Dernière soirée
Récit érotique écrit par Un_grand_rêveur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dernière soirée
Nous étions collègues depuis une douzaine d’années. Au fil des ans, nous nous étions rapprochés, jusqu’à devenir des confidents l’un pour l’autre. Nos discussions pouvaient être superficielles comme profondes, et parfois même intimes, comme lorsqu’elle me faisait part de son manque de câlins lors des absences de son mari. Aussi c’est avec quelques regrets que j’apprenais son changement de poste et le déménagement qui en découlait.
Après avoir déménagé, elle du revenir pour quelques jours. Je profitai de son célibat forcé pour l’inviter au resto, afin de partager une dernière soirée avec elle. La quarantaine épanouie, c’est une jolie petite femme, rousse, les yeux clairs, un sourire craquant, avec une adorable petite poitrine et de jolies fesses bien rebondies. Ce soir là, vêtue d’un débardeur, et d’un pantalon blanc juste assez translucide pour qu’on puisse distinguer son string, elle était comme souvent très mignonne.
La soirée se déroula dans une ambiance chaleureuse. Une fois le dîner fini, je la raccompagnai jusqu’à sa voiture. Nous apprêtant à nous séparer, je l’enlaçai, la serrai contre moi, et lui déposai un baiser dans le cou. Elle m’en rendit un sur la joue, sa main caressant ma nuque. Plongeant alors son regard dans le mien, elle me dit : « Tu ne vas pas rentrer à pied. Monte, je te ramène, et tu m’offres un dernier verre ?». Ravi de prolonger cette soirée en sa compagnie, je m’empressai d’accepter.
Arrivés à l’appart, nous nous installons au salon, côte à côte. A sa demande, je nous sers une petite vodka. Après avoir trinqué, elle vide son verre d’un trait, et me le tends afin que je la resserve. M’exécutant, je lui dis en riant :
« Méfie-toi, à ce rythme tu ne pourras pas ramener la voiture.
- Qui t’a dis que j’avais l’intention de repartir ? »
Et avec un clin d’œil et un sourire aguicheurs, elle vide son second verre. Encore sous le coup de la surprise, je l’imite. Après avoir reposé nos verres sur la table, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses, et pose ses lèvres sur les miennes. Nos langues se rencontrent dans un baiser passionné, tandis que mes bras la serrent contre moi. Mes mains descendent sur ses fesses, je commence à les pétrir. Je les sens fermes et chaudes à travers son pantalon. En réponse, elle commence à frotter son bas-ventre contre le mien. Dans mon pantalon, mon sexe s’est tendu rapidement. Remontant mes mains sous son débardeur, je pétris fébrilement ses seins. Elle enlève son haut, et plaque mes lèvres sur son sein droit. Je le tête avec avidité, caressant sa pointe dure avec ma langue, puis fais pareil avec le gauche. Elle se cambre en gémissant.
Je l’allonge sur le canapé, me déshabille rapidement, et lui retire son pantalon. M’allongeant à ses côtés, mon sexe frottant contre sa hanche, je commence à caresser l’intérieur de ses cuisses. Sa peau est douce, chaude. Posant ma main sur son minou, je commence à le caresser a travers son string. Elle ferme les yeux, pousse un long gémissement. Sous mes doigts, le tissu humide témoigne de son excitation. Une de ses mains se referme sur mon sexe, et commence à le branler doucement. Je dépose de tendres baisers sur son visage. Son souffle chaud sur mon cou m’excite encore plus. Glissant mon doigt sous son string, je caresse son petit bouton. Sa respiration s’accélère. D’une voix gémissante, elle me dit :
« Je te veux en moi, prends moi viiiite »
Je lui retire son string. Elle écarte largement les cuisses. M’allongeant sur elle, je frotte mon gland décalotté sur son clito. Ses jambes se referment autour de ma taille. Posant ses mains sur mes fesses, elle m’incite d’une pression à la pénétrer. D’un coup de rein, ma queue s’enfonce au fond de sa petite chatte. Elle pousse un long râle de plaisir. Je commence à aller et venir en elle. Son minou enserre ma queue avec délice, elle y glisse facilement tant elle mouille abondamment. Nos gémissements se mêlent, se répondent. Ses mains caressent mon torse, glissent sur mon dos, pressent mes fesses. Je varie le rythme de mes mouvements, tantôt lents, tantôt rapides, parfois courts, parfois profonds. Bientôt, sa main se crispe sur ma nuque, ses yeux me fixent intensément, puis se ferment tandis que son corps se cambre sous moi. Ses jambes se resserrent autour de ma taille, et un long cri s’échappe de sa gorge.
« Haaaaaaaaaaa OUIiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII »
A la voir s’abandonner ainsi, je redouble d’effort. Je sens la jouissance s’emparer de moi. D’un dernier coup de rein, je m’enfonce à fond en elle, mon bassin secoué des spasmes de l’éjaculation.
Ses jambes relâchent leur emprise et glissent sur le divan. Je quitte la chaleur de sa petite chatte et m’allonge à ses côtés. Elle se tourne vers moi, se colle à moi. Nous nous embrassons longuement, tendrement. Nos mains glissent sur nos corps tandis que nous retrouvons notre calme. La serrant contre moi, je lui murmure :
« Merci pour ce délicieux au revoir, je garderai un encore meilleur souvenir de nos relations.
- Moi aussi. Et comme en plus, demain je ne travaille qu’en soirée… j’espère que tu n’avais rien de prévu… »
Sur ces paroles pleines de promesses, nous gagnons la chambre pour prendre un peu de repos. Le lendemain risquait d’être fatigant… mais cela est une autre histoire.
Après avoir déménagé, elle du revenir pour quelques jours. Je profitai de son célibat forcé pour l’inviter au resto, afin de partager une dernière soirée avec elle. La quarantaine épanouie, c’est une jolie petite femme, rousse, les yeux clairs, un sourire craquant, avec une adorable petite poitrine et de jolies fesses bien rebondies. Ce soir là, vêtue d’un débardeur, et d’un pantalon blanc juste assez translucide pour qu’on puisse distinguer son string, elle était comme souvent très mignonne.
La soirée se déroula dans une ambiance chaleureuse. Une fois le dîner fini, je la raccompagnai jusqu’à sa voiture. Nous apprêtant à nous séparer, je l’enlaçai, la serrai contre moi, et lui déposai un baiser dans le cou. Elle m’en rendit un sur la joue, sa main caressant ma nuque. Plongeant alors son regard dans le mien, elle me dit : « Tu ne vas pas rentrer à pied. Monte, je te ramène, et tu m’offres un dernier verre ?». Ravi de prolonger cette soirée en sa compagnie, je m’empressai d’accepter.
Arrivés à l’appart, nous nous installons au salon, côte à côte. A sa demande, je nous sers une petite vodka. Après avoir trinqué, elle vide son verre d’un trait, et me le tends afin que je la resserve. M’exécutant, je lui dis en riant :
« Méfie-toi, à ce rythme tu ne pourras pas ramener la voiture.
- Qui t’a dis que j’avais l’intention de repartir ? »
Et avec un clin d’œil et un sourire aguicheurs, elle vide son second verre. Encore sous le coup de la surprise, je l’imite. Après avoir reposé nos verres sur la table, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses, et pose ses lèvres sur les miennes. Nos langues se rencontrent dans un baiser passionné, tandis que mes bras la serrent contre moi. Mes mains descendent sur ses fesses, je commence à les pétrir. Je les sens fermes et chaudes à travers son pantalon. En réponse, elle commence à frotter son bas-ventre contre le mien. Dans mon pantalon, mon sexe s’est tendu rapidement. Remontant mes mains sous son débardeur, je pétris fébrilement ses seins. Elle enlève son haut, et plaque mes lèvres sur son sein droit. Je le tête avec avidité, caressant sa pointe dure avec ma langue, puis fais pareil avec le gauche. Elle se cambre en gémissant.
Je l’allonge sur le canapé, me déshabille rapidement, et lui retire son pantalon. M’allongeant à ses côtés, mon sexe frottant contre sa hanche, je commence à caresser l’intérieur de ses cuisses. Sa peau est douce, chaude. Posant ma main sur son minou, je commence à le caresser a travers son string. Elle ferme les yeux, pousse un long gémissement. Sous mes doigts, le tissu humide témoigne de son excitation. Une de ses mains se referme sur mon sexe, et commence à le branler doucement. Je dépose de tendres baisers sur son visage. Son souffle chaud sur mon cou m’excite encore plus. Glissant mon doigt sous son string, je caresse son petit bouton. Sa respiration s’accélère. D’une voix gémissante, elle me dit :
« Je te veux en moi, prends moi viiiite »
Je lui retire son string. Elle écarte largement les cuisses. M’allongeant sur elle, je frotte mon gland décalotté sur son clito. Ses jambes se referment autour de ma taille. Posant ses mains sur mes fesses, elle m’incite d’une pression à la pénétrer. D’un coup de rein, ma queue s’enfonce au fond de sa petite chatte. Elle pousse un long râle de plaisir. Je commence à aller et venir en elle. Son minou enserre ma queue avec délice, elle y glisse facilement tant elle mouille abondamment. Nos gémissements se mêlent, se répondent. Ses mains caressent mon torse, glissent sur mon dos, pressent mes fesses. Je varie le rythme de mes mouvements, tantôt lents, tantôt rapides, parfois courts, parfois profonds. Bientôt, sa main se crispe sur ma nuque, ses yeux me fixent intensément, puis se ferment tandis que son corps se cambre sous moi. Ses jambes se resserrent autour de ma taille, et un long cri s’échappe de sa gorge.
« Haaaaaaaaaaa OUIiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII »
A la voir s’abandonner ainsi, je redouble d’effort. Je sens la jouissance s’emparer de moi. D’un dernier coup de rein, je m’enfonce à fond en elle, mon bassin secoué des spasmes de l’éjaculation.
Ses jambes relâchent leur emprise et glissent sur le divan. Je quitte la chaleur de sa petite chatte et m’allonge à ses côtés. Elle se tourne vers moi, se colle à moi. Nous nous embrassons longuement, tendrement. Nos mains glissent sur nos corps tandis que nous retrouvons notre calme. La serrant contre moi, je lui murmure :
« Merci pour ce délicieux au revoir, je garderai un encore meilleur souvenir de nos relations.
- Moi aussi. Et comme en plus, demain je ne travaille qu’en soirée… j’espère que tu n’avais rien de prévu… »
Sur ces paroles pleines de promesses, nous gagnons la chambre pour prendre un peu de repos. Le lendemain risquait d’être fatigant… mais cela est une autre histoire.
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