Dérapages avec mon meilleur pote - 2. Deuxième round - histoire érotique

Après quelques minutes, Maxence revient dans le salon, un plateau à la main.
Il était toujours complètement nu m’offrant une vue panoramique de son anatomie. A chacun de ses pas, son sexe au repos ballotait librement, claquant légèrement contre ses cuisses.

- Aller ! Téq’paf mon pote ! lança t’il
- Sérieux ?! Tu ne plaisante pas toi ! dis je en rigolant
- La pizza est au four, d’ici 5 minutes c’est cuit.
Trinquons ! Dit il les deux shooters servis.
- A la tienne ! Santé, bonheur et sexe à toute heure comme on dit !
Nos verres s’entrechoquent puis nous les vidons d’une traite avant de mâcher un quartier de citron tout en grimaçant.
- C’est costaud quand même ! Dit Maxence tout en enfilant son caleçon
La pizza doit être prête !
- A la bonne heure ! Je meurs de faim ! Répondis-je remettant à mon tour mon caleçon.

Maxence s’éclipsa de nouveau en cuisine pour ramener la pizza tant attendue et méritée !
Nous mangeons rapidement, sans vraiment déguster, afin de satisfaire notre faim énorme.
Les rares mots que nous échangeons commentaient le film que nous regardions.
La pizza terminée, je sers un nouveau shooter de teq’paf.

- C’est ma tournée !
- Ca risque d’être compliqué demain… Tu me diras, je suis en repos donc ca va, je suis large ! lança Maxence
- Repos pour moi aussi ! La belle excuse ! Santé Max !
Une nouvelle fois, nous trinquons et buvons notre shooter de téq’paf
- Remet en un va ! On n’est plus à ça près ! Ordonna Maxence
Aussitôt dit, aussitôt fait. Encore une fois, nous trinquons, buvons et grimaçons !
- Il faut que je sorte fumer une cigarette. Les shooters m’ont achevé ! Dis je d’une voix ivre
- J’en fume une avec toi, ça va faire passer la téquila.

J’ouvris le volet de la baie vitrée. L’air frais et pure ! Rien de tel pour remettre les idées en place et reprendre du poil de la bête !
Je m’installe confortablement dans l’un des fauteuils extérieurs puis allume une cigarette tout en observant silencieusement, presque religieusement, le magnifique ciel matinal.
Maxence m’emboite le pas et s’installe également dans un fauteuil face au mien.

Au bout de quelques minutes, Maxence brisa soudainement le silence :

- Maintenant qu’on a franchi un cap entre nous, il n’y a plus vraiment de tabou ou de sujets délicats…
- Ca c’est bien vrai
- Alors dis moi franchement, tu te branles souvent ? Je me demande si je suis dans la normale.
- Franchement, quotidiennement ! Au minimum une fois avant de me coucher. C’est mon petit rituel ! Répondis je tout en rigolant
- Ca me rassure, moi c’est pareil ! Minimum une fois par jour. J’adore me branler sous la douche le soir.
- Sympa dans la douche. Le matin aussi j’aime bien me branler. Quand j’ai le temps et que j’ai une belle érection matinale, ca dérape très vite !
- Et avec d’autres mecs du lycée ? Comme ce soir…
- Oui c’est déjà arrivé. Mais je t’arrête tout de suite, je ne t’en dirai pas plus, ni de qui il s’agit. Question de respect de la vie privée ! Et ça devrait te rassurer, car notre session de soirée restera uniquement entre nous
- J’en doute pas ! Et pareil pour moi, je ne compte pas en parler à qui que ce soit !
Faut qu’on arrête de parler de sexe là, car je commence à avoir une demi molle ! lança Maxence en rigolant et pointant d’un doigt son caleçon se déforma légèrement en ce début d’érection.
- Pareil pour moi mon pote, je commence à être à l’étroit dans le caleçon ! lui dis je en écartant légèrement mes cuisses laissant apparaître mon érection naissante.
- Si seulement on avait le droit de se balader à poil et de se branler où bon nous semble ! retorqua Maxence
Et pis merde, un peu de folie non ?!

Sur ces paroles, il sortit son chibre raide de son caleçon et l’exhiba fièrement

- Mais tu es fou ! m’exclamais-je aussitôt !
Imagine le voisin d’à côté te voit !
- Sa fenêtre est fermée ! Et oui, pas bête la bête !

Maxence m’offrit alors un spectacle dès plus excitant : assit face à moi, sa bite raide en plein air, hors de son caleçon, les yeux rieurs et l’esprit enivré. Il n’en fallu pas plus pour faire monter d’un cran l’excitation qui régnait sur la terrasse. Mon sexe se raidit davantage, de plus en plus à l’étroit dans mon caleçon. Pour plus d’aisance, j’imita Maxence en libérant de son étreinte mon chibre en érection.

Nous échangeâmes un sourire complice pendant que Maxence se leva puis fit glisser son caleçon à ses chevilles avant de s’en débarrasser d’un geste du pied. Il marcha sereinement sur la terrasse, laissant son sexe balloter librement, pour s’asseoir à mes côtés sur la banquette.

- Là, c’est le top ! lança Maxence dans un murmure, caressant machinalement sa verge
- Avec une petite binouze, ce serait encore mieux non ?! suggérais-je

Il acquiesça d’un signe de tête, je me lève de la banquette et me débarrasse à mon tour de mon caleçon exhibant fièrement mon sexe raide. J’abandonne brièvement Maxence, rentre dans l’appartement pour aller chercher bières, cigarettes ainsi que mon tube de lubrifiant afin de pimenter quelque peu cette deuxième session de branle avec mon pote !

De retour sur la terrasse, je dépose mes victuailles sur la table basse, m’assois à côté de Maxence qui était toujours occupé à s’astiquer avec passion.

J’ouvre deux bières, en donne une à mon acolyte puis nous trinquons joyeusement !
Prenant le tube de lubrifiant posé sur la table pour en arroser généreusement ma queue en demi molle puis j’en propose également à Maxence qui accepte volontiers !

Je m’attendais à lui donner le tube pour qu’il en applique le long de son chibre, mais au lieu de ça, je fus agréablement surpris lorsqu’il cessa sa branle pour me présenter dans un naturel déconcertant son sexe raide afin que j’y applique une bonne dose de lubrifiant avant de reprendre le cours de sa masturbation. Echangeant un regard complice et satisfait avec mon complice, je m’enfonce confortablement dans la banquette et branle également mon sexe.

Notre branle était rythmé par le bruit du lubrifiant, « PLOC PLOC », ce qui provoqua un fou rire collectif ! Astiquant machinalement nos chibres respectifs, tout en se régalant sans retenue de la vision du sexe raide de l’autre, nous nous confions sur nos fantasmes, nos envies perverses et nos expériences sexuelles passées.

Je fus heureux de constater de Maxence et moi partageons des fantasmes et plaisirs similaires comme un penchant pour l’exhibition et la branle dans une zone à risque, un intérêt pour le naturisme que nous avons tous deux pratiqué étant plus jeune avec nos familles, ainsi qu’une passion prononcée et affirmée pour le porno, les sites de webcams, les clubs et bien évidemment, la branle !

En revanche, Maxence me surprit lorsqu’il évoqua ces relations sexuelles passées car elle sont peu nombreuses et assez classiques, mis à part le coït imposé par sa nymphomane de cousine…
Lorsque ce fut mon tour de lui faire des confidences, j’arrangea quelque peu la vérité, omettant des détails et anecdotes afin de ne pas créer de malaise.

Pendant nos confidences, Maxence avait pris son téléphone pour naviguer sur son Twitter, me faisant également profiter d’une multitude de photos et extraits vidéos porno.
Je remis une bonne dose de lubrifiant sur mon sexe dur et arrosa généreusement celui de Maxence qui n’interrompit pas sa branle pour autant.

N’arrivant plus à contenir mon excitation, je me lève et intensifie mes va et vient sous les encouragements de Maxence, pour lâcher en plusieurs grosses giclées mon foutre qui atterri sur la table basse

Les couilles vidées, la queue moins raide, je m’assois de nouveau sur la banquette et allume une clope bien méritée. J’en profite pour regarder Maxence se branler vigoureusement, échangeant des regards complice et gourmand avant de visionner à nouveau du porno sur le téléphone de Maxence.

Ma cigarette finie, je lance à Maxence toujours occupé à branler son gros sexe :

- Bah alors mon salaud, tu aimes faire durer le plaisir hein !
- Non mais c’est un truc de ouf là ! Je n’y arriverai jamais, et pourtant j’y vais bien comme il faut ! Rétorque Maxence
- Relax Max ! T’en que tu kiff, c’est le principal non ?
J’ai une petite technique sympa pour aider quand ça ne veut pas venir !
- Ha ouais, et c’est quoi ? Demande Maxence
- Il suffit de titiller d’autres zones érogènes, fais-moi confiance, j’te montre
- Vas-y, carrément ! Acquiesce Maxence

Je prends le téléphone de Maxence pour le placer sur la table basse de manière à ce que le film porno soit toujours visible et lui conseille de malaxer ses couilles de sa main libre tout en continuant de se branler de l’autre. Je remets une petite dose de lubrifiant sur sa queue, ses couilles et dans la paume de ma main.

Sans un mot, ni explication, j’étale le lubrifiant que j’ai en main sur le téton gauche de Maxence et commence à le caresser délicatement, ce qui le fit sursauter aussitôt.
Il me regarda d’un air surpris, un rictus aux lèvres, en me demandant ce que je faisais. Je lui explique simplement que les tétons sont une zone sensible et que les titiller augmente le plaisir.

Je lui conseille de fermer les yeux, se détendre et laisser faire l’imagination. Maxence s’exécuta.

Je balade ma main lubrifiée sur ses tétons, puis ses pectoraux, pour descendre brièvement sur ses abdos avant de revenir sur ses tétons et de recommencer. Maxence semble apprécier et s’enfonce un peu plus dans la banquette.

Le fait de caresser le torse musclé et imberbe de mon coloc pendant qu’il se branle à côté de moi m’excite au plus haut point provoquant le retour d’une belle érection entre mes jambes.
Je laisse ma main se balader sur ses abdos la laissant glisser plus bas pour effleurer l’air de rien la base légèrement poilue du chibre de Maxence qu’il continuait de branler.

Je répète la manœuvre plusieurs fois en m’attardant de plus en plus près de son sexe, puis délicatement, je caresse son chibre raide que Maxence cesse de branler pour que je prenne le relais.
Maxence ouvrit soudainement les yeux, fixa du regard son chibre que je branlais et pouffa de rire avant de me dire :

- C’est bizarre comme situation, mais putain que c’est bon !
- La branle mutuelle entre potes, y’a rien de tel ! dis-je à Maxence
Pour que soit vraiment au top, il manque juste un petit truc

Sur ces paroles, Maxence me fixe d’un air curieux avec un regard interrogateur. Sans un mot, ayant comme unique réponse un sourire malicieux, je prends délicatement la main gauche de Maxence et la dépose sur ma cuisse, tout proche de mon sexe bien raide.

Il y eu un bref instant de flottement pendant lequel Maxence regarda sa main sur ma cuisse puis sa queue que je branlais et enfin, mon chibre.

Timidement, il effleura mon sexe de ses doigts puis, sans détacher son regard, commence à me branler. Instant magique et délicieux faisant repenser à des moments similaires passés !
Nous rigolons de bon cœur lorsque nos regards se croisèrent puis commentons cette branle mutuelle en continuant d’astiquer réciproquement nos chibres durs.

- Attention, je vais bientôt tout lâcher ! Avertit Maxence

Il reprit son chibre en main pour le branler énergiquement continuant de me branler de son autre main puis, dans un râle viril, il arrosa son torse de plusieurs grosses giclées de sperme.
Il lâche mon sexe de son étreinte, ramasse son caleçon et essuie sa semence

- Cela mérite bien un shooter ! lança Maxence satisfait

Me laissant seul sur la terrasse, Maxence rentra dans l’appartement.
Quel plaisir de profiter du soleil matinal, complètement nu avec ma queue raide entre les mains, encore enivré par cette soirée bien arrosée.
Maxence interrompit mon branle lorsqu’il revint sur la terrasse, un plateau rempli de 4 shooter ainsi que d’une bouteille de vodka déjà entamée. Nous trinquons et buvons un shooter, suivi dans la foulée du deuxième.

- Ha, la vodka je n’aime pas ça, ça me démonte un moins de deux mais il ne reste que ça ! Dis Maxence d’un ton sérieux regagnant sa place à mes côtés sur la banquette.
- Je ne suis pas fan non plus ! Il commence à faire jour, faut que je me dépêche de finir avant que les voisins se réveillent ! Dis-je à Maxence qui était avachi dans la banquette sous l’effet des shooters
- Alors j’ai une technique, lance Maxence en s’asseyant correctement et se retournant pour me regarder avec un sourire, pour aider quand ça ne veut pas ! C’est les zones éro je ne sais pas quoi ! Je te montre et ferme les yeux

Pouffant de rire, Maxence prend le lubrifiant et m’en étale abondamment sur le sexe et le torse. Je ferme les yeux et commence à me branler pendant que Maxence titille mes tétons et pecs de ses mains lubrifiées. Je profite intensément de ce plaisir quand soudain, une sensation bizarre me fait ouvrir les yeux : Maxence léchait mes tétons pendant que sa main caressait ma jambe s’hasardant au passage ses mes couilles pendantes.

Je cesse ma branle pour saisir la main de Maxence qui se balade sur ma cuisse pour y placer ma bite dure et lubrifiée qu’il s’empresse de masturber. Je ne peux retenir un petit bruit de jouissance, Maxence se redresse et s’applique pour une branle ultime !

- Je vais bientôt éjac Max, dis-je dans un murmure
- Tu veux que je te finisse ? Chuchote Maxence
- Carrément mec, répondis-je dans un soupir

Je ferme de nouveau les yeux, prenant énormément de plaisir pendant que Maxence me branle d’une main experte tout en malaxant habilement mes couilles de son autre main.
Je regarde fixement mon complice et sans l’avertir, j’éjacule sans retenue en arrosant mon torse ainsi que la main branleuse de Maxence. Pouffant de rire nous essuyons mon foutre à l’aide de nos caleçons avant de reprendre un shooter et de nous avachir dans la banquette, allumant chacun une clope.

Nous restons silencieux un instant, l’esprit léger et les couilles vides, appréciant la douce sensation du soleil levant caresser nos corps nus.
Maxence rompit le silence en bégayant une phrase incompréhensible, visiblement bien amoché par la vodka, ce qui le fit rigoler. Il se redressa dans la banquette et s’appliqua pour me dire d’une voix éméchée :

- J’ai vraiment kiffé ce soir, c’est ma meilleure branle je crois bien !
- La même mon pote, j’ai pris mon pied moi aussi ! C’était une session branle mémorable crois moi !

Je prends mon téléphone portable, active l’appareil photo en mode selfie et le place sur la table face à nous avant de me caler contre Maxence et de lui proposer :

- On immortalise cette soirée de fou ! Ça permettra de te rafraichir la mémoire demain !

Maxence fixe l’appareil photo et prend la pose en faisant un V de sa main droite pendant que j’écarte légèrement mes cuisses mettant en évidence mon sexe en demi molle. Je démarre le retardateur de l’appareil photo et 5 secondes plus tard, CLAC, c’est dans la boite !

Nos cigarettes finies, nous ramassons les bricoles qui traînent sur la terrasse et rentrons dans le salon. Maxence se laisse tomber dans le canapé pendant que je m’affaire à mettre un peu d’ordre et laver nos verres et assiettes dans la cuisine.

Cette corvée finie, je retourne dans le salon et trouve Maxence toujours assis dans le canapé, visiblement endormi. Je l’appel plusieurs fois en murmurant mais je n’obtiens aucune réponse. Je m’approche de Maxence et lui tapote délicatement l’épaule. Aucune réaction, il dort déjà profondément.

En bon colocataire, je décide de ne pas le réveiller pour qu’il continue paisiblement sa nuit et je vais dans sa chambre chercher sa couette afin qu’il n’ait pas froid.

A SUIVRE