Depuis que j'ai rencontré Emilie
Récit érotique écrit par Elactra [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Depuis que j'ai rencontré Emilie
Nous nous sommes rencontrées, avec Emilie, lors d’un séminaire à Grenoble sur le thème de l’archivage de documents anciens, il y a trois ans de cela. Nous sommes toutes les deux documentalistes et nous étions ainsi une trentaine à travailler sur ce sujet pendant une semaine. Le premier jour, j’ai remarqué Emilie qui était assise quelques rangs devant moi dans la grande salle où se déroulait le séminaire. Il faut dire qu’elle avait été remarquée par l’ensemble des séminaristes. Elle portait une robe très estivale, très charme et très classe alors que nous étions au plein cœur de l’hiver, à 2000m d’altitude, et sa beauté non plus ne laissait pas indifférent. J’étais comme irrésistiblement attirée par cette fille qui dégageait une sensualité hors du commun. J’étais bien décidée de faire sa connaissance. Le séminaire était aussi triste que le brouillard qui couvrait la ville durant cette semaine. Le premier soir, nous avons fait une soirée restau avec tous les séminaristes qui n’étaient pas du genre « on se couche au petit matin ». Nous nous sommes retrouvées finalement seules, Emilie et moi pour continuer la soirée en boite.
« Moi, c’est Emilie, je n’ai jamais froid, mon corps est toujours chaud et il n’y qu’en baisant que je me soulage » ont été les premiers mots d Emilie.
« Moi, c’est Clarisse, ce temps moi ça me glace, et ça fait un bout de temps que je n’ai pas baisé, je commence à en avoir vraiment envie. ».
Emilie est une fille très étonnante, je ne connais personne d’aussi direct et sans pudeur. Elle m’a proposé dès le premier soir de notre rencontre une partie de jambes avec elle. Sa spontanéité choquante avait de suite quelque chose de particulier, de différent et d’ingénue. Je me suis dit qu’il ne fallait pas rater cette occasion, que cette fille pouvait être rigolote, et apporter dans ma vie une touche de changement. Emilie a proposé que nous finissions la soirée dans la chambre de son hôtel. A peine avions-nous refermé la porte derrière nous qu’Emilie, dans l’obscurité, posa sa main directement entre mes jambes avec vigueur et assurance.
« j’ai envie de ton corps, là, maintenant, me soupira-t-elle. J’ai envie de lécher ta peau, je sens déjà ta chaleur humide au bout de mes doigts ».
Les paroles crues d’Emilie faisaient l’effet d’un bain bouillonnant sur mon corps hyper-réceptif, tous mes sens étaient en alerte. Je sentais sa main remonter fermement le long de mon ventre, puis jusqu’à mes seins érigés sous l’effet de l’excitation. Je sentais ses doigts malaxer délicatement mes mamelons prêts à éclater. Je me laissais faire, je parvenais à m’abandonner totalement aux bras de cette fille que je connaissais depuis quelques heures seulement. Je ne parlais pas, seule ma respiration se faisait plus rapide et plus animale. Je sentais sa langue chaude découvrir mon ventre, me léchant avidement, me procurant la sensation d’être goûtée, dévorée. Je n’avais pas l’habitude de tant de précipitation, mais la passion avec laquelle cette fille dévorait mon corps me mît dans un état de semi-consciente. Je ne pensais bientôt plus qu’au plaisir que je pouvais recevoir. Je plongeais une main sous la jupe d’Emilie, puis directement dans sa culotte, je sentais la douceur de sa toison, ses lèvres charnues et trempées de plaisir. Sans parvenir à contrôler mes paroles, je dis à Emilie
« j’ai envie de lécher ta chatte et t’entendre jouir. ».
Sans même attendre sa réponse, je m’agenouillais, faisant glisser sa petite culotte le long de ses jambes. Nous étions toujours dans l’obscurité, ce qui a la vertu d’affiner les autres sens. Je me guidais à l’odeur de son sexe, goûtant sa peau de pêche, léchant l’intérieur de ses jambes fermes et galbées pour remonter et plonger ma langue dans son mont de vénus. Ce goût, ce parfum, hummm… Je fouillais avidement son trou, pendant qu’Emilie se masturbait fiévreuse le clitoris, dégageant sa main par moment pour me laisser le lui stimuler avec ma langue. Ses soupirs de jouissance m’excitaient encore plus. Nous nous sommes allongées par terre et nous sommes léchées, caressées, frottées l’une à l’autre pendant presque toute la nuit, puis nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre. Le lendemain, au séminaire, l’ambiance était redevenue studieuse, il n’est pas conseillé de trop mélanger vie professionnelle et vie privée. Nous échangions tout de même quelques regards complices par moments. Depuis ce séjour près de Grenoble, Emilie et moi sommes devenues de vraies amies. Nous nous voyons chaque fois que nous avons des congés. Nous sommes, elle et moi un peu libidineuses, peut-être un peu amoureuses.
« Moi, c’est Emilie, je n’ai jamais froid, mon corps est toujours chaud et il n’y qu’en baisant que je me soulage » ont été les premiers mots d Emilie.
« Moi, c’est Clarisse, ce temps moi ça me glace, et ça fait un bout de temps que je n’ai pas baisé, je commence à en avoir vraiment envie. ».
Emilie est une fille très étonnante, je ne connais personne d’aussi direct et sans pudeur. Elle m’a proposé dès le premier soir de notre rencontre une partie de jambes avec elle. Sa spontanéité choquante avait de suite quelque chose de particulier, de différent et d’ingénue. Je me suis dit qu’il ne fallait pas rater cette occasion, que cette fille pouvait être rigolote, et apporter dans ma vie une touche de changement. Emilie a proposé que nous finissions la soirée dans la chambre de son hôtel. A peine avions-nous refermé la porte derrière nous qu’Emilie, dans l’obscurité, posa sa main directement entre mes jambes avec vigueur et assurance.
« j’ai envie de ton corps, là, maintenant, me soupira-t-elle. J’ai envie de lécher ta peau, je sens déjà ta chaleur humide au bout de mes doigts ».
Les paroles crues d’Emilie faisaient l’effet d’un bain bouillonnant sur mon corps hyper-réceptif, tous mes sens étaient en alerte. Je sentais sa main remonter fermement le long de mon ventre, puis jusqu’à mes seins érigés sous l’effet de l’excitation. Je sentais ses doigts malaxer délicatement mes mamelons prêts à éclater. Je me laissais faire, je parvenais à m’abandonner totalement aux bras de cette fille que je connaissais depuis quelques heures seulement. Je ne parlais pas, seule ma respiration se faisait plus rapide et plus animale. Je sentais sa langue chaude découvrir mon ventre, me léchant avidement, me procurant la sensation d’être goûtée, dévorée. Je n’avais pas l’habitude de tant de précipitation, mais la passion avec laquelle cette fille dévorait mon corps me mît dans un état de semi-consciente. Je ne pensais bientôt plus qu’au plaisir que je pouvais recevoir. Je plongeais une main sous la jupe d’Emilie, puis directement dans sa culotte, je sentais la douceur de sa toison, ses lèvres charnues et trempées de plaisir. Sans parvenir à contrôler mes paroles, je dis à Emilie
« j’ai envie de lécher ta chatte et t’entendre jouir. ».
Sans même attendre sa réponse, je m’agenouillais, faisant glisser sa petite culotte le long de ses jambes. Nous étions toujours dans l’obscurité, ce qui a la vertu d’affiner les autres sens. Je me guidais à l’odeur de son sexe, goûtant sa peau de pêche, léchant l’intérieur de ses jambes fermes et galbées pour remonter et plonger ma langue dans son mont de vénus. Ce goût, ce parfum, hummm… Je fouillais avidement son trou, pendant qu’Emilie se masturbait fiévreuse le clitoris, dégageant sa main par moment pour me laisser le lui stimuler avec ma langue. Ses soupirs de jouissance m’excitaient encore plus. Nous nous sommes allongées par terre et nous sommes léchées, caressées, frottées l’une à l’autre pendant presque toute la nuit, puis nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre. Le lendemain, au séminaire, l’ambiance était redevenue studieuse, il n’est pas conseillé de trop mélanger vie professionnelle et vie privée. Nous échangions tout de même quelques regards complices par moments. Depuis ce séjour près de Grenoble, Emilie et moi sommes devenues de vraies amies. Nous nous voyons chaque fois que nous avons des congés. Nous sommes, elle et moi un peu libidineuses, peut-être un peu amoureuses.
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bien continu