Désir de couple plus infernal que prévu.

- Par l'auteur HDS Leonardo Paruzzi -
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Récit libertin : Désir de couple plus infernal que prévu. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Plus on est
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Désir de couple plus infernal que prévu.
''Quelle belle journée...'' pensa-t-elle.

Charlène arrêta son tour à poterie, et jaugea la pièce qu'elle venait de tourner: un vase élégamment tourné, aux courbes fines et sobres.
De ses doigts agiles et gracieux, elle avait monté la terre humide et claire pour en façonner ce petit bibelot, fruit de ses efforts et de ses entraînements.
Elle retira délicatement la pièce de son socle encore trempé, et la posa tout doucement sur une table, avec ses autres créations.

Sur la route du retour, elle écouta du maneskin, comme à son habitude, le temps de rejoindre son appartement.

Le temps était bon en cette fin de journée d'été, le soleil avait chauffé la région, et un air frais commençait à se lever pour en

appaiser la faune et la flore locale, ravis de ce soulagement.

Léo lui, revenait de chez des amis communs, chez qui il avait passé la journée, et filait chez l'esthéticienne.


Leo et Charlène étaient en couple depuis maintenant 6 mois, épanouis, avec un très bon feeling, beaucoup d'amour : tout bonnement heureux.

Leo était brun, méditerranéen,1m83, très athlétique, aux abdos et muscles saillants sur une peau dorée, des jambes élancées et un fessier rebondi, une allure svelte et gracieuse, avec juste ce qu'il fallait de viril.

Charlène était grande, brune, coupe au carré, très belle, aux yeux d'un bleu sans fond hypnotisant, quelques tâches de

rousseur sur sa peau pâle, de belles lèvres charnues, une dentition de star, un sourire à tomber. Elle avait des petits seins, tout fermes, tout deux percés élégamment, des hanches généreuses et surtout de magnifiques longues jambes bien gainées...

Ils menaient une vie discrète, sans artifice, pleine de bonnes idées l'un pour l'autre, de petites attentions amoureuses, d'activités saines, culturelles où sportives, de sorties au restaurant...
Ils aimaient l'un comme l'autre rencontrer des gens intéressants et calmes, et nourrissent un penchant pour l'honnêteté et la bienveillance.

Charlène était de nature discrète, souriante, de celle qui s'entend avec tout le monde, mais calmement, sincèrement. Elle savait toujours rebondir sur un sujet dans

une conversation, sans en prendre les devants pour autant, et avait de la ressource en terme de culture .
Elle était réservée et n'aimait absolument pas la beauferie, les blagues potaches, les gens trop à l'aise avec les discussions sales, et préférait garder son jardin secret quand il s'agissait de parler de elle. Ça la mettait mal à l'aise de parler de sexe à quelqu'un, à tel point que ça n'arrivait jamais.

Elle peignait à ses heures perdues, sans prétention, de magnifiques œuvres bien à elle, qu'elle gardait pour soi ou pour offrir. Son goût prononcé pour l'art faisaient d'elle une décoratrice d'intérieur hors norme, et avait toujours un oeil averti pour le beau et les compositions décoratives.
Une femme de talent, discrète, cultivée et lumineuse.

Léo était plus bruyant, extravagant, visiblement extraverti, et s'adaptait également dans tout milieu, mais de manière plus active, en suscitant l'intérêt des gens qu'il trouvait lui même intéressant. Il savait donner le sourire à un vendeur, à blaguer dans les situations rebarbatives, et donner du beaume au coeur à son environnement, simplement, sans attirer l'attention. C'était un charmeur, toujours prêt à parler de sujets profonds et sérieux, il aimait beaucoup rire et faire rire, juste pour le bonheur de passer un bon moment, que ce soit avec des inconnus ou des amis.
Quelqu'un qui faisait du bien autour de lui.

Il était réservé également, sur les sujets intimes, et esquivait adroitement les questions ou les sujets un peu trop personnels quand ils étaient abordés, en maintenant une bonne ambiance dans la

conversation.

Il pensait beaucoup.
Derrière son attitude de mec à laise, il était un profond penseur, qui a besoin de temps seul, très sensible et à l'écoute, qui réfléchit beaucoup, aux questions de la vie, des relations, de la morale, des plaisirs, de l'histoire, de l'actualité, de la psychologie et des sciences. Il aimait partager des confidences sensibles pour aider les autres, pour conseiller, pour partager une peine ou une joie. C'était un interlocuteur en or pour parler de tout, des doutes de la vie, du passé, des dilemnes.
Sans ingérence ou outrecuidance, il avait une empathie en or, et savait se montrer complice par pure sympathie avec quiconque qui avait quelque chose sur le cœur.

Tout deux étaient éperdument amoureux, ils étaient complémentaires sur beaucoup

de points, et s'admiraient beaucoup l'un l'autre.
Leo trouvait Charlène unique, dans ses talents, sa modestie, son intelligence, sa douceur, tout cela lié à son physique, qui ne le laissait pas indifférent, loin de là... C'était un amour conscient, conscient de ses qualités et de sa rareté, de la chance qu'il avait eu de croiser son chemin. C'était l'amour de sa vie, son idéal féminin, la femme parfaite. Il ne manquait pas une occasion de lui montrer son amour par de l'attention, de bons moments, des surprises, beaucoup d'affection. Ils pouvaient être parfaitement heureux juste par amour, avec des choses simples, des bons repas, des conversations interminables sur tout et n'importe quoi, des activités sportives, des soirées devant des documentaires... et surtout beaucoup de rires, de câlins et de baisers. Ils adoraient s'embrasser.


Ils s'étaient bien trouvés : leur symbiose concernant ce qui se passe en intimité en était la preuve.

Ils n'en parlait que rarement, du sexe, et très succinctement. Quasiment jamais pour ainsi dire.
C'était un sujet qui ne ressortait pas, ils préféraient passer à l'acte et profiter quand les signes de désir se manifestaient, mais de l'extérieur c'était un couple plutôt intellectuel et amoureux, qui trouvait son bonheur dans les choses de l'esprit plutôt que de la chair, et eux même le pensaient.

Leo ne la ménageait pas quand il s'agissait de passer à l'acte. Au contraire.
Et derrière ses airs de gendre parfait, elle le définissait elle même comme un dieu du sexe, avec un penchant pour le hard, les

mots crus, les pratiques exotiques, mais très accompagnés, amoureux, et très efficace dans son acte, avec toujours un score d'orgasmes féminin élevé à la séance.

Il était particulièrement endurant dans la violence et inventif dans ses séances.
Ça excitait Charlène, de le voir se défouler sur elle et la malmener. Elle n'était pas en couple avec un mou. Leo était doux et réfléchi certes, mais quand il était excité il se transformait.

Rien n'était fait par égoïsme quand il s'agissait de Leo, c'était toujours dans l'idée de combler d'abord sa compagne, puis d'en profiter comme il se doit. Il avait ce don de lire chez les gens leurs pensées et leurs désirs cachés assez facilement, il s'était donc aventuré pas à pas vers des pratiques de plus en plus coquines et

dominatrices, violentes, toujours dans cette lignée de matcher ses désirs les plus cachés et tabous même pour elle.
Il prenait un plaisir intense à faire de Charlène, la compagne si cultivée, bien élevée, délicate et prude, sa salope lubrique qui hurle de plaisir sous ses coups de rein endiablés et qui accueille toujours plus de pirouettes au lit. Charlène était comblée, et de son côté aimait absolument tout, elle découvrait même avec bonheur qu'elle aimait plus que ce qu'elle n'aurait imaginé, demandeuse aussi maintenant pour pousser les limites chaque fois un peu plus loin dans le kinky, pour le plus grand bonheur de son couple.
Elle s'était découverte une passion secrète avec Leo...

A une époque si quelqu'un lui avait dit qu'elle aimerait se faire baiser attachée et insulter pendant des heures, elle aurait

probablement exploser en sanglots, choquée. C'était ce genre de transformation personnelle qu'elle vivait, c'était une période de sa vie qu'elle avait fait le choix d'explorer, lâchant prise, après tout pensait-elle, j'ai été si sage si longtemps, personne ne le sait et je ne fais de mal à personne... Et qu'est-ce que c'est bon.

Leo venait de se faire épiler intégralement : de temps en temps dans l'année, il aimait se sentir tout lisse et doux , comme sa compagne, sentir sa peau lisse glisser contre celle de son aimée quand ils se font des calins sous la couette, c'était une carte qu'il jouait de temps en temps, un atout occasionnel car Léo cachait une peau incroyablement douce sous sa pilosité habituelle.

Ce soir c'était une soirée spéciale. Tout avait été préparé, sans que Léo et

Charlène n'en ai parlé directement entre eux.
Ne pas parler de sexe était leur botte secrète à eux, leur technique unique. Ils restaient le petit couple modèle et prude, mais sachant pertinemment qu'ils avaient des envies sauvages. Et quand l'acte survenait, c'était d'autant plus enivrant de se lâcher bestialement, s'affranchir de tout code et bonne figure .

Ils avaient juste signé un accord sur ce qui allait se passer, en citant très indirectement leurs envies et leurs suggestions. Pour imaginer comment ils parlent de ces choses si rares, il faut s'imaginer deux ados qui n'osent pas parler de s'embrasser et utilisant des termes synonymes ou symboliques pour essayer de décrire le plus indirectement possible leur désir, leur suggestion ou leur approbation pour ne pas briser leur

innocence. Le moment venu, elle sera encore intacte. Mais les désirs en feu. Ce sera un plaisir innommable et inimaginable pour le commun des mortels qu'ils auront, à se montrer leur côté lubrique au possible, presque schizophrénique, de quand ils se lâchent après avoir été impeccablement sages.

Léo n'avait pas dîné. À vrai dire il n'en souffre même pas tant l'excitation sexuelle est grande dans ces moments.
Il avait, et Charlène le savait, des périodes où il se sentait particulièrement excité, à fleur. Leo est bi, d'une manière on - off.
Charlène savait à quel point il était capable d'être un mâle actif et dominant au possible, sauvage dans l'action et la durée. Mais ce soir, c'était différent, il allait se combler, c'était lui qui avait orchestré la soirée.

Durant leurs ébats sexuels, plusieurs fois elle l'avait pénétré de ses doigts.
Petit dérapage, grande aventure à venir.
Ça avait commencé quand elle lui avait fait une fellation, et qu'elle l'avait léché plus bas encore. Elle s'était perdue longuement à cet endroit, curieuse, folle du moment et de sa réaction inatendue.

Il l'avait invitée à l'explorer, il s'était ouvert à elle, il s'était surpris à la désirer, prenant le risque de laisser tomber sa virilité.
Charlène ne l'aurait pas méprisé tacitement pour ça, et il le savait, il faisait confiance en l'estime et la compréhension qu'elle a pour lui.
Elle l'avait doigté très progressivement.


Ils n'en avaient pas reparlé.
Les débuts de ces expériences étaient bancales et douloureux, et ils ne s'étaient

pas aventuré de suite dans cette voie, ils avaient déjà un panel immense de pratiques qu'ils adoraient.


Mais de temps en temps ça revenait, Leo aimait ça, il se cambrait, il gémissait, il s'offrait à elle, à sa petite femme, ils prenaient tout deux goût à la chose, et lui se laisser porter par la sensation de douce soumission, au plaisir si tabou et interdit de la pénétration.

Quelques fois par la suite, ils s'étaient adonné à cette pratique, de manière plus franche, plus experte, plus assumée, et avaient poussé, au même titre que d'autres pratiques, la technique assez loin. Au point que Léo se retrouvait parfois à quattre pattes, un gode ceinture enfoncé en lui, pendant qu'ils se disaient je t'aime, il jouissait sous les coups de rein de sa

femme, attendrie et dominante. C'était des moments exotiques et non orthodoxes oui, mais magnifiques et tellement intenses.
Encore une victoire d'amour dans leur couple.

Quand il était en déplacement, Leo avait continué à explorer sagement (ou pas) cette sexualité. C'était délicieux.

Seul, il regardait des photos ou des dessins de shemales, femmes au membre viril, et rêvait de scènes nouvelles qui lui donnait des papillons dans le ventre, à chaque fois. C'était comme redécouvrir le sexe. C'était une excitation sans nom.

Petit à petit, alors qu'il continuait de faire l'amour à sa femme efficacement de toute les manières, il s'était découvert une totale attirance pour ces autres pratiques, et s'était même procuré des jouets pour s'y

adonner, non sans plaisir intense et coupable. Se découvrir sexuellement si ''femme'' était un univers à part dans lequel il adorait plonger quand l'occasion se présentait. Pour autant il ne se sentait absolument pas changé au quotidien, et ne doutait absolument pas de lui quand il s'agissait de sexe avec sa compagne. Indubitablement il n'était et ne voulait pas être gay, ni adhérer aux groupes et relations que celà implique. Il se vivait pleinement à sa manière, de son côté.

La force de sa sexualité et sa complétude, étaient qu'il désirait toujours autant sa femme et la prendre sauvagement, la dominer et la combler de toute les manières, mais qu'en parallèle il savait être docile, excitant, et prenait un très grand plaisir à s'imaginer exciter quelqu'un qui voudrait le prendre comme une chienne.

Jamais il n'aurait imaginé faire quelque

chose de la sorte, mais plus d'une fois il s'était essayé aux collants et au string, ça lui faisait tellement de papillons dans le ventre de se sentir ''excitante'', vulgairement aguichante, prête à être baisée.
Enfiler des vêtements féminins le faisait basculer.

Il goûtait entièrement aux deux côtés de la barrière, et cette dernière découverte méritait décidément tout autant d'être explorée à fond.
Relfet de son intense empathie et compréhension d'autrui, quel bonheur c'était de partager la même sexualité que sa femme, à volonté.

Quelques mois plus tard, leurs sexualités avaient muri. Il s'assumait lui même, elle l'aimait dans ce qu'il était, et en ressentait même une part d'admiration mêlée

d'amour : il était unique, si ouvert et intègre en même temps, ils partageaient maintenant tout. Elle voyait en lui quelqu'un de fort, qui maitrisait les éléments du sexe sans effort, comme un maître mystique dompte les éléments. Il était solide dans ce qu'il faisait, il pliait le plaisir à sa volonté, et goûtait à tout sans se changer personnellement. Capable de se rendre salope, mais de garder son charisme craquant au quotidien.

C'était son homme, elle l'aimait tellement.


C'est ainsi que Léo, avec l'accord suggéré de Charlène, préparait maintenant des soirées ... Épicées.
Sur un site de rencontre libertin, il avait monté un compte de couple à la recherche d'autres partenaires.
Il affichait clairement les envies de son

couple, et gérait seul ce réseau.
Quand ils eurent leur premier rendez vous, la tête lui tournait d'excitation et de trac.

Ce soir donc, Leo se sentait tout tremblant d'excitation d'être offert, soumis, brûlant de désir de satisfaire des pulsions. C'était surréaliste, il se l'était imaginé tellement de fois, peut-être des centaines de fois, mais là c'était réel. La marche est haute.

Charlène ressenti ces même papillons quand elle réalisa ce qui allait se passer. Elle avait passé cette barrière de la peur juste avant l'évènement, et après avoir failli annuler, il ne lui restait que son excitation initiale, leur complicité et une bonne dose de trac.

''coucou mon cœur !
-coucou mon amour, alors, bonne journée ?
- oh oui, mais content d'être rentré! Et toi?

Tu es toute belle regarde toi !
- haha vous êtes gentil monsieur, vous aussi, vous êtes très charmant. Oui merci, je suis en pleine forme, aujourd'hui j'ai super bien avancé sur mon projet, je suis trop contente !

Il s'embrassèrent, tout collés l'un contre l'autre.

Leo libéra son étreinte

''Je file à la douche, à toute mon cœur''

Il l'embrassa encore.
Puis encore.
Et encore.
Elle rit doucement et l'embrassa de plus belle.


Il alla se préparer. En se déshabillant il

sentit la satisfaction des vêtements qui glissaient sur sa peau si douce maintenant, et ne put s'empêcher de sentir une vague de satisfaction charnelle. L'eau perlait sur son corps svelte et musclé, il prit bien soin de gommer sa peau pour en accroître la douceur. Puis il devissa la pomme de douche. Avec le tuyau, il procéda à son lavement intime. Les toilettes étant collées à la douche, il n'avait plus qu'à.
D'une main il s'écarta une de ses jolies fesses. Déjà il senti de l'excitation. Puis il régla le débit sur faible, un filet d'eau s'en écoulait tout tranquillement. Il approcha l'embout du tuyau de ses fesses et se cambra . Il le posa contre son orifice, tout lisse, et senti l'eau couler le long de ses fesses, de ses jambes. Il pressa progressivement le tuyau contre son petit trou, jusqu'à ce que l'eau y pénètre de force. L'eau ruisselait le long de sa jambe,

Quand d'un coup elle stopa d'y courir : elle rentrait maintenant délicatement dans son petit cul. Inexorablement, Leo senti son sexe commencer à se gonfler, sous sa cambrure. Il sentait l'eau chaude le remplir, il voyait son ventre se gonfler docilement sous les assauts de ce tuyau. Ce sentiment d'envahissement lui arracha un petit soupir, sans même ouvrir la bouche. Quelques pensées fugaces lui traversaient l'esprit pendant les quelques secondes de son remplissage de cul, fantaisistes, lubriques, personne ne le saurait et il aimait à s'y perdre dans les plus absurdes des scénarios.
Il retira le tuyau. Son anus se contracta aussitôt, par reflexe. Il était là, trempé, cambré dans la douche, rempli. Il se caressa le ventre, toujours fasciné par le phénomène. une main glissa vers sa poitrine pour y jouer avec son téton, juste un instant, pour profiter de ce moment d'égarement.

La suite est moins glamour et se passe sur le trône, avant de recommencer quelques fois, pour rester avec un petit trou tout rose et propre, tout confortable et accueillant.


''oh je vois que l'on se met sur son 31!''
Dit-il en entrant en peignoir dans la chambre tandis que Charlène se maquillait.
Il l'enlaça par derrière et lui déposa un baiser mouillé dans le cou, en se serrant contre elle.
Elle posa ses accessoires, et se retrourna, pour le regarder quelques instants puis l'embrasser, au ralenti, toute parfumée,


Ils avaient rendez vous à un hôtel non loin, qu'ils connaissaient bien, et avaient même leur chambre favorite. Ils aimaient y faire une excursion pour se changer les idées,

après une bonne soirée ils y expermentaient les pulsions que leur dictait leur amour . Leo venait toujours avec son sac, pour y installer une balançoire au plafond, amener des entraves, des barres d'écartement, des gags en O, des menottes, des liens, des vibromasseurs, des godes fantaisistes de toute formes, des harnais, des tenues sexy.

Il s'était de son côté constitué un garde robe très fourni en secret, et Charlène en découvrait chaque fois un peu plus. C'était l'excitation de la surprise pour elle, tantôt elle se retrouvait accrochée au plafond et baisée violemment en lair, tantôt elle enfilait des harnais de cuisses et de poitrine pour se faire secouer, tantôt elle se retrouvait déguisée en mini jupe collants et soutif de hentai avec des petites oreilles de chat, pour se faire souiller, des grelots sur les seins. Il était

même arrivé, que ce soit Leo en petite tenue, talons et bas sexy, harnais, attaché, perruque et maquillage, pour se faire fesser et pénétrer par toute sorte de jouets.


Mais ce soir c'est différent.
Je n'ai pas abordé un point.
Parmis les choses tacites qui les excitent tout deux, mais dont ils ne parlent pas, ils se sont fait comprendre sans même le savoir, que Leo était curieux du candaulisme. Cette pratique consiste tout bonnement à regarder sa partenaire avoir une relation sexuelle devant soi.

Ça paraissait étrange au début de concevoir ça, de briser le lien le plus élémentaire de l'amour, c'est indécent, criminel, affreux.
Pourtant parfois il se prend à imaginer donner Charlène en pâture à un mâle,

devant lui, et la voir se faire prendre, par une autre queue, pour prendre un plaisir different, comme volé. Il s'imagine le plaisir qu'elle aurait à se faire laisser aller si basiquement, si bestialement. Elle aurait de l'appréhension au début, mais guidée, il est sûr qu'elle prendrait goût à ce scénario, qui restera un autre scénario kink de leur couple et non un adultère en douce.

Charlène veut goûter à ce jeu.

''ca va toi?"
S'aventure Charlène, tandis que le couple grimpe les escaliers de l'hôtel, silencieux.
"Oui mon cœur, vraiment. Et toi?
-J'ai un peu le trac...
mais j'avoue que le vin de ce soir m'aide beaucoup haha''


La chambre d'hôtel est immense. Il y a

deux pièces et une grande salle de bain. Du plafond affleurent de magnifiques poutres apparentes auxquelles est accroché un immense miroir dans la chambre. Le mur de la chambre est également orné d'un autre miroir tout aussi grand.
Les lumières sont tamisées.


Leo et Charlène le savent, déjà deux personnes sont dans la suite d'hôtel.
Ce sont deux hommes, la trentaine, que l'on appelera les fornicateurs : ils ont été recrutés soigneusement sur le site, et sont là pour jouer le jeu: ils ont reçu des instructions très précises sur le scénario. Leo à tout répété avec eux, une véritable chorégraphie est à l'œuvre.

Leo et Charlène sont d'autant plus silencieux, le trac les gagne. Ils sont visiblement seuls, mais ce n'est qu'une

impression, leurs invités sont cachés, dissimulés dans l'appartement, prêts à rentrer en scène au signal.

Charlène s'asseoit sur le lit, Leo ouvre une bouteille, et mets de la musique sur la sono de la chambre.
Il lui sourit, pour la rassurer, s'assied à côté d'elle et lui tend un verre : '' tout va être délicieux tu va voir''
il l'embrasse. Le vin est délicieux, effectivement. Charlène ne lésine pas et passe son trac en levant un peu le coude.

Elle se sent partir un peu, Léo lui caresse la cuisse en l'embrasse, longuement, il passe une main électrique sous sa robe, et la caresse, si délicatement et adroitement comme il sait si bien faire.

Charlène se sent rassurée. À l'aise même. Les secondes passent, elle se sent

carrément excitée,
'' tu vas tellement te faire baiser''

Le cap est passé. Elle lâche prise. elle laisse tomber son verre vide, et enlace brusquement son cou pour l'embrasser.
Il enfonce sa langue dans sa bouche, ses mains se perdent sous sa jupe, se cheveux, il lui embrasse le cou, les oreilles, durant quelques minutes torrides.
.
Il arrête.

Il la met debout, et se rasseoit.


Le fornicateur s'approche, masqué, silencieux, immense, rasé, en sous vêtements, musclé. À peine douché, il sent bon d'ici.

Charlène paraît si frêle à côté de lui, si pâle.

Elle reste plantée là, encore en train de regarder son homme qui lui, assiste à cette scène hors du temps.


Le fornicateur saisit Charlène par la taille, et dans le même mouvement, sans prévenir, il l'embrasse langoureusement, une main sur sa nuque.

C'est un choc.
Il est en train de rouler une pelle à sa chérie.

''c'est en train de se passer', ça y est' pense-t-elle.

Pierre, l'autre fornicateur, apparaît de la seconde pièce, et les rejoint.

Charlène se retrouve, sans même réaliser encore ce qu'il se passe, dans les bras de

son nouvel amant. Ses amants.

Elle n'a pas eu le temps de bien les voir. Ils sont là uniquement pour ce qu'elle imagine, il n'y a pas eu besoin de s'attarder sur eux. Elle sent juste que le premier à de gros bras, une belle mâchoire, un large dos... Et franchement sa large bouche a un goût délicieux.

Les papillons volent dans son ventre, déroutés.
Elle lâche un peu plus prise.

Elle passe ses bras autour de lui, toujours en l'embrassant, elle ose s'aventurer un peu plus.
Sa tête tourne un peu. Est-ce le vin?
Est-ce ce sentiment de faire quelque chose d'interdit, mêlé de plaisir? C'est dur de chasser complètement sa conscience. ''je suis en train d'embrasser un autre

homme. Devant mon homme.''
Elle s'y était préparée, mais le fait d'y être, c'est si étrange. C'est comme elle devait faire pencher la balance entre '' arrête, c'est de la folie, on s'est trompé, on ne se rendait pas compte'' et ''let's go, baise ce beau métis, montre à ton homme comment tu sais t'envoyer en l'air avec ce mec''


Elle sent, invariablement, une dureté contre son ventre.
''je crois qu'elle est sacrément belle '' pense-t-elle, non sans une once d'excitation encore coupable, en sentant cette bosse large et chaude contre elle.

Elle a un flash de ce qui pourrait s'y cacher.
Papillons dans le ventre.
Dans l'espace d'une seconde, par réflexe, elle réprouve cette pensée.

Puis elle réalise '' je suis là pour ça, je dois me lâcher. Oh et puis merde, Charlène arrête de penser!''
Elle embrasse son amant encore plus fort, en lui caressant les fesses, se serre contre lui, elle respire fort, l'adrénaline monte, le moment est fou, elle ne réfléchit plus.

La balance penche.


Leo regarde les deux éphèbes peloter sa femme, qui, de plus en plus excitée, se tortille.
Ils lui soulèvent sa robe, la touchent, l'embrassent partout.
Elle respire fortement, s'accroche à leurs cous, se colle à leurs paquets.

La scène lui fait tourner la tête.
Charlène est en proie aux deux fornicateurs.
Son cœur bat fort, c'est son nouveau

comme excitation, ça se passe devant lui, c'est surréaliste.

Puis, doucement, elle se met à genoux, et regarde Leo. Elle caresse un de ses convoiteurs, les cuisses, le ventre, elle pose sa tête à côté de son intimité, déjà visiblement grosse sous son boxer.

Elle les caresse à travers le fin tissu, ces bosses dangereuses, à plein main, tu bout des ongles elle les griffe, les pinces délicatement, les jauges, les soulève.

Puis elle s'agrippe à l'élastique du boxer de Jonh, l'un des fornicateurs, qui attend patiemment, sa grande main sur la tête de cette femme toute pâle. Métis, 1m93, musclé, il porte un masque noir, aux allures de soirée incognito.

Charlène glisse ses doigts par dessus

l'élastique, sa bouche embrasse le membre à travers le caleçon, elle le sent bouger, elle le mordille, s'y frotte, l'embrasse encore, et commence à baisser délicatement le sous vêtement.

Léo observe, le cœur battant, troublé par ce qui est en train de se passer : des papillons d'adrénaline parcourent son ventre.

C'est bien en train de se passer, ça y est. La scène est hors du temps.
Il est fasciné, il se laisse porter dans la pente de cet étrange plaisir. C'est lubrique.

John caresse la tête de Charlène pour la rassurer, d'une main bienveillante mais intentionnée. Elle, continue de baisser son boxer.
L'aine se dévoile, la base de la queue se dessine, veineuse, large et sombre.


Charlène regarde de près son geste.
Le membre se dévoile, nu, enorme, gonflé, au fur et à mesure qu'elle descend le caleçon.
Tout son appareil est à nu, et quand elle le dévoile complètement, la queue saute dans sa position normale, libérée, encore en train de se gonfler, près du visage de Charlène.

Il est si gros. Si inconnu. Si troublant. Il fait plus de 20 cm c'est sûr, et le gland est large comme 3 doigts.
Des milliers de pensées cherchent à émerger dans sa tête. La balance.

Leo se touche. Il doit se toucher.
Cette expérience, on ne peut pleinement l'apprécier que si la bascule se fait en soi, il doit lâcher prise, passer un cap, et là, on rentre dans un monde exotique de plaisir

si intense. Il doit passer cette porte pour entrer dans ce multivers où sa femme se fait baiser devant lui pour leur plus grand bonheur. Alors, lentement il glisse et lâche prise, c'est comme s'il était sous l'emprise d'une drogue dont il commençait à sentir les effets.

Voir le précieux visage de sa femme, si proche d'un membre viril, aussi gros et insolent, le rend tout chose, tout excité.
'''quelle salope''

ça y est, il ne réfléchit plus lui non plus, il cède à l'excitation coupable, et se touche, lentement, devant cette scène obscène, absolument jouissive pour tout son être.
Tel un roi captif, qui regarde sa reine se faire violenter par deux golgoths, et y prendre du plaisir. C'est le plaisir paradoxal, dur à atteindre, pervers et si délicieux.



Charlène se lance en saisissant une queue dans sa main délicate. Sa main blanche ne fait pas le tour de l'engin, sombre et massif sous ses doigts.

Les yeux clos, au ralenti, elle approche sa bouche, mi ouverte. Elle gobe tout doucement en gémissant ce gland large.
Elle goûte cette queue, nouvelle, irréelle, fruit défendu plus défendu.

Leo a une nouvelle bouffée de papillons dans le ventre.

Charlène branle ses interlocuteurs maintenant, et les suce, de plus en plus bruyamment, accroupie.

C'est elle qui mène la danse.

Elle ne met pas longtemps à oublier son

mari, et fixe John et Pierre dans les yeux à mesure qu'elle suce de plus en plus profondément.

Il la regarde sucer deux queues, longuement, se délecter, elle fixe les fornicateurs dans les yeux et prends tout son plaisir à offrir sa bouche, sa bave, sa gorge, ses seins.
Ses cheveux au carré se balancent sous ses va et vients, ses bracelets tintent, le collier en forme de cœur que Léo lui a offert se balance sous sa gorge et cet appareil masculin, innocent, contrastant avec la scène.
Elle fait du bruit en suçant, elle aspire, s'empale profondément, tousse, crache, gémit, en bougeant sa tête dans des mouvements calculés pour un maximum d'effet avec sa bouche fraîche au goût de vin.

Leo se lève.
Il s'approche, regarde de plus prêt, comme invisible, ce film porno dans lequel sa femme joue, joue le rôle de salope.
Il la regarde, ses si beaux yeux, ses précieuses lèvres qui épousent les contours de cette large queue, ce beau visage qui se souille en se pénétrant sans ménagement d'un membre obscène.
Elle est satisfaite, de surcroit. Elle aime ce qui se passe, elle grogne de satisfaction.

Elle lèche, bave, gobe, suce, branle
Elle passe de l'un à l'autre, déchaînant toute ses compétences, à en faire grogner ses amants de délice. Parfois elle les branle en même temps, colle les glands pour les suçoter ensemble, puis reprends ses gorges profondes.
Sa délicatesse s'en va, ses manières de princesse s'évanouissent pour se défouler dans cette scène porno à laquelle elle

abandonne toute pudeur.


Il se joint à elle.
Lentement il s'agenouille pour rentrer dans le film.

Timide, le cœur battant, il commence par tenir la tête de sa femme par les cheveux pour la faire sucer. Elle se plie à l'exercice.
Les bruits de sa gorge sur ces bites l'excite. La voir s'abandonner à la luxure la plus basse l'excite doublement. Il voit ces membres veineux s'enfoncer sauvagement dans sa belle bouche délicate, sa salive commence à les inonder, à couler, tomber, elle tourne sa langue autour, elle s'empale la gorge, elle gémit, elle suce bruyamment. Elle aime ça putain. Qu'est-ce ça l'excite.

Puis elle prend une pause, respire un grand coup, un épais fil de salive la liant à la

dernière bite qu'elle vient d'enfoncer dans sa gorge.

Elle regarde Leo, lui attrape le visage tout doucement. Ses mains sont trempées, légèrement parfumées.

Elle l'embrasse, toute baveuse :
"je t'aime..
-je t'aime mon cœur''

Le baiser est long, dégoulinant, les langues ne tardent pas à se mêler, Leo goute le petit goût de ce qui a abusé de la bouche de sa femme, et qui va bientôt abuser de lui. Décidément il enchaîne les nouvelles expériences, et l'adrénaline danse la java dans son ventre, sa tête. Tout va si vite. Tout a cette saveur si étrange de plus en plus excitante. ''Putain mais c'est vraiment en train de se passer.''


Il se replace à côté d'elle, le petit groupe se reforme autour d'eux.
Charlène, une queue à la main, lui prend la main et la pose sur celle-ci.
C'est chaud, c'est gros, pense-t-il. Un léger dégoût le traverse un instant.
Puis, en le regardant, elle sucote le bout, quelques secondes, et ferme les yeux.

Quand elle les rouvre, elle s'adresse à Leo
: ''prends ton temps mon cœur '' dit-elle en léchant toute la longueur de cette verge.

Leo se lance.
Son cœur bat fort.
Il hésite.
Son cœur balance.
Le veut-il vraiment?
C'était cool de faire ça avec des godes, mais là c'est si réel, c'est des gens, de vrais gens, des vraies queue.

Je vais sucer une queue.
Charlène lui saisit délicatement la mâchoire : ''fais le pour moi, avec moi.''

Leo approche, bouche fermée, il n'ose pas regarder en haut. Le gland est tout proche, énorme, luisant, battant de désir.

Un coup de langue.

Puis deux.

''C'est bon ...''
Il se lance, son cœur bat à toute vitesse.
Il sucote le bout.
Il se saisit de la verge et s'enfonce de toute sa bouche.

'' ohhh bébé....'' Charlène est fière de lui..
Il prends plaisir, c'est bon, il est lâché, il se délecte, il joue avec adresse avec sa langue, le cœur encore battant, la tête qui tourne, il se donne, pense à ne pas mettre

les dents et bien aspirer. Il se sent de plus en plus à l'aise. Les premiers bruits de succion surviennent. John grogne de plaisir.

Il redonne la main à sa femme et passe sur l'autre queue. Cette fois il regarde Pierre dans les yeux. Ça y est. Ça l'excite. Enfin il suce un bonne queue, une vraie, pas un gode en plastique. Il la goûte, il la lèche dans sa bouche, il l'enfonce dans sa gorge: une fois. Deux fois, puis il la presse bien au fond, pour qu'elle rentre vraiment dans sa gorge, quelques secondes.

''bordel je suis en train de sucer''

Elle l'accompagne, le regarde, lui parle tout bas pendant son offrande, le caresse, lui ramasse sa salive, l'aide à branler, le biffle, suce avec lui, durant de longues minutes.

Puis il se met à quatre pattes, John s'allonge jambes écartées, pour se faire sucer par Leo.

Charlène lèche la chatte toute prête et lisse de son homme cambré qui gémit, qui se tortille, qui bande mouillé: se faire lécher le rend complètement folle, il lache prise, il n'en peut plus de désir, sa raison l'abandonne: c'est parti.

L'autre fornicateur Pierre lèche la chatte de Charlène, grassement, puis, après l'avoir bien goûtée, prend la relève, de sa grosse langue, et lèche Leo encore et encore, Leo n'en peut plus, il sent cette langue et ce souffle sur son cul pendant qu'il suce.
C'est un rêve éveillé, la culpabilité et l'appréhension se noie dans le plaisir le plus intense qu'il ait connu.

Un doigt s'avance, s'appuie contre son

trou, impatient. Il le pénètre dans un éclair de soulagement intense, puis ressort pour s'enfoncer dans la bouche de Charlène, puis deux doigts, au fond de sa gorge, elle tousse, elle bave, elle crache lorsqu'il les enlève.
Leo se fait doigter, délicatement, Charlène saisit le lubrifiant réchauffé préalablement, et approche la bouteille de la chatte de son homme. Elle appuie longuement pour le remplir de liquide chaud et visqueux, dans un soupir de plaisir intense...

Pierre se présente, dur, doux, déterminé, et presse son gros gland contre le trou de Leo qui lui, se tortille pour l'aider, il a arrêté de sucer, concentré sur ce nouveau plaisir qui le prend.
Il tremble, il hésite, son cul resiste, le lubrifiant coule de son trou qui se contracte et se relâche, il sent les gouttes chaudes couler le long de ses couilles.

Pierre le tient fermement d'une main, et guide son membre de l'autre, vers son entrée pudique.
Quel sensation si agréable et perverse de sentir ses mains sur ses hanches, fermes, mal intentionnées.
Il sent l'organe glisser entre ses fesses, chaudement, si facilement, c'est à devenir fou. De temps en temps il retente une entrée sur sa petite fleur rose, patiemment.

Son cul cède au ralenti.
il rentre.
Il est en lui.
Chaud.
Dur.
Large.
Si Vivant.

Leo a la bouche grande ouverte dans ce moment hors du temps, ou il devient soumis pour de bon, et où ses sens

explosent.


Charlène vient le complimenter tout bas et le rassurer pendant les premiers va et vient.
Il sent le membre vivre en lui, glisser, coulisser, s'enfoncer, l'ecarter, le baiser.
Et ces mains qui le maintiennent.... C'est exquis de les sentir l'attraper pour le prendre en levrette.

''je me fais baiser''

Il serre les dents de plaisir, se mort les lèvres, et se retourne pour observer ce qu'il se passe. Aussitôt une main lui saisit les cheveux pour l'empêcher de bouger.
Ça y est.
Il se fait baiser, à quattre pattes. Comme une pute.

Charlène l'embrasse. Encore et encore,

pendant que John se place derrière elle.
Elle lui dit je t'aime, derrière lui des mains l'agrippent et le secouent, le malmènent.
La sensation est tellement nouvelle et indescriptible, des couilles frappant les siennes à chaque à-coup. C'est si sexy.

Charlène se retourne à quatre pattes également, face à son homme. Elle sent les mains de john qui l'attrapent.
Éclair d'adrénaline quand elle sent le contact du bout de sa queue contre sa chatte, ruisselante de désir.
Il se frotte de plus en plus profondément contre ses lèvres, frotte son clitoris, joue avec elle. Devant elle ça claque: son homme prend maintenant de grands coups de rein et est en transe. Il serre les draps dans ses poings et son visage se crispe de plaisir. Elle
mouille encore plus devant cette scène : à sa gauche, le grand miroir lui renvoie un plan général de ce qu'il se passe. Elle voit

son homme cambré, qui prend son pied, qui bande , se fait attraper et baiser, si beau, si sexy, si incroyable. Elle voit les mains basanées sur ses hanches, et c'est là qu'elle sent, large, chaud, immense, cette queue la pénétrer au ralenti, l'écarter, lui remplir grassement sa chatte.
Elle inspire de surprise.
Elle n'avait pas prévu que ce serait aussi gros.
Aussi bon.
La bouche ouverte, les yeux grand ouverts, elle serre ses poings sur les draps, juste à côté de ceux de son mari, qui lui est secoué bruyamment, et gémit sans retenue.

John lui saisit les cheveux d'une poigne.
Il commence à la baiser. Doucement. À mi longueur. Puis il accélère, il continue quelques temps. Il lui claque le cul. C'est si bon. Encore. Encore.

Et d'un coup, au milieu de va et vients, il s'enfonce de toute sa longueur.
Charlène sent ses jambes prises d'un bref tremblement.
Putain c'est incroyable.
Il reprend son rythme de croisière, modeste dans sa longueur, entrecoupé de coups jusqu'à la garde.

Après plus de 5 minutes,
John se lance, finit les présentations. Il entame un rythme endiablé, 3 coups de reins par seconde, de toute sa longueur.

Charlène crie
OUI! OUI! OUI! OUI!

Ça claque fort, elle se fait secouer violement, en elle elle sent que tout est baisé à répétition par ce tronc.

OUI PUTAIN BAISE MOI


elle serre les dents, ses seins sont secoués au rythme des violentes secousses, Leo n'en peut plus, c'est si sexy. Elle est tellement magnifique.

''t'aimes ça hein salope?!" Lui lache t il, secoué lui aussi, mais plus voluptueusement.
T'aimes ça te faire baiser comme une pute hein??? Baise cette queue, vazy, salope va!
-oh oui putttttain c'est trop boooooon. Han han, toi aussi ptite pute hein?
- c'est si bon de se faire baiser avec toi bébé
- oh bébé han je t'aime, je t'aime je t'aime aaaaaaaaan
- je t'aime tellement fort mon cœur, je veux te voir jouir comme une chienne''

Ils s'embrassent tant bien que mal sous les secousses, s'attapent le visage, mêlent

leurs langues savoureuses, ils respirent fort, sous les va et vient.
''Mon amour...'' lache Leo avant de reprendre son souffle.

Ils profitent, ouverts, pénétrés, toute salopes. Charlène se met à donner des coups de cul au rythme de son amant, pour encore plus se faire démonter.
Leo se lubrifie en même temps, il se fait attraper les bras, et Pierre le fesse, à plusieurs reprises.
''Petite pute!'' lache son baiseur
"- oh oui! Oh oui putain, je suis ta pute
-t'aimes ça te faire baiser hein, salope!
- putain je suis ta chienne, oh oui
-avec ton ptit cul là, j'adore ton p'tit cul de salope.

Leo peine à parler sous les secousses
-ah oui?! Tu veux le baiser hein?! Ça t'excite
-prends ça grosse pute '' Pierre lui assène

un coup violent de bassin qui secoue Leo d'un coup sec et violent, très bruyant et humide.
"AHHH""
Leo lache un cri de détresse charnelle, le yeux au ciel. Le cheveux tirés en arrière, il se voit dans le miroir du plafond: son petit cul cambré, qa taulle fine, sa femme à quattre pattes qui hurle de plaisir comme jamais sous cet étalon. C'est un chef d'oeuvre de sexe qu'il voit.

Cette queue qui sort et sui rentre si aisément. Ces bras qui le manipulent, sa queue qui bat contre son ventre, dure, ses couilles qui se font percuter à tout va.

Le plaisir en lui ne fait que monter. C'est incroyablement bon et salace.

Les fornicateurs se retirent essoufflés transpirant, les chattes du jeune couple flatulent, gavées de coups de reins.


Leo va chercher de l'eau, avec le tournis.
Il revient, tout le monde boit un coup d'eau fraîche.
Leo tend le verre d'eau glacée à sa chérie, et l'embrasse. Il boivent d'une traite.
Il l'embrasse encore, leurs lèvres sont toute froides.

Puis leo se repositionne, en reprenant son souffle. Il est a genoux par terre, le buste à plat ventre sur le lit.

Il attrape les chevilles tremblantes de sa femme, la tire vers lui, et lui ecarte le cuisse. Il lèche Charlène jambes écartées, lui rafraîchit la chatte éprouvée, de sa langue et ses lèvres toutes fraîches. Délicatement avec sa langue il l'honore, la lèche, tourbillonne, grassement, juste avec le bout. Le contraste de température rend la chose d'autant plus savoureuse.


John se met au dessus d'elle. Elle le guide, ses mains pâles sur ses cuisses puissante.
Il met sa queue dans sa belle bouche.
Il commence des va et vient bien mérités.
Ça y est, elle se fait baiser la bouche.
Le long de son ventre courent les mains électriques de son homme, qui la dévore fraîchement d'en bas, et joue avec ses seins, ses hanches, son clitoris, son ventre, ses fesses.
Derrière lui, Pierre se met un genou en terre.
Leo sent sa main en bas de son dos.

Éclair dans son corps.

Son cul se cambre instinctivement.
Il sent son gland se poser sur son cul.
Puis, rentrer en lui, sans effort.

Il gémit, le visage dans l'intimité de sa femme, il redouble d'efforts à aspirer, lécher, doigter, frotter, faire tourner sa langue, lécher et lécher encore dans les moindre recoins, deux puis trois doigts dans la chatte de Charlène, trempée.

Le bruit du claquement de Pierre contre son cul est accompagné des bruits de gorge de sa douce
Les mains bloquées par John, sa gorge lui sert de défouloir . Parfois il se retire, toujours en lui bloquant les poignets sur le matelas d'une main, au dessus de sa tête, elle respire, baveuse, son maquillage coule, elle tire la langue, lubrique. Il plonge, ressort, replonge, ressort, il tappote sa grosse bite sur ses lèvres.
''mhh t'aimes ça sucer une bonne queue hein...
-mmhhh!..." Rétorque Charlène la bouche pleine, sur l'intonation la plus coquine qui

soit.
''bonne salope, suce moi, suce moi bien la queue''

Puis il s'enfonce progressivement et commence à lui baiser littéralement la bouche, dans des bruits obscènes d'une gorge de salope malmenée.

Après quelques minutes, chacun cesse son manège de luxure. Le couple s'allonge sur le lit, reboit un coup d'eau
''oh bébé c'est trop bon, dit Leo
-mon cœur je t'aime tellement si tu savais
-je t'aime si fort mon amour ''

Ils s'embrassent tendrement, pendant que John poursuit la joyeuse chorégraphie :

Il s'allonge, sur le dos, échange deux trois mots avec Pierre, qui vient s'allonger derrière Leo, en posant une main suson

épaule. Leo sent sa peau se hérisser face à ce toucher, encore si nouveau et excitant pour lui. C'est électrique, pense-t-il.
Leo est couché sur le côté, Pierre en cuillère derrière lui le caresse, se frotte contre son cul. Leo sent son cœur battre fort dans sa poitrine.
Pendant ce temps, Charlène, guidée par John qui pose ses mains sur elle, se met à cheval sur lui, dos à lui.
Elle se mort la lèvre en atterissant tout doucement sur sa grosse queue, ses mains sur ses cuisses, et commence à onduler sur lui, la faisant coulisser entre ses lèvres humides et chaudes.

À côté, Leo se fait peloter par Pierre. Il se fait embrasser dans le cou, les oreilles. C'est tout nouveau, mais il sait maintenant comment lâcher prise, il goûte à cette domination douce, à cette position de femme. C'est terriblement bon et si mal.

Il ferme les yeux, s'allonge sur le côté, les mains lui caressent le torse, grandes et douces, lui caressent la gorge, la presse gentilment, en même temps qu'il sent un souffle et un baiser sous son oreille. Ouis tout une série de baisers viennent le couvrir. Les mains lui titillent les tétons, lui qui y est si sensible. Sans réfléchir, Leo laisse parler son corps: sa main vient se poser sur le visage derrière lui, dur, viril, puis descend sur la main qui le caresse, et tout deux se dirigent , dans un léchage d'oreille, vers sa queue.
Il se cambre contre Pierre et souffle de plaisir.
Les doigts lui caressent délicatement les couilles, c'est extrêmement sensible, à fleur, il sursaute légèrement au premier toucher. Leo s'agrippe à la tête de son amant derrière lui, qui ne cesse de l'embrasser dans le cou. C'est divin. Juste divin. Indescriptible cette sensation d'appartenir et de se laisser peloter par ce

beau mâle qui le désire ardemment et patiemment.
Leo se tortille. Il plie ses jambes et lève son genou pour écarter ses cuisses et mieux se laisser le toucher là.
La main est experte, elle se lance.
Elle fait glisser deux doigts entre ses couilles roses et lisses, Pierre lache un ''Mhhhhh'' grave et profond à son oreille.
Son autre main vient se faufiler sous Leo, et il pose une poigne sur sa gorge, l'étreint légèrement, la griffe doucement, puis caresse son menton, ses joues, ses lèvres, et glisse un doigt dans sa bouche. Il est trop bon. Leo le mordille, le suçote, le visage crispé de désir et de jouissance, en regardant cette autre main en bas, qui lui griffe le ventre. Leo se colle de plus belle contre la barre de Pierre, cambré comme il le fait si bien. Ce dernier le branle maintenant, du bout des doigts, et se frotte à lui, nu, glissant, dur, brûlant.

Leo est en transe. Il le veut. Il ressent l'envie irrépressible de l'avoir en lui, des doigts dans sa bouche.
''C'est ouf d'aimer ça, pense-t-il, putain c'est tellement sexy''
D'une main Pierre soulève la fesse de Leo pour découvrir sa fleur rose.
Il fait couler du lubrifiant tiède sur sa queue et l'en imbibe. Il se présente.
Leo sent cette forme oblongue contre son petit trou, qui s'enfonce, si naturellement et suavement. Il expire longuement, pendant sa rentrée. de nouveau il la sent en lui, dans son ventre, chaude, dure, glissante. Il sent le ventre chaud de Pierre contre ses fesses, qui s'est enfoncé jusqu'à la garde.
La danse commence, Leo sur le côté, une jambe tenue en l'air par la poigne de Pierre, son sexe enfoncé en lui, son autre main tantôt dans ses cheveux, tantôt sur sa gorge, ses tétons, ou dans sa bouche. Leo se fait secouer, ça claque, il gémit, encore

et encore, son amant lui parle à l'oreille, Leo hoche la tête en gémissant pour lui répondre comme il peut, possédé par le plaisir. Il se laisser manipuler de partout, il lui appartient, il le laisse le baiser comme il le souhaite.

Sans prévenir,
Pierre lui tourne la tête et l'embrasse.

Leo met la langue. Il est tout entier à lui.

C'est la première qu'il embrasse un homme.
Il aime ça, il se sent si passif et offert, il le regarde dans les yeux, collé à son visage pendant les secousses, s'accroche à lui. Dans l'ivresse du moment il l'embrasse de lui même, caresse son visage, se prend des doigts dans la bouche, les lèche, les enfonce.

À côté d'eux Charlène s'est empalée sur John, et commence sa chevauchée. Elle saute sur cette colonne de chair et retombe lourdement dessus, pour se baiser comme il se doit. Elle respire fort, c'est tout un sport, elle sent le plaisir monter . Dans le miroir elle se regarde, belle, blanche, fine et gracieuse, angélique, sauter bruyamment sur ce mâle bâti comme un guerrier.
Ses seins percés rebondissent divinement, son cul bougeotte à chaque impact.
''Oh oui, oh putain oui'' lache t elle.

De l'autre côté elle voit son homme offert, une jambe en l'air, si beau, au physique si élégant, enlacé dans les bras de cet homme immense. Son visage est contracté par le plaisir, il gémit à répétition, il est aux anges.
Charlène plane. Elle partage avec lui tellement de plaisir. L'instant est au delà

du torride.

Elle sent Jonh qui se raidit sous elle et prend les choses en main. C'est désormais lui qui la propulse en l'air d'un coup de bassin, la laisse retomber et s'empaler sur sa queue, et la renvoie aussi sec en l'air, avant même qu'elle n'aterrisse, dans un claquement violent.

C'est incroyablement bon.
Il lui attrape les bras par les coudes, les serre fort, et l'immobilise fermement pour mieux contrôler ses coups de bite.
C'est encore meilleur.
Le rythme s'accélère
Charlène crie maintenant à gorge déployée, elle ne se maîtrise plus. Elle se fait baiser si fort, elle se fait secouer sans mercie, dans un bruit à faire trembler les murs. Ses fesses s'écrasent violemment à chaque va et vient avant de redécoller.
''OUI OUI OUI OUIIIII PUTAAAAAAAAAIN

AAAAAAAAH PUTAAAAAAAIN''

Leo la regarde, depuis sa valse plus douce, le pied en l'air et enlacé. Il est amoureux d'elle. Elle est magnifique. Elle kiffe tellement. Elle se fait défoncer, et putain qu'est-ce qu'elle aime ça, putain, c'est torride.
Lui ondule au rythme de la queue de son homme, pour croquer le plaisir encore plus intensément. Son ventre musclé et doux ondule gracieusement, sa belle poitrine est déployée par la cambrure, les bras en l'air qui agrippent son beau baiseur.

Charlène est reposée essoufflée, décoiffée. Elle tremble de partout et gémit, démolie.
John la saisit, et la pose, comme si elle ne pesait rien, à côté de Leo, toujours aux prises de son amant.
Charlène rampe doucement vers le sexe

de Leo, qui bat l'air, brillant, sous les secousses.
Calmement, au plus grand plaisir de son chéri empalé, elle le met fermement dans sa bouche et le suce ardemment, rapidement.
''Raaaaaaah putttttaaaaaaiiiiin ouiii , oui oui oui oui''
Leo se fait sucer et baiser en même temps, sa femme délicate et féminine sur sa queue affamée, et son nouvel amant derrière lui, dominant et doux, qui s'occupe de limer soigneusement son petit cul, qui le corrompt d'un amour de mâle irrésistible.
Leo se prend vouloir d'une queue dans sa bouche. Rien à foutre. Il en veut. C'est tout, pas de questions.
John s'approche, s'agenouille au niveau de sa tête, et lui donne son sexe, pour le détendre. Il grogne de plaisir quand Leo l'aspire dans sa belle bouche. John ne peut s'empêcher de donner quelques coups de

rein, Leo aussitôt ouvre sa bouche, sa gorge, et sent le membre s'enfoncer profondément, écarter sa gorge, le sonder baveusement. C'est lui qui fait des bruits obscènes maintenant.

Ça l'excite tellement.

Pierre lui tient la gorge pendant son viol de bouche, et lui lèche le lobe, le cou. Il le bloque face à cette bite qui lui baise la gorge. Leo émet des gémissements étouffés de satisfaction, et caresse la tête de sa femme qui le suce suavement, puis caresse le cul de son doux baiseur, remonte vers son visage, passe au cul de John, à ses couilles. Il le caresse là, pendant qu'il suce profondément, caressé par Pierre. Il masse ces grosses boules trempées de sa salive, remonte vers cette large verge, la suce soigneusement, la branle.

Il regarde John dans les yeux. Et dans les bruits des plaisirs qui l'entourent, il enfonce toute sa longueur dans sa gorge. Encore. Encore. John lui plaque la tête contre son pubis. Il le garde ainsi quelques secondes, fait battre son gland au fond de sa gorge, et ressort brutalement.
HHHHHHHHHHHH
Leo reprend une grande inspiration, il bave abondamment, il y en a partout, ça coule de son menton par longs fils, ça rejoint la queue de John, ses couilles, ça goutte partout.

C'est si bon, trop bon même
Il pousse doucement Charlène de sa queue et se dégage de Pierre.
C'est trop. Il est sur le point de jouir, il est trop sollicité de partout. Il ne veut pas jouir maintenant.
À genoux, il suce John, qui lui tient la tête.
Il a pris le pli, il arrive à bien l'enfoncer

profondément dans sa jeune gorge, et le suce en le ressortant, sans toucher ses dents. Une idée folle le traverse. Pendant qu'il s'échine à pomper cet homme, il lui vient une envie de plus en plus obsetionnelle: il veut faire jouir cette queue. Il veut le plier à sa volonté et le faire jouir, le contrôler, l'envouter de sa langue et sa gorge, le faire lâcher prise. Il veut sa jouissance. Il veut son lait.
Putain pourquoi c'est aussi bon?
Pendant ce temps Charlène et Pierre ce sont mis à côté du couple d'hommes, spectateurs, voyeurs. Charlène se touche. Il suce si bien. Il est si offert et salope. Il aime tellement ça.
Il le suce rapidement, de ses deux mains, de toute sa bouche, il s'arrête de temps en temps pour le branler fort et étroitement, puis le reprend dans sa bouche trempée, dans un gémissement coquin.
John lui saisit les mains.

Il se recule, haletant.

Frustration.
Il voulait tellement le finir.
Le sentir exploser de plaisir dans sa bouche, terrassé par sa pipe. Le sentir défaillir dans l'orgasme et juter sur ses lèvres.
Il a reprit le contrôle.
Leo a la tête qui tourne.
Tant pis, ce ne sera pas pour cette fois...

La petite équipe se repose un coup, Pierre revient avec de l'eau fraîche. Tous soufflent quelques minutes.
Leo échange un regard avec Charlène, et lui adresse un sourire en coin:
"T'es une sacrée toi hein?"
Charlène s'esclaffe
"Oh tu peux parler toi haha! Je suis presque jalouse de tes compétences !
Il se rapproche d'elle.
- c'était tellement fou de te voir prendre ton

pied comme tu l'as fait. Tu étais tellement, tellement belle mon cœur. Ça me fait si chaud au cœur de te voir prendre tout ce plaisir sans aucune limite, sans complexe.
-oh Leo.... T'es adorable. Je t'aime mon cœur
Ils s'embrassent tendrement.
Et toi, poursuit-elle, tu étais tellement sexy, je t'assure... Tu m'as tellement excitée
-c'est incroyable de pouvoir partager le même plaisir, je me sens encore plus proche de toi mon amour, je me sens toi..
- c'est toi qui es incroyable... C'était tellement bon de te voir autant aimer ça, t'étais dans un autre monde, c'était tellement beau. J'aime trop comment tu es.
-mon cœur je t'aime tellement.
-Leo je t'aime tellement fort si tu savais...

Ils s'embrassèrent en s'allongeant sur le lit. Leo la prit dans ses bras, la serra fort, la carressa. Il pris son visage entre ses

mains pour mieux l'embrasser, pendant qu'elle passait ses mains dans ses cheveux. Leurs corps encore brûlants étaient joints, lisses, doux, ils glissaient amoureusement l'un contre l'autre.

Les fornicateurs s'était absentés, et attendaient dans la pièce voisine, pour leur laisser ce moment d'intimité amoureuse.

Leo alla chercher dans son sac, une paire de chaussettes d'écolière, blanches et rose, qui montent mi cuisse, un choker et une fine chaînette de ventre. Tout celà était pour lui, oui.
Il aimait se sentir féminisé.
Et les deux étalons avaient fait part de leur avide engouement lorsqu'il leur avait envoyé des seflie en petites tenues.

Il prit également pour Charlène un harnais de cuir blanc: deux larges sangles de

cuisse, serrées juste sous les fesses, faisant ressortir celles-ci, reliées par des bandelettes de cuir à une ceinture abdominale ornée, avec 3 sangles de serrage parallèles.
Des talons blancs très hauts remontant jusque sous le genou, un choker blanc, qui lui donnait un air si sexy, avec son carré parfait, ses yeux bleus, ses longues clavicules, ses bras élégants.
En haut, un harnais de poitrine minimaliste, blanc également, qui mettait en valeur ses seins et ses quelques tatouages.
Elle se couvrait d'une simple juppe excessivement courte en vinyle noir, d'une vingtaine de centimètres, qui ne couvrait pour ainsi dire absolument rien.

Ils prirent une douche, et Charlène se remaquilla avant d'enfiler sa tenue.
Elle était divinement belle.

Leo se regarda dans le miroir en faisant sortir sa hanche pour montrer son fessier
''pas mal non?"
Elle lui claqua la fesse sans prévenir, ils rirent
''aguicheuse, va!.... Mais oui, pas mal du tout...''

Leo s'allongea sur le lit, et se mit à l'aise, jambe pliée et bras derrière la tête.
''ENTREZ!"

Des pas se raprocherent de l'entrée de la chambre, Charlène se retourna.
Les deux hommes entrèrent, toujours masqués, et reprirent les choses en mains.

Cette fois John attrapa Leo, qui, sur le dos, inspira de surprise et d'expectative. Le grand métis lui saisit les chevilles et lui souleva les jambes, cul tendu.

Léo pris une position confortable, bras lancés au dessus de sa tête, ses belles jambes en bas sexy en l'air, son choker lui donnant un air de petite salope.
''mmmmh t'es bien bonne toi hein'' lâcha John qui replaçait sa nouvelle proie en la manipulant par les cuisses. Léo se tortilla en le fixant dans les yeux. Il bandait déjà, sa peau bronzée et lisse, ses belles formes d'éphèbe excitaient l'homme qui l'envisageait.
John lui plia les cuisses contre son torse de minet.
Position de faiblesse.
Leo était les pieds en l'air, les jambes contre son torse, les bras au dessus de sa tête, le cul tendu au possible.
Il sentit la situation se corser pour lui, et se mit à respirer fort, d'excitation, d'adrénaline.

Il sentit la grosse queue toucher ses parties

Éclair de sursaut.
Elle continua de glisser, allant venant sur ses petites couilles roses, sur son sexe.
Putain qu'est-ce que c'est excitant.
Il était tout tremblant d'excitation. John continuait de le teaser en faisant glisser grassement sa queue contre ses parties, une mains plaquant chacune des cuisses de Leo vers le bas.
Sa queue descendit chatouiller la raie de Leo, qui se détendit instantanément sous la caresse obscène et agréable.
''Mhhhhhhhh'' lâcha un Leo les yeux clos, concentré sur la sensation de douce torture.
Goutte froide. Petit sursaut.
Charlène versait grossièrement du lubrifiant, frais maintenant, sur le cœur de l'action. Sur la queue en mouvement de John, le long du cul de Leo, ses parties, ses cuisses. Elle reboucha la bouteille et Pierre l'entreprit pendant qu'elle regardait encore son homme se faire teaser la

chatte par cette grosse queue.
Elle se mit à quatre pattes
''oh oui.....'' chuchota-t-elle. Pierre la saisit par le harnais sèchement, puis l'acompagna pour la livrer au même sort contre son membre dur, large, affamé, patient.
''Qu'est-ce que t'es bonne putain'' il ne pu s'empêcher de dire. '' je vais tellement te baiser ma belle
-mhmh? Fit elle coquinement en se cambrant, un peu intimidée
- oh oui petite pute. Empale toi sur ma bite.

Les mots étaient crus, autoritaires, elle ne pouvait faire qu'obéir. C'était excitant.
CLAC
une fessée venue de nulle part lui laissa une marque rougeoyante sur la fesse
''c'est bien, brave fille''
Elle se tortilla, pour essayer de faire rentrer le membre en elle. Elle lachait des petits

gémissements chaque fois qu'elle n'y arrivait pas et que la queue glissait à côté. Elle ouvrit la bouche, de concentration et d'excitation, pour viser juste avec sa chatte.
CLAC
''Vas-y met la toi''
Et senti le gland tant convoité entre ses lèvres. Tout doucement elle bougea son bassin dans des mouvements ronds, pourle guider vers son trou, trempé. Il glissa. Elle failli dépasser l'objectif et le refaire glisser hors d'elle. Elle ralenti. Il se cala à l'entrée. Elle appuya. Appuya. Il s'enfonça, gros, large, insolemment massif.
Flop
Il était dedans
''hhhhhhhhh.....'' lâcha t elle dans un soulagement. Son excitation pris un cran de plus.
CLAC
''han, oui!"
Pierre tira d'un coup Charlène par le

harnais, qui s'empala jusqu'à la garde sur son sexe. Elle le sentit profondément en elle, envahissant, délicieusement large et dur.

Leo gémit. John le penetra en râlant de plaisir. Il rentra sans trop d'effort dans son trou serré.
''Oh putain c'est trop bon'' ne pu s'empêcher de dire Leo d'une traite.
John commença doucement la baise de son petit cul, toujours en maintenant les jambes de Leo plaquée sur le torse du jeune femboy.
Les va et vient s'emplifierent
Putain mais pourquoi c'est aussi bon, pensa-t-il, dérouté, sentant qu'il perdait de nouveau la tête, envahi par un plaisir dans tout son corps.
Il respirait avec difficulté, calé sur le rythme des coups de reins, compressé sous l'appui de John. De temps en temps il

sortait, puis rentrait juste le bout de son sexe, le ressortait, et jouait avec le cul de Leo quelques seconde, qui lachait quelques bruits obscènes inévitables, excitants au possible. Leo gémissait tendrement dans ces moments de jeu, ouvrait la bouche, regardait cette queue le sodomiser , par dessus son propre sexe, dur et baveux.
John accéléra la cadence. Sa respiration s'intensifia. Il lacha les jambes de sa proie et les saisit par les mollets, pour les remettre à la verticale. Il entama des va et vient très profonds.
Leo s'arrêta de respirer
Putain
C'est profond là.
C'est abusé comme c'est bon.
Il se passe quoi.
Ça fait mal ou ça fait du bien?

Charlène se faisait secouer

inlassablement. Elle avait commencé à crier et ne s'arrêtait plus. Derrière elle Pierre l'insultait avec ardeur. Elle le méritait.
''t'aimes ça te faire baiser hein? CLAC T'aimes ça te faire baiser devant ton mec qui se fait enculer comme une salope hein???"

CLAC
CLAC
CLAACCCC

-OH PUTAIN OUI BAISE MOI, BAISE MOI, BAISE MOI PUTTTTTAAAAAAIIIIIN

-SALE PUTE VA, PRENDS ÇA, PRENDS ÇA DANS TA CHATTE DE SALOPE, JE VAIS TE DÉMONTER LE CUL, TU VA JOUIR COMME UNE CHIENNE, SALOPE!!"

Il cracha sur son cul, une grosse dose de salive qui, dans le mouvement de son cul malmené, vint couler le long de son petit

trou.

Elle senti d'un coup.
Elle était là. Elle montait.
L'extase.
Elle la sentait grandir, dans toute cette violence et humiliation sexuelles, elle senti.

''oh putain.... Oh putain.... Putain mon cœur....."
Elle agrippa comme elle pu les draps .
Pierrz accélèra encore
CLAC
''AHHHH PUTAIN DE PUTE ''

Giclade.
Charlène venait de gicler, un jet de mouille avait brièvement jailli d'entre ses jambes, pour eclabousser les draps.
''putain putain pu.....''
Giclade, encore.
Encore.

Encore. Cette fois elle dira 2 bonnes secondes.
Le bruit de la levrette infernale changea de timbre et claqua plus humide.
Fontaine.
Encore.

AAAAAAAAAAAAHHHH

sa voix tremblait
Elle serra les poings de tout ses forces.
Le harnais la trimbalait encore, inévitablement et violement, contre les coups de reins de Pierre

''Bébé, béBE, BEBE JE JOUIIS
JE JOUIS MON CŒUR!!!!
MON CŒUR JE T'AIME
JE.. je t'ai ... Je t'....

-Oh oui mon cœur, répondit en haletant Leo tandis qu'elle commençait à partir,

Vas y bébé, vas y, jouis, jouis comme une salope putain, jouis sur cette queue bébé, je t'aime, je t'aime tellement, t'es l'amour de ma vie"

Elle se tétanisa, les yeux revulsés, le cul encore secoué et baisé, les cheveux sur le visage.
Pierre grognait bruyamment, boosté dans sa baise, il accéléra encore la cadence et la fessa de plus belle
CLAC
CLAC
CLAC
CLAC
CLAC

Le cul de Charlène était rouge de fessées. Plus un son ne sortait de sa bouche grande ouverte.
Pierre continuait de la pilloner, cruel bourreau.

Elle se mit à trembler des jambes. Du dos. Des bras.
Il la jeta sur le côté dans les draps trempés de mouille, inanimée, convulsée, téléportée dans un autre plan.
CLAC

Léo tendait les bras au dessus de sa tête.
Il se vit dans le miroir au plafond :
Il avait les paumettes toute rouges,
Secoué avec vigueur, ses couilles roses rebondissaient le long de sa queue dressée et baveuse,
A cause du plaisir il recroquevillait ses pieds dans ses bas de coquine, les jambes en l'air, maintenues par John

Plaf plaf plaf plaf plaf plaf
Putaiiiiin
Plaf plaf plaf plaf plaf
Mhhhhhhhouiiiiii putaaain
Plaf plaf plaf plaf plaf plaf

Ta queue putain, oh oui ta queue

Il y a un problème, pourquoi c'est aussi bon, pourquoi je kiffe autant putain.

Il baissa les yeux sur sa queue.
Elle laissait un petit fil de mouille entre son gland et son ventre à mesure qu'elle décollait sous les secousses.
Son ventre.
Son ventre vide..vide et si fin.
Il voyait une bosse se former puis disparaître, juste sous son nombril, de manière régulière et répétée
C'est pas vrai?...
Dites moi que je rêve ?!
C'était la queue de John, c'était son engin de baise qui faisait bosseler son ventre de l'intérieur, quand il s'enfonçait dans ses entrailles innocentes.
Ça l'amusait, le terrifiait et l'excitait en même temps.

Il se faisait sauvager le cul.
Il posa sa main sur son ventre pour voir s'il ne rêvait pas.
La bosse soulevait légèrement son bas ventre dans cette baise profonde. C'était obscène au possible, décadent, il se faisait souiller, lui, dans sa petite tenue, comme une petite salope il savourait ces coups de queue en lui, qui lui inondait les sens de plaisir, lui faisait perdre la tête, ses fines jambes en l'air.
John prenait visiblement son pied dans ce petit trou angélique.
Il attrapa un orteil dans sa bouche, et suça les pieds de Leo a travers son collant, pendant qu'il le baisait lourdement. Il passait sa langue sur, entre, sous ses orteils, lui suçait le bout du pied, le mouillait chaudement.
Leo tressaillit.
La sensation était incroyable, brûlante, inatendue, attentionnée, douce. Il ne se doutait pas que ça aurait été si sensible à

cet endroit.

Leo était en extase. Il regardait le miroir, puis John, il se mordait la lèvre de plaisir. Secoué, amoureux, il se plaisait tellement
C'est juste cette fois, c'est pas grave, je ne le ferai pas souvent, se disait il pour se rassurer, les jambes en l'air, un homme en lui.
Charlène apparu, elle se mis à quatre pattes au dessus de lui, en 69, guidée par Pierre.
Ce dernier se remis derrière elle en vue de la prendre a quatre pattes.
Leo était dessous, la chatte de sa femme juste au dessus de lui. En première loge, il vit le gros appareil de Pierre, à genoux, juste au dessus de lui, se presenter derrière sa femme, cambrée.
Il la carressa.
John avait cessé son manège du diable.
Il se retira, arrachant un râle à Leo, le cul

béant, tremblant. Son petit trou étai maintenant large, rose, trempé.
Au dessus de son visage il assista à la pénétration de sa femme, de tout proche, chaque détail, Petit bruit, mouvement de son ventre, ne pu lui échapper.
Cette colonne veineuse s'enfonça, écartant sa femme, innarretable, large au possible, jusqu'aux couilles, sans effort.
Les va et vient commencèrent, juste là, ces couilles claquant la chatte de sa pâle dulcinée juste devant son nez. Il l'entendit commencer à gémir, son adorable petit ventre se tortillait de plaisir, ses seins penulaient adorablement au dessus de son ventre. Ce fut de plus en plus bruyant, ferme.
Leo senti John le saisir, pour reprendre sa baise sans autre forme de procès.
La matraque s'enfonça en lui, chassant l'air de son cul traumatisé dans un bruit sonore.
C'était reparti.

Accroché aux cuisses de sa femme, il se faisait baiser, juste son son adultère , qui claquait quelques centimètres au dessus de lui, elle gémissait maintenant très fort, ravie, caressée par John qui passait sa main dans ses cheveux de temps e' temps, collé à elle.
Shlop
John se retira d'un coup.
Hhhhhhhhaaan, lacha un leo, abandonné à la volonté de son baiseur, le cul frand ouvert.
Plus de gémissements de sa femme.
Dans les claquements incessants de sa chatte contre Pierre, il perçu un leger gromelement. Elle était en train de sucer la bite de Jonh, goulûment, juste sortie de son cul.
Oh puttttaaain bébé !!!
Elle repris sa respiration , baveuse
Leo senti une bite fraiche le re pénétrer sans effort, salivée, humide.

Son cul re flatula salement sous les coups de reins progressifs de John

OH OUIII PUTAAAIN, OUIIIII

Charlène se faisait baiser fort, sa tête et dessus de mes jambes écartées, contre le ventre de John, son cul en harnais sinsexy juste au dessus de la tête de son homme salope, qui recevait les petites éclaboussures de mouillés a mesure qu'elle se faisait baiser sauvagement la chatte.
Pierre s'attacha d'un coup.
Sa bite longeait le ventre de Charlène, qui respirait rapidement, éprouvée, à fleur de peau.
La main de sa petite femme descendit, saisit cette queue et la plia vers le bas, pour la faire glisser, juste en dessous, sur le visage de son homme.
Leo tendit ses lèvres.

Le gland trempé de mouille les humecta, glissa de par et d'autres, mouilla ses joues, son nez. Leo mis la tête un peu plus en arrière, sous les assauts de cette queue guidée par sa femme, qui regardait en soupirant de plaisir, jouant avec lui, l'humiliant avec cette grosse bite sur sa gueule.
Il la goba.
Hhhaaaaa lacha Pierre, énervé par excitation. Brûlant dans la douce bouche de Leo, ce dernier tétait copieusement, bruyamment, l'épais membre qui venait de faire kiffer sa femme, Pierre lui enfonçait dans la gorge, sans respect, lui faisant faire des bruits délicieusement crade.
Mmhhhhhhhhh
Charlène le regardait, excitée, fascinée.

Elle senti une main lui attaper la nuque.
Jonh lui enfourna sa queue dans la bouche.
Elle s'executa et se mis à le pomper, à remplir sa bouche de son membre, encore

goutu de lubrifiant et de la petite chatte de son homme.
Les fornicateurs prirent leur repos dans ces bouches, gourmandes et dévouées.
Léo se faisait baiser à gorge déployée, il avait pris le coup de main, c'était tellement satisfaisant de maitriser les pipes de la sorte, si chienne. Charlène faisait de même, salivant partout. Ils ouvraient leurs gorges à leurs baiseurs, tantôt leur salive voulait par filaments, tantôt elle faisait des bulles, pour les satisfaire goulûment, offerts, sans limite.

Repositionnement.
Leo se fait tirer pour être dégagé de sous sa chérie, et se retrouve à côté d'elle, peinant à reprendre son souffle par sa bouche baignée de salive, allongé, si beau et svelte dans ses bas, son petit choker baigné de bave

John lui re soulève ses pattes, et les passe à Pierre derrière lui.

John retourne Charlène, fine et légère, rougie aux fesses, de la salive qui coule entre ses seins, son harnais.
Il la retourne sans effort, en levrette, elle grogne de satisfaction, cette salope. Elle en veut encore cette gourmande.
Lubrifiant.
Comme du miel, il coule sur le cul de Charlène qui respire fort et gémit, sous la sensation du filet froid du produit d'amour.
Il jette la bouteille, lui pénétre la chatte et la baise doucement
Ohhhhhh .... Oh ouiiiii..... Hhhhhh
Il étale le lubrifiant
CLAC
il la fesse soudainement, puis reprend ses caresses, entre ses fesses.
Il s'atarde sur son trou .
Oh putain, pense-t-elle, putain oui.

Elle se cambre, encore plus, elle s'allonge le cul en l'air, à l'aise, les bras tendus.
Un pouce vient presser sa petite fleur anale.
Doucement
Fortement
Il se fraie un passage.
Il peine à rentrer
Elle se sent écartée, il le sent forcer son trou si glissant.
Elle gémit '' puttttaaaaain oh ouiiiii''
Elle cède.
Son gros doigt est rentré
''oh oui putain''
Elle sent la queue qui la baise toujours si largement, et sent le doigt dans son cul.
La queue le fait bouger à chaque aller retour, séparés de si peu.
C'est si étrange, elle a l'impression de devoir aller à la selle, pour l'instant ce n'est pas particulièrement agréable, elle aime juste le tableau.

Il se retire d'elle, de son cul, de sa chatte, lentement.
Il presse deux doigts maintenant, sur son cul.
Elle respire fort.
À côté, Leo se fait mettre en place
''souffle mon cœur, détends toi, accueille le en toi''

Elle souffle un grand coup.
Les doigts s'enfoncent doucement, écartent son trou. Ça fait presque mal.
Elle les sent s'enfoncer en elle, pousser les cavités de sa chatte, l'écarter. Ils peinent mais glissent tellement bien, ils l'investissent et la pénètrent sans effort.
La sensation de besoin d'aller aux toilettes s'estompe, elle ressent du plaisir, si unique, estompé pour l'instant, faible lueur dans les mouvements de doigtage.
John la caresse en même temps, doux, accompagnant, rassurant.

Il se colle derrière elle, sa queue dressée, grosse, veineuse , brillante, calée entre ses douces fesses.
Il passe son autre main sous elle, et lui titille le clitoris. Du bout des doigts il prend de la mouille en frottant plus bas entre ses lèvres, et remonte lui masser son point magique, deux doigts dans son adorable petit cul angélique.
Il les retire, toujours en faisant des petits ronds sur sa douce chatte, rassurant, enivrant, précis.
Son trou se referme au ralenti, se contracte, si joli, rose et innocent, choqué mais curieux, prêt à plus.
Il saisit sa queue et la fait jouer plus activement. Sur sa chatte mouillée, si électriquement, il passe entre ses lèvres, large, embête son clitoris, reglisse, se dresse pour coulisser entre ses fesses lubrifiées et brillantes. Il est chaud, cest si doux et bon. Charlène se détend. Elle

savoure ce membre ambitieux qui glisse chaudement entre ses fesses.
C'est si sexy.
Elle gémit, ferme les yeux, s'abandonne à la sensation. Elle savoure ces caresses si impolies et calmes, brûlantes de désirs, bienveillantes et pleines de mauvaises envies.
Elle sent le matelas bouger quand John se replace, queue à la main. Elle se détend encore plus.
À côté d'elle Leo prend une pause pour l'occasion, et la regarde, abandonnée, Pierre lui caresse les cuisses, attendant patiemment.
''chhhhht'' leo passe une mains dans les cheveux de sa femme pour lui dégager le visage. Il s'approche de son oreille
''tu es tellement magnifique''
Il depose un baiser sur sa tempe et reprend ses caresses.

Elle fronce les sourcils, ouvre la bouche et

les yeux.
Elle inspire soudainement:
John est en train de rentrer en elle. Énorme il fait son passage dans son petit trou, qui se voit tendu, étiré autour du calibre de son gros gland qui progresse en elle, dans une flaque de lubrifiant.
Leo lui agrippe la main.
''regarde moi bébé, chhhhh tout va bien
-mon cœur... Je sais pas si je peux le prendre...
Il l'embrasse.
-ne t'en fais pas... Détends toi mon cœur, je suis là.
- ooooh c'est trop gros là.
Elle lui serre la main de plus belle
- respire mon cœur ! Regarde moi
L'espace d'un instant elle panique.
Sa respiration accélère, elle gémit, sa bouche grimace, elle sent qu'elle va pleurer.
- bébé ça fait mal ...
-.ouvre ton cul maintenant. C'est bientôt

fini.
- bébé...'' Elle lui serre la main de toute ses forces '' je t'aime, je t'aime mon amour
- je t'aime mon amour
Il lui dépose de longs baisers sur la joue.
Elle grimace, ferme les yeux.
Une larme commence à se former au coin de son oeil.

Elle voudrait dire stop, il le voit, mais c'est juste un court moment à passer, elle ne le sait pas.
Elle le fait par amour pour son homme, si dévouée, si complice, si éperdument amoureuse.
Elle se sent déchirée du cul, ouverte en deux, mais elle aime tellement son homme, elle ne peut pas lui refuser, elle se fait abattre pour lui.
''je t'aime mon amour '' répéte-t-elle, yeux clos,une larme coulant sur les draps.

D'un coup elle se redresse sur ses bras, ouvre grand sa bouche, ses yeux, en poussant un long ''oooooh'' très tremblant, faible.
Ça y est il est dans mon cul. Elle le sait.
Le gland est rentré, elle peut le sentir si précisément.
Maintenant sa verge n'est plus qu'une formalité, plus fine.
Qu'est-ce que c'est gros!
Comment Leo a-t-il pu se faire baiser par ça ??


''respire ma chérie, respire"
Il s'agenouille devant elle.
Il lui tient le visage.
Elle lui attrape la main, appelant à l'aide.
''Mon amouuuur''
Elle arbore un visage entre la panique et la joie.

Ça y est, c'est gagné.

John commence à s'enfoncer, extrêmement lentement

Hhhhhhhhhhhhh

Elle expire bruyamment.
Elle le sent, énorme, glissant, chaud, la remplir, l'envahir.
Elle le vit dans les moindre détails.
Elle sent son ventre bouger à mesure qu'il s'enfonce, centimètre par centimètre. Ça lui procure encore de nouvelles sensations.
C'est tellement global comme plaisir, elle commence à le cerner.
Il repart dans l'autre sens.
Par va et vients de 5 centimètres, il prend grand soin d'elle, doux, soucieux de son plaisir, il lui baise le cul tout doucement.
Ok, c'est agréable en fait.
Quelques minutes passent.

C'est carrément bon en fait.
C'est dans tout son ventre, son dos, qu'elle sent le plaisir, un plaisir tout neuf.

''Oh mon cœur, mon cœur, c'est trop bon
- oh bébé, t'es magnifique, baise toi le cul sur cette queue, t'es si pute, si excitante
-mon cœur il est dans mon cul, il est dans mon cul putaaaaain''
Sa voix était teinté de débauche maintenant.

Ils s'embrassèrent langoureusement, longuement, bercés doucement par les allers-retours de John dans le cul de Charlène. Les baisers étaient sonores, snas retenue.
-mon cœur je t'aime, je t'aime tellement'' dit-elle, ses yeux brillants encore de ses larmes désormais oubliées.
- oh mon amour, t'es l'étoile de ma vie, t'es mon bonheur. Fais toi baiser, faisons nous baiser mon amour''

Pierre l'attrapa et le tira sur les draps.

Il saisit les chevilles de Leo et le plie en deux.
Leo se retrouve le cul en l'air, comme bloqué au milieu d'une roulade arrière, posé sur ses omoplates, le cou plié, ses genoux autour de sa tête, aux mains de Pierre.
Sa tête est près des genoux de Pierre.
À genoux, ce dernier le tient par le cul, devant lui.
Il enfourne sa langue dedans.
''oh PUTAIN DE MERDE, PUTAIN DE PUTAIN DE PUTAIN DE PU..''
Pierre dévore sa proie retournée. Sa bave coule le long des couilles de Leo, de sa queue dressée, sur sa poitrine, son cou.

'''ooooo ouiiii, bouffe moi la chatte, baise moi avec ta langue putaiiin''
Leo a pris sa voix suave, efféminée,

coquine, salope.
Pierre grogne dans sa besogne.
Il se relève.
Il soulève Leo, dans sa position, comme un vulgaire sac, et vient le poser comme il était, mais contre la tête de lit, pour le faire tenir tout seul.
Son cul brille de salive, il baille, rose, il clignote de contractions.
''oh putain, lâche-t-il, oh oui vas-y, baise moi comme ta pute, Daddy ''
Pierre ne dit mot.
Debout il fléchit légèrement les, jambes queue à la main, l'autre maintenant sa cible, pour se mettre à la bonne hauteur.
Son cul l'attend, petite étoile rosée vivante, lubrique, décadente.

Il fait couler du lubrifiant sur son petit trou qui réagit en bougeant sous le froid.
Hhhhhhhhh
Leo savoure la sensation



Il le pénètre d'un coup.
''Oohoufffff''
C'est violent.
Il ressort.
Son cul souffle l'air bruyamment, d'une manière excitante et si lubrique.
CLAC
''petite salope va, pute à bite ''
Leo gémit sous la fessée et ferme les yeux, abandonné à son bourreau.

Shlop
Il rerentre.
Shlop shlop shlop
Il le baise, le cul en l'air, son cul encore plus ouvert à cause de la position, ses organes internes tombant vers le bas, son trou est tout profond, tout lâche.

Splotch splotch shlop shlop shlop shlop

shlop shlop shlop shlop shlop shlop

C'est parti.
La baise de son cul de salope recommence, obscène, putifié, amoureux de son humiliation sexuelle, il encaisse bruyamment les coups de queue dans son trou élargi et gourmand.

OH BORDEL DE BORDEL DE PUTAIN DE MEEEEEERDE
Leo ressent un plaisir lui envahir tout le corps, la tête, ses veines, sa colonne, son ventre, sa queue.

PUTAIN MAIS TU ME BAISE TELLEMENT BIEN PUTTTTTAAAAAAIIIIIN

Rien ne sert de lutter. Il est a sa mercie. Il n'a aucune idée combien de temps sa maltraitance va durer. Il se faisait abattre comme une chienne de rue. Il adore ça. Il

se voit dans le miroir mural, sauvagé, souillé bestialement, sacrifié à ce sexe mâle si animalement affamé.

Ah .. ah.. ah... Ah... Ah... Ah... Ah oui.. ah oui putain... Ah ... Ah... Ahhhhh... Ahhhh ouiiiiii.... Aïe.... Ah.... Ah.... Ah.....oh bordel .... Ah merde ... Je sui une pute.... Ahh ... Ahh oui... Une ptite pute....

Pierre le viole sans autre forme de procès.
''tieeeeens, voilaaaa, ptite salope, t'es qu'une petite salope
Shlop shlop shlop shlop shlop shlop
T'aime te prendre des bites hein? T'aimes te faire baiser comme une pute hein? Hein ptite chienne?!

Un cri de Charlène déchire l'air, tremblant, puissant.
Elle vient d'inonder le matelas, encore.
John s'enfonce désormais jusqu'à la garde

dans son trou de balle. Elle gicle. Gicle et regicle de plus en plus abondamment.

LEOOOO LEOOOOOOO LEOOOOO PUTAAAAAIN
HAAAAAAAAAA

un long jet de mouille gicle de sa chatte, John se maintient enfoncé dans ses entrailles, et lui branle sa chatte ruisselante, qui n'arrête pas de gicler, de sa grande main, à toute vitesse.
PSSSSSSSSIT
Elle hurle à gorge déployée, comme si elle était seule au monde:
'' AHHHHHHHHHH BEBEEEEEEE
AAAAAAH OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUIIIII '' sa voix s'évanouit dans sa jouissance, à bout de souffle.
PSSIT
Les draps sont souillés, inondés de son plaisir incontrôlable.

John la jette sur le lit
Elle tremble de toute ses jambes, défaillantes, tuée, immolée dans sa mouille.

Au plafond, le miroir leur renvoie leur image.
Essoufflée, inanimée, pâle et encore tremblante, échouée sur les draps en bataille, magnifique, détruite, comblée ai delà de l'imaginable, ses beaux cheveux sur son visage, en petite tenue, à moitié évanouie, shootée au puissant orgasme.

C'est l'heure d'une trêve.
Pierre lâche Leo, en transe, qui retombe, à plat ventre, son cul béant se refermant dans sa chute. Il est essoufflé, un sourire ineffaçable orne son visage lumineux, transpirant, contre le matelas. Il est aux anges, il ne sait pas ce qu'il se passe. Il est juste extrêmement bien. Il a les yeux

fermés et récupère ses esprits, en souriant béatement, le temps de redescendre sur terre.

Il relève sa femme, tout molle, et l'allonge dans ses bras. Il la serre contre sa poitrine. Il tient sa tête et son dos contre lui, et la berce, doucement.

''mon p'tit bébé....'' lui murmure t-il amoureusement à l'oreille.
Elle s'anime, se recroqueville, pour se blottir encore plus contre lui. Elle met son visage dans son cou, il lui caresse et recoiffe les cheveux. Il dépose un ling baiser sur sa tête. Elle se serre encore plus contre lui.
''je crois que je vais avoir des courbatures'' murmure-t-elle
Il rient tout les les deux, quelques instants
Leo continue de bercer sa femme shootée dans ses bras.

'' je t'aime Leo''
Elle n'a pas bougé ni ouvert les yeux.
Il lui embrasse les cheveux.
'' je t'aime petit cœur
Je suis tellement heureux.
-oh moi aussi. T'es incroyable.''

Elle ouvre doucement les yeux et le regarde, des étoiles dans les yeux. Bleus profond, remplis de nuances et de petites tâches grises et bleues azur, Leo tombe amoureux à chaque fois.
Il saisit son visage a deux mains et dépose ses lèvres sur les siennes, tout doucement, dans un souffle. Ils s'aiment par les lèvres quelques instants, hors du temps, comme deux jeunes amants.

Le petit groupe boit son verre d'eau sur le lit, ils rient, ils font connaissance, les masques sont tombés, ils ont tous remis des vêtements, ou un sous-vêtement. Ils

échangent, discutent, l'eau fraîche coule à flots.

Les fornicateurs se révèlent éminament sympathiques, et absolument pas sombres et durs comme ils laissaient le présager dans leur rôle, joué à merveille.

Ils restent là, libres de leur temps, à discuter et se raconter des histoires, à rire aux éclats.
'' bon et bien on approche de minuit, si on veut manger il faut se dépêcher ! Dit Leo
Vous voulez vous joindre à nous?
-ah mais carrément ! Réponds un John souriant, affamé.
-À fond haha! Confirme Pierre en levant un pouce, j'ai la dalle !''

Le dîner livré, ils se mettent à table dans la salle à manger, avec de la musique, brisant la dernière glace autour d'un bon repas

chaud.
'' en vrai, entre nous... vous êtes sacrément endurants non?" S'enquiert Leo, la bouche pleine
Ils rient. John est du genre à remplir tout le volume sonor quand il rigole, et c'en est contagieux
''ah bah la oui! En fait l'envie est là, le scénario est bon, perso c'est la première fois que je fais un truc aussi chaud quoi!
-c'est ça en fait, je n'ai pas non plus un max d'expérience dans le libertinage de couple, mais en général c'est genre décousu, sans préparation, au feeling. Alors c'est cool et tout, mais le fait de jouer '' une pièce '', une chorégraphie, ouaah, c'est vraiment excitant à mort : les tenues, les positions, les enchaînements. Et puis (excusez moi hein) vous êtes sacrément beau gosses tout les deux!"
Le couple rit et se regarde, à moitié gêné du compliment, Charlène attrape la main

de Leo et la caresse dans ses doigts.
'' on aime bien faire les choses c'est vrai, répond Leo dans un charmant sourire, et là on voulait soit ça, soir rien. C'était ça, sinon c'était tant pis. Et je confirme c'est réussi, vous êtes vraiment parfaits, merci encore.
- pas besoin de nous remercier s'esclafa en riant John, c'est nous hahaha! la la, quel pied putain! C'était vraiment trop bon de vous.. enfin de vous baiser quoi haha!

Papillons dans le ventre de Leo.
Papillons dans le ventre de Charlène.
En souriant poliment, il se regardent.
Ils communiquent sans parler.
Mais putain. Pourquoi ils ont encore envie. Le feu revient. Ils avaient presque oublié à qui ils parlaient pendant cette pause, mais l'envie se remet à couler dans leurs cœurs.
Il se regardent.
Leo arrête de sourire
Elle aussi

Une tension à 120 000 volts se crée dans leur regard qui leur paraît infini.

Léo lui saisit la gorge, la soulève. Il l'embrasse de toute sa bouche, lui presse le cul.
Elle respire fort, l'adrénaline reprend, elle perd instantanément le contrôle de ses sens cette fois.

Il la retourne, devant ses invités, choqués, encore en train de finir leurs plats, et fait valser tout ce qu'il y avait sur la table, dans un fracas de vaisselle
''ah t'en veux encore hein?!''
SLAPPPP
il lui retourne une volée sur le cul en lui soulevant sa robe d'été.
HAAAN
Charlène crie de douleur/plaisir, allongée sur la table.
''oh putain oui'' dit-elle entre ses dents.

Il se colle contre elle violement, faisant trembler le reste des couverts. Sa queue est déjà dure, battante.
Il lèche ses doigts.
Ils humecte son gland.
Il se présente.
Il la pénètre d'un coup.
De toute sa longueur.
Aaaaaaarhhhhhhgggggggg
Charlène grogne de plaisir bestial.
Slpaf spaf slpaf spaf spaf spaf spaf spaf
Il commence à ma pilloner.
Il saisit brutalement une poignée de ses cheveux.
''tiens petite pute, prends ça! Prends ça dans ta chatte de petite salope!"
Il lui crache sur le cul, de rage sexuelle.
Slpaf spaf spaf spaf spaf, il la pillone de plus en plus vite
Ooooh ouiiiii oh putaaaain ouiii baise moi
Slpaf spaf spaf spaf spaf spaf spaf
Baise moii ouiiiiiiiiiii

Il accélère, et lui donne 4 coups de queue par seconde, de toute sa longueur
CLAAAC
CLAAAAAC
Il la fesse de toute ses forces. Le reste des couverts tombe de la table qui se fait secouer dans tout les sens.
''T'AIMES ÇA HEIN?! hurle Leo
T'AIMES ÇA TE FAIRE BAIIISEER, BAISER COMME UNE PUTE!! T'ES QU'UNE PUTE!!
- OH OUIII OH OUIIII CHUI TA PUTE, CHUI TA PUTE, FRAPPE MOI-''
CLACCCC CLACCCCC
elle n'a pas le temps de finir quelle reçoit deux formidables fessées sur son cul, qui fait des vagues dans tout les sens, tant les coups de reins contre elles sont diaboliquement forts .

Les fornicateurs les regardent, lache des commentaires sur elle, l'insulte sexuellement, lui parle comme à une pute

'' aaaaaah alors, on aime ça se faire baiser hein? Brave fille , brave fille, tu va nous satisfaire maintenant hein? On va te monter en l'air, ma puce, on vate faire voir''

Leo s'arrache d'elle, il lui tire les cheveux et la guide, entièrement nue maintenant hormis ses bas, ses talons et ses bijoux.

''vient là, vient laaaa''
John est allongé par terre, posé sur ses coudes.
Leo la guide par les cheveux comme une chienne.
Han!!
Elle tombe à genoux au dessus de John, et se ratrappe en s'appuyant sur sa large poitrine.
Il lui attrape la gorge.
Elle se cambre.
Son visage se crispe de désir.
Il guide son cul vers sa queue.

Il l'empale dessus. Sèchement. Jusqu'au fond.
RaaaaAAAAAAAAAAA
Charlène râle de détresse et de plaisir abject, élargie si soudainement, remplie de cette verge epaisse et démesurée.
Une poigne lui saisit la nuque, par dessus la mais de Jonh sur sa gorge.
C'est Pierre, dernière elle
Elle est étranglée désormais, par les deux en même temps, une main chacun sur son cou et sa gorge.

Oh oui. Pense-t-elle
Oh .... Oui.....

Elle sent le froid du lubrifiant couler subitement sur son dos.
Il coule.
Elle se tortille sur la queue de John. Elle essaie de reprendre le dessus et de le baiser, les yeux dans les yeux, sa gorge dans sa poigne, se mordant la lèvre.

Elle sent l'inévitable arriver.
Devant son homme, Pierre pénétre le cul de sa femme, au ralenti.
Charlène se fige.
Qu'est ce qu'il se passe encore ?!
Mais d'où ?!
D'où c'est possible de ressentir autant de plaisir dans des choses aussi crades??

Elle se rend compte quelle est en train de sourire de toute sa bouche, grande ouverte.

Ok la c'est chaud.
Pierre s'est assis derrière Charlène, qui va chevaucher maintenant deux sexes.
Elle laisse échapper un petit rire pour accueillir cette nouvelle situation, déstabilisée.
Son gland est rentré dans son cul.
Énorme.
Elle n'ose pas bouger .
Elle est si remplie.

C'est si gros.
Elle est littéralement ancrée, harponnée à eux.
Elle est si pleine.
Si pleine de queues putain.

Les va et vient commencent.
Fatals.
Exotiques.
Elle sent ses trous élargis se faire remplir, son ventre bouger de l'intérieur, par ces masses chaudes et dures, trempées.
Elle reste figée, le regard perdu dans le vide.
Quelle salope je suis putain, pense-t-elle.
On entend seulement les légers grognements des fornicateurs, et le bruit lubrique de ces queues larges sui travaillent dans ses trous trempés et visqueux.

Leo s'approche.


Elle ne bouge toujours pas, paralysée par l'instant, la situation, désemparée face à cet empalement, que, irrésistiblement, elle sent qu'elle commence à kiffer.
Et merde je cède encore. Putain mais quelle salope je suis. J'adore ça. Oh oui j'adore tellement.

Leo est debout devant elle.
Sa queue est tendue vers le ciel.
Il lui caresse la joue, secouée encore doucement, par ses baiseurs imbriqués en elle.
Elle est ailleurs. Très très haut dans le ciel... Ou l'enfer.
Il se penche juste à côté de son visage, l'embrasse délicatement sur la joue, et lui sussure:
"t'es magnifique. Magnifiquement pute. Tu va prendre si cher avec toute ces queues. Tu va être notre jouet. On a tellement envie

de te baiser, de profiter de ton corps d'ange, mon amour de salope, et ce soir ce corps sera celui d'un ange déchu, tellement tu donneras de plaisir à tes bourreaux affamés de toi. Tu vas tellement jouir de nos queues. Tu ne peux pas y résister. Tu le sais. Tu aimes ça. Tu aimes la bite. Tu aimes te faire baiser amoureusement comme une chienne. Cède au plaisir, lâche prise mon cœur''

Impuissante, elle ouvre la bouche, docile.
Il se relève.
Il sent son souffle sur sa queue. Son petit souffle adorable, parfumé.
Il pose sa queue sur la langue de sa femme, possédée, remplie.
Le contact est torride.
Elle lève les yeux vers lui.
Ils se regardent.
Elle s'appuie sur ses cuisses.
Elle le suce.

Leurs regards ne cèdent pas.
Ses joues creusées par la succion de sa queue, elle le fixe, ses yeux divins entre deux mèches de cheveux qui lui tombent sur le visage.
Il la recoiffe.
Elle gémit gravement maintenant en honorant le sexe de son homme, soulevée par John qui la baise proprement dans sa chatte, et Pierre qui va et vient lentement dans son cul serré.
Ce n' est même plus bon.
C'est carrément hautement adictif.

Il lui attache les cheveux en deux queues de cheval courtes derrière sa tête. Il adore, ça lui donne un air toute coquine à cette suceuse.
Il les attrape. Elle le regarde fixement, inflexible, comme restant digne et forte sur ces queues monstrueuses qui la souillent, le suçant sagement.


C'est là que Pierre lui attrape les poignets vers l'arrière.
Position très délicate.
Je vais me faire sauvager.
Ils sont fous, ils vont me casser là.
Elle n'a même pas peur.
Elle en veut, même.
Elle se livre.

Leo lui manipule la tête par les nattes, et s'enfonce à volonté dans sa gorge, elle bouge désormais beaucoup plus amplement, son corps parcourus de secousses, elle performe sur ces queues.
Elle prend de l'amplitude sur ses mouvements de baise, plus profonds, plus longs, plus francs, de partout.
Les bras bloqués en arrière, une main autour de sa gorge, sa tête tirée vers l'avant, elle est suspendue, tiraillée par ses bourreaux d'amour.
La musique joue toujours en arrière plan,

elle l'entend, par dessus le bruit de sa gorge baveuse qui va et vient sous le contrôle de Leo, le claquement de sa précieuse chatte contre John qui la monte en l'air à chaque coup de bassin, et les petits bruits de son cul dont Pierre entre et sort sans glamour, huilant régulièrement ce trou jouissif, tellement excitant.

Léo la lâche.
Elle le regarde, essoufflée, la tête haute, rebondissant sur son plaisir maintenant dompté, salivant sur ses seins avec lesquels John joue fermement.

Son homme lui attrape la gorge.
Il la gifle.
''petite salope va''
Il lui tient le menton de l'autre main.
Elle ne bronche pas.
Elle lui attrape deux doigts avec sa bouche, et joue avec sa langue.

Il se rapproche encore d'elle.
Lentement, il lui crache dans la bouche.
Sa goute de salive s'écrase sur la commissure de ses lèvres.
Il lui étale tout autour de la bouche, toujours les yeux dans les yeux. elle grogne adorablement de jouissance.
Il la regifle.
De l'autre côté.
Des cheveux viennent se coller sur son visage trempé, soulevés par la claque.
''Dis que tu aimes ça.''
Elle s'executa aussitôt
''putain j'aime ça'' dit-elle dans un râle débauché.
Gifle.
''j'aime ça !''
Gifle.
''J'AIME ÇA !! ''
Gifle
''PUTAIN J'AIME ÇA !"

il lui attrapa soudainement la gorge et pressa sa tête jusqu'au bout de sa queue et la maintena en butée dans sa gorge
Il l'etrangla.
Encore plus fort.
Encore .
Les veines saillaient de son cou.
Ses yeux ne tinrent plus le regard.
Les cheveux sur son visage rougi, sa queue enfoncée jusqu'aux couilles, dégoulinantes, secouée maintient sèchement par en bas, les bras bloqués en arrière, ses trous envahis et chamboulés, son ventre secoué au milieu du plaisir.

''AH T'AIMES ÇA SALOPE HEIN?''
Cria Leo au dessus d'elle, son ventre contre son front, enfoncé jusqu'à la garde.
''T'ES UNE PUTE, SALOPE, CHIENNE A BITES, T'ADORE ÇA HEIN?! TIENS -il donna des coups de reins pour enfoncer encore plus son gland dans sa gorge

TIENS! TIENS PUTE! BOUFFE MA BITE! JE SAIS QUE TU KIFFES, TU KIFFES ÊTRE UNE CHIENNASSE!!

Charlène avait les yeux revulsés, la gorge et le front parcourus de veines gonflées, elle sentait qu'elle voulait tousser, respirer, mais elle n'y arrivait pas.
Tout son corps s'innonda du plaisir de sa sodomie et de sa baise, maintenant efreinées, sonores. C'était indescriptible. Elle se faisait détruire, mais dans le bon sens du terme. Elle sentait tout son corps se hérisser d'une jouissance atomique.
Des papillons puissance dix.
Un orgasme si intense dans sa chatte et son ventre.
Un orgasme inconnu et paralysant rayonnait dans tou son cul et sa colonne vertébrale jusqu'à sa tête.
Elle pouvait mourir de plaisir là. C'était inhumain.

Ça ne s'arrêtait pas.
Ça s'emplifiait, comme des vagues d'orgasmes qui broyaient son corps.
Son cerveau était éteint.
Impossible de penser.
Elle ressentait juste.
Son existence n'était qu'un orgasme intégral.


Leo la lâcha.
Sa tête retomba.
Haaaaaaaannnn.
Putain il s'est passé quoi.
Elle prit laborieusement une immense inspiration.
Je suis où déjà ?!
Ses baiseurs la relachèrent.
Elle se serait écroulée sur le sol si Leo ne l'avait pas rattrapée.
Il s'allongea avec elle sur le tapis.
Elle toussait encore un peu.
Il la recoiffa en la regardant, dans ses bras,

occie.
''chhhhhhut, tout va bien, je suis là mon cœur
- bb.... bébé..... Aahhh bébé...''
Elle tremblait de tout ses membres.

''fait... Fait moi un câlin''
Sa voix était à peine audible.

Il l'enlaça tendrement, pressa son étreinte.
Il l'embrassa sur la tête.
Qu'est-ce qu'il l'aimait...
''petit chou....
-oh mon cœur.... J'ai tellement joui.. bébé c'était quoi ça
-j'ai cru voir ça oui haha, tu étais tellement excitante t'as pas idée.
Elle repris ses esprits
- mon cœur je te jure un moment j'ai perdules pédales je ne savais même plus où j'étais !!
-oh mon cœur...

-nan mais t'es ouf.
- je t'aime mon amour.
- je t'aime, grand fou!!''

Ils s'embrassèrent tout amoureusement, comme ils adorent le faire.
''aller, à la douche!"

Ils terminent cette soirée en douceur, éreintés, saluent leurs fornicateurs forts aimables, et se glissent sous la couette, touts propres, tout hâtifs de se faire un gros câlin pour s'endormir.
Ils sont là, enlacés, jambes emmêlées, fourbus, Charlène le visage dans le cou de son amoureux.

Il la caresse, dans les cheveux, la nuque, et, comme à son habitude après une grosse journée, il chante tout bas, pour l'endormir, dans les graves comme il aime le faire.

Charlène se serre encore plus contre lui. Elle sent sa poitrine parfumée vibrer au gré des notes graves, la mélodie la berce, elle sent ses doigts lui caresser les cheveux, ses bras l'encerclent.
C'est le bonheur.
Elle est dans dans le meilleur endroit du monde.
Elle se laisse glisser dans celui des rêves.


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---------------

Leo transpirait abondamment.
À quattre pattes devant lui, Charlène se faisait baiser bruyamment, et criait de plaisir comme elle le faisait si bien.

Léo resserra sa poigne autour de sa ceinture, qu'il avait passé sous le ventre de

sa promise, et tirait maintenant violemment vers ses coups de reins ce cul asservi.
''oh ouiii putaaain '' rale t-il de plaisir, pendant que les oourds claquements emplissent la pièce et se mêlent aux gémissements de sa femme.
Il lâcha une prise, et approcha une main de la tête de Charlène tout en la baisant : il enroula ses cheveux autour de sa poigne, et commença à tirer dessus au rythme de ses coups de reins
''Bonne salope , t'aime ça petite chienne''
Il tirait sur ses cheveux, avec comme objectif de lui asser la Colonne vertébrale à chaque coup de queue.
''AAAAAH OUIIII MON CŒUR, BAISE MOI BAISE MOI BAISE MOI, JE SUIS TA PUTE''
CLAC CLAC CLAC
Leo lui assena une série de fessées cinglantes sur le cul. Elle ne broncha pas et continua juste de gémir de bonheur.


Le lit bouge. Il bouge au rythme de Leo. Mais soudainement il se met à bouger autrement : Jonh est entré en scène, et est en train de se déplacer à genoux, vers la belle bouche de nymphe de Charlène.

Leo ressent une vive excitation.
John soupir de plaisir : il vient de mettre son sexe encore en train de grossir dans la bouche délicate de Charlène, qui s'offre avec plaisir, secouée.
Leo redouble d'intensité devant la scène
'' ah mais t'aimes ça hein? T'aimes ça te prendre deux queues ptite salope?!
-MHHMMHH''

Des bruits obscènes de bouche malmenée commence à se rajouter au fond sonore. Leo deguste des yeux sa femme se faire attraper la tête, la gorge, baver sur cette large queue, s'y abandonner.

Il se retire : derrière lui se tient Pierre, prêt à prendre la relève, son imposante et longue queue dressée et battante de désir.
Leo se pousse et s'installe plus loin sur le lit. De là, il regarde Pierre carresser le cul de sa femme avant de.la pénétrer lentement. Elle gémit longuement, écartée par ce diamètre de sexe envahissant, troublant, dominant.
Le manège reprend.
Leo se délecte de la scène.
Sa douce se fait sauvager par ces deux queues, il les voit rentrer et sortir, trempées, sans effort, quinla souillent sans mercie
''quelle sale pute''
La scène est obscène, elle aime ça cette salope, elle prend son pied avec ces deux mastards.

Il s'approche de sa tête, et s'assoit juste à côté d'elle, invisible, pendant qu'elle se fait souiller en gros plan devant lui.

La queue lui rentre dans la gorge par a coups, ses joues creusées par l'aspiration, une main sur la base du sexe de John, elle le regarde dans les yeux, sous les secousses de Pierre qui maintenant la baise sans ménagement, innarretable.

Leo passe une main dans les cheveux de sa femme. Il la caresse pendant qu'elle suce docilement, bruyamment.
''Oh mon cœur..., t'es tellement belle... T'es tellement belle à sucer comme ça...''
Elle tourne les yeux vers lui, sort le sexe de sa bouche, dégoulinante de fils de salive, reprend son souffle
''je t'aime''
Elle l'embrasse après ces quelques mots, en continuant de branler son amant. Le baiser est très long. Crescendo dans la débauche, leurs langues se mêlent, à quelques centimètres de ce gland imposant et dégoulinant.

Leo saisi la queue de John, à pleine main. Charlène lache prise et se tient à quattre pattes docile, Pierre s'est retiré, et bouffe maintenant la chatte cambrée de la jeune femme.
De son autre main, Leo lui agrippe délicatement l'arrière de la tête, et lui guide sa bouche, grande ouverte, baveuse, vers la queue de John, dressée, affamée.
Leo empale la tête de sa femme, qui femre les yeux, sur ce sexe, e commence à lui faire faire des va et vients, forcés, fermes.
Il lui enfonce d'un coup. Au fond de la gorge. Il la bloque, quelques longues secondes
'' mhhh ouiiiii, comme ça bébé ''
Elle essaie de tousser, sans succès, une bite de 24 cm en gorge profonde.
Leo la maintient.
John râle de plaisir.
Le ventre de Charlène se contracte à plusieurs reprises, étouffée par ce sexe en

elle.

D'un coup, Leo l'arrache de son empaleur
Elle respire une grande bouffée d'air, exténuée, baveuse, détruite
''c'est bien mon cœur ''
Il l'embrasse sur le front pendant qu'elle retrouve encore son souffle
''c'est bien mon amour...''
Toujours la queue dans sa main, il la fait glisser sur le visage de sa femme, haletante, lui tapote les lèvres, les joues, elle crache tout doucement sa bave en gémissant, toujours dévorée par Pierre.
''mmmm bonne fille''
Leo lui rentre la queue dans la bouche, la ressort, seul maître de sa pénétration. Elle subit les assauts et les caresses de cette queue énorme, Leo la biffle avec, dans un bruit mouillé, joue avec sa bouche, ses lèvres, sa bave...
D'un coup il lui écrase la tête contre la

queue de John.
Elle se retrouve empalée, soumise guturalement à ce membre qui la souille.elle reste là, convulsée, ouverte, remplie, souillée, à s'étouffer sur ce manche à plaisir sordide et divin.
HHHHHHHHHHHHH
Elle reprend son soufle, et crache, son maquillage coulant sur ses joues, essoufflée, elle tend aussitôt la langue et rit légèrement, prête à relever le défi une nouvelle fois, docile
''c'est bien, bouffe cette bite, bonne pute, voilaaa... T'aimme ça être une bonne pute à bite hein '' John lui biffle la langue, prêt à la souiller dès qu'il le souhaite
''-oh oui putain
-t'aimes ça sucer hein? T'aime ça sucer comme une bonne salope hein?!
-ouiiii put-"

Leo la laisse en proie avec son amant, qui se remet à lui baiser gentilment la bouche, à sa mercie, et se rapproche maintenant de Pierre, qui lui devore la chatte depuis de longues minutes.
Il se redresse, il lui ecarte le cul. Il se remet en elle, et lui baisse sa chatte, qui fait des bruits obscènes, éprouvée par ses précédents va et vients.
Le temps, Leo pose sa tête sur le cul de sa petite femme, baisée, juste devant le ventre de pierre, qui va et vient dans sa chatte. Il reste là, bercé par les coups de reins, son nez qui touche de temps en temps le ventre de pierre qui tronche sa femme.
Il passe sa main sous elle, qui cherche quelques instants, la caresse, la griffe, avant de lui frotter la chatte, de la branler vigoureusement pendant qu'elle se fait baiser par son deuxième amant
Il sort d'un coup.
Shlop.

La chatte de sa femme est trempée, elle goutte.
Leo ouvre docilement la bouche, sans bouger, et ferme les yeux, tout en continuant ses mouvements agiles sur le clitoris de sa femme.
Gros, large, le gland rentre dans sa bouche, lui écarte un peu plus les mâchoires, leo replace ses lèvres pour ne pas mettre ses dents. La queue fait son passage, au goût de Charlène, énorme, veineuse, sur sa langue, son palais, ses joues, sa glotte, et commence à le baiser doucement.
Il sent la main chaude de Pierre se poser à plat sur le côté de son visage pour lui plaquer la tête.
Leo gémit.
Il sent cette queue lui souiller le visage, la bouche, et forcer le fond de sa gorge par à coups, affamée.
Il reste là quelques secondes, offert, la tête posée sur le cul de sa femme qui suce

goulûment, à se faire farfouiller la bouche par cette grosse queue.

Puis Pierre se retire.
Leo ouvre les yeux, de la salive coulant le long du cul de sa chérie, et voit Pierre replonger en elle, la labourer, à quelques centimètres de lui. Son visage touche le ventre de Pierre à chaque à-coup.
Il ressort.
Il pénètre sa bouche, sans délicatesse.
Il la baise , bruyamment maintenant.
Leo est désemparé, il essaie de ne pas etouffer sur ce membre qui le souille, et se concentre à ouvrir sa gorge, ne pas mettre les dents et branler sa douce.
Il ressort.
Respiration de détresse.
Pierre rerentre dans sa femme.

Il continue son manège lubrique à baiser cette belle femme puis la bouche de son

homme, à fleur de peau, excités comme jamais, offerts, complices, amoureux....
Charlène gémit de plus en plus, se tortille, perd le contrôle, les assauts de cette queue et de cette main experte sur sa chatte vont avoir raison d'elle.

Elle gémit très fort, avec cette queue dans la bouche, se met maintenant à trembler des jambes, à serrer les draps dans ses poings, puis s'immobilise d'un coup, dans le bruit de sa baise et des frotis mouillés de sa chatte
PSSSSITT

elle gicle.
MMMMRRRHHHHH
elle râle de plaisir bien trop grand pour tenir encore à quattre pattes.
Les hommes la tiennent en place.
Pppppsssssssiiiittt
Elle re gicle, innondant les draps.


Elle s'agrippe partout maintenant, perdant le contrôle de ses membres.
Ses amants la tiennent fermement, l'immobilisent de force.
Elle jouit.
Elle ne fait plus de bruit.
Elle se débat, possédée par l'orgasme, retenue par ses détracteurs, qui ne s'arrêtent pas de la.baiser et de la frotter énergiquement

''AH TU JOUIS HEIN?!
VAZY SALOPE JOUIS, JOUIS COMME UNE SALOPE''

Charlène convulse, désemparée, impuissante, incapable de sortir des bras de ses tortionnaires.

Puis ils la lâchent, tremblante, essoufflée, inanimée, sur les draps froissés et

mouillés.

Léo s'allonge contre elle.
Il la serre dans ses bras.
Il l'embrasse sur les cheveux, et la berce un moment.


Les fornicateurs s'allongent eux aussi fatigués, de chaque côté du couple.

Tous reprennent leur souffle.
Après quelques instants, un grosse queue métis apparaît dans le champs de visions de Leo. John s'est allongé tout près d'eux, encore affamé.
Il lâche doucement sa femme, qui se relève, péniblement, fourbue, la tête dans les nuages.
Pierre se rapproche également d'eux, et pose une main sur la hanche de Charlène.

Quelques moments après, le couple a pris place .
Chacun allongé, ils sucent l'un à côté de l'autre, leur queue respective, langoureusement, amoureusement.
Ils se regardent, montant et descendant sur ces verges épaisses et dures. Ils les branlent, les yeux dans les yeux, bavent dessus, comme pris au jeu de qui sucera le mieux. Ils sucent, bruyamment, rapidement, la tête de Charlène monte et descend, faisant voler ses cheveux, sa gorge déployée. Leo se délecte, le moment est magique, cristalin, si excitant.
''oh bébé ''
Lâche-t-il entre deux lampée sur le frein de Jonh, avant de sucer fortement et profondément
''mon cœur je t'aime ''
Lui répond sa femme qui branle Pierre, dégoulinant de sa salive, sa petite main serrée sur l'imposant diamètre.
Ils tendent le coup pour s'embrasser,

tendrement, un instant, amoureux, puis reprennent leur festin phallique.
La dégustation dure quelques minutes,
Puis, reprenant son souffle après une longue gorge profonde,
Leo se voit soulevé pour être mis debout, dans la chambre d'hôtel, une claque sur la fesse qui lui arrache un petit cri.
Pierre l'accompagne par la nuque et le guide fermement face à une table, le plaque contre celle ci, le forçant à se pencher et prendre appui sur ses bras.
Il lui embrasse le dos. Encore et encore.
Leo ferme les yeux et déguste l'instant :
Son amant le caresse, le ventre, les épaules, le dos, la poitrine, le griffe, descend sur se hanches, électrique, ses cuisses. Leo se met instinctivement sur la pointe des pieds et se cambre, comme marabouté par la sensation qui l'envahit.
Il sent les larges mains glisser sur sa peau, baladeuses, il sent le souffle sur la peau

de son dos, qui descend, descend, sur ses lombaires, puis ses fesses, Leo respire rapidement, sous adrénaline.
Ses fesses rebondies et douces sont écartées délicatement, une sensation de fraîcheur le gagne, il se cambre un peu plus, ferme les yeux, il sent ce souffle l'eplorer de très près.... Coup de langue.
Éclair dans tout le corps. Pierre lui embrasse les fesses, les masses, les claque. les embrasse de toute sa bouche, les lèche, les pince.
Puis, écartant le petit cul de sa proie abandonnée à ses envies, il lèche vers la petite fleur rose et lisse, invitante et lubrique de Leo.
Il trassaille. Il soupire et gémit de plaisir. C'est si bon. Sa langue commence sa fouille insolente. C'est divin.
Elle passe, repasse, dure et mobile, humide et chaude, sur son petit trou serré qui commence déjà à se détendre et se

contracter de temps en temps. Les fesses écartées, sur la pointe des pieds penché sur la table, Leo savoure le moment, yeux clos, le visage contracté de plaisir, la mâchoire ouverte, reflet de son lâcher prise face aux assauts de cet homme qui le désire ardemment et patiemment.
Il se tortille. Il accentue les passages de cette langue sur sa fleur intime, qui vient maintenant se presser grassement, bougeautant par ondulations contre son intimité. Il sent un doigt glisser à plat le lond de sa petite raie. Il glisse, si agréablement, si chargé d'envie et de promesses. il titille sa petite chatte humide, en même temps que Pierre lui embrasse ses belles fesses. Le doigt téméraire prend lentement de l'angle. Il le sent se presser. Se presser contre son petit trou fermé. Il coulisse imperceptiblement, lui enfonce sa fleur.
Pierre laisse couler de la salive sur son

doigt, toujours en présentation devant l'orifice convoité. Lui écartant le cul de l'autre main, il presse son doigt. Il s'enfonce. Tout doucement. Léo le sent rentrer, millimètres par millimètres.
Hhhhhhhhhhh
Il laisse échapper un soupir de plaisir soumis, en sentant les phalanges passer sa porte de derrière. C'est délicieux. C'est si coupable.
Le doigt est rentré. Chaud. Dur. Épais.
Léo se tortille contre son gré, pour mieux sentir cette pénétration.
Pierre se retire. Pui re rentre. Doucement il le doigte, il bouge son doigt et le plie dans les profondeurs accueillantes de ce jeune cul.
Leo râle de plaisir. Il adore ça. Il se sent envahi, offert, et le mieux, c'est que ça n'a même pas encore commencé. Les yeux fermés il se concentre sur ce qu'il se passe en lui, il savoure.

Un deuxième doigt se présente.
Baveux, il fraie son passage en enfonçant et écartant sa petite fleur qui commence à s'élargir, docile, fébrile.
''oh putain..''
Leo se laisse peser sur la table, immobile, soumis à son élargissement en cours.
La sensation le gagne de se faire écarter de l'intérieur. Ça fait un peu mal au début, puis ça se transforme en sensation étrange. Ces deux gros doigts en lui. Qui se plient et se déplient, jouent avec son intimité intérieure, ça y est. Ça devient bon. Pierre sent que Leo se relâche encore plus.

Il le doigte, et verse du lubrifiant sur ses doigts, qui s'enfoncent en lui et prennent contrôle de son trou serré.
Pierre est debout. Il plonge ses doigts dans le jeune homme, qui ne lutte plus, abandonné à son amant, possédé par le plaisir.
3 doigts.

Dans un bruit visqueux, les phalanges écartent le trou agrandi de Leo qui gémit, et se mort la lèvre, annonçant le début de la fin.
Il sent que Pierre enlève se doigts. Soulagement temporaire.
Chaud, veineux, glissant, il sent une colonne se poser, dressée, entre ses fesses. C'est incroyable comme sensation. Elle lui écarte les fesses et se presse au fond de sa raie, à la verticale, si large et épaisse.
Pierre le tease, il fait glisser sa queue sur le cul parfaitement lisse et candide de Léo, qui lui, accompagne souplement ses mouvements en faisant onduler son bassin de manière à amplifier les frottements.
''Oooooh ouiiii.... Oh putain ouiii ''
Le jeu continue, hors du temps, Leo est à fleur de peau, des papillons lui parcourent le ventre, cette queue , cette queue si large

contre lui, contre lui si salope, il est tellement en position délicate, et ce salaud joue avec lui, il le fait vriller. Leo sent une main lui saisir la hanche.
CLAAAC.
L'autre vient de lui asséner une fessée bien sonore sur le cul, qui lui arrache un cri de surprise.
Pierre l'attrape maintenant à deux mains oar les hanches, contre la table, et se presse fortement contre lui, pour entamer des collés serrés contre son cul luisant de lubrifiant. Sa queue est encrassée contre Leo.
Leo n'en peut plus. Il respire fort. Son corps se tortille tout seul. Ça fait plusieurs minutes maintenant. C'est insoutenable.
''Pierre..... Souffle t-il
-Daddy. Le corrige ce dernier.
-Daddy.... S'il-te-plaît.. ''
Il a le souffle court, appuyé les coudes sur la table, son beau corps svelte est cambré,

ses jambes élancées tendues, son cul en l'air, ses courbes féminines attrapées par ces belles grandes mains qui le serrent contre son assaillant, affamé, patient, immense.
Leo grimace de désir et de plaisir.
''Daddy je t'en prie...
-oui? Tu veux me dire quelque chose ma belle?
-Putain...
-avec ton ptit cul là, hein?
-Mhhh oh oui...
-il est beau ce cul là, je le le tapperai bien
-Daddy putain....
-tu veux me dire quelque chose? Répéta Pierre, penché sur un Leo se tortillant,à fleur, sa queue glissant fortement dans sa raie.
-je... J'en peux plus..
-t'en peux Plus de quoi? Hein?
-je ... Je ...
-je quoi?! Tu veux te faire baiser?

-hhhhh...
-j'ai pas bien compris, dit-il en se pressant encore plus contre lui, le saisissant fortement.
-je te veux....
- ahhh, mais encore ? Tu veux quoi?
-je... Je veux ta queue...''
À ses propres mots, Leo senti une nouvelle vague de papillons dans son ventre, des frissons lui parcoururent le corps, son cœur battait maintenant à toute allure dans sa poitrine.
"Tu veux ma queue hein? Tu veux que je te la mette hein?
-oh oui putain!...
-tu veux que je te baise hein?!
-putain Daddy oui
- je vais te baiser le cul ma salope, dit-il en entamant des petits coups de reins contre son cul, qui firent des petits claquement humides.
-oh oui putain-

-je vais t'attraper et te baiser comme une salope, baiser ton petit cul de pute qui me fait de l'oeil depuis la première fois que je t'ai vue, salope.
-je suis à toi... Leo parlait avec une petite voix, sa tête lui tournait, c'était surréaliste, divin.
-tu vas te prendre une bonne queue dans ta petite chatte
CLACCCC
-HAAN''

Sans tarder, le fornicateur saisit sa queue dure et dressée, et la pressa contre la fleur de Leo.
C'était large. Chaud. À souhait.
Plus il s'appuyait, plus c'était démesurément large.
''putain il va me baiser'' pensa Leo, immobilisé contre la table, ce large calibre progressant contre son petit trou.
Il s'appuya encore, innarretable. Il n'était

pas encore dedans. Il senti la petite chatte s'ouvrir tout doucement.
Leo se senti ouvert de l'intérieur, soudainement, envahi, écarté.
Son gland était en lui.
Leo, la bouche grande ouverte, se tenait une fesse écartée pour faciliter son invasion intime. Il respira fort en riant légèrement de surprise, de soulagement et je bonheur quand ce gland qu'il pensait trop gros le baisa pour la première fois.
Puis Pierre s'enfonça en lui
''ouuuuuuuuuuuuhh.....'' soupira Leo
C'était énorme, dur et chaud, mais qu'est ce que ça glissait bien. C'est si remplissant. il sentit cette masse en lui, intrusive et délicieuse, lui masser grassement l'intérieur.
''oh Daddy
-ahhhh c'est bon d'être dans ta chatte ma petite pute
-oh oui, lança Leo en se retournant pour le regarder docilement dans les yeux,

planant, transporté, ailleurs, comme sur une autre planète .
-voilaaa bébé, c'est bieeen.
-putain tu me baises
-oui je te baise, je te baise le cul ma douce, maintenant cambre toi plus petite salope.''

Pendant ce temps Charlène était en train d'embrasser John, élancée dans ses bras musclés, elle prenait son temps, longuement, elle savourait ses baisers, passait ses mains sur son visage, ses cheveux, son large dos.
"Mhhh t'es tellement belle'' lui murmura t-il
''t'es si douce bébé
-oh John ...
-c'est quoi ces seins d'amour là... Dit-il en pressant l'un d'eux. Elle l'embrassa tendrement.
-oh John, oh oui...
Elle se tortillait contre lui, à fleur de peau.
-t'es une sacrée petite femme toi... J'ai

terriblement envie de te faire du bien..
-... J'ai envie de toi....
Il se regardèrent dans les yeux, pui s'embrassèrent, langoureusement, respirant fort, leurs mains se perdant sur leurs corps...
John la souleva pour l'allonger sur le lit et lui écarta les jambes.
Il se pencha sur elle, et l'embrassa de nouveau, pour descendre sur son cou, ses sein, qu'il lécha et titilla quelques instants, les pressant dans sa bouche, puis continua ses baisers sur son ventre et poursuivit sa descente.
''-oh bébé... Oh bébé... Oh bébé.... Oh oui''
Lui souffla Charlène, qui commençaient à sentir des frissons d'excitation dans tout le corps.
Il lui attrapa les cuisses pour les ecarter en l'air. Il lécha grassement sa chatte se toute sa langue.
''Ahhhhhhhhh.....'' Charlène se laissa

tomber en arrière, en proie à son amant.

La table était secouée doucement.
Le bruit visqueux de Pierre dans Leo perçait le silence. On entendait seulement le souffle du jeune homme.
Son cul était tout étiré autour de l'imposante queue de son amant, qui rentrait et sortait, à mi longueur.
Léo gémit à chaque re-rentrée.
C'est tellement bon.
Je me fais baiser, pensa-t-il.
Pierre grogna de plaisir.
Pour la première fois, il s'insèra plus profondément dans le jeune cul.
''Aaahhhhhhh puttttaaain '' gémit Leo
''oh ouiiiii daddy, oh ouiiii
-t'aimes ça te faire baiser?!
-oh ouiii
-dis le!
- oh oui j'aime ça....
CLACCCC

-dis le en entier
- Oh oui j'aime ça me faire baiser
-t'es une bonne salope hein
- oh oui Daddy
CLAAAC
-dis le!!
- putain chui ta salope Daddy
- mmmh ouiiii, qu'est ce que c'est bon de baiser un bon cul de salope, ton petit cul au bout de ma queue, tu m'excutes bébé
-MhMh?! Interogea Leo en se mordant la lèvre
CLACCC
- AAH ouiiii, j'adore ton cul, putain qu'est-ce que t'es bonne
- OH OUI?!
CLAAAAAC
Les coups de reins s'emplifièrent, profonds, invasifs.
-oh oui t'es une bonne petite pute, avec ton corps de salope. Jvais le baiser ce ptit corps de salope

-Oh oui baise moi
CLAACC
-J'ai pas entendu !!?
-BAISE MOI
CLAAACC
BAISE MOI!! BAISE MOI LA CHATTE! CHUI TA PUTE DADDY, BAISE MOI OH OUI
-TIENS SALE PUTE
CLACCC
TIENS DANS TON CUL DE PUTE, T'AIMES ÇA PRENDRE DES BITES HEIN?
-OH OUI DADDY
-T'AIMES ÇA TE FAIRE BAISER SALOPE, T'AIMES LES BITES DANS TON CUL DE PUTE
-PUTAAAAIN OUIIIII
Leo était maintenant secoué abondamment, il gémissait très fort, sa voix comme au bord des larmes, mais de plaisir, du plaisir de salope qu'il prenait par derrière. Sa queue battait sous la table, son gland mouillé de désir.
Ses couilles étaient frappées par celle de

son beau baiseur, au rythme de sa sodomie, chaudes et lisses, goutants de lubrifiant. Des petits fils se creeaient à chaque contact pour s'étirer et se rejoindre dans un petit bruit humide au milieu des claquements répétés de son cul.
Pierre lui attrapa les bras, par les coudes, pour le tirer en arrière, le laissant penché au dessus de la table, sans la toucher.
Il le tirait contre ses coups de reins, et s'enfonçait maintenant jusqu'à la garde dans son petit cul.
''AHHH AHHH AHH AHHH HHHH HHH AHHH AHHH AHHHH HHHH''
Leo, violenté, impuissant dans la prise de son fornicateur, criait de plaisir à chaque coup. Cette grosse queue lui avait ouvert le cul, et allait et venait maintenant sans effort, bizn profondément en lui. Il sentait ce membre le souiller, bouger son ventr de l'intérieur, le pénétrer sans relâche, comme un bout de viande.

-OH PUTAIN TA QUEUE, TA QUEUE DADDY PUTAIN
-AH TON CUL DE SALOPE BÉBÉ, QU'EST-CE QU'IL EST SERRÉ, QU'EST-CE QUZ C'EST BON DE LE BAISER BÉBÉ
-OH OUI DADDY, TU ME BAISES, TU ME BAISES LE CUL
-TON PETIT CUL DE PUTE LÀ
CLAAAC
-OH OUIIIII JE SUIS TA PUTE, T'AIMES ÇA BAISER CE CUL HEIN?!
CLACCC
-OH OUI PETITE CHIENNE, T'ES TROP BONNE, T'ES TROP BONNE À BAISER, TU M'EXCITES GRAVE
-BAISE CE CUL DE PUTE DADDY, PÈTE MOINLE CUL, JE VEUX TE FAIRE JOUIR AVEC MA CHATTE"
Pierre ne le menagea pas. Aggripé à ses bras, il lui Pétait le cul contre la table, et il aimait ça.
John dit son apparition.

Pierre lui céda la place, en se retirant d'un coup du trou maintenant un oeu béant de Leo, qui respirait bruyamment.
John s'enfonça. Sans prévenir.
''HHHHHHHHH''
sa queue était un peu plus épaisse.
Son gland était large, et sa queue faisait le même diamètre que lui à son extrémité, puis s'amincissait légèrement en revenant vers son pubis. Une allure de matraque. Une belle matraque de 24 cm, pour 5 cm de diamètre à son bout.
Circoncis, le membre était lourd, sombre, avec cette forme insolite, où le gland, au pourtour acéré, était quasiment plus petit que le milieu de la queue.
Il glissa en lui. Il l'ouvrit un peu plus, en faisant sortir l'air dans un bruit obscène.
''Oooooooohhhh.... Ooh putain...''
Il glissa encore, encore, lentement, dans son intérieur. Il paraissait infini. Il le poussa de l'intérieur, plus profond que

jamais. Jusqu'à la garde. Ça faisait presque mal dans le fond. Il sentait qu'il lui touchait le fond. C'était un enfer de jouissance absolu.
Il commença ses va et vient, indulgent, à mi longueur, lubrifié à fond.
Il lui tirait les deux mains, avec une seule poigne, et lui tenait le cul de l'autre, agrippé sur sa hanche.
Pierre se branlait à côté, pour se maintenir en forme, rapidement rejoint par Charlène qui s'agenouilla, souriante, pour lui prêter main forte. Elle englouti et gémissant le gros gland de l'homme au gout de son chéri, pour le pomper bruyamment, mains dans le dos.
Leo planait.
Il était hors du temps.
Il prenait son pied comme une salope.
Yeux clos, il sentit que l'on lui changeait son partenaire. Une autre queue le pénétra, sans mercie. Il reconnu le bâton droit de

Pierre, son gland large et dessiné l'honorant de l'intérieur.
''t'es vraiment une bonne pute à bite, t'es adorable.''

Il subit les assauts, de ses baiseurs, qui le baisaient en relais, pour ensuite se reposer dans la bouche experte de sa femme qui s'en donnait à cœur joie.
Il sentit une main sur sa queue, qui ballotait sous la table. Une main frêle. C'était Charlène. En dessous, sans pouvoir le voir, il sentit son petit souffle. Elle venait de boire un verre d'eau fraîche, il le senti à la froideur de la bouche qui se mit à le sucer.
''oh putain putain putain putain putain''
Ses mains lui caressaient les cuisses, les fesses, le griffaient légèrement, pendant qu'il se faisait baiser adroitement le cul.
C'était su délicieux, si frais, si mouillé, si tendre de se faire sucer sous la table par

sa petite femme venue le soulager.
La table bougea.
Pierre était monté dessus.
Il lui saisit le menton, délicatement, Leo le regardait dans les yeux, secoué avec douceur par John, dans sa chatte. Toujours les bras bloqués en arrière, Leo lui lécha le pouce, le suça.
''ouvre la bouche, mon beau''
Leo, sans détourner le regard, s'executa.
Sous la table Charlène lui suçait le gland, délicatement, cruellement.
Il accueilla la queue dans sa bouche, au ralenti. Il ferma les yeux.
Il tourna sa langue autour, lui lécha rapidement et longuement le frein, le suça fortement.
Pierre s'enfonça dans sa petite gueule.
''Aaaaaaah, râla t-il, tu suce bien toi aussi hein? J'adore tes pipes.''
Leo gémit, approbateur, la bouche pleine.
Il savoirait le moment.
Baisé, envahit par cette BBC dans son

jeune cul, les couilles frappées par celle de son mâle, sa femme qui le suçait suavement sous la table, dévouée, au rythme des coups de reins, il suçait goulûment ce sexe profanateur du peu de dignité qu'il aurait pu lui rester. Quelle salope je suis putain, se répétait il, quelle chienne à bite.

Il n'en pouvait plus. Se faire baiser, se faire sucer et sucer cette queue comme une pute l'excitait au delà de l'imaginable. Il sentit l'orgasme frapper à la porte, lointain. Croissant.
''je.... Je.... Je..... Je vais... Je vais jouir''
Parvint il à articuler sous les coups sec de son baiseur, tressaillant de plaisir avec une queue sur les lèvres.
Charlène s'activa.
Ça montait.
Il sentait que c'était déjà très très fort comme orgasme, mais il sentait que ça

n'était pas prêt d'exploser encore, aussi crescendo qu'il put être.
''oh putain
Oh putain
Oh putain''
Il se raidit.
L'orgasme ne venait toujours pas, mais continuait de monter, titanesque.
Charlène lâcha prise.
Elle voulait le faire monter, mais pas trop, pour qu'il jouisse sans elle.
Pour qu'il jouisse sans qu'elle lui touche le sexe.
Pour qu'il jouisse du cul.
secoué et pénétré par ce large membre avide.
Elle voulait le faire jouir, mais jouir comme une salope, pas comme un garçon.
''OH BORDEL DE BORDEL DE BORDEL DE MEEEEEERDE PUTAAAAIN ''
John s'echinait. Il lui Pétait le cul. Tout bougeait en lui. Il sentait le plaisir

continuer de monter, sa queue fouettant l'air devant le visage de sa promise, patiente.
Pierre lui baisait la bouche doucement, pleinement :
''allez, jouis salope, jouis du cul bébé, jouis sur cette queue, prend ton pied sur cette bite, kiffe te faire baiser vas-y ! Jouis de ta petite chatte, Vas-y !!"
Putain ça vient, ça vient, mais d'autre part.
Ça vient de dedans, c'est le plaisir de mon cul qui a pris le relais dans l'élévation de l'orgasme au ciel.
Je kiffe du cul, pensa-t-il
Je vais jouir de la chatte.
Ça monte, si exotiquement, possédé par les coups de bite dans son intérieur électrisé de plaisir obscène.
''putainputainputainputainputainputaibébéeeeeeeeeeeeeee''
Quelques gouttes jaillirent, désordonnées, du bout de sa queue dure comme le bois.

L'orgasme n'était pourtant qu'à quelques pas.
Il juta dans la bouche de sa femme

Orgasme.
1200000 de volts.
Terrible.
Général.
Universel.
Terrassant.
D'un autre monde.
John s'était immobilisé au fond de sa chatte, énorme.
Pierre lui parlait, en lui maintenant la tête en gorge profonde.
Leo avait les yeux revulsés, il était téléporté ailleurs.
''mmhhhhh bonne salope, tu jouis hein, tu jouis grâce à une bite hein? Mhhh t'es délicieuse, t'es merveilleuse.''

Leo ne sentait plus rien.

Il n'était qu'orgasme.
Tout était flou. Il sentait seulement la queue battante, vaguement localisée en lui, familière, le gland dans le fond de sa bouche se retira, baveusement, et une langue électrique lui lécha la fin de son orgasme abondant, qui le fit sursauter.

John se retira, dans une flatulence coquine de petit trou éprouvé, rose, béant, qui clignait à répétition comme pour essayer de retrouver sa petitesse perdue.

Souffle sur son visage.
C'était celui de sa femme.
Elle l'embrassa.
Longuement.
Il sentit sa salive couler dans a bouche.
Beaucoup de salive.
Beaucoup trop de salive.
Ça avait un goût.
Ce n'était pas de la salive.
Il ouvrit les yeux d'un coup.


Surprise Leo.

Elle lui versa en bouche à bouche tout son sperme dans sa bouche désemparée. C'est salé, épais, métallique, obscène, dégueulasse. Jouissif.
La bouche ouverte, il accueilla le dernier cracha de son jus d'amour de la bouche de sa femme, complice de sa douce punition.
Garlgl.
''allez, suce''
Pierre avait plongé sa bite dans sa bouche
Il toussa, en faisant couler le liquide en un long fil baveux le long de la verge qui le souillait sans pitié.
''suce j'ai dit''
Sans le sortir, sa femme saisit le large membre et le branla.
Il toussa encore, lubriquement.
''oh mon cœur, t'es si sexy''
La voix de Charlène était si douce. Si belle.

Si chaude.
Il suça la bite qu'elle lui tenait dans la bouche.
Il s'y enfonça. Sans réfléchir.
Il voulu tousser. Sa femme lui déposa un baiser sur la joue.
Pierre se retira d'un coup.
Il cracha par reflexe, en panique, il toussa.
Puis il pris vite une grande respiration, essoufflé, à moitié noyé dans le liquide qu'il venait de cracher.

Sa douce pris la relève, dévouée, habile, féminine, ses bracelets tintant au rythme de ses va et vient baveux.
Elle tapota le membre dégoulinant de bave sur les lèvres de son homme.
Elle joua avec.
''Oh bébé, tu suces une queue, tu aimes ça mh?
-spt, cracha t il sur le gland, oh oui mon cœur.''

Elle le biffla
''hhhhhhh
-oh oui suce le maintenant ''
Il ouvrit la bouche et suça bruyamment, goulûment le membre viril.
Longuement.
Très longuement.
Il suait.
Il ne s'arrêtait pas.
Reprenant sa respiration de temps en temps, il enfonçait et branlait avec sa gorge cette grosse queue. De temps en temps il la ressortait, dégoulinante, sa salive faisait des bulles, il les crachait sur la bite de Pierre, aux anges, grognant de plaisir, pour la re sucer sans aucune modération.
Charlène le caressait, lui pinçait les tétons, lui griffait les cuisses, le dos.
Leo le voulait.
Il voulait le faire jouir.
Il voulait le faire céder, le maîtriser dans sa

bouche, faire lâcher prise à ce mâle qui le baisait, l'affaiblir d'un puissant orgasme.
Il sentait qu'il avait le dessus.
''Ahh...
Aahhh... Ouiii...''
Il entendit pierre gémir.
Il le sentit se crisper.
Il sentait dans sa bouche inondée d'une salive visqueuse que sa bite se contractait à plusieurs reprises.
Il y était. Il le tenait.
''oh oui bébé, suce moi, suce moi bien''
Il s'activa, habile sur son membre, la salive coulait partout. Sa femme le regardait, amoureuse, l'embrassait, lui tenait la tête.
'' oh oui bébé. Fais le jouir. Fais le jouir dans ta bouche ''
Dans ma bouche?! S'indigna t il?
L'indignation ne s'évanouit aussitôt.
Il était trop excité.
Il ne savait pas si il le ferait.
Si il accepterait de se faire jouir du foutre

dans la bouche.
C'était flou maintenant .
Il suçait de toute sa gorge.

''Aaaaah putaiiiin''
Pierre, maintenant à genoux, se laisse sucer par Leo en totale maîtrise, accompagné, parrainé par sa femme qui lui murmurait à l'oreille.
''bebe t'es si sexy, suce encore, suce cette queue, fais le jouir comme je te fais jouir quand je te suce...''
Pierre serrait les dents:
"Oh putain ta bouche, c'est trop bon. tu suces bien, tu me suces tellement bien c'est ouf....''

Sans prévenir.
Averse de sperme dans sa bouche.
Brûlant.
Fluide.
Salé.


N'y pense pas.

Il donna quelques derniers coups de bouche. Pierre tressaillit et grogna de plaisir. Le sperme continuait de gicler par a coups.
Il coulait le long de la verge tétanisée.
Leo cracha le liquide qui ruissela tout le long, innondan les couilles de Pierre.
Il adopta un suçage doux. Réparateur. Attentionné. Délicat, sur ce membre viril en transe.
Pierre se replaça, assi au borde de la table.
Léo senti sa queue toucher la sienne. Électrique. Elle se croisaient. Il les branla ensemble. C'était surréaliste. Délicieux. Réconfortant.
Charlène lui saisit la mâchoire, et l'embrassa de toute sa bouche. En branlant distraitement la queue de Pierre, Leo sentit la langue de Charlène lui fouiller amoureusement la bouche, il sentit sa

texture, ses ondulations, il la sentit s'en aller, recommencer, faisant circuler le reste de salive et de jus dans leurs bouches.
Elle embrassa Pierre. S'agrippa à son coup, descendit pour lui embrasser le torse sous le regard attentif de son homme essoufflé.
Elle était en bas, penchée sur la table.
elle lécha le sperme dégoulinant des couilles de ses hommes.
Leo inspira de surprise et de plaisir.
La femme le regardait d'en bas, il la vit souriante, saisir lentement les deux sexes.
Elle les frotta ensemble, bout à bout, visqueux, doux.
Leo tressaillit.
Elle suça les deux glands, alternativement, les pressa tout deux dans sa bouche, s'étirant les joues. Les deux hommes lui caressaient la tête, reconaissants, attendris, shootés de leurs orgasmes.
Elle nettoya les deux membres avec soin, longuement, oasis de sérénité après toute

ces émotions.
Après quelques minutes dans le bruit de succion et de respirations buccales de sa soigneuse femme, Leo la releva.
Il se regardèrent dans les yeux.
Elle sourit
Il sourit.
Il l'embrassa tout délicatement.
''je t'aime'' lui murmura telle '' je t'aime à la folie mon amour
-t'es l'amour de ma vie mon cœur ''

Il se laissèrent tomber sur le lit, enlacés.

A suivre....

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres bien grande imagination super

Histoire Libertine
Mais bien sûr les mecs niquent passent de la chatte au cul et vice versa le tout sans capotes !!!
Comme ça quand ils rentrent chez eux ils rentrent avec 1 surprise.

Le texte est trop long tout ça pour lire t’aime être 1 pute, ah ah c’est bon je jouis , clac clac !!!

C’est abuser. 🤦‍♀️😤

C’est nullissime.

Histoire Erotique
Magnifique histoire !!

Torride, sexuelle ; j’ai adoré !!! Continuez



Texte coquin : Désir de couple plus infernal que prévu.
Histoire sexe : Une rose rouge
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