. Ses doigts glissent, caressent… Je lui prends la tête tendrement entre mes mains et l’embrasse doucement sur la bouche. Elle ne recule pas, au contraire et se plaque contre moi pour un baiser fougueux… Son corps plaqués au mien, je la sens frémir, découvrir mon sexe gonflé, prêt à éclater…
-Hum, fait-elle… Déjà ?
-Depuis notre téléphone tout à l’heure. Tu es superbe, j’adore !
-Tu n’as encore rien vu ! Mais tu n’es pas mal du tout aussi, je suis contente car on va sûrement bien s’entendre. J’aime beaucoup ta veste, elle te va bien et tu aurais déjà du la porté pour sortir. Tu aurais peut-être déjà rencontré une femme comme moi… Et les hommes comme toi sont si rares!

Ce faisant, elle s’écarte un peu, saisit la fermeture éclair de ma veste et descend doucement le zip. De sa main libre elle commence à me caresser le torse, découvre mon habillement, mon parfum. Je fais une tentative pour défaire la ceinture en fourrure aussi, de son manteau, nouée autour de sa taille. Mais elle me retient doucement :
-Attends, ce soir je commande et tu obéis ! D’accord ? C’est notre première rencontre et je veux qu’elle soit comme je la voulais… Tu es ma chose, pour cette nuit, mon objet, mon sexe. Laisse-toi faire et ce sera génial !
Ce faisant, elle prend mes mains et me les tiens dans le dos, plaquée contre moi, son visage à quelques centimètres du mien. Elle en profite pour m’embrasser à nouveau, sa langue cherchant la mienne… Sa main s’aventure sur la basse de mon pantalon, pétrit ce qui durcit et grossit encore…
-Je vais te faire mal si je te libère, il te faut un autre pantalon avec lequel je ne risque pas de te pincer… Attends, on va aller arranger çà !
Avant que je n’aie pu répondre elle ouvre son sac, sort un portable et compose un numéro.
-Une amie couturière, me dit-elle avec un sourire et une nouvelle caresse sur mon entrejambe.
Après une petite minute de conversation faite de petits rires complices avec son amie, elle raccroche.
-Viens monte dans la voiture je vais te conduire.

J’ouvre sa portière. Ma voiture est un 4x4 assez haut et mal commode pour les petites robes… Mais elle parvient à monter sans efforts, ses jambes dévoilées très hauts sur son manteau dont rien d’autre ne dépasse. Je m’interroge… Elle surprend mon regard inquisiteur et sourit tout en dégageant un pan de matière noire et soyeuse. Elle remonte les mains sur son corps tout en se caressant et me fixant droit dans les yeux, entrouvre ses jambes en se tournant vers moi. Je devine le bas d’une jupe ou d’une robe, que la semi obscurité fait paraître rouge ou bordeaux… La lettre rouge sang…

Alors avec la main droite elle saisit mon sexe au travers du pantalon, puis elle m’attire vers elle. De l’autre main elle défait le bouton du haut, tire sur le zip et descend d’un coup la fermeture… mon sexe jaillit alors qu’elle le saisit de l’autre main et me branle doucement.

Quelqu’un est sorti de l’immeuble et s’approche de la voiture. Elle couvre mon sexe avec la manche de son manteau. Le contact de la fourrure me fait frissonner encore plus et j’ai peur d’éjaculer dans sa manche. En même tend elle m’attire contre elle et m’embrasse avec passion. Pour ne pas tomber, je pose ma main sur sa cuisse, remonte un peu jusqu’à toucher sa robe et la fourrure du manteau. Elle s’ouvre encore et laisse ma main découvrir l’intérieur de sa cuisse, remonter jusqu’à son entrejambe que je découvre nu, humide, lisse, offert. Elle frémit sous cette caresse, serre sa main sur mon bras resté libre.

Le passant s’éloigne après nous avoir observé une minute. De dos il n’a pas vu que j’étais un homme puisque habillé de fourrure. Il a du penser à deux femmes s’offrant du bon temps…
Cressy me libère, me repousse gentiment :
-Il faut aller, maintenant, mais je veux que tu restes comme çà, le sexe dehors !
Je tente de cacher ce que je peux, quand roulant à la lumière de réverbères on croise quelques passants. Mais Cressy repousse toujours les tentatives que je fais pour recouvrir mon bas ventre avec le pan de ma veste….
-Je veux que l’on voie ce qu’une femme peut offrir à son amant, dit-elle !
Arrivé après quelques émotions, devant un petit immeuble locatif, elle m’indique une place de stationnement et me demande de la suivre.
-Comme çà je lui demande ?
-Bien sûr, retiens juste le haut du pantalon d’une main, mais ferme quand même ta veste jusqu’à l’ascenseur.

La soirée est très avancée et nous ne croisons heureusement personne jusqu’à la porte de l’ascenseur. Mais ces émotions m’ont fait perdre un peu ma virilité. Voyant ce problème, elle me saisit par le sexe pour me faire rentre dans la petite cabine, puis m’ordonne d’enlever mes chaussures puis le pantalon.
-Je veux que mon amie profite aussi de la situation. Elle a un peu les mêmes goûts que nous et elle sera ravie ! Je lui avais dit qu’un jour je luis amènerai un homme comme toi pour s’amuser !
Ce faisant, elle défait la ceinture de son manteau qui s’ouvre dévoilant un bijou de petite robe rouge en velours, très serrée, s’ouvrant juste au niveau du nombril pour s’écarter en deux voiles retenant chacun un sein lourd et ferme, dont les mamelons percent au travers du tissus, appelant les caresses. Le tout est simplement noué autour du cou, fragile lien avant la nudité… Elle observe ma réaction à cette sublime découverte, rejette d’un coup de tête ses cheveux en arrière, tendant ainsi ses seins magnifiques. Elle me retourne, me saisit les mains qu’elle rabat dans mon dos et me les attaches avec sa ceinture. Puis elle se baisse, défait les attaches de me chaussures, les enlèves une par une et descend mon pantalon qu’elle enlève ensuite. Elle est là à genoux devant moi, devant mon sexe à nouveau gorgé… Son col de renard frotte mon sexe, l’enflamme… sa tâche terminée elle relève la tête, regarde ce palus tendu, puis enveloppant de ses 2 mains le dessous de mes bourses, engloutit ma verge dans sa bouche. Le contacte de la fourrure, de sa langue, ses lèvres, me rendent fou, me font oublier le précaire de la situation quelqu’un pouvant appeler l’ascenseur à tout instant, maintenant que nous sommes arrêtés sur le palier de son amie.
Puis elle se relève lentement se frottant contre moi, m’embrasse sur la bouche d’un baiser au goût de mon sexe… Elle a les joues en feu, le regard trouble… Meilleur que dans tous les fantasmes que j’ai pu faire jusqu’à ce jour… C’est une véritable bombe à retardement, cette fille ! Mais je n’avais rien vu encore !

Elle pousse enfin la porte de l’ascenseur, jette un regard dans le couloir puis ce dernier étant vide, me pousse dehors. Elle a saisit mon pantalon resté à terre et me conduite devant une porte à l’extrémité du couloir et comportant une petite rose colée à côté de la sonnette et comportant juste un prénom : Maïa.
- Mon amie reçoit des hommes la journée, elle est douée et tu vas aimer…
Elle frappe juste 2 coups mais Maïa semblait guetter derrière la porte qui s’ouvre de suite. Cressy me pousse devant elle, abaissant ma veste sur les épaules dégageant ainsi totalement ma nudité. Je suis terriblement gêné et excité comme un débutant, me livrer à 2 femmes de cette manière, c’est incroyable !
-Bonsoir Maïa ! Regarde ce que je t’amène !
Elle se tient derrière moi, m’enlaçant de ses bras et me masturbant en même temps… Maïa est là, dans la pénombre de cet appartement qui sent l’encens. Une entrée étroite qui ne laisse pas d’autre choix à Cressy que de me pousser en avant contre une petite beauté asiatique, vêtue d’un kimono en velours rouge, très court. Elle a de longs cheveux noirs, des lèvres charnues, un très beau visage ovale et des grand yeux couleur or en amande… Elle est sublime également… poussé en avant par Cressy, je tombe presque dans ses bras. Elle me retient, m’enlace et m’embrasse sur doucement sur la joue.
-Bienvenue au paradis, me dit-elle… Je suis comme Cressy, nous avons les mêmes goûts et nous allons tous en profiter, n’est-ce pas ? Viens entre, mets toi totalement à l’aise !
Comme si je ne l’étais pas déjà sous une autre forme, bien sûr…

Cressy fouille un tiroir dans le petit hall de son amie, tiroir qui lui semble très familier… Je ne vois pas ce qu’elle en sort, mais elle glisse quelque chose dans son sac, avant de me saisir les poignets pour me libérer de sa ceinture, puis achève de m’enlever ma veste avant de me remettre les mains dans le dos et me les attacher avec des menottes, cette fois.

Je suis pratiquement nu, excepté mon t-shirt, qui a l’ai de bien plaire à ces dames puisque Maïa vient se frotter contre moi, me flattant le torse et le sexe alors que Cressy colée à moi dans mon dos en fait de même de son côté. Elle n’a pas quitté son manteau et la caresse de sa fourrure m’excite au plus haut point. Maïa a un corps aussi extraordinaire, et ses seins tendus ont du mal à rester à l’intérieur des son kimono… On entre dans un coin séjour où éclairé juste par une petite lampe jetant une lumière mystérieuse sur les objets et tentures soyeuses jetées sur 2 fauteuils et un canapé. Mais Cressy qui a vraiment une imagination débordante, va chercher dans une pièce voisine, une chaise de bureau sur roulettes, sans accoudoirs et sur laquelle elle m’invite à prendre place. Elle s’approche ensuite de moi, défait les menottes pour les fermer à nouveau après les avoir passée autour du montant du dossier. Elle s’assied pratiquement sur moi à califourchon pour ce travail, me flattant le visage de ses seins que je caresse de ma langue alors qu’elle est affairée sur moi. Elle se colle à moi plus étroitement pour profiter de cette caresse… Maïa arrive vers nous, munie d’un caméscope relié à un petit projecteur, qu’elle installe à proximité après avoir fait quelques réglages préliminaires, puis, cachée par Cressy, je ne vois pas ce qu’elle fait mais devine qu’elle s’est mise à genoux devant la chaise. Elle me prend une jambe après l’autre, les écarte au maximum et me rabat les pieds en arrière avant de m’attacher les chevilles au pied central de la chaise. Pas un mot, juste quelques soupirs, le bruit de la succion lorsque Maïa saisi mon sexe et l’engloutit entre ses lèvres…

Le caméscope est branché et enregistre toute la scène… C’est incroyablement excitant d’être ainsi à la merci de ces 2 femmes, totalement soumis à leur caprice, ce que j’avais accepté tacitement lorsque les jeux ont commencé.

Cressy a laissé tomber son manteau, dévoilant enfin un corps mince mais très en courbes gracieuses. Elle a des fesses rondes et charnues comme je les aime et elle sait les mettre en valeur avec sa robe très moulante. Ses seins sont toujours sur ma bouche, prisonniers de leurs étuis de velours. Je tente de les libérer de ma langue mais la tâche est rude car Maïa est appliquée dans une fellation sublime qui me tend, me fait frissonner de désir pas vagues successives. Elle vient à mon aide et fait glisser un pan de sa robe et me chuchotant à l’oreille.
-Prends, fais-toi plaisir, avant la suite, profites de ce que l’on te donne nous deux… Tu vas jouir, jouir, toute la nuit !

Maïa, toujours affairée sur mon sexe, libère une main, remonte le long du dos de Cressy, défait le nœud qui retient le haut de sa robe. Ses seins m’explosent au visage. Cressy s’abandonne sous les caresses de ma langue, s’étourdit de ce plaisir, Maïa lui relève sa robe au maximum, puis cessant sa fellation, accompagne Cressy, la forçant à s’abaisser et s’empaler sur ma verge. Maïa tient fermement mes bourses dans sa main, les flattant, les caressant alors que Cressy est empalée jusqu’à la garde. Elle a les yeux troubles, halète, me regarde fixement puis me prend la tête entre les mains, m’embrasse fougueusement alors qu’elle commence à se démener sur moi. Maïa a saisit une cordelette en velours. Elle repousse légèrement Cressy et entoure la base de mon sexe y faisant plusieurs tours très serrés avant d’y faire un nœud coulissant. C’est incroyablement délicieux, douloureux et excitant. Elle tire sur la cordelette provoquant de nouvelles sensations pendant que Cressy s’acharne sur moi.

Elle saisit un nouvel objet dissimulé auparavant : un long dong qu’elle enduit de lubrifiant avant de s’installer à nouveau à genoux devant la chaise. Elle écarte doucement les fesses de Cressy qui sourit et approuve son amie. Maïa introduit l’un des extrémités du dong dans l’anus de Cressy qui crie puis gémit.
-C’est bon, vas-y continue ! Enfiles le !
Maïa pousse encore puis replie l’objet et la présente à mon anus partiellement masqué par la chaise et les fesses de Cressy. Mais elle trouve le bon chemin et à mon tour je ressens une pénétration de mon anus. D’abord une douleur vive puis l’objet est introduit lentement, forçant son chemin jusqu’à la limite de sa longueur. C’est trop bon et je me retiens de ne pas exploser de suite, mais mes 2 compères le ressentent et me demande de me calmer pour que le jeu puisse se poursuivre…

Maïa attache alors la cordelette de velours au centre du dong. Chaque mouvement de Cressy déplace le dong, tire sur la cordelette et mes bourses alors que le dong se déplace dans mon anus… C’est trop, jamais je n’aurai imaginé un tel scénario, un tel plaisir, une telle jouissance ! Chaque mouvement entraîne le mouvement du dong, la cordelette tire en même temps sur mes bourses… C’est absolument divin, je plane dans la jouissance totale… Je m’abandonne totalement, de toute façon incapable du moindre mouvement. Cressy se démène sur moi, toujours à califourchon sur mon sexe… Elle a les yeux fermés maintenant, soupire, halète, gémit et je sens qu’elle approche comme moi de l’orgasme…

Maïa a cessé de me caresser, se lève, modifie l’angle de prise de vue de son appareil puis va s’allonger sur le canapé recouvert d’une fausse fourrure blanche, très dense, très soyeuse. Elle a ouvert son kimono et je la vois partiellement entre les mouvements de Cressy. Elle se caresses en nous regardant, ouvre ses cuisses, se caresse le sexe, y introduit un doigt, puis deux. Elle me regarde maintenant dans les yeux, me sourit et de sa main libre introduit son index dans sa bouche et commence de lents mouvements, l’enfonçant puis le retirant tout en le suçant très fort… Toute une promesse qu’elle m’adresse ainsi…

Cressy, est à bout…. Elle est totalement en transe sur moi, en moi… Le dong s’agite en nous révélant des sensations tout à fait inouïes. Cressy se cabre, danse sur mon ventre, se caresse les seins… nous sommes au sommet du plaisir, et j’ai l’impression que je ne pourrai jamais retrouver mes esprits.

Maïa impressionnée par cette scène, s’est relevée. Elle enlève son kimono qui maintenant la gêne, saisit le caméscope pour mieux saisir ces instants magiques, ce délire total…

Les mouvements de Cressy s’amplifient à nouveau , elle a relevé ses jambes pour faire totalement corps avec moi, pour me pénétrer au maximum. Soudain, elle s’accroche à mes épaules, étend ses jambes en avant, et je sens tous ses muscles internes se contracter sur mon sexe, se refermer comme une main invisible, chaude et humide. Cressy commence à gémir de plus en plus fort, se contracter toujours plus… Je ne tiens plus, c’est trop irréel et je sens une vague de bonheur, accompagnée de frissons et une montée incroyable d’adrénaline. Je sens un orgasme fou, indescriptible arriver. Je sens ma sève qui monte du plus profond de moi, les muscles de ma prostate se contracter pour une éjaculation que je ne peux plus retenir maintenant. Cressy a ressenti aussi que j’étais au sommet de la jouissance et elle aussi se prépare à un orgasme incroyable… Nous crions les deux lorsque déferle en nous ce tsunami de plaisir… Cressy s’agite encore plus fort, se tend comme un arc tout en tremblant, agitée de convulsions violentes. Et moi j’explose ! J’ai l’impression de me vider d’un coup de toute ma substance, de me vider la moelle épinière, que tout mon corps se vide par ma prostate et mon sexe… C’est absolument fou, je tremble aussi, me raidit alors que le lien qui est attaché autour de mon sexe, retient une grande partie de ma semence, met tout mon organe en pression. Maïa a redéposé le caméscope sur son trépied, saisit mes bourses, libère d’un coup le lien de velours qui les entoures et… j’explose ! Toute ma semence mise en pression par ce lien, est éjectée d’un coup… Je sens la masse de ce liquide remonter mon bas ventre, traverser mes bourses, remonter ma verge et puis jaillir, arroser le vagin de Cressy qui crie encore plus fort ressentant cet orgasme dément !

Jamais, je n’ai eu pareil orgasme ! Je suis totalement vidé, épuisé, anéanti… Cressy s’est effondrée sur moi, essoufflée par cette chevauchée fantastique, se remet lentement de cette expérience hallucinante. Sa tête repose sur mon épaule. Elle se redresse un peu, m’embrasse dans le cou, puis la bouche… Elle est rayonnante, émerveillée de ce qu’elle vient de vivre, comme moi…

Elle se lève enfin, se libère du dong toujours fiché en nous, l’extrait également de mon anus.
-Je vais prendre une douche me dit-elle, tu m’as vidé la tête… C’était trop fort, trop beau ! Je te laisse avec Maïa… Ne soyez pas trop sage…

Elle se lève et part vers une autre pièce tandis que je reste attaché sur ma chaise et qu’une partie de ma semence a coulé sur mon bas ventre, sur mes cuisses. Maïa s’approche de moi le caméscope en main et fait un gros plan sur mon sexe, mes liens…
-Je vais te nettoyer me dit-elle et après tu seras à moi…

Elle part à son tour à la salle de bain où j’entends l’eau de la douche couler. Maïa revient avec une bassine remplie d’eau, un gant de toilette et un flacon de savon. Elle entreprend de me nettoyer, me bichonner alors que je suis toujours attaché, lié à ma chaise de supplicié. Elle m’aide à me lever un peu pour me nettoyer l’anus et ses caresses ne me lassent pas de bois… Elle me sourit tandis qu’elle s’applique à me bichonner, me pétrissant doucement le sexe, mes bourses.

Elle me sèche ensuite avec une petite serviette, m’épongeant mon front rempli de sueur. Elle part vider la bassine alors que Cressy revient de la douche, fraîche, parfumée et totalement nue. Debout derrière moi, elle me caresse tendrement le torse :
-C’était absolument divin… Je ne pensais pas que c’était possible de ressentir quelque chose aussi intense ! Cela promet pour la suite de nos ébats ! Tu es vraiment unique et je ne te laisserai pas partir avant…
Maïa revient, s’agenouille devant moi et reprend la fellation stoppée auparavant.
-Regarde la bien me dit Cressy à l’oreille, regarde ce qu’elle sait faire , à son tour maintenant si tu le peut encore !
Maïa sourit entre deux aspirations, deux goulées… Elle me ravive lentement, bien que totalement épuisé, mais la situation est si délirante que c’est impossible de rester indifférent à tout ce qui se déroule ici cette nuit…

Mais Cressy reprend aussi ses esprits , elle oriente mieux le caméscope sur la scène en cours puis rejoint sa compagne et se mettant derrière elle, se saisit de ses seins et commence à les pétrir lentement tout en me regardant dans les yeux, me souriant, guettant mes réactions, mes sensations sous les caresses de Maïa, puis elle dégage ses cheveux pour les rassembler dans son dos afin de me libérer mon champ de vision sur le visage de Maïa en train de me dévorer, de me pomper, achever de vider ce qui me reste de semence au fond de moi…

La situation ne satisfait pas totalement et interrompant Maïa, lui souffle à l’oreille :
-Tu crois que l’on peut aller chez Dévy, finir la soirée ?
Maïa surprise, relève la tête, quitte sa tâche qui a l’air de si bien aimer, me regarde puis se tourne vers Cressy :
-Laisses-moi un moment aussi, vous m’avez fait tellement envie… je voudrais en profiter également ! Il va se remettre, se reprendre fais-moi confiance !
-Oui, mais on s’amuserais bien avec ta copine, même que tu auras la primeur…
-Alors je le libère, je prends une douche… avec lui et on y va !

Beaucoup de regrets dans sa voix… En se dressant elle se frotte contre moi, me pétrit le sexe, le branle très très fort, m’embrasse sur la bouche :
-On va prendre la douche de tes rêves, tu vas te réveiller, je vais m’occuper de toi comme Cressy l’as si bien fait et ensuite… Un long baiser m’empêche de répondre, mais en ais-je envie ? Non, pas ce soir.

Elle me libère les chevilles, puis les mains. J’ai de la difficulté à me relever après une si longue séance ainsi immobilisé. Cressy vient vers moi, me masse le dos, les poignets, me libère de mon t-shirt trempé de sueur, se frotte contre mon dos avant que Maïa me prenant par la main, m’entraîne vers la salle de bain, me pousse à l’intérieur d’une cabine de douche qu’elle ferme soigneusement derrière elle. On y est très à l’étroit, très serrés mais tout çà lui plaît bien, moi aussi. Je suis contre elle, me frotte à mon tour contre elle, ses seins très ferme, ce petit corps qui s’agite contre moi, ces cheveux très doux, très longs qui me balaient à chaque mouvement, ses lèvres si douces qui savent faire tellement de bonnes choses… Ce contact s’accompagne maintenant des fines piqûres du jet d’eau tiède lorsqu’elle a actionné le robinet. L’eau me procure un réel bienfait… Elle étend sur tout mon corps un gel douche très parfumé, s’affaire à me frotter partout, prenant une attention très particulière sur mon bas ventre, mon anus, ce qu’elle fait en me souriant, yeux dans les yeux… Elle est vraiment divine aussi, Cressy devrait faire plus attention aux capacités de son amie…

Elle retourne le jet de la douche sur la base de mon sexe, mes bourses, augmente la pression de l’eau et alterne ses mouvements entre ma verge, la zone de la prostate et mes bourses. La sensation ressentie est unique et l’effet est immédiat , mon sexe somnolent se réveille au grand bonheur de Maïa qui augmente encore la pression de l’eau, se colle contre moi tout en s’activant avec la douche. Je la caresse aussi, je lui entoure les fesses de mes mains, écarte ses deux globes, glisse un doigt dans sa fente et entreprend un massage très doux de son sexe et son anus. Elle réagit de suite à cette avance, son mont de vénus se plaque contre mon sexe que d’une main elle abaisse pour le mettre à la hauteur de sa fente, se frotte encore vigoureusement alors que mon sexe trouve seul son chemin, pénètre lentement Maïa qui après avoir remis la pomme de douche sur son support, s’accroche de ses 2 mains autour de mon cou, se soulève ainsi pour s’embrocher complètement sur moi… La porte de la douche s’ouvre… Cressy est là, le caméscope à la main. Elle a remis sa mini robe, s’est à nouveau parfumée, rayonnante à nouveau, mais un air préoccupé sur son visage :
-Dépêchez-vous ! Il est déjà très tard, vous vous amuserez en route ! Ne m’obligez pas à être sévère ! Dit-elle un air trouble sur son visage…

On a de la peine à se libérer… on est emboîtés l’un dans l’autre, Maïa est accrochée sur moi, sur mes lèvres et mon sexe et n’a pas très envie de me lâcher. Cressy ferme le robinet de la douche et nous tend une serviette de bain. Vu que nous ne réagissons pas, elle commence à nous sécher à l’intérieur de la cabine puis nous attire au-dehors. Cressy me sèche les bourses, les mains entre mes jambes, s’occupe également du sexe de Maïa, l’excitant ainsi encore plus. Elle sent aussi que nous ne pourrons pas nous séparer ainsi, alors elle esquisse un sourire et nous pousse jusqu’au séjour puis m’oblige à me rasseoir sur la chaise de bureau restée là. Maïa doit savoir ce qui va arriver, car elle sourit à Cressy d’un air complice, prolonge puis augmente ses caresses, sa pénétration et ses mouvements, se plaque totalement contre moi pour que…

Cressy s’est emparée du lien en velours, en entreprend de nous lier l’un à l’autre… D’abord nos cuisses, reposant l’une sur l’autre, puis nos hanches reliées cette fois par la ceinture en fourrure du manteau de Cressy. Elle déniche ensuite une autre cordelette avec laquelle elle nous attache très serré au dessous des aisselles, écrasant la poitrine de Maïa contre la mienne. Maïa semble heureuse de ce scénario… Elle m’embrasse plus fort, profite de ses mains encore libres pour m’enlacer totalement. Mais Cressy qui gère tout depuis un moment, reprend les menottes abandonnées au sol pour lier les mains de Maïa derrière moi et à l’aide d’une autre paire sortie de son sac à main, elle fait la même chose des miennes, derrière le dos de mon amante du moment…
-Maintenant vous serez bien obligés de venir avec moi ! Et taisez-vous en route, sinon je vous abandonne en route ! Et je tiendrai parole !

Cressy est aux anges… elle prend à tour de rôle nos têtes dans ses mains, nous embrasse très… hot ! Sa langue pénètre ma bouche, ses lèvres se plaquent contre les miennes avec ferveur puis elle me chuchote à l‘oreille :
-On n’a pas fini, les deux !!!

Elle pousse alors la chaise ainsi occupée vers le vestibule. Je commence à comprendre ce qu’elle veut faire ! C’est encore plus fou que lorsqu’on est arrivés ! Effectivement, elle glisse sur les épaules de Maïa un poncho en fourrure rasée rose, bordée d’une fourrure à poils longs de la même couleur… Maïa sait exactement ce qui va suivre… elle est très belle, ainsi et me fait encore plus envie ! Elle le sent et s’agite à nouveau sur moi avec le peu de liberté de mouvements que nous avons. Mais la pointe inférieure de son poncho frotte mon bas ventre, m’excitant encore plus…
-Oh, chéri tu vas aimer, je suis sûre ! Tu as déjà fait l’amour dehors, avec le risque que l’on te voie, l’excitation de l’imprévu ! Moi çà m’excite terriblement, sors-nous de là, Cressy !

Cressy ouvre la porte… regarde dans le couloir, va éclairer le palier et appeler l’ascenseur. Elle revient à nous et avec un peu de difficultés, parvient à pousser la chaise jusqu’à la porte de l’ascenseur. Le bruit des roulettes doit réveiller toute la maison, je le crains. Elle nous abandonne pour aller fermer la porte de l’appartement de Maïa, récupère ma veste au passage, qu’elle enfile elle-même. Elle est superbe… excitante… envoûtante…

Elle nous pousse ensuite dans la cage de l’ascenseur et le fait descendre jusqu’au rez-de-chaussée, ouvre la porte en murmurant :
-Vous avez de la chance, je vous envie, la prochaine fois je serai à ta place, Maïa !

Et il est vrai que la situation est à nouveau complètement folle, irréelle. Je suis totalement à la merci de ces deux femelles en chaleur, déchaînées ! Mais quelle excitation cela procure. Il y a quelques marches d’escalier à la sortie de l’immeuble , Cressy nous aide à nous relever et je porte Maïa à demi dressé pour descendre les marches. Cressy a suivi avec la chaise et nous y réinstalle au pied de l’escalier.

Des voitures passent dans la rue à une vingtaine de mètres et ceci malgré l’heure fort tardive. Ma crainte est que l’une pourrait être de la police… nous serions un peu honteux… mais c’est tellement excitant !

Nous sommes au centre d’un petit parking bordé par 3 immeubles locatifs. Quelques fenêtres sont encore allumées et l’on a l’impression d’être au centre d’une arène et que pleins de regards nous guettent de là haut. Cressy s’est éloignée en nous disant :
-Amusez-vous, je vais chercher la voiture !
Maïa m’empêche de répondre avec un fougueux baiser… sa langue pénètre ma bouche et elle recommence à s’agiter sur moi, sur mon sexe à nouveau bandé comme un arc tant la situation est folle !


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Texte coquin : Délires 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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