Des pieds & des bottes III

- Par l'auteur HDS Edelweiss -
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Récit libertin : Des pieds & des bottes III Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Des pieds & des bottes III
Cela fait maintenant un moment que notre relation, madame et moi dure pour notre plus grand bonheur.
En plus de nos tendances D/s, il s'avère que nous avons bon nombre d'atomes crochus nous permettant d'avoir des conversations ou des activités en dehors de nos séances.

Pour certain une relation dysfonctionnelle, un véritable Havre de paix pour nous, je vous épargne le détails sur le nombre de litre de bave que j'ai pu étaler sur ses bottes ou ses pieds, la quantité de mouille que j'ai pu lui provoquer ou bien le nombre de fois où j'ai lâché la purée après m'être fait démolir l'arrière train par madame.

Nous avons plus ou moin un rythme de jeux par semaine et selon les envies de madame, si madame veut se faire vénérer dans le salon devant une série ou un livre, elle n'a que faire sonner une clochette à main et aussitôt son soumis arrive pour lui lecher bottes, pieds, vagin et pour déguster son godeceinture.
Depuis que notre relation ait pris un tournant plus Sm, madame a fait installer une sonnerie a comptoir typique des hôtels qu'on peut voir dans les films. A ce bruit, je sais que les choses vont être plus sérieusement agrémenté de cuir ou de latex.

A force, je peux savoir selon les premiers jeux d'impact l'humeur de madame et si je vais vraiment déguster, si l'impact est lente et lourde, elle souhaite juste s'amuser avec moi et se mettre en valeur dans ses tenues.
A contrario , si l'impact est sec et aiguë, je vais subir pour calmer les nerfs de ma déesse.

Mais me convient et je suis toujours en demander de soumission, surtout sentir le contact de madame, toute vêtue de cuir, me dominer comme elle sait si bien le faire, etre a sa merci est un délicieux supplice.

Ceci étant dit, je vais vous raconter le jour où je me suis faire littéralement traire et ou l'éjaculation que j'ai eu à été une des plus violente et libératrice de ma vie.

C'était un vendredi, jour régulier de nos Sceance sm, je rentre tout juste du sport vers 18h et quand j'entends la sonnette du sous sol.
Me séchant rapidement en sortant de la douche je rejoins madame nu en bas.

Je la vois entrain de préparer les équipements que je pense être pour la scèance, mais elle est en robe et chaussé de Doc martens, même si la tenue est assez sexy je suis surpris et me quand même à genoux attend que Madame se retourne pour la saluer et pour savoir ce qu'il en est.

"Je sors chien, pour l'anniversaire d'une amie" dit elle en se retournant,

Un peu surpris par cette nouvelle, je lui embrasse et leche ces chaussures avant qu'elle continu.
" mais pour autant, tu vas attendre mon retour, enfin plutôt souhaiter mon retour vu ce que je t'ai préparé, tiens je vais te mettre cette combinaison et tu vas t'allonger la"
Je m'exécute, enfilant ce qu'il ressemble à un camisole de force psychiatrique version cuir et enfin je m'allonge sur la table mis à niveau des ses genoux pour une raison encore obscur.

Me sentant déposséder de toute capacité de mouvement, elle continue dans l'entravement et m'attache à la table le cou, le torse et les jamabrs. Étant plus habitué à avoir le sexe torturé ou flageller sur cette table je reste toujours dans l'expectative d'être autant privé de mes mouvements.

Elle approche et m'en file un simulacres de masque à gaz, ou je peut voir a travers les verre une étincelle de perversité dans le regard de ma dominatrice, commencant à respirez et à attendre ma respiration passer par un long tuyau tenu par Madame je dicerne encore mal ou est ce qu'elle m'amène.

"Bien tu vas pas rester allongé sans rien faire, tu vas continuer à apprécier ta maîtresse et ses odeurs durant son absence" expliqua t elle en s'asseyant sur mon torse et en s'amusant à boucher de tant à autre mon arrivé d'air, m'obligeant à me tortiller lui provoquant de petit sourire.
" grâce à ceci tu vas respirer pratiquement 1mois de bottes, chaussures, chaussettes, bas et j'en passe"
M'annonçant Madame en enlevant un dras recouvrant un boîte transparente posénon loin de la table, de toute évidence hermétique et ou je distingue toute sorte d'affaires de madame qui avait disparu depuis un certain temps ou n'avait pas entretenu par mes soins.

Allant de la botte d'équitation, de la ballerine, de la botte en caoutchouc en passant par ses bas ou ses chaussettes de sport, il y avait dans cette boite tout unn panel d'affaire a coup sur odorante, elle approcha la boîte pour insérer le tuyau de respiration à l'intérieur afin je confirme cela.

"Bonne dégustation chien"

Je mis quelques inspiration avant d'être percuter pour un mur d'odeur violente, dure, rugueuse et la limite de la suffocation, j'arrivais, pour certaines odeur a savoir dans quelle situation javais déjà vecu ca et quelle goût j'avais eu sur ma langue, les odeurs de cuirs, de transpiration, d'affaires plus ou moins usé ce retrouvais directement dans mon nez sans pouvoir atténuer la provenance avec ma langue, les effluves etaient si nombreuse et intense que ma tete se mit a touner lespace d'un instant.

Au bout d'un certain temps j'arrive à calmer ma respiration même si mon air est constitué à 50% d'odeur de pieds de femme je ne suis pour linstant pas en danger mais plutot dans une situation enviable pour les fetichiste.
Effectivement vu mon passif avec Madame, je bande sous le regard d'approbation de madame qui s'approche de moi avec dans les moins une machine qui se rapproche plus de ce qu'on utilise pour extraire le lait des vache que l'accessoire Sm.

" ça serait dommage de ne pas exploiter cette gaule durant mon absence" dit elle en disposant tout une machinerie sur la boîte et près moi.
Elle insere mon sexe dans un tube et je sens mon sexe cerné de caoutchouc à sa base, quelque minute d'installation la magicne ce lance et je sens ma bite aspirer avant que la pression dans le tubes semble revenir à la normal.

"Et ça serai dommage que tu ejacule trop vite, c'est pour ça que pendant mon absence tu vas te faire traire, à la limite de l'éjaculation" m'explique Madame en règlant la machine de telle façon que l'aspiration ne soit ni trop forte ou ni trop longue,
Avant de rajouter en chuchotant à mon oreille
" et si tu éjacule avant mon retour, tu le regrettera attention à toi chien"

Elle se redressa, admirant son soumis en train de doucement ce faire traire tout en appréciant ses affaires sales.

"Bisou à tout l'heure"
Dit en sortant de la piece.

Je me retrouve donc, entravé, avec un air puant, avec la bite en otage et si je viens avant son retour je risque de... j'ai même pas envie d'imaginer ce que je risque.

Des le début, les minutes sont longues, j'ai l'impression d'avoir milles et uns pieds sur mon visage, des pieds qui ont passé la journée au soleil enfermé, des pieds qui ont du marcher des heures, des pieds qui ont fait milles magasins.
Les odeurs sont violentes, presque désagréables alors que cela vient de ma maîtresse et déesse, je sens le panels de puanteur changer de temps en temps,
Je vois du coin de l'œil que mon tuyau bouge dans le caisson à chacune de mes respiration et que aussi la machine me branlant provoque des petit à coup bougeant légèrement caisson et tuyaux.

D'ailleurs parlons en de cette machine, si la sensation n'est pas une torture ni désagréable, j'ai l'impression de me faire branler doucement mais fortement et profondément, avec un rythme empêchant tout possibilité de voir la gaule disparaître mais au contraire de sentir un vague de fond de jouissances et d'éjaculation venir tout doucement, en prenant bien son temps, s'approchant inéluctablement.

En fermant les yeux je m'imagine les situations de Vénération des pieds de madame ou à chaque fois malgré les odeurs peu ragoûtantes je bandais comme un fou etant le bon chien qu'elle aimait voir a ses bottes., je me laissait guider par mon esprit, n'étant retenur sur terre que par le bruit mecanique d'aspiration de la machine et par la contrainte physique sur mon sexe commençant à légèrement être endoloris par la durée de l'épreuve.

Je vous épargne les longues minutes, mais la situation imposé me plaisait beaucoup, je m'amusais à prendre de grande inspiration et expiration pour faire tomber le tuyau dans des endroits aux odeurs plus exotique.

Si certain coup, je tombais sur des odeurs très connu et où moins intéressante que je ne l'aurai cru, j'ai eu la chance de faire tomber le tuyau directement au fond d'une botte, sans ouverture et sans fermeture éclair, une botte tube ou Madame avait du fortement transpirer.

A ce moment la, je me suis pris une vertible ondes choc j'eus l'impression d'avoir le pied botté de maîtresse devant moi, ce mélange de sueur et de cuir me fit sortir instinctivement ma langue, ma gaule en fut décupler par l'expérience et la possibilité que cela ce réalise dans les mêmes conditions.

Je dus, malgré mon extase m'extraire de la ou j'étais par crainte d'éjaculation précoce a contre coeur je fis sortir le tuyaude ce paradis.

La situation au niveau de mon penis devenait plus precaire, outre le contrôle de mon excitations relativement plus difficile, mon organe devait plus en plus malmené et limite douloureux me rappelant par palier les punitions reçu par ce dernier, je pense que la on arrivais à douleurs équivalente, giffle ou martinet sur le sexe.

Je continuais de humer un air vicié tout en me faisant traire pensant un temps indéfinissable, mais.


Au bout d'une éternité, madame ce fit enfin entendre

"Mais il a tenu parole ce bon toutou "
Dit elle entrant dans la pièce,

" alors ça t'a plu?"

Je hocha la tête pour toute réponse affirmative me concentrant sur mon sexe et mon envie de venir.

N'ayant guère à faire de ma situation, madame s'assoissderrière moi, enlevant ses doc et mon masque, elle déposa ses pieds transpirant sur mon visagesans le moindre avertissement,
Je comprend vite qu'il valait mieux lui lecher pour me délivrer le plus vite possible de cette situation.

M'atelant à ma tâche, passant comme je pouvais ma langue sur ses pieds, je pouvais entendre madame répondre sur téléphone ce que pense être ses amies qu'elle venait de quitter, dégustant le transpiration et le gout salé des pieds de madame je navait pas remarqué a quel l'odeur des ces derniers etait puissant.

Au bout de quelque minutes, elle se leva sans aucune instructions ou indication me concernant, saisit un gode, me l'attachant sur le visage et s'installa sur la table avec moi.

Elle releva sa robe et je pu voir son cul et son vagin se rapprocher de plus en plus de visage jusqu'à ce que je vois le jouet disparaît dans Madame dans un tendre gémissement et avec un pression sur min visage.

Elle commanmmenca un va et viens vigoureux sur mon visage, son cul s'éclatant sur mon visage à un rythme qui allait crescendo. Tout comme la machine que madame accélérera et amplifiant les paramètres, sentant égalementdes doigts parcourir mes bourses et allant titiler mon anus.

Je sais pas combien de temps j'ai pu tenir, ni combien de va et viens madame a pu fair , ni si même elle a joui

Tout ce que je sais, que j'ai eu l'impression d'avoir ma bite se déchirer ainsi que mes bourses par l'éjaculation la plus violente de ma vie, un flot epais de sperme se fraya avec force un chemin vers la sortie, une quantité qui me semblait irréel sorti.

Malgré la bouche entravé, j'émis un hurlement libératoire, avec de nombreux spams post orgasme. Ma bite, mon cœur, tout tremblait après ce que je venais de vivre.

Elle se leva, me detecha de mes entraves et pris dans ses bras.

Sous l'œil de madame, qui avait l'air d'avoir quand même pris son pieds cette soirée ce termina sur une conversation de ragot de la soirée entre amies de madame.

L'air avait retrouvé de la fraîcheur et ma bite enfin du repos.

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