Descente aux enfers 3 - histoire érotique

Après m’avoir offert comme ça, ma maîtresse a trouvé que j'étais vraiment très docile :
"je suis sure que tu ignorais que t'étais capable de faire ça, me dit elle, et puis dit donc, petite tapette, tu t'es bien amusé avec mes copains ! Ça t'a bien plus apparemment"
" J’ai un peu honte de moi ! C’est ambigu comme sentiment mais j’ai aimé ça je l’avoue en rougissant"
" Dis moi ça te plairais d'aller dans une partouze ?
Je suis sure que oui ! Il y en a une à la fin du mois je compte sur toi"
""C’est vrai que tout ces corps emmêles dans une communion de jouissance ça m'excite bien ! Alors on prend rendez vous "
Elle me reçoit un soir elle me dit c'est costumé, vient te changer! Elle est en vraie dominatrice "Barbarella" guêpière de cuir noir, bottes montante et tout…
Elle me fait mettre nu, me fait passe une sorte de harnais en cuir avec des boucles et des anneaux, puis des bracelets en cuir et une sorte de bonnet qui cache le haut de mon visage le tout recouvert d’une cape .
"Et oui ! Je t'ai pas dit le thème de la soirée c'est foire aux esclaves! Tu joueras bien ton rôle !"
Je commence à me poser plein de questions…
Nous arrivons dans une grande ferme très rustique et très classe, décorum parfait avec des torches à l'entrée.
Ma maîtresse me met une laisse et me traîne à l'intérieur dans un grande salle préparée pour l'événement ; il y a des croix au mur, des poufs au sols, un ou deux chevaux d'arçon et une centaines de convives tous déguisés comme moi sur une estrade un maître de cérémonie en queue de pie et gibus avec un masque blanc monte sur une petite estrade et annonce :
-« chers amis nous avons des nouveaux parmi nous et je comptes sur vous tous pour les honorer comme il ce doit j'appelle Dorian et sa nouvelle esclave.
Une belle femme arrive traînée par un bourreau en rouge elle est nue entièrement avec une chaîne autour du cou.

" Je vous propose ma traînée ! Cette salope est une cochonne qu'il faut punir, elle aime trop se faire défoncer ! Qui en veut ? «
Et là, il y a un mouvement de foule !
Plusieurs mecs attrapent la fille, la font descendre de l'estrade sans ménagement, la foule s'écarte pour les laisser passer vers une croix pendue au plafond avec des chaînes, ils la ligotent dessus et par un mécanisme, ils la décollent du sol.
Là, son maître commence à la cravacher sauvagement sur les seins, les fesses, et tous les mecs autour se resserrent autour d’elle.
Je ne la vois plus, mais je l’entends gémir de plus en plus fort et crier maintenant.
Je supplie ma maîtresse de m'épargner ça, je refuse les coups !
" T’inquiète me dit elle c'est pas ce que je te réserve ! Elle m'attire vers l'estrade et crie "moi je vous offre un gros cochon c'est un cadeau pour tous ! Ce sera votre vide couilles pour la soirée !"
Et moi aussi je suis tiré sans ménagement vers un cheval d'arçons avec des mousquetons et maintenant je comprend pourquoi le harnais !
Je me retrouve ainsi basculé en avant les mains et les pieds attachés de chaque coté.
Le cercle se referme autour de moi, que des mecs en érection ! Un m'attrape par les cheveux me redresse la tête et s'enfourne dans ma bouche, un autre me saisit par les hanches et me sodomise, où que je pose le regard je ne voit que des branleurs !
"La soirée sera longue et chaude" m'avait dit ma maîtresse, je comprends maintenant pourquoi !
Les premières éjaculations arrivent sur mon visage, puis sur mon cul et très vite, ils se relaient puis deux autres et ainsi de suite…
Le premier qui a joui dans ma bouche a failli m'étouffer, j'avale difficilement son foutre très abondant mais très vite un autre prend sa place apparemment juste à temps pour jouir aussi, et la farandole a ainsi duré tard dans la nuit. J'ai mal au ventre, à la bouche, je suis sale, couvert de foutre, j'en ai plein le visage, les cheveux, le dos, les fesses, ça me coule même sur les jambes…
Moi qui aimais regarder les sites de bukake sur internet, je suis servi ! Des mains étalent tout ce foutre sur les rares parties qui y avaient échappées, je ne sens plus mon cul, comme anesthésié par les coups de boutoir qu’il a pris !
Quand tard dans la nuit on me détache, j'ai la faiblesse de croire que c'est fini mais non on me traine sur une table basse en bois dur, on m’y allonge sur le dos et ça redémarre de plus belle toujours des nouvelles têtes, je devrais dire" bites" mais maintenant mes mains sont libres et en plus on me demandent de branler à tout va !
Je comprend maintenant ce que veux dire vides couilles mais combien m’ont possédés cette nuit là, je le saurai jamais !