Donjons et Dragons - 4
Récit érotique écrit par Amoeva [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Donjons et Dragons - 4
Depuis une semaine, je suis me suis soumise sexuellement à une sorcière qui prend plaisir à transformer mon corps à ses envies, rendant mes attributs génitaux toujours plus désirables à chaque séance de domination. Moi qui souhaitais seulement devenir une dame de la cour du château où j’étais paysanne, je suis devenue son jouet sexuel…
---
J’ai la tête qui tourne avec toutes les émotions vécues dans la soirée. L’emprise mentale de Maitresse Astradesy, cette sorcière, ne me quittait plus depuis la veille, et je me retrouvais à devoir faire de nouveau la bonne au château alors même que mon désir sexuel ne redescendait plus : autant le dire, c’était une torture.
En me levant le matin dans ma chambre, j’ai tout de suite senti les changements corporels vécus la veille : ma poitrine n’avait jamais été aussi exubérante et vulgaire, et mes fesses avaient pris plusieurs centimètres de volume. Je suspectais également mes lèvres vaginales d’avoir enflé durant la nuit, mais c’était peut-être seulement à cause de cette excitation sexuelle continue que je ne pouvais plus contenir : dès mon réveil, j’ai enfouie ma main dans ma chatte, ayant un besoin irrépressible de me faire plaisir, de me sentir vivante. Mes doigts jouaient avec mon clitoris, pendant que mon autre main s’affairait à malaxer mes seins, devenus si sensibles. J’étais même capable de les lécher à présent.
Mon orgasme passé, j’ai pu reprendre mon souffle et m’apprêter pour ma journée de travail. Maitresse avait probablement changé durant la nuit mon uniforme, qui correspondait à mes nouvelles mensurations. Niel, l’homme qui m’avait conduit à elle, m’avait promis que je ne ferais la bonne qu’une semaine, mais je n’avais plus trop d’espoir à présent.
Dans ce costume et ce corps mis à jour, j’attirais tous les regards. Il faut dire que le décolleté était plongeant et que la jupe laissait entrevoir le début de mes fesses. Mon corps, en l’espace d’un peu plus d’une semaine, était devenu celui d’une bimbo, et je pense que même en remettant ma robe de fermière, je ne pourrais plus sortir sans faire tourner les regards.
En entrant dans la cuisine pour prendre mes ordres du matin j’ai vite vu que tout le monde avait remarqué mes métamorphoses corporelles ; les hommes ne me regardaient plus dans les yeux, et les femmes, pour certaines, me regardaient avec admiration et jalousie. D’autres aussi marquaient clairement l’envie de « m’essayer ».
Malgré ces regards curieux et particuliers, plusieurs bonnes et moi étions devenues amies, et j’avais réussi à tisser un vrai lien avec certaines d’entre elles, comme Elenna, qui faisait le ménage dans les appartements du seigneur tous les matins. Elle était devenue une personne de confiance à qui je pouvais me livrer sans avoir honte, et me sentir aussi excitée, même en lui parlant, me donnait honte.
Il est arrivé deux fois durant le lendemain de ma séance avec Maitresse que je pique une crise de désir sexuel et que je m’enfuisse en courant dans un placard à balais ou dans une pièce vide, une main dans ma jupe, pour me soulager. Cette situation insupportable me laissait à chaque fois vidée d’énergie mais remplie de bonheur. A chaque fois que ma main glissait dans ma chatte, j’entendais à nouveau le souffle coupé, les respirations profondes de ma Maitresse qui devait probablement profiter de mon plaisir par ce lien mental qu’elle avait tissé.
Il est arrivé un jour, peut-être deux semaines après ce manège, qu’une pulsion sexuelle surgisse en moi pendant que je servais le couvert pour la famille seigneuriale, et qu’il n’y ait que moi et Niel dans la pièce. Ce dernier supervisait à son habitude que tout soit prêt à l’heure, et il survint que soudainement, j’avais une envie irrépressible qu’il me prenne, là tout de suite. Moi, la fermière timide et réservé il y a quelques jours, avait bien changé.
Alors que j’essayais de réprimer cette envie de lui faire l’amour sur le champ, j’essayais de finir de placer les petites cuillères à leur place pour m’éclipser dans une salle vide. Mais mon excitation devait probablement se voir, tant je frémissais et devenais rouge ; je dandinais un peu des fesses, essayant de calmer cette envie de me masturber en frottant mes cuisses.
Niel l’aperçu, et s’approcha de moi.
- C’est Astradesy qui te rend nympho, c’est ça ? me demanda-t-il tout en me saisissant par les reins. Fais-toi plaisir.
Je ne répondis rien et l’embrassa. Mon cœur battait la chamade, et je ne pouvais rien faire en cet instant qu’accepter mon statut de chienne de sexe et m’exécuter sur le champ.
Je m’assieds à même la table à manger, renversant un verre en cristal. Ma jupe étant très courte et ne portant pas de culotte, Niel vu tout de suite la situation : j’étais trempée et je n’attendais qu’une chose, qu’il me baise.
- Quelle sorcière incroyable, tu es une devenue une vraie petite pute en si peu de temps, c’est dingue, me compliment-at-t-il avant de baisser son pantalon et de sortir son sexe turgescent. Sa bite avait grandi depuis la dernière fois, c’était sûr. Je soupçonnais le fait qu’il se faisait parfois lui aussi soumettre par la sorcière, mais tout ce que je fis en cet instant, c’est écarter les cuisses pour l’accueillir et lui ordonner : « prends moi, baise-moi, par pitié ! ».
Sa bite entra en moi comme un couteau dans du beurre, j’étais tellement mouillée qu’il n’y eu aucun souci à s’enfoncer jusqu’à la garde. J’étais en feu, je n’avais plus aucune idée clair, en oubliant jusqu’à mon nom. Je gémis lors de cette première attaque, puis continua à faire des petits bruits alors qu’il pilonnait sans ménagement, faisant bouger toute la table avec moi. Je le regardais dans les yeux, lui, cet homme qui m’avait rendue aussi désirable et vulnérable. Il était la cause de tout ce qui m’arrivait, de ma transformation, et je ne pouvais pas lui en vouloir parce que ces derniers jours n’avaient été qu’une suite de plaisirs puissants et constants. Je ne résistais plus à rien, j’acceptais ma condition de suceuse soumise, et c’était tout.
- Putain t’es vraiment bonne, quelle salope !
Je m’écrasais sur la table, renversant encore d’autres verres, alors qu’il continuait son incroyable marathon en me bourrant de son sexe sans retenue. Je me sentais pleine et entière, et je ne voulais que jamais cette situation ne s’arrête.
Il se retira pour jouir, et ma tenue de travail fut aspergée de son liquide chaud. J’en reçu sur le visage, que je m’empressais de lécher, espérant que son propre foutre aurait des vertus aussi insoupçonnées que celles de ma Maitresse.
Je me suis levée de la table pour m’accroupir devant lui et laver son sexe, tout en essayant de me finir en me masturbant. Ma jouissance vint enfin alors que son pénis me faisait face. Je me sentais souillée, complétement dépourvue d’humanité, dépossédée de mes facultés intellectuelles. Un comble pour cette femme qui voulait faire des concours de poésie en buvant du thé, il ya encore quelques jours.
Mes cris et la vaisselle cassée avait probablement alterné tout le château, et je n’osais pas encore entrevoir les conséquences de mes pulsions sexuelles d’aujourd’hui. A cet instant je ne voyais que le sexe de mon amant, en gros plan, au niveau de mon visage.
On entendit alors s’ouvrir la grande porte d’entrée. Il s’agissait de ma Maitresse qui était venue pour voir ce qu’il se passait, se doutant qu’il s’agirait de moi, très probablement.
Elle accourut, un peu désemparée, et alors que le foutre de Niel décorait encore mon visage, me lança une claque qui me fit tomber au sol.
- Qu’est-ce qui te prend, sale trainée, de faire autant de bruit ?
Je ne savais pas quoi dire. Ma Maitresse n’était pas contente. Je prenais toute la mesure de la honte que je voulais lire dans son visage. J’étais allé trop loin ?
- Je… Maitresse, s’il vous plait…
- Tu n’es plus qu’une petite chienne bonne à sucer des queues, c’est ça ? Tu n’es plus bonne qu’à ça ? Et bien on va devoir te considérer comme tel, et prendre les mesures qui s’imposent, a-t-elle déclaré.
Je ne savais pas ce que cela signifiait. Me considérer comme une petite chienne ? Qu’est-ce que cela pouvait bien pouvoir dire ? En temps normal j’aurais peut-être compris, mais depuis le début de ces aventures mon cerveau semblait tourner au ralenti.
La sorcière Astradesy claqua alors des doigts. Et un long morceau de cuir apparu progressivement dans la main de ma maitresse. Un deuxième claquera de son autre main fit apparaitre un collier, en cuir lui aussi.
- Comme toute les petites chiennes qui ne peuvent pas se comporter correctement, tu vas devoir porter une laisse, très chère.
J’étais absolument horrifiée par ce que j’entendais. Si j’avais vécu des séances de soumission et qu’on me traitait de tous les noms depuis quelques jours, ce n’est pas pour autant que quelqu’un avait remis en cause mon humanité. Et en cet instant précis, ma Maitresse me faisait clairement comprendre que je n’étais qu’une sous-humaine à présent, et que je ne pouvais plus me comporter de manière civilisée. Le fait est qu’elle me prouvait que je n’aimais pas seulement avoir une maitresse dominatrice sexuelle, mais que j’en avais avant tout besoin. Et qu’elle devait elle-même prendre des précautions pour s’assurer de ma sécurité et de celle des autres.
- Comprends, petite chienne. Si je te laisse en liberté imagine toutes les catastrophes que tu pourrais produire ? J’ai besoin de garder un œil sur toi à présent que tu es devenue ce que tu es. J’espère que tu es encore en mesure de comprendre pourquoi je fais ça.
Je baissais la tête, remplie de honte, me sentant moins que rien. Tout ça arrivait parce que je l’avais déçu, elle.
- Oui Maitresse, je comprends.
- Parfait. Je vais t’installer cette laisse dans ce cas.
Elle me saisit mes cheveux, que Niel tenu en l’air pour qu’elle puisse me fixer mon collier. Il n’était pas trop serré, mais suffisamment pour que je sente sa présente lorsque mon souffle est court.
- Ceci est la matérialisation de ton appartenance, compris salope ?
Elle avait la voix dure, je saisissais à quel point j’avais dû la décevoir. Elle vint ensuite attacher la laisse au collier, et saisit la poignée à son bout.
- Tu vas dormir avec moi cette nuit, et les nuits suivantes. Je ne peux plus me permettre de te laisser toute seule.
Elle commença à avancer vers la sortie de la pièce, en tirant légèrement sur l’encolure, quand elle s’arrêta pour rajouter :
- Ha, et les petites chiennes ne portent pas d’habits, n’oublie pas.
Et elle claqua des doigts une nouvelle fois. Avec surprise, je me retrouvais soudainement nue, mes vêtements avaient complétement disparus, comme dissous.
Sans prêter attention à mon air ébahit, elle se dirigea vers ses appartements, tenant fermement ma laisse. Cette dernière faisait peut-être un mètre, ce qui me laissait l’occasion de tenir debout, mais sans pouvoir véritablement mes distances ou me cacher. Si bien je pu croiser des bonnes avec qui j’avais pu sympathiser et qui étaient devenues des amies, comme Elenna par exemple. Elles affichèrent toutes un regard surpris, mais j’étais rouge de honte et regardait mes pieds pendant ma Maitresse me trimbalait dans le château. J’avais d’ailleurs l’impression que ce n’était pas le chemin le plus court pour rentrer chez elle, et qu’elle en profitait pour clairement m’afficher comme « sa » petite chienne salope, ce qui me remplit de bonheur : au fond, elle était fière de moi, non ?
En arrivant dans ses appartements, elle commença à me laisser là, au milieu de la pièce, pendant qu’elle retourna manger. J’avais moi-même préparé cette volaille avant d’aller mettre les couverts pour la famille seigneuriale, et la voir manger devant attisait la sensation de lui appartenir pleinement. Elle ne daigna à m’accorder un regard qu’après la fin de son souper, et se préparant à sortir pour une fête, se plaça devant moi en réfléchissant.
- Je pense que j’ai trouvé le bon moyen d’éviter que tu fasses n’importe quoi, dit-elle à voix haute.
Elle est claqua à nouveau des doigts. Une cage à lapin, mais de taille humaine, venait de se matérialiser dans la chambre. Elle m’invita à y entrer en ouvrant la porte, et referma derrière moi une fois que je fus complétement à l’intérieur.
Elle ferma l’entrée avec une clé, qu’elle attacha autour de son cou, au niveau du commencement de son entre-sein.
Nous nous retrouvâmes faces à face, dominatrice et soumise se regardant, toutes les deux remplies d’énormément d’émotions contradictoires.
J’étais tétanisée par l’évolution de ma situation, et le fait d’être enfermée comme un animal m’excitait, d’autant plus que mes pulsions nymphomaniques commençaient à me reprendre.
- Tu peux faire autant de bruit que tu veux ici, personne ne t’entendra hurler. Alors fais-toi du plaisir, tant que tu veux, tu ne ferras plus de dégâts.
Puis elle saisit son petit sac à main, orné et finement cousu, et sorti de la pièce.
Je commençais à penser que tout ça finirait mal pour moi.
[Merci pour votre orgasme rougi de honte <3 à très bientôt pour la suite !]
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J’ai la tête qui tourne avec toutes les émotions vécues dans la soirée. L’emprise mentale de Maitresse Astradesy, cette sorcière, ne me quittait plus depuis la veille, et je me retrouvais à devoir faire de nouveau la bonne au château alors même que mon désir sexuel ne redescendait plus : autant le dire, c’était une torture.
En me levant le matin dans ma chambre, j’ai tout de suite senti les changements corporels vécus la veille : ma poitrine n’avait jamais été aussi exubérante et vulgaire, et mes fesses avaient pris plusieurs centimètres de volume. Je suspectais également mes lèvres vaginales d’avoir enflé durant la nuit, mais c’était peut-être seulement à cause de cette excitation sexuelle continue que je ne pouvais plus contenir : dès mon réveil, j’ai enfouie ma main dans ma chatte, ayant un besoin irrépressible de me faire plaisir, de me sentir vivante. Mes doigts jouaient avec mon clitoris, pendant que mon autre main s’affairait à malaxer mes seins, devenus si sensibles. J’étais même capable de les lécher à présent.
Mon orgasme passé, j’ai pu reprendre mon souffle et m’apprêter pour ma journée de travail. Maitresse avait probablement changé durant la nuit mon uniforme, qui correspondait à mes nouvelles mensurations. Niel, l’homme qui m’avait conduit à elle, m’avait promis que je ne ferais la bonne qu’une semaine, mais je n’avais plus trop d’espoir à présent.
Dans ce costume et ce corps mis à jour, j’attirais tous les regards. Il faut dire que le décolleté était plongeant et que la jupe laissait entrevoir le début de mes fesses. Mon corps, en l’espace d’un peu plus d’une semaine, était devenu celui d’une bimbo, et je pense que même en remettant ma robe de fermière, je ne pourrais plus sortir sans faire tourner les regards.
En entrant dans la cuisine pour prendre mes ordres du matin j’ai vite vu que tout le monde avait remarqué mes métamorphoses corporelles ; les hommes ne me regardaient plus dans les yeux, et les femmes, pour certaines, me regardaient avec admiration et jalousie. D’autres aussi marquaient clairement l’envie de « m’essayer ».
Malgré ces regards curieux et particuliers, plusieurs bonnes et moi étions devenues amies, et j’avais réussi à tisser un vrai lien avec certaines d’entre elles, comme Elenna, qui faisait le ménage dans les appartements du seigneur tous les matins. Elle était devenue une personne de confiance à qui je pouvais me livrer sans avoir honte, et me sentir aussi excitée, même en lui parlant, me donnait honte.
Il est arrivé deux fois durant le lendemain de ma séance avec Maitresse que je pique une crise de désir sexuel et que je m’enfuisse en courant dans un placard à balais ou dans une pièce vide, une main dans ma jupe, pour me soulager. Cette situation insupportable me laissait à chaque fois vidée d’énergie mais remplie de bonheur. A chaque fois que ma main glissait dans ma chatte, j’entendais à nouveau le souffle coupé, les respirations profondes de ma Maitresse qui devait probablement profiter de mon plaisir par ce lien mental qu’elle avait tissé.
Il est arrivé un jour, peut-être deux semaines après ce manège, qu’une pulsion sexuelle surgisse en moi pendant que je servais le couvert pour la famille seigneuriale, et qu’il n’y ait que moi et Niel dans la pièce. Ce dernier supervisait à son habitude que tout soit prêt à l’heure, et il survint que soudainement, j’avais une envie irrépressible qu’il me prenne, là tout de suite. Moi, la fermière timide et réservé il y a quelques jours, avait bien changé.
Alors que j’essayais de réprimer cette envie de lui faire l’amour sur le champ, j’essayais de finir de placer les petites cuillères à leur place pour m’éclipser dans une salle vide. Mais mon excitation devait probablement se voir, tant je frémissais et devenais rouge ; je dandinais un peu des fesses, essayant de calmer cette envie de me masturber en frottant mes cuisses.
Niel l’aperçu, et s’approcha de moi.
- C’est Astradesy qui te rend nympho, c’est ça ? me demanda-t-il tout en me saisissant par les reins. Fais-toi plaisir.
Je ne répondis rien et l’embrassa. Mon cœur battait la chamade, et je ne pouvais rien faire en cet instant qu’accepter mon statut de chienne de sexe et m’exécuter sur le champ.
Je m’assieds à même la table à manger, renversant un verre en cristal. Ma jupe étant très courte et ne portant pas de culotte, Niel vu tout de suite la situation : j’étais trempée et je n’attendais qu’une chose, qu’il me baise.
- Quelle sorcière incroyable, tu es une devenue une vraie petite pute en si peu de temps, c’est dingue, me compliment-at-t-il avant de baisser son pantalon et de sortir son sexe turgescent. Sa bite avait grandi depuis la dernière fois, c’était sûr. Je soupçonnais le fait qu’il se faisait parfois lui aussi soumettre par la sorcière, mais tout ce que je fis en cet instant, c’est écarter les cuisses pour l’accueillir et lui ordonner : « prends moi, baise-moi, par pitié ! ».
Sa bite entra en moi comme un couteau dans du beurre, j’étais tellement mouillée qu’il n’y eu aucun souci à s’enfoncer jusqu’à la garde. J’étais en feu, je n’avais plus aucune idée clair, en oubliant jusqu’à mon nom. Je gémis lors de cette première attaque, puis continua à faire des petits bruits alors qu’il pilonnait sans ménagement, faisant bouger toute la table avec moi. Je le regardais dans les yeux, lui, cet homme qui m’avait rendue aussi désirable et vulnérable. Il était la cause de tout ce qui m’arrivait, de ma transformation, et je ne pouvais pas lui en vouloir parce que ces derniers jours n’avaient été qu’une suite de plaisirs puissants et constants. Je ne résistais plus à rien, j’acceptais ma condition de suceuse soumise, et c’était tout.
- Putain t’es vraiment bonne, quelle salope !
Je m’écrasais sur la table, renversant encore d’autres verres, alors qu’il continuait son incroyable marathon en me bourrant de son sexe sans retenue. Je me sentais pleine et entière, et je ne voulais que jamais cette situation ne s’arrête.
Il se retira pour jouir, et ma tenue de travail fut aspergée de son liquide chaud. J’en reçu sur le visage, que je m’empressais de lécher, espérant que son propre foutre aurait des vertus aussi insoupçonnées que celles de ma Maitresse.
Je me suis levée de la table pour m’accroupir devant lui et laver son sexe, tout en essayant de me finir en me masturbant. Ma jouissance vint enfin alors que son pénis me faisait face. Je me sentais souillée, complétement dépourvue d’humanité, dépossédée de mes facultés intellectuelles. Un comble pour cette femme qui voulait faire des concours de poésie en buvant du thé, il ya encore quelques jours.
Mes cris et la vaisselle cassée avait probablement alterné tout le château, et je n’osais pas encore entrevoir les conséquences de mes pulsions sexuelles d’aujourd’hui. A cet instant je ne voyais que le sexe de mon amant, en gros plan, au niveau de mon visage.
On entendit alors s’ouvrir la grande porte d’entrée. Il s’agissait de ma Maitresse qui était venue pour voir ce qu’il se passait, se doutant qu’il s’agirait de moi, très probablement.
Elle accourut, un peu désemparée, et alors que le foutre de Niel décorait encore mon visage, me lança une claque qui me fit tomber au sol.
- Qu’est-ce qui te prend, sale trainée, de faire autant de bruit ?
Je ne savais pas quoi dire. Ma Maitresse n’était pas contente. Je prenais toute la mesure de la honte que je voulais lire dans son visage. J’étais allé trop loin ?
- Je… Maitresse, s’il vous plait…
- Tu n’es plus qu’une petite chienne bonne à sucer des queues, c’est ça ? Tu n’es plus bonne qu’à ça ? Et bien on va devoir te considérer comme tel, et prendre les mesures qui s’imposent, a-t-elle déclaré.
Je ne savais pas ce que cela signifiait. Me considérer comme une petite chienne ? Qu’est-ce que cela pouvait bien pouvoir dire ? En temps normal j’aurais peut-être compris, mais depuis le début de ces aventures mon cerveau semblait tourner au ralenti.
La sorcière Astradesy claqua alors des doigts. Et un long morceau de cuir apparu progressivement dans la main de ma maitresse. Un deuxième claquera de son autre main fit apparaitre un collier, en cuir lui aussi.
- Comme toute les petites chiennes qui ne peuvent pas se comporter correctement, tu vas devoir porter une laisse, très chère.
J’étais absolument horrifiée par ce que j’entendais. Si j’avais vécu des séances de soumission et qu’on me traitait de tous les noms depuis quelques jours, ce n’est pas pour autant que quelqu’un avait remis en cause mon humanité. Et en cet instant précis, ma Maitresse me faisait clairement comprendre que je n’étais qu’une sous-humaine à présent, et que je ne pouvais plus me comporter de manière civilisée. Le fait est qu’elle me prouvait que je n’aimais pas seulement avoir une maitresse dominatrice sexuelle, mais que j’en avais avant tout besoin. Et qu’elle devait elle-même prendre des précautions pour s’assurer de ma sécurité et de celle des autres.
- Comprends, petite chienne. Si je te laisse en liberté imagine toutes les catastrophes que tu pourrais produire ? J’ai besoin de garder un œil sur toi à présent que tu es devenue ce que tu es. J’espère que tu es encore en mesure de comprendre pourquoi je fais ça.
Je baissais la tête, remplie de honte, me sentant moins que rien. Tout ça arrivait parce que je l’avais déçu, elle.
- Oui Maitresse, je comprends.
- Parfait. Je vais t’installer cette laisse dans ce cas.
Elle me saisit mes cheveux, que Niel tenu en l’air pour qu’elle puisse me fixer mon collier. Il n’était pas trop serré, mais suffisamment pour que je sente sa présente lorsque mon souffle est court.
- Ceci est la matérialisation de ton appartenance, compris salope ?
Elle avait la voix dure, je saisissais à quel point j’avais dû la décevoir. Elle vint ensuite attacher la laisse au collier, et saisit la poignée à son bout.
- Tu vas dormir avec moi cette nuit, et les nuits suivantes. Je ne peux plus me permettre de te laisser toute seule.
Elle commença à avancer vers la sortie de la pièce, en tirant légèrement sur l’encolure, quand elle s’arrêta pour rajouter :
- Ha, et les petites chiennes ne portent pas d’habits, n’oublie pas.
Et elle claqua des doigts une nouvelle fois. Avec surprise, je me retrouvais soudainement nue, mes vêtements avaient complétement disparus, comme dissous.
Sans prêter attention à mon air ébahit, elle se dirigea vers ses appartements, tenant fermement ma laisse. Cette dernière faisait peut-être un mètre, ce qui me laissait l’occasion de tenir debout, mais sans pouvoir véritablement mes distances ou me cacher. Si bien je pu croiser des bonnes avec qui j’avais pu sympathiser et qui étaient devenues des amies, comme Elenna par exemple. Elles affichèrent toutes un regard surpris, mais j’étais rouge de honte et regardait mes pieds pendant ma Maitresse me trimbalait dans le château. J’avais d’ailleurs l’impression que ce n’était pas le chemin le plus court pour rentrer chez elle, et qu’elle en profitait pour clairement m’afficher comme « sa » petite chienne salope, ce qui me remplit de bonheur : au fond, elle était fière de moi, non ?
En arrivant dans ses appartements, elle commença à me laisser là, au milieu de la pièce, pendant qu’elle retourna manger. J’avais moi-même préparé cette volaille avant d’aller mettre les couverts pour la famille seigneuriale, et la voir manger devant attisait la sensation de lui appartenir pleinement. Elle ne daigna à m’accorder un regard qu’après la fin de son souper, et se préparant à sortir pour une fête, se plaça devant moi en réfléchissant.
- Je pense que j’ai trouvé le bon moyen d’éviter que tu fasses n’importe quoi, dit-elle à voix haute.
Elle est claqua à nouveau des doigts. Une cage à lapin, mais de taille humaine, venait de se matérialiser dans la chambre. Elle m’invita à y entrer en ouvrant la porte, et referma derrière moi une fois que je fus complétement à l’intérieur.
Elle ferma l’entrée avec une clé, qu’elle attacha autour de son cou, au niveau du commencement de son entre-sein.
Nous nous retrouvâmes faces à face, dominatrice et soumise se regardant, toutes les deux remplies d’énormément d’émotions contradictoires.
J’étais tétanisée par l’évolution de ma situation, et le fait d’être enfermée comme un animal m’excitait, d’autant plus que mes pulsions nymphomaniques commençaient à me reprendre.
- Tu peux faire autant de bruit que tu veux ici, personne ne t’entendra hurler. Alors fais-toi du plaisir, tant que tu veux, tu ne ferras plus de dégâts.
Puis elle saisit son petit sac à main, orné et finement cousu, et sorti de la pièce.
Je commençais à penser que tout ça finirait mal pour moi.
[Merci pour votre orgasme rougi de honte <3 à très bientôt pour la suite !]
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