Dépossession - 1
Récit érotique écrit par Amoeva [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dépossession - 1
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les vacances d’été avaient été chaudes, et c’est avec un courage nouveau que j’avais attaqué cette première année à l’université.
Tout avait changé pour moi il y a environ un mois : le changement de ville, découvrir la vie en autonomie, et surtout l’environnement des études post-bac. Je passais depuis la rentrée mon temps à me balader entre les amphis et ma chambre en cité universitaire.
C’était nouveau pour moi ! Ma petite chambre ne contenait qu’un seul espace, où j’avais réussi à caser un lit, un bureau, un frigo et une bibliothèque. Avec une pointe de détermination, j’avais collé quelques affiches de mes films préférés au mur, et j’avais installé une plante verte à côté des larges vitres qui donnaient sur le parc central, entre les bâtiments pour les cours et ceux dédiés aux logements étudiants.
Bref, tout ça pour dire que je m’étais fait mon petit chez-moi ! À mon âge, c’était aussi l’occasion d’apprendre à vivre par moi-même, et peut-être de faire des rencontres. Si je suis en couple avec une fille rencontrée en classe à la rentrée, je n’en suis pas moins ouvert pour de nouvelles rencontres amicales, et c’est avec plaisir que je passe des soirées chez les uns et chez les autres.
Malheureusement, compte tenu de l’épaisseur des murs des chambres universitaires, j’ai bien du mal à inviter des amis à boire un coup, ou même ma copine, pour tirer un coup, cette fois-ci.
Ce qui m’est arrivé hier soir et tout à fait particulier, et c’est pour ça que j’ai besoin de le coucher sur le papier maintenant. C’est arrivé à peu près vers une heure du matin, peu de temps à près le couvre-feu de 23h. à cette heure-là, le campus est plutôt tranquille, il est même plutôt mal vu de faire du bruit. A quelques exceptions près évidemment, à savoir les gens qui rentrent de soirée légèrement abîmés.
C’est vers cette heure-là que je commence à m’endormir. Pour faciliter les choses, je prends parfois le temps de m’adonner à une jolie masturbation. C’est mon petit rituel quotidien, que je pratique tous les soirs depuis mon arrivée ici. Je passe une petite demi-heure une main dans le caleçon, et l’autre sur la souris, à passer les pages de blogs peu recommandables.
Je venais tout juste de commencer que j’ai entendu du bruit dans le couloir, malgré mes oreillettes vissées sur les oreilles. Le bruit se rapprochait et je reconnaissais la voix, transformée par l’alcool, de mon voisin de chambre, avec lequel je partageais un mur. Ce n’était pas la première fois qu’il revenait beurré, je ne m’en suis pas donc soucié.
C’est donc le dos à la porte, que j’ai entrepris de recommencer ma consciencieuse astication nocturne.
C’est alors que j’ai entendu le bruit de clés dans la serrure de ma porte : il s’était probablement trompé ! J’entendis le léger grincement des gons sans pouvoir y faire grand-chose : dans ces bâtiments, il est mal vu de s’enfermer à clé, au risque d’être soupçonné de cacher des choses de valeur.
Mon voisin est donc entré dans ma chambre, peut-être sans le vouloir, et s’est retrouvé nez-à-nez avec mon pantalon posé à l’autre bout de la pièce et ma main serré autour de ma hampe. Aucun doute possible : il m’avait vu en pleine action, l’écran de mon PC ne pouvait que confirmer. J’étais justement en train de défiler les photos HD d’un blog d’illustrations homosexuelles…
Il resta quelques millisecondes légèrement pétrifié, puis après avoir jeté un coup d’œil sur mon écran puis sur mon entrejambe que je cachais comme je pouvais : j’étais nu comme vers ! Quelle honte, j’étais pétrifié. Mon dieu, ça deviendrait mon pire souvenir de toute ma vie. C’est alors que tout a basculé : je l’ai vu esquisser un léger sourire.
Il referma la porte, avec lui à l’intérieur, et j’ai écarquillé les yeux : je pris alors conscience de la situation, me précipitant vers mon pantalon. Ce mec n’était pas du genre à être ouvert d’esprit aux sexualités alternatives ; je le savais changer de copine plus souvent que de caleçon (littéralement), et ces dernières trouvaient manifestement toujours une manière très imagée d’exprimer la violence qui caractérisait leurs ébats. Ce mec devait probablement casser la gueule à des gays dans la rue, c’est clair.
- Heu, désolé, je bredouillais.
- Non ! Me chuchota-t-il avec violence.
Faisant mine de n’avoir rien entendu, je commençais à enfiler mon pantalon. Mais une fois la porte refermée à double tour et les clés soigneusement rangées dans sa poche, mon voisin se précipita sur moi, me poussant légèrement contre mon bureau, me prenant le bras fermement. Je prenais toute la mesure de notre différence de gabarits. J’étais fin, les bras extrêmement maigres, lui était légèrement plus petit que moi, mais bien plus épais. Il devait s’occuper en faisant du rugby. Toujours est-il que sa main faisait largement le tour de mon bras, qu’il bloquait totalement. J’étais mal. J’allais me faire péter la gueule et je ne pouvais espérer que m’en tirer sans dents cassées.
- J’ai raté mon coup cette nuit putain. Je n’ai pas réussi à baiser, fais chier, articula-t-il d’un ton monolithique.
- Ha merde, désolé pour toi me-mec, je bredouillais. Ça marchera peutete-peut-peut-être – pardon –, ça marchera peut-être mieux demain ?
Je sentais son haleine alcoolisée, c’était une violence supplémentaire. Il n’était pas vraiment dans son état normal. J’étais nu, je ne débandais pas. Bordel, c’était fini pour moi, je vais terminer aux urgences, défiguré, c’est sûr.
- Tu vas me sucer, là, maintenant.
- ATTENDS, DE QUOI ?
Il me saisissait encore le bras, alors j’ai tenté de me dégager avec mon autre main. Il renforça son étreinte, et utilisa son autre main pour me saisir mon deuxième bras. Sous le choc je n’avais pas réagi avec rapidité. J’étais totalement bloqué.
- Nan, sérieux, tu vas me sucer, et en silence.
J’étais complétement vaincu. Ce mec faisait probablement deux fois mon poids en muscle, en plus d’avoir une demi-tête de plus que moi. Probablement un futur champion de rubgy. Je tentai l’humour.
- De quoi ? Haha sérieux mec, rentre chez toi, t’es ivre mort là.
- T’as pas compris gars. Là tu vas me sucer au lieu de te branler. J’ai vu tes sites, t’aime ça, et moi je suis teeeellement en manque.
- Jamais de la vie, t’es dingue ou quoi ? J’ai fait.
- Sérieux. Ne bouge pas.
Il a sorti son téléphone. J’ai retenté de me dégager, mais rien à faire, je n’étais juste pas assez fort. Il s’est reculé un peu tout en continuant de me saisir, il a pointé l’objectif de son téléphone vers moi. J’ai entendu un *clic*.
- Si tu me suces pas, j’envoie ça à ta copine. Il me montra la photo : on me voyait à poil, l’intégrale, avec mon écran juste derrière.
- N’importe quoi, t’as même pas le numéro de ma copine.
Mauvaise idée. Il chopé mon téléphone sur le bureau, juste à côté de moi.
- Bah si. Et il prit en photo aussi son numéro.
- Okay, okay. Bon, je vais te branler d’accord, et tu supprimes la photo ?
Je n’arrivais même pas à croire ce que j’étais en train de dire. Il me lâcha le bras.
- Si tu t’arrêtes avant j’envoie le message, sale pute, il m’a lancé.
Alors il m’a poussé pour s’assoir sur le bureau, en retirant difficilement son jean. Ses fesses étaient posées sur mon clavier d’ordinateur. Son caleçon était déformé par une bosse gigantesque.
- Vas-y.
J’ai pris mon courage à deux mains. Je n’avais jamais eu d’expérience gay avant, mais j’assumais clairement mes attirances bisexuelles à mes amis. C’était le moment d’y aller. J’ai saisi son caleçon pour le tirer.
Malgré l’alcool, son sexe était parfaitement dur. C’était un magnifique chibre légèrement plus épais que la moyenne, de ce que j’en avais vu sur internet. Il me visait, prêt à me cracher dessus. J’ai regardé ce mec qui m’avait dominé si facilement dans les yeux. J’avais tellement honte que j’en bandais moi aussi de nouveau. J’ai saisi son sexe avec ma main droite, en regardant par terre. Il me prit le menton, pour le relever au niveau de ses yeux.
- Allez, astique putain, c’est pas comme si tu savais pas comment faire, haha, lâcha-t-il un peu trop fort à mon goût. Pitié, je suppliais tous les dieux que mes voisins n’avaient pas entendu ça.
J’ai commencé à faire un mouvement de bas en haut, en m’efforçant de continuer à le regarder dans les yeux. Sans vraiment me l’avouer, cette situation m’excitait au plus haut point, à un tel niveau que j’avais envie de me branler en même temps. Dans le doute, j’évitai.
Il ressorti alors son téléphone. Je le regardais impuissant lancer ce qui pouvait être soit une photo, soit carrément une vidéo. Dans tous les cas, j’étais coincé.
- Souris à la caméra, lopette.
Je ne souriais pas, justement, et j’étais concentré à abréger cette situation le plus vite possible. J’avais donc entrepris de lui malaxer les couilles par la même occasion, ce devait offrir un formidable plan pour sa carrière de réalisateur de film X.
- Allez, maintenant tu suces.
Je le regardai avec des yeux ronds.
- Je.. Je n’ai jamais fait ça, j’ai pas envie.
- Tu veux que je poste ma vidéo sur Facebook alors, lança-t-il en s’allongeant plus fortement sur le bureau.
Aucune échappatoire.
Je crois que ma volonté s’est brisée à cet instant précis. J’ai pris son chibre dans ma bouche, et je l’ai sucé. J’ai fait au mieux, sans baver. Son sexe était propre, il sentait bon. Mon voisin prenait son pied, allant jusqu’à me saisir la tête en signe de domination. Je n’ai jamais eu l’impression d’être aussi humilié de ma vie. Je m’appliquais malgré tout, passant du temps sur son gland, à vitesse constante.
Et puis au bout de longues minutes, il se cambra légèrement, en expirant de manière bruyante. Je reçu ses jets de sperme à l’intérieur de la bouche, jusqu’à la glotte. Ne trouvant ça pas si mal, j’ai avalé ! J’essayais de me convaincre que je vivais simplement une expérience, et que j’avais le droit d’aller jusqu’au bout.
- Ho mon dieu salope, j’en demandais pas autant ! Mh…Il s’essuya avec un de mes T-shirts qui ne trainait pas loin.
- Bordel, ta bouche est vraiment un bon coup. Tu ferais un bon sextoy, me glissa-t-il. Il me caressa la tête avec une soudaine tendresse, à la manière d’un chien qui avait rapporté l’os.
J’eu du mal à parler, parce que j’essayais encore de tout avaler et que ma bouche me faisait mal.
- Pitié, s’il te plait, supprime les photos et les vidéos, pitié, pitié. Je pleurais.
Il finit de se nettoyer les mains dans mes cheveux. Il semblait bien plus sobre que tout à l’heure.
- Désolé, je peux plus.
Une énorme vague de terreur me parcourra l’échine.
- P.. Pourquoi ?
- C’est déjà envoyé sur le facebook de ta copine. Et salope, c’est vrai qu’elle est bonne !
Il claqua la porte derrière lui. Il avait pris mes clés.
Sur mon téléphone, je retrouvais des messages envoyés de mon profil à ma copine le mois dernier lui partageant en secret ma bisexualité. Puis plus bas, des messages venant de ce soir, trois photos me représentant humilié, des mains entourant mon visage et un chibre enfoncé dans ma bouche, qui souriait et regardait la caméra. La légende disait : « Enfin ! ».
Les vacances d’été avaient été chaudes, et c’est avec un courage nouveau que j’avais attaqué cette première année à l’université.
Tout avait changé pour moi il y a environ un mois : le changement de ville, découvrir la vie en autonomie, et surtout l’environnement des études post-bac. Je passais depuis la rentrée mon temps à me balader entre les amphis et ma chambre en cité universitaire.
C’était nouveau pour moi ! Ma petite chambre ne contenait qu’un seul espace, où j’avais réussi à caser un lit, un bureau, un frigo et une bibliothèque. Avec une pointe de détermination, j’avais collé quelques affiches de mes films préférés au mur, et j’avais installé une plante verte à côté des larges vitres qui donnaient sur le parc central, entre les bâtiments pour les cours et ceux dédiés aux logements étudiants.
Bref, tout ça pour dire que je m’étais fait mon petit chez-moi ! À mon âge, c’était aussi l’occasion d’apprendre à vivre par moi-même, et peut-être de faire des rencontres. Si je suis en couple avec une fille rencontrée en classe à la rentrée, je n’en suis pas moins ouvert pour de nouvelles rencontres amicales, et c’est avec plaisir que je passe des soirées chez les uns et chez les autres.
Malheureusement, compte tenu de l’épaisseur des murs des chambres universitaires, j’ai bien du mal à inviter des amis à boire un coup, ou même ma copine, pour tirer un coup, cette fois-ci.
Ce qui m’est arrivé hier soir et tout à fait particulier, et c’est pour ça que j’ai besoin de le coucher sur le papier maintenant. C’est arrivé à peu près vers une heure du matin, peu de temps à près le couvre-feu de 23h. à cette heure-là, le campus est plutôt tranquille, il est même plutôt mal vu de faire du bruit. A quelques exceptions près évidemment, à savoir les gens qui rentrent de soirée légèrement abîmés.
C’est vers cette heure-là que je commence à m’endormir. Pour faciliter les choses, je prends parfois le temps de m’adonner à une jolie masturbation. C’est mon petit rituel quotidien, que je pratique tous les soirs depuis mon arrivée ici. Je passe une petite demi-heure une main dans le caleçon, et l’autre sur la souris, à passer les pages de blogs peu recommandables.
Je venais tout juste de commencer que j’ai entendu du bruit dans le couloir, malgré mes oreillettes vissées sur les oreilles. Le bruit se rapprochait et je reconnaissais la voix, transformée par l’alcool, de mon voisin de chambre, avec lequel je partageais un mur. Ce n’était pas la première fois qu’il revenait beurré, je ne m’en suis pas donc soucié.
C’est donc le dos à la porte, que j’ai entrepris de recommencer ma consciencieuse astication nocturne.
C’est alors que j’ai entendu le bruit de clés dans la serrure de ma porte : il s’était probablement trompé ! J’entendis le léger grincement des gons sans pouvoir y faire grand-chose : dans ces bâtiments, il est mal vu de s’enfermer à clé, au risque d’être soupçonné de cacher des choses de valeur.
Mon voisin est donc entré dans ma chambre, peut-être sans le vouloir, et s’est retrouvé nez-à-nez avec mon pantalon posé à l’autre bout de la pièce et ma main serré autour de ma hampe. Aucun doute possible : il m’avait vu en pleine action, l’écran de mon PC ne pouvait que confirmer. J’étais justement en train de défiler les photos HD d’un blog d’illustrations homosexuelles…
Il resta quelques millisecondes légèrement pétrifié, puis après avoir jeté un coup d’œil sur mon écran puis sur mon entrejambe que je cachais comme je pouvais : j’étais nu comme vers ! Quelle honte, j’étais pétrifié. Mon dieu, ça deviendrait mon pire souvenir de toute ma vie. C’est alors que tout a basculé : je l’ai vu esquisser un léger sourire.
Il referma la porte, avec lui à l’intérieur, et j’ai écarquillé les yeux : je pris alors conscience de la situation, me précipitant vers mon pantalon. Ce mec n’était pas du genre à être ouvert d’esprit aux sexualités alternatives ; je le savais changer de copine plus souvent que de caleçon (littéralement), et ces dernières trouvaient manifestement toujours une manière très imagée d’exprimer la violence qui caractérisait leurs ébats. Ce mec devait probablement casser la gueule à des gays dans la rue, c’est clair.
- Heu, désolé, je bredouillais.
- Non ! Me chuchota-t-il avec violence.
Faisant mine de n’avoir rien entendu, je commençais à enfiler mon pantalon. Mais une fois la porte refermée à double tour et les clés soigneusement rangées dans sa poche, mon voisin se précipita sur moi, me poussant légèrement contre mon bureau, me prenant le bras fermement. Je prenais toute la mesure de notre différence de gabarits. J’étais fin, les bras extrêmement maigres, lui était légèrement plus petit que moi, mais bien plus épais. Il devait s’occuper en faisant du rugby. Toujours est-il que sa main faisait largement le tour de mon bras, qu’il bloquait totalement. J’étais mal. J’allais me faire péter la gueule et je ne pouvais espérer que m’en tirer sans dents cassées.
- J’ai raté mon coup cette nuit putain. Je n’ai pas réussi à baiser, fais chier, articula-t-il d’un ton monolithique.
- Ha merde, désolé pour toi me-mec, je bredouillais. Ça marchera peutete-peut-peut-être – pardon –, ça marchera peut-être mieux demain ?
Je sentais son haleine alcoolisée, c’était une violence supplémentaire. Il n’était pas vraiment dans son état normal. J’étais nu, je ne débandais pas. Bordel, c’était fini pour moi, je vais terminer aux urgences, défiguré, c’est sûr.
- Tu vas me sucer, là, maintenant.
- ATTENDS, DE QUOI ?
Il me saisissait encore le bras, alors j’ai tenté de me dégager avec mon autre main. Il renforça son étreinte, et utilisa son autre main pour me saisir mon deuxième bras. Sous le choc je n’avais pas réagi avec rapidité. J’étais totalement bloqué.
- Nan, sérieux, tu vas me sucer, et en silence.
J’étais complétement vaincu. Ce mec faisait probablement deux fois mon poids en muscle, en plus d’avoir une demi-tête de plus que moi. Probablement un futur champion de rubgy. Je tentai l’humour.
- De quoi ? Haha sérieux mec, rentre chez toi, t’es ivre mort là.
- T’as pas compris gars. Là tu vas me sucer au lieu de te branler. J’ai vu tes sites, t’aime ça, et moi je suis teeeellement en manque.
- Jamais de la vie, t’es dingue ou quoi ? J’ai fait.
- Sérieux. Ne bouge pas.
Il a sorti son téléphone. J’ai retenté de me dégager, mais rien à faire, je n’étais juste pas assez fort. Il s’est reculé un peu tout en continuant de me saisir, il a pointé l’objectif de son téléphone vers moi. J’ai entendu un *clic*.
- Si tu me suces pas, j’envoie ça à ta copine. Il me montra la photo : on me voyait à poil, l’intégrale, avec mon écran juste derrière.
- N’importe quoi, t’as même pas le numéro de ma copine.
Mauvaise idée. Il chopé mon téléphone sur le bureau, juste à côté de moi.
- Bah si. Et il prit en photo aussi son numéro.
- Okay, okay. Bon, je vais te branler d’accord, et tu supprimes la photo ?
Je n’arrivais même pas à croire ce que j’étais en train de dire. Il me lâcha le bras.
- Si tu t’arrêtes avant j’envoie le message, sale pute, il m’a lancé.
Alors il m’a poussé pour s’assoir sur le bureau, en retirant difficilement son jean. Ses fesses étaient posées sur mon clavier d’ordinateur. Son caleçon était déformé par une bosse gigantesque.
- Vas-y.
J’ai pris mon courage à deux mains. Je n’avais jamais eu d’expérience gay avant, mais j’assumais clairement mes attirances bisexuelles à mes amis. C’était le moment d’y aller. J’ai saisi son caleçon pour le tirer.
Malgré l’alcool, son sexe était parfaitement dur. C’était un magnifique chibre légèrement plus épais que la moyenne, de ce que j’en avais vu sur internet. Il me visait, prêt à me cracher dessus. J’ai regardé ce mec qui m’avait dominé si facilement dans les yeux. J’avais tellement honte que j’en bandais moi aussi de nouveau. J’ai saisi son sexe avec ma main droite, en regardant par terre. Il me prit le menton, pour le relever au niveau de ses yeux.
- Allez, astique putain, c’est pas comme si tu savais pas comment faire, haha, lâcha-t-il un peu trop fort à mon goût. Pitié, je suppliais tous les dieux que mes voisins n’avaient pas entendu ça.
J’ai commencé à faire un mouvement de bas en haut, en m’efforçant de continuer à le regarder dans les yeux. Sans vraiment me l’avouer, cette situation m’excitait au plus haut point, à un tel niveau que j’avais envie de me branler en même temps. Dans le doute, j’évitai.
Il ressorti alors son téléphone. Je le regardais impuissant lancer ce qui pouvait être soit une photo, soit carrément une vidéo. Dans tous les cas, j’étais coincé.
- Souris à la caméra, lopette.
Je ne souriais pas, justement, et j’étais concentré à abréger cette situation le plus vite possible. J’avais donc entrepris de lui malaxer les couilles par la même occasion, ce devait offrir un formidable plan pour sa carrière de réalisateur de film X.
- Allez, maintenant tu suces.
Je le regardai avec des yeux ronds.
- Je.. Je n’ai jamais fait ça, j’ai pas envie.
- Tu veux que je poste ma vidéo sur Facebook alors, lança-t-il en s’allongeant plus fortement sur le bureau.
Aucune échappatoire.
Je crois que ma volonté s’est brisée à cet instant précis. J’ai pris son chibre dans ma bouche, et je l’ai sucé. J’ai fait au mieux, sans baver. Son sexe était propre, il sentait bon. Mon voisin prenait son pied, allant jusqu’à me saisir la tête en signe de domination. Je n’ai jamais eu l’impression d’être aussi humilié de ma vie. Je m’appliquais malgré tout, passant du temps sur son gland, à vitesse constante.
Et puis au bout de longues minutes, il se cambra légèrement, en expirant de manière bruyante. Je reçu ses jets de sperme à l’intérieur de la bouche, jusqu’à la glotte. Ne trouvant ça pas si mal, j’ai avalé ! J’essayais de me convaincre que je vivais simplement une expérience, et que j’avais le droit d’aller jusqu’au bout.
- Ho mon dieu salope, j’en demandais pas autant ! Mh…Il s’essuya avec un de mes T-shirts qui ne trainait pas loin.
- Bordel, ta bouche est vraiment un bon coup. Tu ferais un bon sextoy, me glissa-t-il. Il me caressa la tête avec une soudaine tendresse, à la manière d’un chien qui avait rapporté l’os.
J’eu du mal à parler, parce que j’essayais encore de tout avaler et que ma bouche me faisait mal.
- Pitié, s’il te plait, supprime les photos et les vidéos, pitié, pitié. Je pleurais.
Il finit de se nettoyer les mains dans mes cheveux. Il semblait bien plus sobre que tout à l’heure.
- Désolé, je peux plus.
Une énorme vague de terreur me parcourra l’échine.
- P.. Pourquoi ?
- C’est déjà envoyé sur le facebook de ta copine. Et salope, c’est vrai qu’elle est bonne !
Il claqua la porte derrière lui. Il avait pris mes clés.
Sur mon téléphone, je retrouvais des messages envoyés de mon profil à ma copine le mois dernier lui partageant en secret ma bisexualité. Puis plus bas, des messages venant de ce soir, trois photos me représentant humilié, des mains entourant mon visage et un chibre enfoncé dans ma bouche, qui souriait et regardait la caméra. La légende disait : « Enfin ! ».
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