Désir d'une couguar
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Désir d'une couguar
Il me trompe avec une jeunette. Elle est bien faite, attirante, de là à penser qu'elle baise, bien , j'en doute. Elle cherche surtout son blé. Je ne lui demandais pas grand chose, sa queue dans mon ventre de temps en temps. Je me contentais seule pour compenser. Je les vois dans mes fantasmes, elle sous lui, sa queue dans son con. Elle le fait gicler, c'est sûr. Son propre plaisir doit être dans le portefeuille.
C'est décidé, je vais me payer moi aussi un mec, pas forcément de mon âge. On dira que je suis une couguar...j'en aurais plein le cul, c'est le cas de parler de cul. J'aime me faire mettre par là, au moins dans le temps j'évitais le bébé. J'ai bien en tête un jeune. Il faudrait que je demande à ma fille s'il en vaut le coup. Qui sait elle aussi a pu se faire mettre par Phil.
Dans la glace ce matin je me suis trouvée attirante, encore attirante. Mes seins sont hauts, ma taille encore fine, malgré deux accouchements. Seules mes cuisses sont un peu enveloppées. Allons, un peu de courage. Pour lever un jeune je connais un moyen infaillible.
Je vais offrir mon corps à la science, à celle de l'amour. Je sais parfaitement faire l'amour. Je sais surtout en jouir. Je faisais bien jouir mon mari, alors les autres ?
J'imagine une queue jeune à la recherche du plaisir avec moi. Dans mon sexe la place est libre. Même mon cul est libre. Seule ma bouche sert à goûter. Le sperme est étranger à ma langue depuis longtemps. J'aimerais sentir encore au moins un fois ce jus d'homme couler dans ma gorge.
Et puis, je serais une pute si je me donnais comme ça à la première queue qui passe. J'en connais vaguement une. Elle est passée entre les jambes de la femme de ménage.
En passant outre mon orgueil je demande justement à la femme de ménage de me prêter son amant. C'est facilement qu'elle me prête son type. Elle me prête son amant. Comme ça pour tirer un coup... Drôle de mentalité. Elle me prend pourquoi, pour qui ? Je crois bien faire en refusant.
Et là, au bistro en bas de chez nous en prenant un café, un matin je trouve la perle : Un grand malabar, 25 ans, bien gaulé comme disent les jeunes.
Il m'a donné rendez vous au bistro. J'ai accepté. En prenant mon bras il m'a mené vers un hôtel meublé. Sa bouche était chaude sur la mienne. Il a dégrafé le col de la robe qui en est tombée. Quand je me suis mise dans ses bras, je ne portait qu'un soutien gorge et le slip. Je sentais sa queue bander contre moi. C'était bon de la sentir contre mon ventre. Et là, doucement il s'est agenouillé, sa bouche est venue sentir la chatte. Qu'il y avait longtemps qu'une bouche n'étais pas venue là. Mon ventre se tendant vers lui. Il a baissé ma culotte, son nez contre moi. Je devais lui donner ce que j'avais comme phéromones.
J'ai senti le bout de sa langue qui venait me chatouiller. Malgré moi mes jambes se sont écartées. Ses lèvres se sont ouvertes pour me bouffer la chatte. Le plaisir évanoui depuis longtemps revenait quand il me léchait.
Je l'ai fait relever : je tenais trop à prendre sa queue dans ma main. J'ai sorti sa pine, je l'ai branlé. Je n'avais pas oublié comment faire plaisir à un homme. Ma main faisait des allers et venues autour de cette queue qui n'en demandait pas tant.
Je le sentais grossir juste avant d'éjaculer. Je ne voulais pas qu’il jouisse vite, je croyais faire ce qu'il falais. Patatras, je le sens, il gicle. Je prend sa bite dans ma bouche pour ne pas perde son sperme. C'est épais, gluant, c'est bon.
Tant pis pour moi, je ne me ferais pas mettre cette fois. Je ne lâche pas, sa queue me plaît trop. Il garde encore un peu de liqueur autour du bas de la bite. J'ai loupé un peu de son jus. Je vais le reprendre pour en profiter un peu. Et là, miracle de la jeunesse il commence à bander encore, me rendant ainsi hommage.
Je me sens couler encore. Je vais, non rien, il me couche sur le lit même pas défait. J'enlève le slip en gardant mon soutien gorge. Il est sur moi entre mes jambes. Son poids m'écrase à peine. Je ne pouvais même pas prendre sa queue pour la mettre là où il fallait. Je la sens venir juste sur mon sexe. Un coup de rein à peine fort et me voilà empalée. C'est agréable de sentir cette bite aller et venir. Mes jambes se plient autour des siennes. Je pose mes talons sur ses fesses. Mon corps n'obéit plus qu'à l'homme. Il coulisse bien en moi. Je jouit avant lui. Je ne résiste pas quand il défonce la matrice. Il passe une main sous mes fesses. Il cherche à passer dans la raie. Mon Dieu, il veut aller dans l'anus. Pourquoi pas. Son doigt entre doucement, il le ressort. Je jouis et de l'anus et du con.
Il me fait mettre en levrette. Il y a longtemps que je n'étais pas ainsi. Je le sens venir fouiller entre les fesses. Il ne va pas m'en... trop tard il entre doucement dans le cul. Je me laisse faire comme une salope que je suis devenue. J'ouvre le cul facilement. Ses couilles baillent vers le clitoris. Et je me laisse faire. Au point où j'en suis, qu'il me sodomise longtemps comme il veut. Mon anus s'ouvre et se referme autour de sa tige. Je jouis.
Il reste dans le cul, il caresse vers le clitoris. Ses doigts me font du bien autant que sa pine. Il pistonne l'arrière train. J'allais encore jouir quand il donne son dernier jus. Je finis de jouir en son absence, le sperme coule de mon cul.
S'il me propose de baiser demain encore avec lui, j'accepte volontiers. Quel amant !!!
C'est décidé, je vais me payer moi aussi un mec, pas forcément de mon âge. On dira que je suis une couguar...j'en aurais plein le cul, c'est le cas de parler de cul. J'aime me faire mettre par là, au moins dans le temps j'évitais le bébé. J'ai bien en tête un jeune. Il faudrait que je demande à ma fille s'il en vaut le coup. Qui sait elle aussi a pu se faire mettre par Phil.
Dans la glace ce matin je me suis trouvée attirante, encore attirante. Mes seins sont hauts, ma taille encore fine, malgré deux accouchements. Seules mes cuisses sont un peu enveloppées. Allons, un peu de courage. Pour lever un jeune je connais un moyen infaillible.
Je vais offrir mon corps à la science, à celle de l'amour. Je sais parfaitement faire l'amour. Je sais surtout en jouir. Je faisais bien jouir mon mari, alors les autres ?
J'imagine une queue jeune à la recherche du plaisir avec moi. Dans mon sexe la place est libre. Même mon cul est libre. Seule ma bouche sert à goûter. Le sperme est étranger à ma langue depuis longtemps. J'aimerais sentir encore au moins un fois ce jus d'homme couler dans ma gorge.
Et puis, je serais une pute si je me donnais comme ça à la première queue qui passe. J'en connais vaguement une. Elle est passée entre les jambes de la femme de ménage.
En passant outre mon orgueil je demande justement à la femme de ménage de me prêter son amant. C'est facilement qu'elle me prête son type. Elle me prête son amant. Comme ça pour tirer un coup... Drôle de mentalité. Elle me prend pourquoi, pour qui ? Je crois bien faire en refusant.
Et là, au bistro en bas de chez nous en prenant un café, un matin je trouve la perle : Un grand malabar, 25 ans, bien gaulé comme disent les jeunes.
Il m'a donné rendez vous au bistro. J'ai accepté. En prenant mon bras il m'a mené vers un hôtel meublé. Sa bouche était chaude sur la mienne. Il a dégrafé le col de la robe qui en est tombée. Quand je me suis mise dans ses bras, je ne portait qu'un soutien gorge et le slip. Je sentais sa queue bander contre moi. C'était bon de la sentir contre mon ventre. Et là, doucement il s'est agenouillé, sa bouche est venue sentir la chatte. Qu'il y avait longtemps qu'une bouche n'étais pas venue là. Mon ventre se tendant vers lui. Il a baissé ma culotte, son nez contre moi. Je devais lui donner ce que j'avais comme phéromones.
J'ai senti le bout de sa langue qui venait me chatouiller. Malgré moi mes jambes se sont écartées. Ses lèvres se sont ouvertes pour me bouffer la chatte. Le plaisir évanoui depuis longtemps revenait quand il me léchait.
Je l'ai fait relever : je tenais trop à prendre sa queue dans ma main. J'ai sorti sa pine, je l'ai branlé. Je n'avais pas oublié comment faire plaisir à un homme. Ma main faisait des allers et venues autour de cette queue qui n'en demandait pas tant.
Je le sentais grossir juste avant d'éjaculer. Je ne voulais pas qu’il jouisse vite, je croyais faire ce qu'il falais. Patatras, je le sens, il gicle. Je prend sa bite dans ma bouche pour ne pas perde son sperme. C'est épais, gluant, c'est bon.
Tant pis pour moi, je ne me ferais pas mettre cette fois. Je ne lâche pas, sa queue me plaît trop. Il garde encore un peu de liqueur autour du bas de la bite. J'ai loupé un peu de son jus. Je vais le reprendre pour en profiter un peu. Et là, miracle de la jeunesse il commence à bander encore, me rendant ainsi hommage.
Je me sens couler encore. Je vais, non rien, il me couche sur le lit même pas défait. J'enlève le slip en gardant mon soutien gorge. Il est sur moi entre mes jambes. Son poids m'écrase à peine. Je ne pouvais même pas prendre sa queue pour la mettre là où il fallait. Je la sens venir juste sur mon sexe. Un coup de rein à peine fort et me voilà empalée. C'est agréable de sentir cette bite aller et venir. Mes jambes se plient autour des siennes. Je pose mes talons sur ses fesses. Mon corps n'obéit plus qu'à l'homme. Il coulisse bien en moi. Je jouit avant lui. Je ne résiste pas quand il défonce la matrice. Il passe une main sous mes fesses. Il cherche à passer dans la raie. Mon Dieu, il veut aller dans l'anus. Pourquoi pas. Son doigt entre doucement, il le ressort. Je jouis et de l'anus et du con.
Il me fait mettre en levrette. Il y a longtemps que je n'étais pas ainsi. Je le sens venir fouiller entre les fesses. Il ne va pas m'en... trop tard il entre doucement dans le cul. Je me laisse faire comme une salope que je suis devenue. J'ouvre le cul facilement. Ses couilles baillent vers le clitoris. Et je me laisse faire. Au point où j'en suis, qu'il me sodomise longtemps comme il veut. Mon anus s'ouvre et se referme autour de sa tige. Je jouis.
Il reste dans le cul, il caresse vers le clitoris. Ses doigts me font du bien autant que sa pine. Il pistonne l'arrière train. J'allais encore jouir quand il donne son dernier jus. Je finis de jouir en son absence, le sperme coule de mon cul.
S'il me propose de baiser demain encore avec lui, j'accepte volontiers. Quel amant !!!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle histoire bandante
Très belle histoire, douce et excitante.