Denis et Alexandra
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Denis et Alexandra
Denis et Alexandra m’avaient invité à diner. Je ne me voyais pas refuser l’invitation, mais je craignais de ne pas arriver à me contrôler et de faire une gaffe et de révéler le secret entre Alexandra et moi. Peur non justifiée puisque ce secret n’en était plus un.
— Alexandra m’a raconté ce qui s’est passé chez les parents à Noël, me dit mon frère en me servant un verre de vin. Je te comprends, elle est à se damner.
Je devins rouge pivoine. Ce qui fit beaucoup rire mes hôtes. Je pouvais mener une vie sexuelle débridée, vivre avec deux femmes, me faire enfiler par des mecs, mais que mon frère sache que je m’étais fait sucer par sa nana dans la salle de bain de nos parents me foutait la honte.
Denis me donna une grande tape dans le dos, comme quand on était gamin et qu’il voulait se faire pardonner d’un truc. Nous trinquâmes tous les trois en rigolant. Alexandra et Denis s’étaient installés en face de moi, dans un fauteuil trop petit pour eux deux, ce qui obligeait Alexandra à s’assoir sur les genoux de mon frère. Ils étaient mignons, visiblement très amoureux. Je leur demandais comment ils s’étaient rencontrés.
— Chez des amis, une soirée entre potes, un truc banal, commença Denis. Je trainais un verre à la main, discutant avec les uns, les autres. Je passais un bon moment, tranquille, je pensais me souler doucement et rentrer chez moi pour m’effondrer sur mon lit quand je l’ai vue. Tu sais comme dans les films, tu es là tranquille et puis d’un coup il n’y a plus qu’elle au milieu de la foule. Magnifique, je crois que c’est ce que j’ai dit. Grande, de longs cheveux blonds, une allure folle même en teeshirt et jean. Elle surclassait toutes les autres filles de la soirée. J’ai demandé à mon pote s’il la connaissait, il me répondit que non, que c’était l’ami d’une amie, mais qu’il ne l’avait jamais vue. Je le quittais et traversais la pièce pour aller la voir, lui parler.
— J’ai vu Denis venir vers moi, reprit Alexandra, sûr de lui, il s’est planté devant moi, et m’a tendu sa main. « Bonjours, moi c’est Denis ». J’ai souri. C’était drôle comme approche, et en même temps loin des trucs bien lourds que j’avais déjà entendus. Je me suis présenté, et il m’a demandé si on pouvait aller à l’écart pour parler. Je l’ai suivi. Je l’ai trouvé mignon, un peu nerveux, un peu maladroit, touchant.
— Moi, j’étais déjà fou d’elle, en plus quand elle m’a parlé, sa voix cassée sexy en diable m’a fait devenir dingue. Je n’avais plus qu’une idée en tête c’était rentrer avec elle, l’embrasser, la déshabiller, lui faire l’amour toute la nuit. Nous avons discuté de nous, ce qu’elle faisait dans la vie, d’où elle venait, les trucs classiques.
— Il m’a proposé de me raccompagner quand j’ai dit que je partais, j’ai refusé, je ne voulais pas qu’il se fasse des idées.
— Mais elle m’a donné son numéro. C’était déjà un bon point.
— Il m’a appelé le lendemain, pour me proposer de sortir, un ciné, ou un resto. J’ai refusé. Pas parce qu’il ne me plaisait pas, mais justement parce qu’il me plaisait et je ne voulais pas être déçu. Souvent quand on découvre ce que je suis, on prend peur, et je savais que je risquais de lui faire cet effet, il me voyait comme une femme, une vraie, mais quand il découvrirait mon secret, s’il ne m’aimait que pour mon corps…
— Enfin, comme toutes les filles, elle voulait que je lui fasse la cour, que je la séduise, qu’on sorte plusieurs fois ensemble avant de passer à l’acte. Je n’ai pas insisté, mais je l’ai rappelée deux jours plus tard, et là je ne lui ai pas laissé le choix. On a commencé à sortir, les trucs de base, ciné, resto, café, bref, ça a duré deux mois avant qu’elle accepte que je la raccompagne chez elle.
— Je savais qu’il était amoureux, vraiment, mais je craignais encore sa réaction. J’avais tenté de préparer le terrain en disant que j’avais un truc spécial, mais je ne me voyais pas lui dire que j’avais une bite et tant qu’il ne l’aurait pas vue, je ne saurais pas ce qu’il ferait.
— Elle m’a fait assoir dans son canapé, et plantée devant moi, elle s’est déshabillée. Je n’en espérais pas tant. Et j’ai vu. J’ai ri. De surprise. Alexandra s’est couvert le sexe de ses mains. Je les ai écartées.
— Il s’est levé, et m’a embrassé. Je pleurais. Il m’a dit qu’il était surpris, qu’il ne s’attendait pas à ce que mon truc en plus ce soit ça, mais qu’il m’aimait, alors il s’en foutait, il aimerait ma bite aussi.
Ils s’embrassèrent, ils étaient beaux. J’aurais aimé qu’ils me racontent aussi leur première fois, leur vie sexuelle, mais c’était trop intime, surtout pour le raconter à un frère, comme ça.
———
Denis découvrit le sexe d’Alexandra, et explosa de rire. Il sut qu’il n’aurait pas dû, mais ce fut plus fort que lui. Il se leva pour embrasser son amie. Il sécha les larmes qui coulaient sur ses joues, s’excusa, la serra fort dans ses bras. Il sentait ses seins contre sa chemise, et malgré ce sexe d’homme contre sa cuisse, il ne pouvait s’empêcher de voir Alexandra comme une femme, de penser à elle, et pas à lui. Il lui dit qu’il s’en foutait qu’elle soit une femme à bite, qu’il l’aimait, qu’il aimerait sa queue autant que le reste.
Alexandra déshabilla Denis, elle se colla contre son corps nu, ferme, musclé, mais sans plus. Il bandait. Elle était heureuse de le voir bander pour elle. Elle s’approcha de son oreille, et lui souffla : « Je vais te sucer comme personne ne l’a fait avant ». Elle le repoussa sur le canapé, et embrassa son torse, sa langue glissant doucement vers son sexe dur, dressé. Elle joua avec lui, caressant ses couilles, effleurant son gland, retardant le moment où elle le prendrait dans sa bouche. Denis soupirait de plaisir, d’excitation, de frustration. Alexandra se pencha vers sa bite et l’avala. Ses lèvres humides enserrèrent le sexe turgescent. Elle le suça doucement, faisant glisser sa bouche lentement, sentant pulser le sang sous la peau. Elle voulait le rendre fou, qu’il ne puisse plus se passer d’elle, de sa bouche, de ses seins, de son cul, de sa bite.
Denis explosa de plaisir dans la bouche de sa nouvelle amante. Elle se releva, essuya du revers de la main le sperme qui lui coulait sur le menton. Elle bandait. Denis vit pour la première fois ce sexe en érection, il le trouva beau, rendant encore plus belle cette femme qu’il trouvait déjà parfaite. Ce n’était pas incongru, cette bite dressée sous ces seins rond et fier. C’était beau. Alors, sans réfléchir, bien que jamais auparavant il ne se soit senti attiré par les hommes, il prit ce sexe dans sa bouche. À ce moment il ne pensa pas qu’il suçait un mec, mais qu’il suçait Alexandra, cette femme dont il était tombé amoureux. Elle l’avait sucé, mieux que n’importe qu’elle autre femme avant, et il lui rendit la pareille.
C’était étrange, nouveau, intriguant. Il avait gouté les sexes féminins, il aimait lécher les femmes, mais il ne pensait pas qu’un jour il sucerait une bite de femme. Et que malgré sa maladresse de débutant, il recueillerait le foutre de sa partenaire dans sa bouche. Surpris de ce flot de liquide chaud, visqueux, il cracha le tout sur le sol. Il s’excusa, mais Alexandra l’embrassa en le remerciant, lui disant qu’il n’était pas obligé. Si, il se sentait obligé, enfin non, il en avait envie. Il voulait connaitre le gout de son sexe, l’aimer.
Denis et Alexandra allèrent se coucher. Ce premier soir, ils ne voulaient pas aller plus loin que ces jeux buccaux. Ils voulaient simplement dormir l’un avec l’autre, l’un contre l’autre, et attendre un peu pour aller plus loin. Alexandra embrassa son amant, son amoureux. Elle avait eu si peur, elle était si heureuse. Dans le lit, face à face, ils sentirent leurs sexes se frôler, grossir sous les draps. Ils éclatèrent de rire. Ils étaient trop excités pour dormir. Alexandra se tourna, proposa à Denis de l’enculer. Il refusa. Pas tout de suite, pas ce soir. D’abord, dit-il, je voudrais m’offrir à toi. Alexandra le serra dans ses bras, et l’embrassa. Elle était d’accord, mais plus tard, il ne fallait pas bruler les étapes.
Ils se contentèrent de se branler mutuellement, leur foutre souillant les draps dans lesquels ils s’endormirent heureux.
———
Le diner fut charmant. Mon frère et Alexandra avaient préparé un excellent repas. Ils me parlèrent de leur vie à deux. Leur bonheur, qui crevait les yeux. Quand, seuls dans la cuisine, je demandais à Alexandra si mon frère se faisait prendre par elle, elle rit.
— Et toi, tu te fais enculer, demanda-t-elle ?
— Oui, répondis-je, et j’aime ça.
Ce qui le fit encore plus rire. Denis nous rejoint en entendant les rires de son amie, il demanda ce qui se passait.
— Ton frère vient de m’avouer qu’il est homo, dit Alexandra.
— Non, j’ai juste dit que je me faisais enculer, avec plaisir. J’aime les femmes, d’ailleurs je vis avec deux superbes femmes, qui sont aussi libres que moi sexuellement.
Je leur racontais, à mots couverts, ma vie, et ils furent surpris de tout ce que je leur racontais.
Nous nous quitames heureux d’avoir passé la soirée ensemble. J’embrassais mon frère et Alexandra. Au moment de partir, elle me glissa une carte dans la poche.
— C’est une de mes amies, elle devrait te plaire.
— Alexandra m’a raconté ce qui s’est passé chez les parents à Noël, me dit mon frère en me servant un verre de vin. Je te comprends, elle est à se damner.
Je devins rouge pivoine. Ce qui fit beaucoup rire mes hôtes. Je pouvais mener une vie sexuelle débridée, vivre avec deux femmes, me faire enfiler par des mecs, mais que mon frère sache que je m’étais fait sucer par sa nana dans la salle de bain de nos parents me foutait la honte.
Denis me donna une grande tape dans le dos, comme quand on était gamin et qu’il voulait se faire pardonner d’un truc. Nous trinquâmes tous les trois en rigolant. Alexandra et Denis s’étaient installés en face de moi, dans un fauteuil trop petit pour eux deux, ce qui obligeait Alexandra à s’assoir sur les genoux de mon frère. Ils étaient mignons, visiblement très amoureux. Je leur demandais comment ils s’étaient rencontrés.
— Chez des amis, une soirée entre potes, un truc banal, commença Denis. Je trainais un verre à la main, discutant avec les uns, les autres. Je passais un bon moment, tranquille, je pensais me souler doucement et rentrer chez moi pour m’effondrer sur mon lit quand je l’ai vue. Tu sais comme dans les films, tu es là tranquille et puis d’un coup il n’y a plus qu’elle au milieu de la foule. Magnifique, je crois que c’est ce que j’ai dit. Grande, de longs cheveux blonds, une allure folle même en teeshirt et jean. Elle surclassait toutes les autres filles de la soirée. J’ai demandé à mon pote s’il la connaissait, il me répondit que non, que c’était l’ami d’une amie, mais qu’il ne l’avait jamais vue. Je le quittais et traversais la pièce pour aller la voir, lui parler.
— J’ai vu Denis venir vers moi, reprit Alexandra, sûr de lui, il s’est planté devant moi, et m’a tendu sa main. « Bonjours, moi c’est Denis ». J’ai souri. C’était drôle comme approche, et en même temps loin des trucs bien lourds que j’avais déjà entendus. Je me suis présenté, et il m’a demandé si on pouvait aller à l’écart pour parler. Je l’ai suivi. Je l’ai trouvé mignon, un peu nerveux, un peu maladroit, touchant.
— Moi, j’étais déjà fou d’elle, en plus quand elle m’a parlé, sa voix cassée sexy en diable m’a fait devenir dingue. Je n’avais plus qu’une idée en tête c’était rentrer avec elle, l’embrasser, la déshabiller, lui faire l’amour toute la nuit. Nous avons discuté de nous, ce qu’elle faisait dans la vie, d’où elle venait, les trucs classiques.
— Il m’a proposé de me raccompagner quand j’ai dit que je partais, j’ai refusé, je ne voulais pas qu’il se fasse des idées.
— Mais elle m’a donné son numéro. C’était déjà un bon point.
— Il m’a appelé le lendemain, pour me proposer de sortir, un ciné, ou un resto. J’ai refusé. Pas parce qu’il ne me plaisait pas, mais justement parce qu’il me plaisait et je ne voulais pas être déçu. Souvent quand on découvre ce que je suis, on prend peur, et je savais que je risquais de lui faire cet effet, il me voyait comme une femme, une vraie, mais quand il découvrirait mon secret, s’il ne m’aimait que pour mon corps…
— Enfin, comme toutes les filles, elle voulait que je lui fasse la cour, que je la séduise, qu’on sorte plusieurs fois ensemble avant de passer à l’acte. Je n’ai pas insisté, mais je l’ai rappelée deux jours plus tard, et là je ne lui ai pas laissé le choix. On a commencé à sortir, les trucs de base, ciné, resto, café, bref, ça a duré deux mois avant qu’elle accepte que je la raccompagne chez elle.
— Je savais qu’il était amoureux, vraiment, mais je craignais encore sa réaction. J’avais tenté de préparer le terrain en disant que j’avais un truc spécial, mais je ne me voyais pas lui dire que j’avais une bite et tant qu’il ne l’aurait pas vue, je ne saurais pas ce qu’il ferait.
— Elle m’a fait assoir dans son canapé, et plantée devant moi, elle s’est déshabillée. Je n’en espérais pas tant. Et j’ai vu. J’ai ri. De surprise. Alexandra s’est couvert le sexe de ses mains. Je les ai écartées.
— Il s’est levé, et m’a embrassé. Je pleurais. Il m’a dit qu’il était surpris, qu’il ne s’attendait pas à ce que mon truc en plus ce soit ça, mais qu’il m’aimait, alors il s’en foutait, il aimerait ma bite aussi.
Ils s’embrassèrent, ils étaient beaux. J’aurais aimé qu’ils me racontent aussi leur première fois, leur vie sexuelle, mais c’était trop intime, surtout pour le raconter à un frère, comme ça.
———
Denis découvrit le sexe d’Alexandra, et explosa de rire. Il sut qu’il n’aurait pas dû, mais ce fut plus fort que lui. Il se leva pour embrasser son amie. Il sécha les larmes qui coulaient sur ses joues, s’excusa, la serra fort dans ses bras. Il sentait ses seins contre sa chemise, et malgré ce sexe d’homme contre sa cuisse, il ne pouvait s’empêcher de voir Alexandra comme une femme, de penser à elle, et pas à lui. Il lui dit qu’il s’en foutait qu’elle soit une femme à bite, qu’il l’aimait, qu’il aimerait sa queue autant que le reste.
Alexandra déshabilla Denis, elle se colla contre son corps nu, ferme, musclé, mais sans plus. Il bandait. Elle était heureuse de le voir bander pour elle. Elle s’approcha de son oreille, et lui souffla : « Je vais te sucer comme personne ne l’a fait avant ». Elle le repoussa sur le canapé, et embrassa son torse, sa langue glissant doucement vers son sexe dur, dressé. Elle joua avec lui, caressant ses couilles, effleurant son gland, retardant le moment où elle le prendrait dans sa bouche. Denis soupirait de plaisir, d’excitation, de frustration. Alexandra se pencha vers sa bite et l’avala. Ses lèvres humides enserrèrent le sexe turgescent. Elle le suça doucement, faisant glisser sa bouche lentement, sentant pulser le sang sous la peau. Elle voulait le rendre fou, qu’il ne puisse plus se passer d’elle, de sa bouche, de ses seins, de son cul, de sa bite.
Denis explosa de plaisir dans la bouche de sa nouvelle amante. Elle se releva, essuya du revers de la main le sperme qui lui coulait sur le menton. Elle bandait. Denis vit pour la première fois ce sexe en érection, il le trouva beau, rendant encore plus belle cette femme qu’il trouvait déjà parfaite. Ce n’était pas incongru, cette bite dressée sous ces seins rond et fier. C’était beau. Alors, sans réfléchir, bien que jamais auparavant il ne se soit senti attiré par les hommes, il prit ce sexe dans sa bouche. À ce moment il ne pensa pas qu’il suçait un mec, mais qu’il suçait Alexandra, cette femme dont il était tombé amoureux. Elle l’avait sucé, mieux que n’importe qu’elle autre femme avant, et il lui rendit la pareille.
C’était étrange, nouveau, intriguant. Il avait gouté les sexes féminins, il aimait lécher les femmes, mais il ne pensait pas qu’un jour il sucerait une bite de femme. Et que malgré sa maladresse de débutant, il recueillerait le foutre de sa partenaire dans sa bouche. Surpris de ce flot de liquide chaud, visqueux, il cracha le tout sur le sol. Il s’excusa, mais Alexandra l’embrassa en le remerciant, lui disant qu’il n’était pas obligé. Si, il se sentait obligé, enfin non, il en avait envie. Il voulait connaitre le gout de son sexe, l’aimer.
Denis et Alexandra allèrent se coucher. Ce premier soir, ils ne voulaient pas aller plus loin que ces jeux buccaux. Ils voulaient simplement dormir l’un avec l’autre, l’un contre l’autre, et attendre un peu pour aller plus loin. Alexandra embrassa son amant, son amoureux. Elle avait eu si peur, elle était si heureuse. Dans le lit, face à face, ils sentirent leurs sexes se frôler, grossir sous les draps. Ils éclatèrent de rire. Ils étaient trop excités pour dormir. Alexandra se tourna, proposa à Denis de l’enculer. Il refusa. Pas tout de suite, pas ce soir. D’abord, dit-il, je voudrais m’offrir à toi. Alexandra le serra dans ses bras, et l’embrassa. Elle était d’accord, mais plus tard, il ne fallait pas bruler les étapes.
Ils se contentèrent de se branler mutuellement, leur foutre souillant les draps dans lesquels ils s’endormirent heureux.
———
Le diner fut charmant. Mon frère et Alexandra avaient préparé un excellent repas. Ils me parlèrent de leur vie à deux. Leur bonheur, qui crevait les yeux. Quand, seuls dans la cuisine, je demandais à Alexandra si mon frère se faisait prendre par elle, elle rit.
— Et toi, tu te fais enculer, demanda-t-elle ?
— Oui, répondis-je, et j’aime ça.
Ce qui le fit encore plus rire. Denis nous rejoint en entendant les rires de son amie, il demanda ce qui se passait.
— Ton frère vient de m’avouer qu’il est homo, dit Alexandra.
— Non, j’ai juste dit que je me faisais enculer, avec plaisir. J’aime les femmes, d’ailleurs je vis avec deux superbes femmes, qui sont aussi libres que moi sexuellement.
Je leur racontais, à mots couverts, ma vie, et ils furent surpris de tout ce que je leur racontais.
Nous nous quitames heureux d’avoir passé la soirée ensemble. J’embrassais mon frère et Alexandra. Au moment de partir, elle me glissa une carte dans la poche.
— C’est une de mes amies, elle devrait te plaire.
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